⚫PROLOGUE⚫

Présentation et contexte.

Yuni Aisawa est une jeune fille de quinze ans à la peau pâle et aux cheveux noir dont les pointes sont violettes.
Ces yeux, d'un violet telle que ses cheveux sont d'une beauté éclatante, brillant telle que de petit diamant et qui sont également l'origine de son alter.
En effet, bien que ses yeux sont magnifiques, ils possèdent un pouvoir mortel ne permettant à personne de les admirer sans  succomber à la mort.
C'est pour cela que la jeune fille doit porter, pour la sécurité de tous, des bandages enroulés autour de sa tête cachant ses yeux en lui empêchant de voir.

Contrairement au reste de la population, son pouvoir s'est manifesté à dix ans peu de temps après un grave accident qui coûta la vie de sa mère et qui lui laissa de grave séquelle.
Son alter, qui joue sur ses sentiment, est apparu lorsqu'elle entra dans une certaine phase de tristesse et dépression suite à ce malheureux incident. Elle était très triste, ne cessant de pleurer et de repenser a sa mère et le fait de ne plus voir ne lui arrangeait pas grand chose.
Son père, Shota Aizawa le célèbre héro Eraser Head, faisait tout son possible pour revoir le sourrir sur le visage de sa fille... sans réussite.

Un jour, Yuni lui dit qu'elle détestait les héros parce qu'ils étaient des incapables, des incapables qui ne purent sauver sa mère et par la même occasion, dit à son père qu'elle le détestait parce qu'il était de même un héro.
Shota ne le pris pas mal venant de sa fille mais s'en voulait. Il fit le choix, le lendemain, d'envoyer Yuni en internat spécialisé sur les "alters mortels" qui aidera sa fille mais qui, malheureusement, se situe à l'autre bout du pays, séparant Yuni à son père, séparant Shota à sa fille.
De même, se dernier, arrêta sa carrière héroïque pour Yuni, sa fille qu'il aime tant et devint professeur dans un lycée.

Ce choix, difficile et douloureux, juste à l'idée de l'éloigner de lui, était malheureusement important.
Elle serait seul, loin de son père, sa dernière famille, mais c'est pour son bien. Elle le sait, mais quelque part au fond d'elle, une douleur venant d'une blessure qu'on ne peut soigner, s'amuse à la torturer.

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