Prologue.
Un rire éclata dans toute la maison, alors que jusqu'à là, le silence régnait. Ce bruit soudain m'avait fait sursauter, ne sachant pas qui en était à l'origine, je décide d'aller jeter un coup d'œil,j'arriva dans le salon de la maison, j'y trouva mon père.
Assis sur son canapé individuel, il rigolait devant la télévision tout en buvant une boisson. Je sourit et retourna dans ma chambre, pour continuer à lire mon livre, posé dans mon lit.
Alors que je replongea dans l'histoire que je lisais, une main se posa sur mon épaule, me faisant sursauter une fois de plus, agacée,je me retourna pour faire face à la personne et me calma quand je vis que ma sœur me regardait, le sourire aux lèvres.
"Je viens de rentrer du lycée, et j'ai quelque chose à t'avouer. me dit-elle, les joues rosées.
-D'accord, installes-toi. lui dis-je en me décalant vers le mur.
-Tu te souviens du garçon que je t'ai parler la fois dernière ?
-Tim ? Comment l'oublier, tu ne fais que d'en parler . rigolais-je alors qu'elle détourna le regard, gênée.
-Et bien il m'as invitée à venir avec lui au bal du lycée."
Un sourire apparut sur mes lèvres alors que je la pris dans mes bras, elle semblait aux anges et la voir si heureuse me remplissait le cœur de joie.
"Dis-lui que si il te fais du mal, il vas avoir affaire à moi. plaisantais-je alors qu'elle lâcha un petit rire.
-Tu crois que tu vas faire qu-
Le cri de mon père interrompit Asche alors qu'elle me parlait, alors je la fixa dans les yeux pour savoir si j'avais rêver ou si elle aussi avait entendu le hurlement.
"Les filles ! hurla-la voix de mon père.
Immédiatement, moi et ma sœur dévalèrent les escaliers, manquant de tomber, je me précipita vers mon père, alors qu'une vague d'angoisse pris part de moi.
"Evee, appelles-les pompiers, je ne me sens pas bien. me supplia-mon père tandis que je vis ses yeux se perdre dans le vague avant de se fermer.
Réalisant que ce n'était pas une blague comme il avait put en faire quand nous étions enfants, je fonça sur le téléphone fixe et composa le numéro des secours, alors que ma sœur resta près de mon père, essayant de lui parler, mais celui-ci ne répondit pas.
"Bonjour, les urgences, que puis-je faire pour vous ? me-demanda-la voix à l'autre bout du fil.
-Bonjour, j'ai besoin d'aide, mon père ne se sens pas bien, il ne parle plus et a les yeux fermés. expliquais-je, la voix tremblante.
-Dites-moi le plus de détails sur ce qu'il se passe s'il vous plait.
Je n'eut pas le temps de répondre que ma sœur hurla d'une voix aiguë ;
"Il ne respire plus Evee !"
-Mon père ne respire plus, s'il vous plait envoyez quelqu'un ! hurlais-je alors que des gouttes de sueur coulaient le long de mon front.
-Votre adresse et nom de la rue je vous prie. me répondit-la voix, gardant son calme.
-Washington Street au ****** !
-J'envoie une équipe, elle devrait arriver dans quelques minutes.
Alors que la femme reste au téléphone avec moi, je ne quitte pas mon père des yeux, le voyant immobile, dans cette position, me donne des nausées.
Le stress en moi grandi et je commence a avoir la tête qui tourne, mais je n'y prête pas attention, je ne dois surtout pas faire un malaise maintenant, je suis la seule qui peut m'occuper de ma sœur.
Quelqu'un toque à ma porte et j'entends des hommes me crier qu'il sont les urgences, alors je pose le téléphone et court vers la porte, l'ouvre, et laisse les hommes entre, ceux-ci se dirige très rapidement vers mon père tandis que ma sœur se recule pour leur laisser de la place.
"On l'embarque ! crie un des hommes aux autres, alors que je me fige.
Ils commencent à soulever mon père et rapidement il se retrouver sur un brancard, emporté vers l'ambulance.
"Attendez, qu'est-ce qu'il a ! questionnais-je, alors que ma sœur s'accrocha à mon bras.
-Nous devons l'emmener, il est en train d'avoir un AVC.
-Quoi ! hurlais-je, ma voix se cassant à la moitié de mon cri.
-Vous pouvez monter avec lui si vous le souhaitez. me dit-l'homme en face de moi avec un air désolé .
Je pris ma sœur par le bras et la tira avec moi dans l'ambulance alors que je me mis aux côtés de mon père qui avait toujours les yeux fermés. Alors qu'Asche pleurait, j'esssayait de la consoler et de ne pas craquer moi aussi, alors que je voulais juste hurler.
Après plusieurs longues minutes de routes, le véhicule s'arrête et la porte arrière s'ouvre, des hommes prennent le brancard dans lequel mon père se trouve et le font entrer dans l'hôpital alors que les suis presque en courant, alors qu'Asche s'accroche une fois de plus à moi, alors que ces pleurs, attirent l'attention de tout les gens qui se trouvent dans les couloirs.
Les médecins et les pompiers emmène mon père dans une chambre et l'installe dans le lit, une fois toutes les machines mises, un médecin reviens nous voir.
"Nous allons garder votre père en observation. Pour l'instant, vous avez de la chance, il recommence à respirer, je pense qu'il vas survivre. explique-t-il, alors que je hoche la tête, souriante.
Épuisée, Asche s'assit sur la chaise qui se trouvait dans la chambre, alors que je me pose au sol, dos contre le mur. Je finit par m'endormir et me réveilla en sursaut quand j'entendis une machine sonner en continue.
J'ouvris les yeux et me leva, pour me diriger vers le lit de mon père. Alors que je hurle après des médecins, une femme rentre dans la pièce pour voir ce qu'il se passe, puis elle hurle elle aussi, ces collègues arrivent et avec des machines pour réanimer mon père.
Je comprends ce qu'il se passe et fonds en larme tandis que ma sœur sanglote.
Les médecins s'éloignent et ne disent plus rien, il ne se passe plus rien, puis, un des médecins prends un carnet et regarde l'heure.
"Heure du décès, 21 heures 30.
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