Chapter 1

La fenêtre.

Part 1: Le début d'une vie "normal".

Yuni Aisawa sorti du train, fit quelque mètre, puis s'arrêta pour contempler la gare. Le toit de la bâtisse était un dôme qui recouvrait la quasi-totalité du bâtiment laissant entrer les doux rayons du soleil de Mars, éclaboussant de lumière et réchauffant l'atmosphère stressante de la gare d'une douce mélodie annonçant le début du printemps.

Yuni savoura pendant quelques minutes la chaleur sur sa peau pâle avant de continuer son chemin. Elle jeta un rapide coup d'œil à sa montre qui lui indiquait 13h23. La jeune fille ria légèrement à l'idée que son train SNCF soit à l'avance de quinze minutes.
Elle reprit ça marche dans la vague incessante de personnes.

Yuni n'avait pas l'habitude de voir tant de monde réuni au même endroit, elle se sentait légèrement déstabilisée mais se faufila malgré cela dans la foule qui ne cessait de jouer une danse étrange avec les trains au rythme des tiquetés de l'immense horloge principal.
L'adolescente, se trouvant elle-même entrainée dans cette danse, aurait dû se sentir très mal à l'aise et angoissée car elle n'aimait vraiment, mais vraiment pas les grandes villes et/ou trop fréquenté. Trop de monde, toujours tous stressé par le travaille et sans politesse lors des bousculades, mais pourtant, étrangement cette fois-ci, ça ne la dérangeait pas, elle se sentait même bien.
Yuni était beaucoup trop joyeuse a l'idée de le retrouver.

Cela faisait a présent cinq ans depuis ce jour, et même si le temps a semblait ralentir leur retrouvaille de plus en plus, les souvenirs revenaient comme si c'était hier. Seulement cinq ans et pourtant il semblait que se soit le siècle dernier qu'elle était partie.
Le temps inlassablement lent, elle avait compter les minutes et secondes du temps qui passait pour retrouver une vie ''normal'', une vie "d'adolescente" qu'elle ne connaissait pas.

Après quelques minutes, elle sortie enfin de ce bouchon humain pour quitté la gare et longer de quelque mètre le mur du bâtiment recouvert de plante en tout genre. Sa jupe longue marron foncé flottait légèrement dans la brise fraîche du printemps. Ses cheveux faisaient de même et semblait être illuminés de reflet violet s'accordant au noir profond de ses cheveux et s'assimilant au quelques mèches violettes.

La jeune fille arriva à un petit banc en bois vissé au mur de la gare. Elle ôta de son dos un petit sac en cuir noir avant de le poser sur sa valise rouge de taille moyenne puis s'assit. Elle regarda de nouveau sa montre: 13h28.
Son train était censé arrivé a 13h35 et le connaissant, il devrait arriver cinq minutes après l'heure d'arrivé.
Ça lui laissera environ douze minutes pour terminé son déjeuner qu'elle avait entamé plus tôt dans le train.
Elle sortie de son sac une petite boîte contenant du riz au curry accompagné d'une salade.
Yuni mangea tranquillement même si de toute manière, elle n'avait pas très faim.
Elle regarda les voitures passaient; des héros se faire féliciter ; ainsi que la rue bondée de personnes.

Elle aimait bien se petit banc à la peinture craquée entouré de plante, elle aurait aimé rester mais quelque chose, qu'elle détestait par dessus tout, vint gâcher son moment de tranquillité : les regards, les mauvais regards.
Car oui, n'oublions pas, si Yuni regarde les gens, elle les tuera à cause de son alter. Ses yeux sont donc enroulés de bandages coupant les contactes visuels, ce qui dérange les passants et la regarde de travers.

Comment se fait-il qu'elle peut voir l'heure de sa montre; les voitures; les passants et tout le reste me direz vous ?
C'est simple, l'internat où Yuni a dû vivre pendant ces derniers années lui confectionnère deux petits appareils de forme carrés et noir; pas plus grand qu'un ongle et aussi fin que du carton; disposés sur chaque coté de sa tête au niveau de son bandeau.
Ces engins très discret lui permettent de voir par on ne sait comment mais sont la pointe de la technologie qui ne coûte pas que quelques sous.
Je ne saurais vous dire le prix mais ils coûtent très, très cher.
Beaucoup trop cher pour lui.
Cela désolait la jeune fille à l'idée qu'il serait endetté à vie à cause de elle mais l'adolescente savait que c'était pour son bien.

