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"Quoi", c'est un prénom ?

Coucou, tout le monde je suis désolée pour l'énorme absence que j'ai causé. J'étais très occupée avec la fac, je ne pouvais pas me permettre de prendre du temps pour écrire. Et je dois dire avec tous ce que j'avais à faire l'inspiration ne me venait pas.

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Aujourd'hui, je vais m'occuper de l'enfant d'un des cousins de la famille Addams. Ce cousin a un nom assez particulièr on l'appelle le cousin « Machin », je me demande toujours pourquoi il lui ont donné ce surnom. Après avec cette famille plus rien ne pourrait m'étonner.

En arrivant, j'entendis un cri strident, je supposais donc que le facteur était passé. Ma supposition était vérifiée quand au sol je remarqua le dis facteur attaché avec des cordes badigeonnées de miel. En m'approchant pour le libérer, une abeille me frôla le visage en passant près de moi, je l'a suivi du regard pour la voir se poser sur le nez du facteur. Son regard paniqué vacillait entre moi et l'arbre à côté de moi. En suivant son regard, je vis que la corde permettant de le libérer était attachée à une branche.

- J'ai compris ne vous en faite pas. Lui dis-je pour le rassurer.

Soudain il se mit à paniquer encore plus qu'auparavant.

- Oui, je me dépêche il faut juste que je trouve comment défaire cette corde.

En regardant de plus près je compris comment l'enlever. Un cri strident me fit peur au poin où on dirait un cri du dernier espoir d'une personne sur le point de mourir dans d'attroce souffrance.

En détachant la corde, la branche vacilla jusqu'à tomber, c'est à ce moment précis que je compris que jamais je n'aurais dû y toucher. Au bout de cette même branche résidait la ruche où habitait cette petite abeille avec ses amies.

Et ce qui devait arriver arriva, la ruche entière fut détruite, et ses habitantes se jetèrent toutes sur le facteur remplit de miel.

De toute ma vie, je n'ai jamais vu un homme courir aussi vite en étant attaché comme une saucisse et à pieds joints. À la fenêtre on pouvais voir Mercredi, son frère derrière elle, avec un regard satisfait et le sourire diabolique qui allait avec.

Au moment de rentrer, je fus accueillis comme d'habitude par la panthère des enfants qui fort heureusement ne me mangeait pas... enfin pas pour l'instant, c'est pour ça que je vérifie bien qu'elle ait bien reçu sa nourriture. Je crois bien qu'elle m'apprécie maintenant pour cela mais je n'en suis pas bien sûre quand une panthère vous suit en vous reniflant, je ne crois pas que ça soit forcément un bon signe.

Max, le majordome, me conduisit comme cela lui avait été indiqué dans le salon. La vision qui me fut offerte m'estomaqua ainsi dans le plus grand fauteuil Mr et Mme Addams mais en face en face s 'y trouvait une femme bien étrange mais considérée comme normal comparé à ce qui trônait à ses côtés. Une créature, petite vu que ses pieds ne touchait pas le sol, et surtout dont les cheveux longs couvraient la totalité du corps.

- Ah voici Amy !! S'exclama Mme Addams en me sortant de mon moment de surprise.

- Bonjour, dis-je en m'adressant à mes employeurs. Mr , Mme, Bonjour, continuai-je en me tournant vers les inviter.

- Je vous présente Amy, elle est notre gouvernante, elle est très compétente dans sa tâche. Me présenta la maitresse de maison.Elle s'occupera de votre monstre durant l'après-midi.

La femme et l'homme se levèrent pour avancer dans ma direction.

- Bonjour, je m'appelle Margaret Addams, je suis l'épouse du cousin Machin. Me dit-elle en me serrant la main.

- ????????????? . S'exclama le cousin Machin.

Je ne comprenait pas ce qu'il me disait, ses cheveux blonds formaient une sorte de barrière empêchant tout sons compréhensibles de passer. Devant mon air d'incompréhension Margaret s'adressa à moi.

- Il vous dit que c'est très gentil de s'occuper de mon fils. M'expliqua gentiment Margaret.

- Je suis désolée je n'ai pas très bien saisi ce que disait votre mari.

- Ne vous en faîte pas ça arrive à beaucoup de gens. Petit à petit vous allez comprendre.

- Tiens je te présente « Quoi », me dit Mr Addams.

Max me mit un bébé dans les bras. Enfin la version miniature du cousin machin mais avec une tétine et qui fait des bruits mignons quand même.

