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S07 - EP 31 ✧ part I

La production vous annonce deux séquences "Cerveau" du label "CCC".

Partie 1/3

Samedi 10 février

Sans les commentaires de Dean, la finalité de certaines parties du monument gigantesque aurait échappé à Rey. Le chantier de Tekhnopolis© avançait bien. Rey visualisait la structure finale aux courbes fluides, mais la construction serait plus époustouflante une fois les baies vitrées nettoyées, les allées terminées, les pelouses dessinées.

Après quelques modifications des délais, l'agenda prévoyait l'inauguration en mai. Jamais un white project d'une telle ampleur n'avait été réalisé en si peu de temps. C'était sidérant, même pour Dean. Vince avait mis le turbo pour donner vie au prodigieux édifice en un an. Tekhnopolis© battrait un record. De quoi se questionner.

Rey avait compris que Dean avait été écarté de son illustre famille. Or l'avancement du chantier et l'implication de la compagnie de construction démentiraient le conflit entre le fils concepteur et le père financeur. Cela avait des allures de présent offert par ce dernier à son rejeton. À moins qu'il s'agisse d'une façon de s'amender...

Malgré ses sentiments mitigés à l'égard de sa belle-famille, Rey nourrissait de l'admiration pour son travail. À commencer par celui de son beau-père. Certes, élever ce chef-d'œuvre de terre exigeait le savoir-faire d'une ruche, mais le cerveau ayant généré l'idée appartenait à Dean Leblanc.

On béait d'émerveillement face au gigantisme de la construction aux formes aqueuses, qui exploitait l'exposition au soleil, jouait avec la quantité d'éclairage des structures souterraines au moyen de hublots énormes s'ouvrant à la surface du sol, incluait la capacité à produire une part de sa propre énergie via des panneaux photovoltaïques, et considérait la communication entre les futurs « domaines artistiques » grâce à un enchevêtrement d'escaliers et murs transparents. De ce fait, on évoluerait dans une espèce de squelette titanesque abolissant le cloisonnement et l'isolement des services.

Seul Coop-Com Record© garderait sa position excentrée. L'idée première avait été de fusionner le label au cœur de Tekhnopolis©, mais les contraintes de temps et les difficultés rencontrées sur le terrain avaient modifié ce plan. Rock'ONE-Radio, l'équipe éditoriale de Renovatio Mag® et l'atelier W.M déménageraient leurs locaux, tandis que la maison de production appartiendrait à l'ensemble, non comme une annexe mais comme un quartier de cette Cité des Arts.

Enfin, la partie arrière, dénivelée, imitait un amphithéâtre antique à ciel fermé, avec une arène inondable – donc gelable – et des coulisses en sous-sol. Cette section siphonnait le plus gros du budget. Heureusement, White Enterprise© était privée. L'État n'aurait pas déboursé les fonds pour ce genre de dinguerie architecturale en si peu de temps. Il n'aurait même pas donné son feu vert – du moins pas avant des décennies –, compte tenu du programme de territoire de la mairie de Saunes.

Pour le contourner, W. Ent avait racheté les terrains alentours. La rapidité d'acquisition et privatisation de ces terres exploitables révélait le pouvoir indéniable des Leblanc sur les politiques. Aujourd'hui, Rey entrevoyait mieux comment fonctionnait ce titan.

Tous les ans, de nombreux projets d'architecture étaient soumis à l'État. Mais rares étaient ceux qui aboutissaient ou envers lesquels la trésorerie se montrait favorable. White Enterprise© achetait le terrain, finançait la construction, et tirait les fils pour qu'un permis de construire lui soit délivré quel que soit le projet sidérant.

Évidemment, l'entreprise ne se contentait pas de pondre une œuvre flattant son ego. La politique de Vince Leblanc s'assurait d'inscrire tout white project dans une perspective d'avenir, de manière à ne pas jurer avec les futures transformations urbaines. Il essayait de coller aux normes énergétiques de plus en plus contraignantes avec la transition écologique. Un challenge qu'il voulait remporter.

Aujourd'hui, la boîte regroupait de nombreux ingénieurs chargés d'innover, de trouver des astuces mariant la créativité parfois excentrique des concepteurs au bien-être de la nature. Peu importait le domaine de construction : BTP, industrie ou habitat de particuliers. Dean comptait s'approprier cela.

