(J'ai oublier de préciser que dans cette histoire, Johnny Depp n'est pas acteur, pour une question que c'est plus pratique pour mon scénario, il est tout de même connu car il est assez aisé financièrement.)

"Je te ramènes avant d'aller aux courses ? fis-je à ma sœur, qui semblait extrêmement fatiguée.

-Non, c'est bon t'inquiète pas, je vais rentrer avec Victoria." m'expliqua-t-elle alors que j'hoche la tête.

Ma sœur me fait un bisou sur la joue et sors de la bibliothèque avec son amie, je continue un peu de lire et sors moi aussi, ne voulant pas retourner tout de suite dans la maison de mon père, j'avais inventer le besoin de faire un détour au supermarché. Je prends la route et après environ 10 minutes, je me gare et sors de ma voiture. 

Je rentre dans le magasin et marche lentement dans les raillons, sans brut précis. Je regardes les promotions, je prends un paquet de pattes pour le regarder de plus prêt et le mets de le petit chariot prévu à cet effet.

Je continue le tour du magasin et essaye de prendre les choses les moins chères possible, pour la simple et bonne raison que suite au décès de mon père, je dois m'occuper de ma sœur comme je suis majeure. Même si mon oncle m'envoie des chèques de temps en temps, les factures sont de plus en plus dures à payer..

Je marche encore dans les raillons quand un bruit me fait tourner la tête vers la droite, j'aperçois un homme qui parait jeune se pencher pour ramasser ce qu'il a fait tomber. Sans plus m'y attarder, j'avance plus loin dans le raillons, me rapprochant de l'homme en question.

Immédiatement, une odeur que je n'ai pas l'habitude de sentir m'envahi les narines, me demanda d'ou est-ce que ça viens, j'observe les alentours et remarque l'homme qui se trouve près de moi avec un objet en main.

Je l'analyse plus profondément et reconnait une cigarette, sans plus y penser, je continue à étudier les articles tandis que l'homme mets des choses dans son chariot. Je vais au bout du raillons et n'ayant plus beaucoup d'argent, je décide de faire marcher arrière pour aller payer et partir du supermarché. 

Je jette un coup d'œil à mon chariot tout en marchant pour m'assurer que j'aurais assez pour payer quand je percute quelque chose. 

J'entends un objet tomber au sol tandis que j'ouvre les yeux. Il y a une boîte de biscuit au sol alors je décide de la ramasser mais une autre main me devance et me frôle, ce qui me fait frissonner.

Je lève alors les yeux et me perds dans les yeux de la personne en face de moi.Je reconnais assez vite l'homme qui fumait quelques minutes plus tôt.

Ses yeux noisettes me fixant avec insistance, ces cheveux en pétards qui lui tombaient sur le visage, son sourire gêné qu'il affichait sur ces lèvres rosées, je ne sut pas pourquoi je l'avais regarder aussi longtemps.

Je repris mes esprit et lâcha un petit rire gêné pour détendre l'atmosphère tandis que l'homme ramasse enfin sa boîte de biscuit avant de me tendre sa main, je souris comme une idiote avant de la prendre, il me tire et je suis enfin debout.

Je replonge mon regard dans le sien alors qu'il fait de même, puis il se racle la gorge et prends parole ;

"Désolé, j'espère que je ne t'ai pas fait mal."

Je reste silencieuse quelques secondes, ne m'attendant pas à ce qu'il ai un accent si prononcé, enfin, si parce que nous sommes à New-York, mais je pensais qu'il parlerait anglais, mais non, il m'as bien parler en français.

Sans cacher ma surprise, je me gratte l'arrière de la tête avant de déclarer ;

"Je n'ai rien, et toi ?

-Je vais bien aussi, merci de demander. fit-il, d'un air poli.

-Ils ne sont pas cassés ? demandais-je alors qu'il sembla confus pendant quelques secondes avant de comprendre que je parlais de ses biscuits.

-Non, ne t'en fais pas." sourit-il alors que je souris en retour.

Après encore un échange de regard, il mis sa main sur son chariot.

"Bon, je vais devoir y aller sinon mon ami vas croire que je suis mort. See you soon. déclara-t-il, en me faisant un signe de la main.

(pour ceux qui n'y connaissent rien en anglais, il a dit à bientôt tandis qu'Evee vas dire à plus tard.)

-See you later !" répliquais-je, avec mon accent moyen d'anglais.

Après un dernier sourire, il s'en alla dans une autre partie du magasin alors que je partit payer avant de sortir du magasin, je mis mes courses dans le coffre de la voiture que j'avais récupérer de mon père avant de m'installer face au volant.

