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1.


S U N A     R I N T A R O U



/ ! \ i m p o r t a n t 

TW : attouchements sexuels/viol/violence physique

bonne lecture !





- J'arrive ! Je dois aller vérifier si le matériel est mis correctement, déclarais-je.

- J'y vais déjà, ma mère m'attend, réplique ma meilleure amie. Appelle moi quand t'es chez toi.

- T'inquiète !


D'un pas pressé, je débarque dans la salle de sport vide et vérifie rapidement si tout est à sa place. Je check surtout si rien ne traîne dans les parages. Soudainement, la clé tourne dans la serrure de la salle, le cliquetis du trousseau résonne contre les murs blancs du gymnase. Paniquée, je tente de me retourner mais subitement des bras m'agrippent la taille et une main se plaque sur ma bouche, m'empêchant de pousser un cri de surprise.


- T'as crû que t'allais m'échapper ?, souffle une voix à mon oreille.


La voix de mon ancien petit ami résonne comme un acouphène faisant un écho strident dans mes oreilles. Aran Ojiro. Aussitôt la panique déferle en moi comme un poison. Affolée, je me débats du mieux que je peux mais la prise de celui qui me tient est beaucoup plus forte. Je tente d'hurler mais en vain. Comme un sac poubelle, il ouvre la porte des vestiaires et me jette à l'intérieur. En face de moi, il affiche le plus perfide des sourires pervers alarmant tous mes sens et créant une avalanche d'angoisse. 


- C'était si compliqué de t'accoster avec ce connard de Suna à tes jupes, ricane-t-il.


Sa voix me glace le sang coulant à flots dans mes veines, et automatiquement le liquide lacrymal envahit mes yeux. Sans le voir venir, il attrape rapidement ma touffe de cheveux m'arrachant un cri de douleur.


- Mais il n'est pas là, maintenant, souffle-t-il à mon oreille. 

- Lâche moi.


Ma voix se brise légèrement par l'effroi, et mes premières larmes commencent à couler. Ma gorge noué se resserre de plus en plus en sentant son souffle chaud sur ma nuque. Brusquement et d'un geste habile, il me relève à l'aide de mes cheveux ce qui me vaut une plainte douloureuse et me plaque contre l'acier froid des casiers. Ma respiration se coupe instantanément tant la force qu'il utilise est poignante. Sans me laisser rétorquer, sa bouche s'écrase contre la mienne violemment. Ses lèvres me répugnent. Son goût me répugne. Il me répugne. J'arrive à me dégager de son étreinte, et le repousser à l'aide de mes mains, seulement ce rejet le déplait fortement car sa main se pose brutalement contre ma joue. Il m'assène une gifle dont le bruit acéré se propage dans tout le vestiaire. Complètement sonnée, je m'étale de tout mon long sur le carrelage froid, à plat ventre.


- Petite peste, siffle-t-il entre ses dents.


Il me retourne brusquement vers lui, en m'empoignant l'épaule. Une grimace déforme mon visage. L'esprit encore embrouillé, je n'ai pas la force de l'arrêter, ni de protester. Je ferme mes yeux et laisse mes sanglots s'échappés de mes lèvres. Sa main déchire d'un geste brusque ma chemise blanche, faisant virevolter tous les boutons dans tous les sens. Il s'assoit à califourchon sur mon bassin alors que ses lèvres se remettent à agresser les miennes avec violence. Ses doigts palpent mes seins enveloppés dans mon soutien-gorge, avec précipitation. Puis ses mains descendent plus bas, il s'empresse d'ouvrir ma braguette après s'être assez amusé avec ma poitrine. Il s'attaque directement à mon intimité, répandant une multitude de caresses qui découle en moi aucun plaisir, mais le pire des préjudices. 


- Stop !, hoquetais-je.

- Ce n'est que le début, chérie !, réplique-t-il son sourire salace aux coins des lèvres. Si tu savais tout ce que je veux faire avec ce corps.


Remuant dans tous les sens pour lui échapper, j'ai l'impression de suffoquer, de voir ma vie défiler devant mes yeux. Mon coeur qui tambourine dans ma poitrine m'affole. Je garde les yeux rivés en direction de la porte, espérant que quelqu'un m'aide à sortir de cet enfer.


- Au secours !, hurlais-je de mes dernières forces.


Ma voix se casse à cause de cet hurlement, toutes mes forces m'abandonnent. Une main se plaque brutalement sur ma bouche, et le regard furieux de mon ancien petit-ami s'encre dans le mien. Mes sanglots deviennent incontrôlables, je n'arrive plus rien à maîtriser. Mes larmes coulent sans que je puisse les arrêter, tellement que ma respiration en devient erratique. 

