Au revoir les touristes ! ( Partie 2 )
- Vous voulez raser ma maison !!!
- Oui, cette maison sera une piscine olympique pour les athlètes.
- La maison que j'ai depuis des générations qui a survécu à des meurtres, voles, massacres, bombes, révoltes, et au feu va être détruite !!!
- heu....
Mr Chester ne savait pas quoi dire. Soudain Mr Addams se mit à rire suivit par l'invité qui était gêné.
- Je plaisante bien évidemment. De toute façon nos ancêtres seront très content d'avoir de la compagnie. Raconta mon patron.
- Pardon ???
- Ma grand-maman Démancia sera contente de pouvoir faire partager son crie d'outre tombe.
- Vous êtes malade !!!
- Mais non, notre cimetière est remplie de personne tout à fait charmante.
Mr Chester reprit son contrat des mains de mon patron et recula visiblement paniqué. En recula, il percuta Max qui de son regard froid et de son grognement fit sursauter l'invité. On entendu un grognement d'animaux, j'ai cru que c'était la tête empaillée du sanglier du salon, mais non. En faite il s'agissait de la panthère des deux aînés qui descendait les escaliers pour arriver au salon.
Ce fut trop pour Chester, trop effrayé et se croyant encerclé, il fonça par la fenêtre pour partir en courant.
- Max il faudra changer cette fenêtre. Conseilla Gomez.
- Monsieur pourquoi m'avez-vous appelé ? Demandais-je.
- Ah oui. Demain notre cousin Machin vient avec sa femme. Expliqua Mr Addams. Tu pourrais t'occuper également de leur enfant ? Il est plus âgé que Puberté de quelques mois. Bien entendu tu seras payé plus.
- Oui, cela ne me dérange pas.
- Parfait je vais dans la bibliothèque. Je vais voir si mon nouveau circuit est aussi dangereux que l'ancien.
Bon j'avais un nouvel enfant à garder demain. Mais la visite de Chester m'a un peu secoué je me demande ce qu'il va faire maintenant.
Après mon service, je rentrais chez moi. D'habitude j'aurais été joyeuse cependant depuis quelques temps l'ambiance à ma maison est devenue morose et triste. Ma mère pleurait beaucoup et mon père l'évitait. Il faut dire que c'est la première fois que mes parents avaient une maison et non un appartement dans un immeuble miteux. Ma mère m'a dit que quand elle est tombée enceinte, son père avait tous fait pour que sa famille vive bien et réaliser leur rêve d' avoir une maison où les enfants pourraient courir dans le jardin et jardiner pour la mère. C'était une chance inouïe de trouver ce travail et voilà que la ville elle-même s'envolait.
En retournant à la maison, je me cogna contre des cartons positionnés devant l'entrée avec plusieurs inscriptions comme " linge", "vaisselle" etc. Des larmes coulaient de mes yeux. Cette maison. J'ai toujours vécu ici je ne veux pas partir. Je veux vivre ici, aller à l'université de la ville voisine et rentrer tous les jours. Je veux voir ma mère jardiner quand je rentre et mettre des bouquets de roses dans ma chambre comme elle le fait depuis que je suis petite.
Des bras vinrent m'entourer, je reconnu l'odeur de ma mère. Elle aussi pleurait c'était tout son monde qui s'envolait comme moi. On se fit interrompre par un claquement de porte. C'était mon père il avait encore son air apeuré et honteux de ne pas avoir pu aider sa famille. Je le pris par le bras pour l'intégrer à l'échange on pleura tous ensemble dans les bras des uns et des autres.
On finit tous de même par se séparer ma mère était en train de préparer le dîner et elle ne voulait pas le brûler.
Durant le dîner, le téléphone sonna. On se jugea chacun du regard pour savoir qui allait y aller. Mon père perdu alors il alla répondre.
Après plusieurs minutes ma mère et moi on s'inquiétait de ne pas le voir revenir. Quand des pas se firent entendre on vit mon père arriver. Il avait un teint pâle avec les yeux rougit d'avoir pleuré.
- Papa !!! M'écrivais je. Qu'est ce passes ?
- On ... La maison on l'a garde.
Ma mère et moi ne croyons pas nos oreilles, il répéta alors plusieurs fois.
- Il semblerait que les investisseurs aient prit la fuite après la visite de morts vivants. Il semblerait que des jeunes se sont amusés à les effrayer et que ça ait marché.
Des morts vivants pensais-je. Merci la famille Addams ainsi que leurs ancêtres.
Finalement je gardais ma maison et l'usine ne fermait pas. Je pense que aucun investisseur osera venir investir ici dorénavant.
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