Toujours chamboulée par cette rencontre, je ne fis que de penser au magnifique regard noisette de ce jeune homme et à ses cheveux bruns soyeux, puis à son sourire d'ange.Je ne savais pas pourquoi il m'avait tant marquée mais je ne put m'empêcher de penser à lui jusqu'à ce que je fus rentrée chez moi, enfin, chez mon défunt père.

J'ouvris la porte et vis ma sœur qui vint vers moi pour m'aider à ranger tout ce que je venais d'acheter.Je bus un peu de jus d'orange avant de le reposer sur la table.On rangea tout ensembles alors que je ne pouvait m'empêcher de sourire, ce qu'Asche avait remarquer.

"Qu'est-ce qu'il t'arrive, c'est les deux verre de jus d'orange que tu a but que te font sourire ? me demanda-t-elle, par le biais de l'humour.

-Hein quoi ? Non, c'est juste qu'il s'est passer quelque chose de sympa au supermarché, rien de plus. répondis-je, ne donnant pas trop de détails, pourtant je savais très bien qu'elle allait m'en demander.

-T'as enfin vu un fantôme ?"

Je laissa échapper un petit rire quand elle évoqua mon plus grand rêve d'enfance, je secoua la tête négativement et continua de ranger les courses tandis qu'elle essayait toujours de deviner.

"Laisse moi deviner, t'as eut le numéro d'un caissier. me taquina-t-elle sous mon regard gêné.

-Ça n'as aucun rapport, j'ai juste parler rapidement à un homme qui était trop sympa.

-Juste trop sympa ?

-Bon, ok, trop sympa et trop beau mais ça c'est pas de tes affaires."

On se mit à rigoler et je la laisser manger un repas déjà préparé que je venais d'acheter tandis que je monta dans ma chambre pour regarder ma télévision, celle d'en bas me rappelais trop mon père pour que je puisse la toucher. 

Vers 21h 30, je descendis et mangea à mon tour, avant de remonter, d'aller me laver et de me coucher.

Je m'installa dans mon lit et ferma les yeux, toute ma journée me revint en tête, y compris le joli regard du jeune homme au magasin, je souris toute seule dans le noir et finit par m'endormir après 30 minutes de plus.

"C'est pas vrai, qui a eut la présence d'esprit de créer ça !" râlais-je en éteignant mon réveil.

Je soupira avant de sortir de mon lit, aujourd'hui, je dois rejoindre mon cousin Bene, il avait prévu de s'acheter un chat  et il voulait qu'on y aille ensembles, histoire de se changer les idées.

Après environ une heure, j'étais fin prête à partir, j'envoya un message à mon cousin pour le prévenir et 20 minutes après, il toqua à ma porte. Je m'empressa d'aller lui ouvrir.

Dès que j'eut ouvert la porte, il me pris dans ces bras, avant qu'on sorte de la maison. On entra dans la voiture de mon père et on pris la route pour une animalerie à environ 30 minutes de chez moi.

"Tu pense prendre quel race ? demandais-je à Bene tandis qu'on sortit de la voiture.

-Aucune idée, je veux juste un chat quoi." rigola-le concerné tout en rentrant dans l'animalerie.

Enfin à l'intérieure, on vas directement là ou les chats sont, ils y en a beaucoup, il sont tous très beaux mais en voyant mon cousin fixer l'un d'entre avec insistance, je comprends que c'est celui-là qu'il veut.

Au total, le chat lui a coûter environ 150 euros, ou 164,36 dollars.

"J'ai prévu de retourner à Berlin pour les vacances, j'ai hâte de le montrer à Jacob, Tim, Luis et Julien ! s'exclama-Bene tout en transportant la cage dans laquelle son nouveau chat se trouvait.

-Je suis sur qu'ils le trouveront adorable !"

J'ouvris la barrière du parc et laissa Bene passer, puis je la referma, on alla s'asseoir sur un banc alors qu'il attacha son chat avec une laisse pour éviter qu'il ne parte avant de le laisser sortir de la cage.

Le félin renifla le sol avant de marcher un peu partout autour du banc sur lequel nous étions. Bene finit assis avec lui dans l'herbe fraîche alors que j'observais le ciel, tout ce passait bien quand le chat sembla prendre peur si j'en crois les paroles de Bene qui se voulaient rassurantes. 

Mon cousin le pris et regarda ce qu'il ce passait, tandis que je ne lâchais pas le ciel des yeux.

"Désolé, je ne voulais pas lui faire peur, je passais juste. s'excusa-un jeune homme.

Bene expliqua au jeune homme que ce n'était pas grave alors que je regarda enfin en direction de la scène puis, je me figea, surprise.

"Oh, salut. À croire qu'on vas se rencontrer souvent !