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chapitre 11

Il était là, étonné, la bouche grande ouverte tandis que je me pris un énorme fou rire. Il passa de moi aux plats et des plats à moi en se demandant sûrement comment je faisais pour entrer tout ça dans mon ventre. Car il y avait sept plats. Sept plats que j'affectionnais sérieusement : porc sauce aigre-douce pimenté, canard laqué, poisson au piment, raviolis, tie ban de poulet pimenté, sauté de tofu aux champignons pimenté, et enfin des nems. Voilà mes sept merveilles du monde.

- Mais, comment ? parvint-il à dire après quelques minutes.

- Je t'avais prévenue, rappelai-je.

Il commença à prendre une bouchée du poulet. Son visage devint aussitôt rouge et il eut du mal à respirer. Il cracha directement dans une serviette et vantila sa langue, puis prit un verre d'eau comme ci ça allait le soulager. Ça ne marchait pas, alors il commença à paniquer et me supplia de l'aider. Il n'arrivait même plus à sortir un mot. Je fus complètement morte de rire. Je demandai à Sarah d'apporter un verre de lait et il se calma un peu.

- Tu manges tout ce piment à chaque fois et tu n'es pas encore morte ? Tu es sûre d'être humaine ?

- Jusqu'à preuve du contraire, affirmai-je.

Il lâcha finalement un rire et secoua la tête.

- Tu es folle, souligna-t-il.

- Des fois, je l'admets.

Il me sourit et je restai suspendue à ses yeux encore une fois. Mais je décidai de changer de sujet.

- Bon, puisque tu as une langue fragile, je vais t'aider et tu mangeras le reste, ça te va ? proposai-je.

- Je croyais que tu n'allais jamais me le proposer, blagua-t-il.

Je lui conseillai de commencer par les raviolis et moi par le poisson. Honnêtement, je passai un très bon moment avec lui. Nois rîmes beaucoup et il ne m'intimidait plus autant parce que j'apprenais à le connaître. Il était aussi beau à l'extérieur qu'à l'intérieur, croyez-moi, c'était possible.

- Sympa ce dîner, commentai-je en nous dirigeant vers l'entrée.

- Oui oui, ce n'est pas comme si j'ai failli mourir.

- Oui, très drôle, rigolai-je.

Puis il s'arrêta, passa ses mains dans ses cheveux et morda l'intérieur de sa joue. Serait-ce du stress ?

- Euh... ça te dit de refaire un dîner ? Ou un déjeuner... ou même une glace...enfin, si tu veux, bégaya-t-il.

C'était un rendez-vous ! S'en était un!!! J'étais tellement heureuse que j'avais envie de danser la macarena ou n'importe quelle autre danse de la joie, mais je m'abstins.

- Avec plaisir.

Un sourire irradiait son visage.

- Par contre, c'est moi qui choisis l'endroit.

- Ça me va.

Fin du flashback.

Depuis ce jour-là, nous nous quittâmes plus au plus grand malheur des filles du lycée. Jusqu'à aujourd'hui, malheureusement.

- Ça ne s'est pas très bien passé.

Surprise, je me redressai d'un bon et m'aperçus que ce n'était que Mel. Je lâchai un soupir. Elle me rejoignit et me prit dans ses bras.

- Au moins, il n'a pas insisté, commenta-t-elle.

- Je sais. Je n'ai pas trop fait de bruit au moins ?

- Non, ça va. Il n'y a que les gens du quartier qui sont au courant, ironisa-t-elle.

Je rigolai.

- Désolé.

- Ce n'est pas grave, il méritait encore plus.

Un silence s'abat sur la pièce, elle sembla réfléchir à quelque chose et je fis de même.

- Tu m'accompagnes au poste de police ?

- Maintenant ?

- Oui, je ne veux plus tarder les choses. J'ai promis à Becky de ne rien dire jusqu'à la fin de la semaine et nous y sommes, rappelai-je.

- Tu sais aussi que si tu y vas, tout le monde sera au courant ?

- C'est un risque à prendre, nous parlons quand même de mes parents et de celle de Jason.

- De Jason ?

- Tant qu'à y être, j'en ferai une pour ses parents aussi, ils étaient quand même associés et amis.

- Attends-moi juste deux minutes que je me change.