Son repas terminé, elle rangea sa petite boîte puis attendis.

Les minutes passaient.
Le long voyage qu'elle a parcourue commençait à montrer ses effets de fatigue car la jeune fille somnolait déjà.
Elle se dit que quelque minutes ne ferait pas de mal. Yuni rapprocha ses affaires d'elle pour que personne ne les prennent.
Ses yeux se fermèrent lentement puis tomba petit à petit sur le banc.
Quelle heure est-il déjà ?
Ce n'était pas grave. Elle sentit une main sur son épaule et une voix vaguement familière prononcer son nom. Ses yeux ne purent s'ouvrir pour savoir qui s'était.

''Je suis fatiguée laissez moi dormir.''

Où était-elle déjà ? Yuni était beaucoup trop fatiguée pour s'en souvenir. Elle sentie quelqu'un la prendre dans ses bras et la passait sur son dos. Est-ce lui ? Plutôt Morphée ? Sûrement.

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Part 2: "Leur regard se sont croisés..."

Katsuki Bakugo, élève de la seconde A en filière héroïque aux prestigieux lycée Yueï, arriva dans sa classe pile au moment de la sonnerie.
Sans faire attention au reprochement d'un de ses camarades se nommant Tenya sur le fait qu'il se doit d'arriver avec dix minutes d'avance, le garçon parti à sa place un peu sur les nerfs.

Cela ne faisait qu'une semaine depuis la rentrée et déjà il détestait sa classe. Tous une bande de tâche qui ne servaient à rien et qu'il le fatiguait sans cesse. Et pour couronner le tout, le sale nerd au cheveux vert avait réussi l'examen d'on ne sait comment pour finir dans la même classe que lui.

Son camarade Tenya allait, de ce fait, revenir lui faire des réprimandes et le fatiguait plus qu'il ne l'était déjà mais leur professeur; All might; arriva à une vitesse déconcertante dans la classe.

Clementos, un autre professeur ayant pour alter la capacité de manipuler à sa guise le béton, rejoignis la salle quelques temps après, légèrement essoufflé pour avoir tenté d'essayer de rattraper le numéro 1.

Ce dernier referma la porte lorsque une jeune fille assez grande au cheveux noir attaché en queue de cheval, leva brusquement sa main.

''- Monsieur, excusez-moi, mais n'avons nous pas cours héroïque avec Monsieur Aisawa aujourd'hui ?''

Cette jeune personne, ayant pour nom, Momo Yaoyarozu, était admise par recommandation au prestigieux lycée pour ses étonnante capacité de déduction et d'analyse rapide.
(Et aussi parce que sa famille à de la thune. hum. Pardon, j'avais besoin de la sortir.)

''- Habituellement cela aurait était le cas, mais je vois qu'il a oublié de vous prévenir qu'il sera absent aujourd'hui ainsi que demain pour raison personnelle." Répliqua l'un des deux enseignant.

Raison personnel ?
Bah, Katsuki s'en foutait de toute façon, ce n'était pas ses affaires, ni même pour le reste de la classe d'ailleurs.
Les élèves ne se posèrent pas plus de questions et le cours commença.

All might leur expliqua les exercices du jour: combat seul en face à face sur un simple terrain derrière le lycée mais avec des obstacles crée par Clementos pour ajouter une difficulté en plus.
Un sourrir s'afficha sur le visage de Katsuki. Le combat en face à face était son exercice préféré.
En solo avec personne pour vous gêner face un adversaire à exploser. Sans échanger un mot, les autres élèves savaient ce qu'il leur subirait et prié déjà, pour ne pas terminé face au blond.

Lorsque All might finit ses explications, les élèves prirent leur tenue de sport, partirent se changer, et allèrent sur le terrain puis les combats débutèrent.

Les matchs s'enchaînent assez rapidement.
Bientôt se fut le tour de Katsuki qui se retrouvait, pour le bonheur des autres, face à Shoto mais le combat qui les précédait commençait a prendre de la longueur.
Le garçon au cheveux blond en pétard commençait à marmonner des choses; qui ne valait mieux pas savoir; en signe de son impassiance.

