Le Fond, mort pour la Forme
Parfois, à trop vouloir parer les mots,
On en perd leur substantifique essence.
A trop vouloir embellir les ambiances,
On en oublie les sens primordiaux.
Les syllabes s'agglutinent, grumeaux
De texte sans queue ni tête. Byzance !
Se dégouline en plastique exigence,
Masquant le corps des propos cardinaux.
On obtient alors une suite de sons
Plaisants à l'oreille, plats à l'esprit.
Aseptiques.
Si la Forme échoue à servir le Fond,
Alors, il faut réviser sa copie.
Autocritique.
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