Saurait-il poursuivre le rêve de son père ou le lui arrachait-il par vengeance, en représailles ? Pour Rudy, la fin justifiait les moyens. Rey serait le dernier à reprocher quoi que ce soit à son beau-père. En revanche, il s'interrogeait sur la présence de Sir Hughs Bacchum III en ces lieux, un weekend. Non que cela le dérangeât, mais il ne saisissait pas l'intention de son parrain MIP.

Dean abordait en ce moment un sujet étrange avec cet homme : les arts de la scène. Qu'ils causent « tapis verts », Rey n'en aurait pas été surpris. Bien que Bacchus Industries© ne donnent pas dans le « jeu », son patron avait de nombreux intérêts personnels dans le business des casinos. Mais pourquoi discourir sur des spectacles, précisément ceux du cirque et des cabarets, quand Sir Hughs se montrait peu intéressé ?

— Je ne me vois pas investir dans une troupe de saltimbanques, Dean.

Celui-ci ravala son agacement. Aux yeux du vieillard, il n'était que « Dean, le petit dernier de Vince ». Quant aux fameux saltimbanques que Sir Hughs considérait avec légèreté, c'étaient des sportifs de haut vol mettant leurs performances de niveau parfois olympique au service de l'art et du divertissement. Dean savait les bénéfices engrangés quand le bon public rencontrait ces prouesses.

Après avoir collectionné des médailles, de nombreux athlètes se recyclaient dans le spectacle. Malheureusement, peu avaient la chance d'en faire un métier à revenus fixes, pouvant subvenir à leurs besoins ou garantir un confort de vie. L'idée consistait donc à dédier de manière permanente un « quartier » de Tekhnopolis© à des représentations hebdomadaires durant toute l'année. Les troupes sillonneraient le pays en tournée et auraient un « pied-à-terre » dans la cité des Muses. S'y dérouleraient castings, formations, répétitions et représentations.

Naturellement, cela exigeait des sponsors, mécènes, des artistes (musiciens, chanteurs, danseurs, cascadeurs), des chorégraphes, des stylistes, un bookeur, un régisseur, une équipe audiovisuelle (montage, réalisation, animation, projection), des techniciens en éclairage et pyrotechnie, et bien d'autres services subsidiaires (sécurité, santé, repas, entretien)... Il était absurde d'attendre la fin du chantier pour s'atteler au recrutement.

— Concrètement, Tekhnopolis© ne vous intéresse pas, résuma Dean.

— Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit, soupira Hughs.

— Oubliez la proposition indécente de Rey de vous céder un pourcentage des parts patrimoniales de ce white project. Je me doute que vous n'avez que cela en tête. Mais si je les ai cédées à Marshall, ce n'est pas pour que son fils les dilapide en pensant les refourguer au plus offrant.

Il n'approuvait pas cette décision prise sans recul. Rey jurait avoir eu le contrôle mais la démarche venait d'un jeune homme aux abois, sous le conseil d'un père ayant un pied dans la tombe. Son filleul avait beau posséder des connexions bien faites, même le génie connaissait des limites. Le concerné lui lança un regard torve. Dean le soutint sans ciller.

— Mon fils prévoit de t'épouser. Si tu veux ma bénédiction, tu as intérêt à garder ces parts.

— C'est petit ! s'insurgea Rey, non sans rougir telle une betterave. Ces parts sont miennes, j'en dispose à ma guise !

Néanmoins, la bénédiction de beau-papa lui tenant à cœur, il ferait comme demandé. Mais qu'il soit damné s'il le disait à Dean. Hughs fit la navette entre eux, se demandant s'il n'assistait pas à une plaisanterie de mauvais goût. Conscient de ses interrogations, Rey appuya :

— Il est très sérieux.

— Je vous propose une alternative, Hughs, commença Dean.

Puisqu'il n'était que « Dean », l'homme ne serait que « Hughs ». Ce dernier serait déçu s'il attendait du « Sir ». Son grade de Chevalier Commandeur de l'Excellentissime Ordre de l'Empire Britannique pouvait se brosser.

