Clarke:

Je dois aller chez Bellamy se midi. Oui au tour de moi d'aller chez lui. Je suis dans ma voiture et je cherche l'immeuble, je le trouve. Un grand Bâtiment de pierre avec des fenêtres. J'entre dans l'immeuble et me remémore l'adresse. "123". Je monte les escaliers et arriver devant la porte. Je cogne et il me répond.

- Salut Princesse entre.

J'entre dans son appartement. Il est mieux de comment je me l'imaginais. Ranger mais quand même un peux désordonné. Je m'assois sur le divan et lui aussi.

- Comme promis on passe à math et on stoppe histoire car je vois que tu as eu une nette amélioration.

- Grâce à toi princesse. Dit il.

- C'est aussi grâce à tes efforts de ne pas t'endormir pendant que je parle.

- M'endormir impossible.

Il s'approche de moi et me flatte la joue. Depuis les derniers jours on est devenu des amis proches.

- Ta voix est trop mélodique pour que je puisse m'endormir. Continua t'il.

- Allé cesse de me draguer on commence.

- Je te drague pas je fais simplement dire la vérité.

- Mais oui c'est ça!

Je sorts les cahiers de math. Je les dépose sur mes genoux et je commence a faire des exercices a voix haute. Il tasse une des mèches blondes débordant sur mon cou ver l'arrière.

- Qu'est ce que tu fais Bell?

- Rien jolie princesse.

- Arrête de m'appelé comme ça et travaille rigole-je.

- Bon d'accord mais je comprend rien.

- En quoi puis-je t'aider? Demande-je

- Eh bien je comprend rien au statistiques.

- Bon voyons ça!

Je m'approche de son cahier de note. Je regarde.

- Tu as mal fais le tableau.

- Merde je comprend pourquoi sa marchais pas.

On continua les maths une bonne heure.

- Ont prend une petite pause dis je il fait pas bousiller ton cerveau.

- Hey c'est méchant ça! Proteste t'il.

- Je sais.

Il me prend alors sur son épaule je me débat mais il est trop fort.

- Lâche moi dis je en riant au éclats

- Non Jolie Princesse tu reste dans mes bras.

- Bellamy t'est pas drôle dis je en riant.

- Je te croirais si tu ne riais pas en se moment.

- Mes cahiers sont tous tomber à cause de toi.

- Oh que c'est dommages.

Il me laisse tomber sur le divan.

- t'est chiant Bellamy. Dis-je

- Je sais que tu m'aime quand même.

Il commence à me chatouiller.

- J'arrête si tu dis que je suis le meilleur.

- Bon bon t'est le meilleur Bellamy.

Il arrête

- Mais le plus con.

Je commence à courir dans l'appartement. Mais il m'attrape la taille et m'attire vers lui, il referme c'est bras sur moi m'emprisonnant. Je me débat le plus possible mais il est trop fort.

- Je te tient. Rigole Bellamy.

- Ok bon lâche moi

Il me lâche.

- Allé on continue!

- Déjà?

- Oui on peut pas toujours s'amuser.

- Avec toi oui.