À une inconnue
Dans la chaleur de l'après-midi où la douce brise se fait rare
Je buvais, assis à moitié ivre et abassourdit par un vacarme barbare.
Je jetai d'un regard enivré, un oeil autour de moi et je la vis...
Elle avait une forme fine et majestueuse telle une guitare qui ravit,
Une beauté rayonnante qui illuminait le bal et son air dansant.
Je songeai un instant dans mon ivresse, avec elle à une nuit de plaisir.
À son corps plein de vie dévoilé, objet de mon désir.
Mais la réalité me tira très vite de ma douce rêverie
Quand je la vis discuter, riante avec ce qui semblait être son petit ami.
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GUEDE
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