— Vous ne serez pas titulaire d'un titre politique ou patrimonial de ce white project, mais une fois sa construction finie, vous disposerez d'un droit financier. Vous pourrez vous targuer de faire tourner une partie de la machine. Vous avez une visibilité sur le monde des spectacles à Macao. J'aimerais créer ici, à Tekhnopolis©, un micro-univers du même genre.

— C'est très audacieux.

— Vous ne m'apprenez rien. J'avais espéré une certaine expertise de votre part, mais vous convoitez autre chose que des dividendes.

Hughs se pinça les lèvres, déplu par la formulation.

— Convoiter...

Dean balaya son mécontentement.

— Parlons sans langue de bois. Vous pouvez apporter beaucoup de choses au MIP-Club, on ne le niera pas. Seulement, au stade actuel, ce dernier sait se passer de vous et y arrive depuis des années. La donne ne changera pas de sitôt. Votre seul moyen de susciter l'intérêt des grosses légumes du club est de rallier les vôtres à ceux d'un Leblanc.

— Toi, en l'occurrence.

— Moi, en effet.

— J'ai des échos qui disent qu'avec toi, je ne m'engage pas avec le bon cheval.

Dean roula des yeux.

— Ont-ils réactualisé leur base de données ?

— Comment ne pas me méfier, quand ton père s'est toujours montré hostile à l'idée de collaborer avec moi ?

— Hostile... vous y allez un peu fort.

N'était-ce pas plutôt l'inverse ? Le boss de Bacchus Industries© avait violemment réagi à l'annulation du mariage de Dan avec sa fille, car White Enterprise© se détournait de lui au profit de Bart Pratchett. L'armée s'était avérée une partenaire plus intéressante avec laquelle danser au son de « l'aéronautique ». Cependant, Dean ne comprenait pas qu'il eût fallu contracter des noces ; cela le dépassait. À moins que le fin mot de l'histoire lui échappe. Peut-être que Miranda s'était sentie humiliée, trahie, et avait monté son père contre ceux qui ne seraient plus sa belle-famille. Une femme bafouée se changeait en espèce dangereuse.

Toujours est-il qu'une catastrophe concluait cette affaire une vingtaine d'années plus tard. L'ancien projet Swordfish explosait au visage de l'Empire Leblanc avec l'enlèvement de Rudy. Moralité : cela ne se serait pas produit si Vince ou Daniel-Ritchie avait maintenu le contrat avec Sir Hughs ?

Dan serait marié aujourd'hui et sans doute papa. Il siègerait à la tête de White Enterprise©, sinon d'une White Flight© qui n'aurait pas la notoriété actuelle, mais la White chain compterait bien une compagnie aérienne dans ses maillons. Si Sir Hughs avait vent des dessous de l'affaire Rudy, il rirait aux éclats. L'ironie du sort était cuisante.

— Je croyais que nous parlions sans langue de bois ?

— J'ignore les raisons de cette hostilité, avança Dean, conscient de nourrir le scepticisme du vieil homme. À l'époque, je n'étais pas tant impliqué dans les contrats de la famille. (Ce n'était pas plus le cas aujourd'hui, mais Hughs n'avait pas besoin de le savoir.) Votre relation avec Vince ne doit pas à influer sur la nôtre.

— En ta qualité de quoi, ou de qui, me proposes-tu de mettre nos intérêts en commun, et ce – c'est là où je me méfie le plus –, dans le but de me faire accéder à un club qui m'a toujours été fermé ? Parce que c'est bien cela la finalité.

Dean le considéra un instant. Il ne voulait pas encore lui révéler qu'il comptait détrôner le roi de l'Empire.

— En ma qualité de Dean Leblanc. Pourquoi cela ne suffirait pas ?

Hughs ne masqua pas son impatience.

— Je ne crois pas que le pouvoir décisionnel te revienne. Tu as peu de poids au MIP-Club !

— Si peu que j'ai parrainé le même soir un Lee-Cooper qui intéresse les Meister, un Wales dont le père travaille officieusement pour les Meister, et un Lhomann, petit-fils de Sir Bacchum troisième du nom, blacklisté par ce même MIP-Club. Vous en savez tellement sur le Club, railla Dean. On peut jouer à ce jeu indéfiniment, Hughs.