Pour éviter de faire un meurtre, il essaya de passer le temps en jetant son regard en peu partout.
Il n'avait pas vraiment pris le temps d'examiner le lieu:
un simple terrain en béton délimité de simple barrière en métal; de simples bancs toutes autour pour les élèves et professeurs; l'immense bâtiment du lycée; et une jeune fille bizarre à une des fenêtres.... ?!?

Bakugo se frotta les yeux suite aux éclaboussement du soleil puis releva sa tête vivement et revit à une des fenêtres du lycée, une jeune fille au cheveux noir et violet, portant un bandeau sur ses yeux. Et malgré cela, il semblait qu'elle pouvait les voir, qu'elle observait les combats d'une attention particulière, d'un regard qu'on ne pouvait voir mais qui semblait émerveillé.

Bakugo la fixa sans relâche.
Après quelques examination, il avait déduit que cette jeune fille, qui l'intriguait fortement et qui devait avoir dans la quinzaine, n'était pas étudiante dans le bâtiment : elle ne portait pas d'uniforme et se trouvait à un étage réserver au professeur.
Cette déduction lui faisait encore plus poser de question et le rendis de plus en plus intéressé vis à vis de cette étrange jeune fille.

Après quelques minutes, la jeune personne le remarqua. Leur regard se sont croisés et ne se quittèrent par la suite plus du regard malgré que l'un avait les yeux bandés.
Les minutes passaient longuement, et leurs regards ne se détachait pas telle un envoûtement puissant.

Katsuki était là, assis sur son banc, ne voyant qu'elle. Il n'entendais plus rien, pourtant il avait une nette impression qu'on l'appelait. Après quelques instants, il reçu une gifle assez forte qui le réveilla de ce sortilège.

''- Ah, bah Katsuki, t'es enfin réveillé !
- JE VAIS TE TUÉ EÏJIRO !!!!
- Eh calme toi c'était pour ton bien !
- D'OÙ C'ÉTAIT POUR MON BIEN !!! T'AS DE LA CHANCE QUE MES EXPLOSIONS NE TE FONT RIEN SINON T'ES MORT DEPUIS LONGTEMPS !!!!
- Depuis tout à l'heure on t'appelle ! T'étais comme endormi les yeux ouvert !
- ET ALORS !!!
- Bah c'est ton tour vieux de combattre.
- ... ''

Bien que cela ne se voyait pas, Katsuki se sentait mal à l'aise.
Il regarda autour de lui et vit tout les regards de la classe tournés vers lui.
Il fronça les sourcils plus que ce qu'ils n'étaient déjà et leur jeta des regards noirs tout en se dirigeant vers le terrain.
Une fois arrivé, il regarda une nouvelle fois à la fenêtre qui était refermée et la jeune fille sans doute partie.

Shoto arriva sur le terrain à son tour et le combat débuta.

Le match ne dura pourtant que quelques minutes.
Katsuki n'était pas réellement concentré et ne faisait que esquiver les attaques, parant les pics gelé, explosant les blocs glacés, et sautant par dessus les murés de béton tout en jetant de rapides regards à cette fenêtre maudite, ayant à chaque fois, un certain espoir étrange qu'elle revienne.

Après un manque d'attention où il relevait sa tête une énième fois vers l'endroit où se trouvaient la source de ses questions, il reçu de plein fouet l'attaque de son adversaire au cheveux bicolores, ainsi que les obstacles en béton du professeur.
Les pics de glaces foncèrent sur lui à une rapidité qui ne permit pas au blond de les empêcher de lui transpercer l'épaule gauche, ne lui laissant lâcher qu'un crie de douleur court. Katsuki se maintenait déjà mal debout mais la fraction de seconde suivante l'acheva: les obstacles du professeur, déjà partit et étant impossible à arrêter à présent, se percutèrent contre sa tête violemment le faisant perdre connaissance.

Le garçon au caractère explosif tomba lourdement au sol, ensanglanté, sous les yeux horrifiés de ses camarades et les cris de son prénom venant de ses professeurs.

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1965 mots.