
À bon port !
Il était une fois un jeune pirate aventureux dont le nom fit trembler les sept mers, décida de poser pied sur l'île Rihan. Le jeune homme est Capitaine d'un steamer qui se nomme le New Dog Line. Ce forban mit pied à terre, commença à marcher sur le ponton où il a accosté son navire, traversa le quai portuaire d'un pas boitant. Est-ce qu'il boitille ? Possède-t-il un handicape ? Pourquoi traîne-t-il la jambe ? Il aperçut sur la place principale Na le marché qui a lieu deux fois par semaine. Réfléchissant à ce qui l'a intrigué pour qu'il s'arrête ainsi brusquement devant un des nombreux stands qui se trouva à quelques mètres devant lui. Regardant ce que le bazar avait à lui offrir, notre héros pris la décision de faire du troque avec le vendeur.
- Excusez-moi monsieur, bonjour.
- Bonjour, en quoi puis-je vous aider, mon cher ami ? D’un air jovial.
- Je voudrai savoir si je peux faire un change, échange, brocantage, marchandage.
- Oui, bien sûr. De quelle pacotille voulez-vous vous débarrasser ?
- De ce chapeau et ce bijou.
Le commerçant examine, étudie, analyse, scrute, pèse et estime la bague que le pirate lui a tendue.
- Oh ! Il serait dommage de vous séparer de cette merveille, monsieur. S'exclama-t-il.
- Pourquoi cela ?
- Elle est rare je l'estimerai à environ 15000 shilling et le chapeau à 250 shilling.
- Puis-je prendre la dague que je vois en haut à gauche sur l'étagère de gauche en échange du chapeau et je récupère les 15000 shillings.
- Avec joie, vous me libérer d'un fardeau car elle me semble maudite.
- Intéressant, j'ai toujours eu un faible pour les malédictions.
- Ce fut un plaisir de faire des affaires avec vous, alors. Au faite, puis-je savoir votre nom monsieur ? Au cas où, si nous nous recroisons sur l'île.
- On me surnomme Black Steel, au revoir.
- A bientôt.
Notre héros repris sa route sur la place Na, en direction d'une sonorité envoûtante qui l'entendit et l'attira à l'aveuglette vers le fond du marché dans une ruelle. Il se mit à chercher d'où cette résonance divine venait, marcha rapidement, courut, accéléra le pas, freina brusquement, s'arrêta devant portes et fenêtres pour suivre tous les sons possible que son ouïe lui permettait d'entendre du plus aigu au plus grave.
Le gentil pirate s'interrompit en face d'une énième entrée qui se trouva être une boutique de haillon située dans la cour extérieur du palais, quant-il reconnut cette voix démoniaque, s'efforça de trouver, reprit son souffle après cette course effrénée et toutes ces émotions fortes, admira et essaya de concevoir ces mots pour parler à la demoiselle. Celle-ci surprise par ce bel inconnu pendant la prise de ses mesures par l'une de ses sœurs. La femme assise n'avait encore rien remarquée de la stupéfaction de son modèle. Notre jeune guerrier frappa à la porte, cette fois-ci les deux belles femmes sont pantoises d'apercevoir un beau jeune homme devant chez elles. Elles lui répondirent en chœur :
- Entrez donc, cher monsieur.
- Merci, excusez-moi, mesdemoiselles.
- Que pouvons-nous faire pour vous aider ? Toujours en chœur.
- Je cherche à savoir qui a émise cette merveilleuse voix envoûtante, captivante, séduisante, charmante, ensorcelante, subjuguante.
La jeune femme avec la robe noir dit : - Ce doit être ma sœur, celle qui ce prend pour une princesse.
La femme qui est debout affirme : - C'est moi, qui possède ce bramement. Pourquoi cela ?
- Pour rien, mais ce timbre était d'une telle ampleur que je n’ai pas pu résister de le suivre alors que je n'avais pas fini de visiter le marché.
- Au faite, nous ne nous somme pas présenter. Répondit, la jeune femme habillée en noir.
- Excusez-moi de mon impolitesse, mesdemoiselles, je suis un jeune pirate, mon surnom est Black Steel.
Celle qui est debout : - Je m'appelle Devonne, et la peste qui est assise, c'est Marie l'une de mes sœurs, mon autre sœur est en voyage.
- Nous sommes enchantées de faire votre connaissance Black Steel. Les sœurs en chœur.
- Moi de même, mesdemoiselles. Est-ce que l'une d'entre vous peut-elle m'indiquer le chemin pour que je puisse retourner au marché car en suivant cette voix, je me suis un peu perdu ?
- Bien sûr, alors en sortant d'ici, vous parcourez à peu près 100 à 200 mètres, vous prendrez la cinquième ruelle à gauche, vous arriverez à un croisement, vous prendrez ensuite le chemin le plus étroit pour vous y rendre. Compris. Dit Devonne.
- Oui, mademoiselle.
Les jeunes femmes en chœur : - Au revoir.
- A bientôt, mesdemoiselles.
Notre homme tailla la route...
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