- Ça c'est ma Mel, dis-je en lui tapant les fesses.

Arrivé devant le bâtiment, mon pouls s'accéléra. Je n'étais pas nouvelle à un poste de police puisque j'y étais déjà lorsque les jumeaux étaient en garde à vue, mais je n'étais jamais habitué à ces endroits administratifs.

Nous entrâmes et nous dirigeâmes vers un petit bureau placé devant l'entrée où une femme était en train de manger un beignet.

- Euh bonjour, commençai-je.

- Bonjour, excusez-moi, s'excusa-t-elle en rangeant son goûter.

- Je voudrais signaler une disparition s'il vous plaît.

- Bien sûr, veuillez patienter, j'appelle quelqu'un pour vous recevoir.

Pendant l'attente, je me mis à observer le lieu qui, je devais l'avouer, était très moderne. Il ne fallait pas oublier que nous étions à Los Angeles. Mais malgré leurs efforts apparents à essayer de l'embellir, je ne m'y sentai pas bien. L'air était très pesant et il y avait une odeur inexplicable. Ce n'était définitivement pas mon truc. Quelques minutes après, un policier assez enrobé vint à notre encontre et nous emmena dans un petit local au fond du bâtiment.

- Veuillez vous asseoir, sort-il d'un ton blasé.

Nous nous exécutâmes et il sortit une sorte de feuille pour noter.

- Vous voulez signaler la disparition de qui mademoiselle ?

- De mes parents.

Il fronça le sourcil et commença à écrire.

- De vos parents...Comment ça se fait que vos parents aient disparu ? C'était quand ? Racontez-moi s'il vous plaît.

- C'était lundi. Ils n'étaient pas à la maison lorsque je me suis réveillé, ce qui était normal, mais ils auraient laisser un mot. Puis hier ils ont réapparu. Je n'était pas censé être à la maison, mais je suis revenue prendre quelque chose et ils étaient . Mais lorsqu'ils m'ont vu, ils se sont enfuis en courant et m'ont laissé.

Le policier jusque-là sérieux, se mit à pouffer de rire. Mel roulait des yeux, mais moi, ça ne m'amusait pas.

- Vous êtes en train de me dire que vos propres parents vous ont laissé seuls pendant plusieurs jours puis ont réapparu et on fuit ?

Il ne me croyait pas. Ça pouvait paraître idées, mais c'était la vérité et je n'avais pas la patience de me justifier après ce qui s'était passé ce matin.

- Oui, mais visiblement vous n'avez pas l'air de me croire.

- Mais c'est irréel mademoiselle, quels parents ferait une telle chose ?

Il ne me restait qu'une chose à faire.

- Assez ! dis-je en tapant sur la table. Si vous n'avez jamais vu un cas comme le mien, c'est votre problème. Dites-moi si je perds mon temps à venir ici parce que je peux bien aller voir ailleurs. Et sachez que les avocats de la famille Collins et Crawford peuvent bien se plaindre à votre supérieur de votre incompétence !

Il resta bouche bée et blanchit instantanément, non parce que je venais de m'emporter contre un représentant des forces de l'ordre, mais par l'entente de mon nom de famille. Tandis que Mel retint son rire en se cachant derrière sa main.

- Vous êtes la fille de Peter Collins ?

- Je suis étonné que vous ne m'ayez pas reconnue.

- Mes sincères excuses mademoiselle, permettez-moi de passer un petit coup de fil.

Ça faisait toujours le même effet : les gens étaient étonnés quelques secondes puis changeaient radicalement de comportement. Ils devenaient soudainement plus gentil, comme si je n'avais pas remarqué leur hypocrisie. Mais tant qu'à faire, il fallait en tirer profit. Au moins, il me prenait au sérieux maintenant.

********************************

Salut !!!!

Miles excuses pour mon retard car je n'avais pas le temps de poster le chapitre puisqu'on a fait le baptême de ma petite-cousine et puis on était fatigué et bref- racontage de vie-.
Pour me faire pardonner je poste deux chapitres ouueeee.

- Amber est gourmande hein et elle est très fan de la cuisine asiatique comme moi ^ ^.

- Pauvre Jason, il ne s'y attendait pas, surtout pour le piment mdrrr.

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