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chapitre 14


Il commençait à s'impatienter en voyant que je ne bougeais pas.

- Tu la prend ou non parce que je commence à avoir une crampe au bras.

Je me demandais ce qui pourrait m'arriver de toute façon. Au pire, il pourrait m'emmener dans un endroit isolé et m'y torturer. Je pris quand même le risque.

Je lui souris en attrapant sa main. Il sourit à son tour et me fit remonter.

- C'était pas trop top !!

Je rigolai, on commença à marcher vers la sortie.

- Bon, tu veux faire quoi ?

- Je ne sais pas, surprends moi.

Il sourit en coin.

- À vos ordres madame !!

On arrivait devant une superbe moto noire.

- Tu n'avais pas une voiture ?

- Si mais je préfère celle-ci.

- Je peux comprendre, elle est superbe.

- Tu t'y connais en moto ? demanda-t-il en me tendant son casque.

- Non.

- Normal, il souffla. Tu es une fille.

- Quoi ? Tu veux dire que parce que je suis une fille, je ne peux pas m'intéresser aux moto ? m'indignai-je.

- Je n'ai pas dit ça, dit-il en montant, je le suivis.

- Tu as dit quoi alors ? Parce que c'est ce que j'ai cru comprendre.

- Bah, tu es une fille non ? Et tu ne t'intéresse pas aux motos. Donc les filles ne s'y intéressent pas, conclu-t-il fière de lui.

Quoi ?

- Mais c'est quoi ce résonnement de merde ?

Il ricanna.

- Le mien, dit-il en démarrant.

- Tu es con.

Comme moi.

Il démarra et commença à aller très vite, dépassant plusieurs voitures. Je lui tapotai l'épaule et il se tourna un peu pour pouvoir m'entendre.

- Du calme superman, je n'ai pas envie de mourir jeune.

Il se contenta de rigoler et ralentit un peu. Après une demi-heure environ, nous nous arrêtames devant une sorte de hangar un peu délabré et noirci à cause de l'humidité. Je balayai un peu les alentours pour essayer de reconnaître l'endroit où nous étions, mais ça ne servait à rien, je ne connaissait pas du tout le quartier.

Les maisons étaient un peu plus petites que ceux de mon quartier, mais elles ne restaient pas moin jolies. Il y avait par ailleur de beaux arbres fleuris qui tronnaient le long de la route.

Des groupes de garçon qui avaient aperçut Thomas lui hochaient la tête pour signe de salutation. Il les connaissaient, ce qui m'intriguai encore plus sur la raison de notre présence ici. Je le suis donc, curieuse, vers ce bâtiment.

- Tu es sûr que c'est ici ?

- Quoi, tu as peur ? ricanna-t-il.

- Pas du tout, je me demandais juste. Et puis de toute façon tu avais déjà l'occasion de me kidnapper, mais tu ne l'as pas fait.

Ou peut-être que je voulais un endroit plus calme loin de ton quartier pour que personne ne puisse te retrouver.

Je m'arrêtai net à la confirmation de mon hypothèse tantôt. Il pouffa de rire.

- Ta tête... C'était une blague, dit-il entre un rire.

Je ne pus retenir mon sourire.

- Blagueur hein, j'aime bien.

Il me répondit par un sourire et ouvrit enfin la porte. C'était une patinoire, une assez grande patinoire.

- C'était à ma mère, commença-t-il en voyant mon étonnement. Viens, il me prit la main et m'emmena dans un petit local au fond du bâtiment.

Il y avait beaucoup de bazards et d'équipements qui prennaient la poussière. Puis, il s'avança sur une étagère où il y avait quelques patins.

- Tu fais quel pointure ?

- Trente-huit, dis-je en m'apuyant au mur de la porte.

- Tu as de la chance, celui-ci est en bon état.

Il me tendit un patin et prit une autre pour lui. Puis, on se dirigea vers les tribunes pour les enfilés.

- Il n'y a plus personne qui vient ici ? demandai-je curieuse.

- Oui, on l'a fermé...après le décès de ma mère et mon petit frère.

- Oh..je.. suis désolé.

C'était tout ce que je finis par dire. Je ne savais jamais comment me comporter ou quoi dire lorsque quelqu'un m'apprenait le décès d'un de ses proches.

- Ne t'inquiète pas, ca fait.. 3ans maintenant, je vais..mieux.

Il n'avait pas l'air très triste, mais je savais pertinemment que ça l'affectait encore plus que ce qu'il voulait montrer, mais je n'incistais pas.

- Et euh..ils sont mort comment ?

Son expression se changea soudainement, elle passa de la tristesse à la colère et il serra les poings. Je regretai ma curiosité.

- Accident de voiture.

J'étais sans mot. Je n'imaginai même pas comment il devait se sentir à l'époque. Perdre ses parents c'était perdre ce qu'il y avait de plus précieux, surtout une mère. Même si je n'étais pas très proche de mes parents, je ne saurais même pas comment je pourrais me sentir si un jour je les perdais.

- Bon, c'est du passé tout ça.

Il se lèva et entra sur la piste. Son expression redevint joyeuse.

- Tu viens ?

Je me levai pour le rejoindre, fis un pas et m'écroulai complètement au sol.

- Aie, grognai-je.

La honte, je m'étais étalée comme une crêpe. Thomas courut vers moi avec un sourire en coin.

- Pourquoi tu ne m'as pas dit que tu ne savais pas en faire ?

- J'ai oublié.

Il se retenait vraiment de rire.

- Ne te moque pas !!

- Je ne me moque pas !

Il devint même tout rouge en se retenant trop. Je commençai à rire face à  la situation, il me suivit et on partit dans un fou rire phénoménal.

- Relève... moi...au moin.. dis-je entre mes rires.

Il me relèva, mais je perdis encore équilibre.

- Je te tiens, dit-il en m'attrapant à temps.

Il me tint la main et me tira sur la piste.

- Doucement...voilà...

Je commençai à comprendre et on fit quelques tours encore main dans la main. Puis décidai de le lacher et d'essayer toute seule. Et je ne tombais plus, j'essayais même de faire un tour sur moi-même. C'était mal adroit au début, mais j'assimilais vite.

- Attends, c'est moi ou tu viens de faire un tour sur toi-même ?

Je refis le tour.

- Tu sais que j'ai mis 1mois pour faire ce mouvement et toi toi le fais en à peine quelques minutes, c'est pas juste, se plaignit-il en me rejoignant. 

- J'ai une capacité à apprendre vite, me vantai-je.

- Comme avec les maths je suppose.

Je lui mis une tape à l'épaule. Mais j'ai du le faire un peu fort car il s'écroula par terre, enfin, sur la glace.

- Aïe !

Je lui tendis la main pour le relever, mais il me tira pour me faire tomber à mon tour. Puis il se releva avec un sourire en coin et je n'eu pas le temps de réagir qu'il m'agripa les pieds et commença à sprinter.

- Wow, qu'est-ce que tu fais ?demandai-je commençant à avoir peur. Mais il ne me répondit pas et accélérait de plus en plus.

- Thomas arrête, tu commence à me faire peur, dis-je en voyant qu'on se dirigeait dangereusement vers le mur. Il ne m'écoutais pas encore. Mon coeur battait de plus en plus vite.

- Thomas !!

L'heure était proche, j'allais mourir écrasée contre un mur. Je fermis les yeux attendant mon heure.

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La suite prochainement ^ ^

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