- Pardon ? Demandai-je.

- Il s'appelle « quoi »

Oh mon dieu, comment faire bonne figure alors que je suis en total panique avec ce bébé les bras ?!

- Occupe toi de lui cette après-midi, tu veux bien ? Me demanda monsieur Addams.

- Oui, monsieur je vais faire comme convenu.

C'est ainsi que durant 4 heures environs, je m'occupa de ce bébé pour le moins étrange.

A un moment, il pleura de toutes ses forces. Le problème c'est que que je ne savais pas par quel sens le porter, il s'était déplacer en laissant tomber sa tétine donc maintenant je suis complètement perdue.

- Chut, calme toi ! Dis-je en essayant de le calmer.

Comme il ne se calmait toujours pas, je décida de tenter le tout pour le tout. Je me mis devant lui ou derrière lui et me baissa à son niveau.

- Qui veut un biberon ?

Deux bosses se formèrent, un sentiment de victoire vint en moi quand je devina que les deux bosses formées étaient en faite les bras et mains du petit. Je savais alors de quel côté il se trouvait. Ne le faisant pas attendre plus longtemps je lui tendis le biberon pour qu'il puisse se nourrir. Tenant son biberon à une main, je le trouvais tout de même mignon, l'envie de voir ses yeux me chatouilla une partie de mon cerveau cependant ce comportement serait totalement inapproprié à ma position de baby-sitter sauf en cas de problème.

Après s'être rempli le ventre, « Quoi » décida d'aller voir Puberté qui lui venait de se réveiller d'une bonne sieste. Il faut dire qu'il devait être fatigué, sa mère m'avait dit au préalable qu'il avait beaucoup joué à la roulette russe, de la version enfant bien entendu, si j'ai bien suivi à la place des balles de pistolet il y aurait des bonbons acidulés. Je trouvais bizarre parce que si il y a des bonbons dedans ça voulait dire que le bout du pistolet se mettait donc dans la bouche et non sur la tempe. Un frisson me traversa suite à cette pensée plus que macabre.

En tout maintenant, je devais m'occuper de deux enfants en bas âge. Je n'ai pas vraiment de raison de me plaindre pour l'instant ils étaient plutôt sages. Cependant, je remarqua bien vite que Quoi n'avait pas ses propres jouets ce qui le frustra un peu, il n'avait peut-être pas l'habitude de jouer avec des haches ou couteaux en plastiques comme Puberté.

Voyant bien que les deux garçons étaient calmes, je me permis donc d'aller voir les parents de notre petit invité. Je traversais alors le hall pour aller dans le petit salon fait pour accueillir les invités. En me voyant, les discutions se turent.

- Amy, il y a un problème ? Me demanda madame Addams en se dirigeant vers moi.

- Non madame tout se passe très bien.

- Dommage, alors pourquoi es-tu ici ?

- Je me demandais si les parents de Quoi avaient emmené des jouets de leur enfant ? Il est un peu frustré de ne pas pouvoir jouer avec les siens et les partager avec Puberté.

- Oh mon pauvre monstre, s'écria la mère de Quoi. Bien entendu nous avons emmené ses jouets. Je suis désolée j'ai les ai complètement oubliés ils sont dans l'entrée dans une mâle noire.

Je remercia donc la mère et en m'excusant pour le dérangement, je pris donc la boîte et alla voir les deux enfants dans la pièce où je les avais laissés.

- Quoi ? Il se tourna vers moi. Tiens tes jouets.

Il se précipita vers la boîte. Puberté intrigué par l'énergie soudaine de son ami rampa jusqu'à la boite.

Quoi gloussa de joie à la vue de ses jouets qui étaient pour le moins particuliers. Il s'agissait d'une sorte de panoplie du petit chimiste spéciale empoisonneur. Il y avait des petits bocaux avec des têtes de morts écrit « arsenic » et autre poisons.

Sur le coup je n'eus aucun doute, il fait bien parti de la famille Addams.

Je m'occupa encore d'eux pendant une ou deux heures jusqu'au diner où les parents de Quoi décidèrent de rentrer chez eux. Ils me félicitèrent pour avoir veiller sur leur enfant, enfin la mère me félicita malheureusement ce que disait son mari m'étais toujours inconnu.

C'est ainsi que la journée se termina sous le sentiment de satisfaction d'une fille venant de survivre à un baby-sitting de deux petits garçons plus étranges que les autres

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