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|La fille chez lui|

— TU VAS ME LES CASSER ENCORE LONGTEMPS ?! METS UN PUTAIN DE RÉVEIL À TON TÉLÉPHONE BORDEL, SINON ÇA TE SERT À QUOI ?! hurle la voix d'une femme qui m'est inconnue depuis mon soudain réveil provoqué par cette dite voix.

— P-Pardon ! m'écriais-je d'une voix étouffée en espérant ne pas avoir de représailles envers cette inconnue, mes yeux observant à la volée la porte de ma cha-

Heu.. Attendez une minute. C'est pas ma chambre.. Je suis où là ? C'est quoi ces posters à deux balles d'un mec à la gueule bouffée par la dope et ces cheveux semblable à des antennes de fourmi ?! Il fait flipper bordel ! Si c'est encore une connerie d'Ashtray, loi ou pas, je vais le tuer !

Entreprenant un mouvement pour sortir de mon lit, je fronce les sourcils en remarquant ce qui me manquait sur mon propre corps, et ce qui était différent, aussi..
Lentement, ma tête tourne vers une armoire dont un miroir était accessible visuellement et je pus découvrir mon reflet.

— . . . AAAAAAAAH ! ?!?! – MAIS QU'EST-CE QUE ?! hurlais-je en me pointant du doigt tout en m'approchant du miroir, fronçant mes, désormais, sourcils blonds.

Je n'étais plus une louve mais.. Un putain d'humain. Je.. C'est à n'y rien comprendre ! Mais qu'est-ce qui se passe putain ?!

— OH, LE MORVEUX ! ARRÊTE DE GUEULER ET VIENS PRENDRE TON PETIT-DÉJEUNER ! J'AI PAS QUE ÇA À FAIRE !

La voix de cette femme résonne à nouveau dans toute la maison et, papillonant des yeux, je mets une bonne minute pour me détailler plus calmement tout en laissant ma réponse en suspens.
Des cheveux blonds cendrés, des yeux rouges, un visage fin et carré, un torse bien bâti –J'en bave intérieurement–, un cul assez moulu –Bah quoi ?–..

Bordel, j'suis un fucking mec. Un humain. Donc.. Je suis sur Terre ? Est-ce que je rêvais ? Est-il possible de rêver avec autant de détails ?

Pour m'assurer de l'authenticité de ma présence ici, je pose ma main sur mon poignet, attrape ma peau entre deux doigts et me pince assez violemment ce qui me fit grimacer de douleur.
Douleur ? Oh.. C'est donc ça ? C'est.. Plaisant. Agréable en fait..

La porte de "ma" chambre s'ouvrit à la volée sur une femme identique à ce que j'ai pu voir vers mon reflet, me faisant vite comprendre que cette dame avait sûrement un lien avec le garçon que je suis aujourd'hui. Donc si ce n'est pas un rêve.. Qu'est-ce qui s'est passé bordel ?! Je comprends rien..

— OÏ, TU M'ÉCOUTES QUAND JE TE PARLE ?! me demande, pour ne pas dire gueule, la femme qui était plutôt bonne conservatrice de son visage. Encore un peu et j'dis que c'est ma sœur..

— O-Oui, désolée ! m'excusais-je précipitamment en baissant un instant les yeux, veillant vite à attraper les premiers vêtements qui me passaient sous la main dans l'armoire et filer hors de ma chambre avant de revenir voir lentement cette jeune femme qui avait, semble-t-il, bugué.

— Euh.. Excuse-moi, où est la salle de bain ? demandais-je, recevant pour simple réponse un regard curieux et choqué, à croire qu'elle avait vu un putain de fantôme.

— A-Au bout du couloir, à g-gauche.. Dis, t'es sûr que ça va, Katsuki ? demande la blonde cendré en se penchant vers moi, fronçant les sourcils tandis que je hoche lentement la tête.

Donc je m'appellerai "Katsuki" ? C'est un beau nom, j'aime bien. Ça me fait penser aux Kit Kat.. Kat–suki quoi.

Ouais bon les vannes c'est pas mon truc.

— Oui, merci. Je me dépêche ! assurais-je tout en faisant volte-face, et alors que j'allais prendre le chemin de la salle d'eau, je me tourne une nouvelle fois vers la dame en souriant légèrement, ce qui aurait pu lui coûter un infarctus.

— Excuse-moi mais.. Pour aller où ?

— B-B-Bah.. Au lycée.. T'es sûr que ça va, putain ? T'as bouffé quoi hier soir ? me questionne t-elle en m'attrapant les épaules pour m'analyser sous toutes les coutures, me demandant quelle aurait été la réaction normale de son interlocuteur.

— Rien, je crois.. Enfin je sais plus trop j'ai mal dormi.. Désolée encore et, promis, je me grouille ! repris-je en hochant vigoureusement la tête, traçant ma vie vers la salle de bain.

Sans prendre en compte l'étonnement de cette femme laissée en plan devant le pas de "ma" chambre, la laissant bêtement papillonner des yeux en me suivant de ses iris identiques aux miens, je m'enferme dans la salle de bain et soupire.

