Tout est Monotone
*monotone *: répétitif qui ne change jamais
*le cadet d'un soucis* : expressions qui signifie la dernière choses qui les inquiéteras
*criard* : son fort, désagréable.
Seule. J'étais assise, seule. Dans la chambre aux milles souvenirs de mon enfance. Dans les quatre murs qui ont accompagné mes premiers pas et qui me soutiennent aujourd'hui dans mon quotidiens *monotone*. La caméra allumé, le stylo à la main je dessinait. Une ou deux heures plus tard, la vidéos étais en ligne avec comme titre : ailes de papiers.
Un soupirs et un bâillement m'indiqua qu'il étais temps de passer faire un coucou aux marchand de sable. De toute façons, mes parents, eux, ils en avait rien a faire. Que je dorme ou pas, c'étais le *cadets de leurs soucis*. Et étrangement notre cher marchand ne passa pas cette nuit là. Pas étonnant donc,que quand le matin arriva suivi de tous ses chants d'oiseaux et de la lumière de notre cher soleil, les cernes et les yeux rouge accompagnait la froideur du matin et la sonnerie d'un réveil *criard*. C'est d'une humeur massacrante que je fis mes rituels matinale et mes aller-retour entre la salle de bain et la cuisine. Lentement, j'entama le chemin qui me guida vers le"repère de connaissance". Autrement dit, mon lycée. Enfer pour certains, paradis pour d'autres,personnellement je faisais plutôt partis de la première catégorie. Pendant que les amis des uns et les connaissance des autres héritaient des jolie surnoms plein d'amour et d'affections, on me nommait de ... non. Au moins un endroit ou on ne m'appelle pas comme ça, alors non vous ne le saurez pas. Vous vous contenterai de : Lisa
Une fois arrivé dans l'établissement, un groupe de quatre gars s'approche de moi. Toujours les mêmes évidemment. Liam, Tom, Éthane, et Matt.
Matt: Bah alors ? On dors même plus ? 😆 Tu ressembles à un panda avec tes cernes !
Tom fume encore une cigarette, Matt le " chef " commence par une critique, et les deux autres ricane. Toujours pareil. Je ne le regarde pas et change de direction, pas question de resté une seconde de plus avec eux.
Matt: Tu va où comme ça!
Liam: ouais ! Reste là !
Je fais comme si je n'entendais pas et accélère.
Éthane: hé ! Oh ! On te cose !
Ouf ! Je suis arrivée au toilette des filles, me suis enfermée, et j'ais attendu la sonnerie pour sortir et aller en cours.
L'heure du déjeuner arrive lentement, très lentement, et une fois que la dernière sonnerie de la mâtinée as retenti, je marche doucement vers le distributeur de boissons, et m'installe sur le toit.
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