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Chapitre 2

Cela faisait une semaine que je lui envoyais des messages. Sans sucés. Il ne répondait à aucun appel. Ne se connectait jamais. Ne laissais pas de vu. Pas le moindre signe de vie.

Peut-être composait-il. Peut-être écrivait-il. Ou peut-être avait-il seulement oublié mon existence.

Je savais que ce n'était pas le cas.

Il allait seulement répondre quand il y pensera. Dans un. deux. Dix jours. Me laissant patienté. Avec comme seul nouvelle celles de Minho.

Il envoyait de temps en temps. Sur le groupe. Des photos de Jisung en train de jouer. De manger. De ronfler. Il ne faisait aucun commentaire. Seulement une image. L'air de nous dire. Vous inquiétez pas. Il est toujours en vie.

Depuis la soirée. Depuis que l'alpha avait fait le pont entre nos deux bandes. Nous étions indissociable. Les uns venaient chez les autres. On s'invitait tout le temps. Et on voyait les amitiés se resserrer au fils des jours. Au fils des cafés commandés dans notre bar.

Un mois que notre sociabilité marchait à cent à l'heure. Pourtant nous n'étions pas lassé.

Bien que leur entêtement pour les contactes m'effrayaient.

Notamment de la part de Changbin et Jisung. Ils se relayaient pour m'embêter. L'un trop content de me faire fuir. De me faire me débattre malgré nos statuts. L'autre déçus de ne pas avoir ses câlins. Alors il réessayait.

Cela créait une confusion entre mes trois amis.

Parce que s'ils étaient sûr de la relation du quatrième avec Chan. Ils théorisaient sur nous. Se murmuraient des arguments. S'échangeaient des sourires lorsque leurs paris leur semblaient justes.

Mais il y avait Minho. Colocataire du bêta. Ami de longue date. Et obligatoirement le choix numéro un. S'il réfutait tout. Débattait de ses styles de filles avec Hyunjin. Cela n'empêchait pas le trio de comprendre ce qu'ils voulaient.

Pour eux. C'était le petit ami parfait de Jisung. Il s'occupait de lui. L'encourageait. Le charriait autant qu'il le choyait. Toujours on pouvait sentir son odeur sur lui. Des phéromones agressifs. Possessif. Pour détourner les regards.

Selon eux. J'étais donc voué à être avec Changbin. Un couple bancal. Dans lequel on ne pouvait pas affirmé qui était le dominant. Parce qu'il était l'oméga. Parce que je n'avais pas le physique d'un alpha. Et même si personne n'y croyait vraiment. On jouait le jeu. Amusait nos amis par des parfums séduisants. Qui ne faisaient plus d'effet à personne tant on s'y était habitué. Mais qui faisait glousser Felix et Hyunjin.

Pourtant. C'était bien avec Jisung que je liais le plus d'amitié. Si nos échanges par messages étaient aléatoire. On se voyait beaucoup au café. Lorsque je devais remplacé Felix ses jours de représentations. Il venait travailler près du comptoir. Sa guitare toujours à la main. Son odeur fluette qui restait bien trop longtemps après.

Il venait par période. Comme les messages.

J'adorais ces moments de complicités. Où parfois seule la musique parlait. Où parfois toutes les voix des clients se mélangeaient à la sienne. Où parfois nos rires brisaient le silence de la nuit.

Mais il y avait. Entre ces morceaux de bonheurs. Une longue absence.

Qui me terrifiait.

Il ne restait plus aucun souvenir de lui. Son parfum avait disparu depuis longtemps. Son timbre inique ne raisonnait plus dans le café. Le grattement de son stylo sur le papier était remplacé par les conversations lassantes des habitués.

Je lui en fis part un soir. Alors qu'il emballait ses affaires. Qu'il allait partir pour quelques heures.

Ou pour quelques jours.

« Ça t'amuse de disparaître pendant des jours. Nous laisser attendre les nouvelles de Minho pour savoir si tu es bien en vie. »

Si mes mots paressaient durs. Ce n'était pas le cas de mon ton. Comme suppliant. Je m'en voulais de le confronter comme ça. Mais j'avais besoin de trouver une solution à ses absences.

Il m'interrogea du regard. Sans comprendre. Et je lui expliquais. Les minutes à rafraîchir la page en attendant un message. Une simple réponse. Les heures à se demander comment il va. Ses raisons de son absence. Les jours à prendre sur soit pour ne pas débouler chez lui. Pour vérifié sa présence.

Il se sentit immédiatement coupable. S'excusa de nombreuses fois. Me promis d'essayer de changer ça.

C'est tout ce que je voulais pas.

Plus il parlait. Plus il s'excusait. Plus sa détresse se voyait. S'il avait eu des phéromones, ils auraient emplie toute la pièce. A la place, il y avait juste comme une odeur salée. Comme une odeur de larmes.

Alors que je le rassurais comme je pouvais. 

Et une germe. Une idée s'installa.

Mais on ne se connaissait pas assez pour la réaliser. Après tout cela faisait que quelques mois. Quelques mois qu'on se voyait par intermittence. Nous n'étions pas si proche. Nous ne nous partagions pas tout. Nous étions assez pudique sur nos vie.

Alors proposer ça. De but en blanc. Sans cette complicité qui aurait pu facilité les choses.

« Tu penses à quelque chose n'est-ce pas. »

Sa voix me surpris. Elle n'était plus teinté de pleure. Un sourire confiant avait remplacé ses yeux mouillés. Il semblait confiant. Il remonta ses lunettes. S'accouda au comptoir.

« Réellement. Si tu as une solution vas y. Je ne veux pas te faire de la peine. »

Je haussais un sourcil. Inhabitué à ce qu'il soit si sûr de lui. Entreprenant. Ouvert. 

Cela me rassura. Peut-être pouvions nous finalement nous le permettre. Pourtant, nous nous séparons sans que je ne lui dise rien. Bien trop effrayer de perdre cette relation naissante.

On se quitta sous la bruine d'hiver. Les lumières artificielles se reflétaient dans les miroirs d'eau. C'était à un Jisung teinté d'ocre et de vermillon que je dis au revoir. Sans savoir quand je lui parlerais la prochaine fois.

Sur le boulevard. A son départ. Des odeurs inconnues. D'alphas. D'omégas. Effacèrent son passage. Il ne restait plus que. Sur moi. Un soupçon de ses faibles phéromones. Dans le bus. Seul. Alors que chacun rentrait chez eux. Ou allait en boite. J'envoyais un message à notre ami commun. Pour lui faire part de mes idées. De mes doutes. De mes envies.

Il me répondit en quelques minutes. M'insultant de tout les noms. Me priant d'en parler avec le beta.

Je rie à ses vocaux. Lui promettant de le faire.

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