Avant de réaliser que je vais devoir voir le corps de cet inconnu pour me laver. Parce qu'à présent, c'est mon corps. Donc j'ai une.. queue. Différente à celle que j'ai habituellement..

"Aaaahhhhh... Au secours putain.."

•▪︎•

Mitsuki observait son mari depuis maintenant cinq bonnes minutes pendant qu'en haut, leur "fils" se lavait sans prendre la peine, inhabituellement, d'ordonner aux germes de crever. Masaru quant à lui buvait sa tasse de thé aux gingembres pour se réveiller plus calmement comme à son habitude. Il n'avait même plus besoin de réveil puisque sa femme s'en sortait très bien dans ce rôle si important dans la vie active.

— Chéri. Je crois que notre fils est malade, posa soudainement Mitsuki à son mari qui leva un sourcil intrigué, observant la blonde cendrée.

— Comment ça ?

— Il.. Il n'a pas encore gueulé. Et ça fait près de trente minutes qu'il est réveillé. Tu crois qu'il est cassé ?

— Notre fils n'est pas "cassé", ce n'est pas un jouet. Peut-être est-il simplement fatigué de crier dès le réveil ? tenta l'homme avec espoir, espoir auquel c'était beau d'y croire.

— Te fous pas de moi, Masaru. Je te dis qu'il est malade ! Il–

— Bonjour, saluais-je timidement ou presque en entrant dans le salon, plus ou moins habillé de la tenue sûrement dédiée à mon lycée d'aujourd'hui.

J'avoue avoir eut un peu de mal à trouver la cravate mais j'ai réussi à poser le grappin dessus ! Par contre mes cheveux cendré sont compliqués à coiffer.. Des mèches me tombent devant les yeux et c'est chiant parce qu'il y a aucun gel pour les maintenir en place.

Masaru m'observa un long moment, prit en proie avec ses doutes tandis que sa femme lui lançait un air supérieur du genre "Je te l'avais dit putain".

— Hm.. Katsuki, tu te sens bien ? me demanda mon "père" d'après ce que j'avais comprit en passant devant une photo de famille dans le couloir, sur un meuble, qui était étonnement cassé au point que le support n'était autre que le mur en lui-même.

— Euh, oui. Pourquoi ? demandais-je, interloquée de toutes ces questions, espérant néanmoins que je m'habituerai vite à tout ce nouveau monde. Et en espérant aussi retrouver au plus vite le mien parce que j'ai déjà du mal..

— Tu.. Tu ne t'es pas coiffé ? demanda Masaru en levant un sourcil, me faisant grimacer un peu ce qui ravivait une petite étincelle dans le regard de la femme.

— J'ai pas trouvé le gel. Pourquoi normalement j'utilise quoi ? questionnais-je tandis que la "jeune" femme me montrant du doigt.

— Tu utilises ton Alter sur toi-même pour faire tenir tes cheveux en piques. Bordel mais t'es devenu amnésique ma parole ?! s'écria Mistuki, un brin agacée de toutes ces questions qui lui paraissaient pourtant inutiles alors que je posais mes yeux carmin sur mes mains, papillonant des cils avec appréhension.

— Comment ça ?

— Euh.. Tu sais, ton Alter ? Boum boum ? tenta l'homme sage en penchant la tête sur le côté, avant de se lever de sa chaise pour venir me rejoindre.

Il attrapa doucement mes poignets et mena mes mains à mon visage, souriant nerveusement.

— Voilà, donc à partir d'ici tu utilise ton Alter d'explosion, d'accord ? fit-il avant de reculer de plusieurs pas précipitamment, tentant en vain de cacher sa peur. Sûrement qu'il avait déjà reçu une explosion dans la gueule un jour par son fils qui était aujourd'hui moi..

Putain que c'est compliqué de se repérer..

Observant silencieusement mes mains, je mis cinq bonnes minutes avant de faire crépiter de petites étincelles dans le creux de celles-ci, m'obligeant à sourire d'un air un peu fier. Trop fort..

Et avant que je ne puisse montrer mon exploit à mes "parents", une violente explosion vint me brouiller la vue. De la fumée se percuta sur mon visage et me força à tousser dans l'amas noirâtre, et lorsque celle-ci se dispersa, je regardais avec appréhension mes "parents" qui eurent un sourire amusé aux lèvres, comme si c'était une habitude d'entendre une explosion au petit matin.

— Voilà, t'es coiffé, sourit l'homme en me faisant signe de me regarder dans le miroir du salon, ce que je fis.

Remarquant effectivement que mes cheveux n'étaient plus tombants mais hérissés sur mon crâne.. Étonnant. Et ça tenait en plus ! Putain le mec que je suis était un génie.


Voilà, on s'arrête ici pour ce chapitre. La suite de Ruby dans le corps de Katsuki sera dans deux segments, donc celui qui suit déjà celui-là.
Enfin, après |Lui chez elle| quoi.
Lol.

J'espère que ça vous plaît quand même mdr j'fais ça sur un coup de tête xD

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