Je suis prise au piège.


- Salope.


Il se redresse légèrement, et défait sa ceinture. Au moment où je détecte ce qu'il essaye de faire, la panique empiète sur mon corps fébrile. Il m'attrape par la taille, et m'adosse contre les casiers alors que lui se relève totalement pour me dominer de sa taille. Tétanisée, je n'ose plus bouger d'un iota et ferme précipitamment mes yeux. Le bruit de la braguette du jean d'Aran résonne dans l'entièreté de la pièce. 


- Une queue t'attend, chérie.


Muette face à ses obscénités, je reste pétrifiée sur place, refusant tout contact avec lui. En sentant ses mains se poser de part et d'autre de ma tête, je sors de ma transe soudainement. Je pivote rapidement ma tête dans tous les sens alors qu'il essaye de la maintenir pour me violer la bouche une énième fois mais cette fois-ci...

... avec son sexe.


- Tu sais, j'aurais pu apporter avec moi Omimi ? T'aurais eu une autre queue qui t'attendrait.


Un rire s'échappe de ses lèvres.


- Mais...


Il fait une légère pause avant de rajouter dans un murmure:


- ... je ne partage pas.

- Bordel, aidez moi !, hurlais-je une dernière fois désespérée.


Comme si mes prières se sont faites entendre, des coups brutaux se font entendre contre la porte des vestiaires, déroutant mon agresseur. Le verrou finit par céder et laisser entrer en fracas mon petit-ami. Son regard s'obscurcit instantanément en me voyant, en soutien-gorge, la braguette ouverte, le visage couvert de larmes ainsi que mon ancien petit-ami devant moi avec son sexe en l'air. En même pas une seconde, aveuglé par la rage, il se jette sur lui pour le rouer de coups. Les pires insultes fusent de la bouche du brun mélangés aux gémissements de douleurs d'Aran. Je cache ma nudité en croisant mes bras, en m'étant jamais sentie aussi humiliée de ma vie. 

Mon prénom échappe des belles lèvres de mon petit-ami. Rintarou apparaît dans mon champ de vision, les cheveux en batailles et les yeux plus sombres que jamais. Chaque pas réduisant la distance entre nous affole un peu plus mon corps et je resserre la prise de mes bras afin de dissimuler mon soutien-gorge. Me voyant si peu vêtue, il retire d'un geste lent sa veste de l'équipe de volley sans me lâcher du regard. Il me recouvre les épaules avec, et me laisse me réchauffer de la chaleur du vêtement. Involontairement, ses doigts frôlent mon épiderme créant un geste de répulsion de ma part, faisant cogner mon dos contre les casiers.


- Ne me touche pas !


Ses mots sont sortis de ma bouche comme un supplice. Tremblante, je baisse la tête et ne peux m'empêcher de me repasser les évènements qui viennent de se passer.


- C'est moi, Rintarou, chuchote-t-il doucement.


Mes yeux se posent sur les siens inquiets, d'un pas lent il s'approche de moi, réduisant l'espace qui nous sépare en surveillant chacun de mes traits de peur de m'effrayer encore.


- Je suis là.


Ce murmure rassurant est comme la seule chose qui me manquait pour me faire comprendre que ce n'est pas lui. Brusquement, je me jette à son cou en laissant mes larmes dévalées mes joues. Ses bras se referment sur ma taille. J'hume son odeur si apaisante en tentant de calmer mes sanglots.


- Chuuut, je suis là, maintenant.

- Rin', sanglotais-je.

- C'est bon, c'est bon.


Je resserre l'emprise de mes bras autour de son cou. Gardant les yeux clos, j'essaye de faire face aux démons piétinant mes dernières espérances sur l'humanité. Je le déteste. Je le déteste, tellement. J'allais prendre la parole mais la voix glaciale et cinglant de Rin' fait frissonner tout mon corps , lorsqu'il prononce cette phrase:


- Repose encore une fois tes yeux sur elle, et je te promets d'arracher tes yeux.


Mon petit-ami me fait sortir de cette pièce étouffante, et malheureusement pour moi mes yeux finissent par tomber sur le corps ensanglanté d'Aran. Je les referme brusquement en sentant les images me hanter. 


- Rin' ?, murmurais-je la tête toujours plongé dans son cou.

- Oui, mon ange ?

- Merci, merci, merci. Vraiment, merci. 


Malgré tout, le sentiment d'humiliation coule dans mes veines.



F I N



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dites vous que dans la vraie vie ce n'est pas si rose

personne ne vient vous secourir, ni vous sauver

nan

on vous laisse juste vivre un enfer 

parce que c'est la vie

( désolée de plomber l'ambiance mais faut être réaliste )



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