Celui-ci cessa d'écarquiller les yeux.

— Lester s'est gardé de me dire que Blain était co-filleul avec deux autres, pensa le grand-père à voix haute.

— Parce que Blain ne le lui a pas dit. Sur mon ordre.

Le père de Blain ne saurait que le strict minimum. Hughs posa un regard aigu sur Dean, qui arqua un sourcil. Il comprenait qu'en devenant le filleul MIP d'un Leblanc, son petit-fils devrait se conformer à une charte connue des seuls membres. Autrement dit, Dean possédait désormais le pouvoir de détourner le descendant d'un Bacchum, certes né Lhomann, de son « clan » d'origine. Hughs le soupçonnerait presque de lobotomiser son petit-fils et de l'instrumentaliser. Sa colère céda soudain à la perplexité.

— Dites-moi ce qui vous tracasse, l'encouragea Dean.

— Le fait que tu aies jeté ton dévolu sur ce mollasson avec un poil dans la main, alors que sa cousine est plus intelligente. Rey te le confirmera. Non que je dénigre ce garçon, mais on est parfois amené à comparer sa descendance..., dit-il avec réticence. Je suppose que cela rendra son « conditionnement » intellectuel plus aisé.

Dean sourit comme un chat au courant d'un secret. Rey se détourna afin de ne pas se trahir. Le côté impénétrable de Blain s'avérait une sacrée aubaine, bien que cela découle d'une introversion liée à sa crainte du coming-out. Rey s'étonnait toutefois que le jeune homme ne se soit pas rapproché d'un grand-père non-homophobe. À sa grande surprise, la révélation de sa relation avec Rudy n'avait point rebuté Sir Hughs.

Peut-être que l'homme s'en foutait tant que cela ne concernait pas les siens. Mais l'ouverture d'esprit de Bianca à ce sujet dénotait une éducation dans un environnement exempt de ces préjugés. Et elle vivait la plupart du temps auprès de son grand-père. Blain gagnerait à côtoyer son aïeul.

Cependant, Rey ignorait le rapport entre les parents de Blain et Sir Hughs. On pouvait avoir une vision biaisée de ses grands-parents à cause du regard du chainon intermédiaire, celui des parents. Inversement, l'aïeul se forgeait une idée parfois erronée de ses petits-enfants, basée sur l'avis de sa descendance directe.

— Je ne vous en veux pas de penser cela, mais vous faites fausse route, rétorqua Dean. J'ai simplement un faible pour les brebis galeuses. Rudy a promis de parrainer Bianca et, bien entendu, il tiendra parole. Pour l'heure, cette promesse n'est pas encore réalisable. Miss Bianca devra prendre son mal en patience. Dans deux ans, mon fils aura atteint la strate lui permettant d'être parrain MIP.

Hughs grommela.

— Le savait-il lorsqu'il a pris cet engagement ?

Il ne le dit pas, mais on entendit le « à la légère » qui complétait cette question véhémente. De toute évidence, Rudy faisait des promesses en l'air à ce moment-là, jouant de la crédulité de Bianca et sa mère. Le soupir de Dean confirma les suspicions de son interlocuteur.

— Mon fils a tendance à agir avec candeur. (Il haussa les épaules.) C'est ce qui fait son charme.

Hughs s'offusqua, sidéré par son laxisme.

— C'est de l'inconscience naïve et dangereuse !

— Je me permets de vous contredire, intervint Rey. Rencontrez-le d'abord avant de sauter sur ce genre de conclusion. Rudy est... spécial, dit-il, faute de mieux. Et ce n'est pas parce que j'en suis amoureux que je le dis. En réalité, c'est à lui que vous devez l'opportunité de glisser un orteil dans une porte du MIP-Club.

— Vraiment ? douta Hughs.

— Son idée inconsciente, naïve et dangereuse, justifie que je sois parrain de Blain à l'heure actuelle, ironisa Dean. Puisque j'ai des responsabilités envers mon filleul, il me semble absurde de vous traiter avec la même méfiance que Vince. Je ne laisserai pas une aubaine m'échapper par fierté mal placée.

Il suivait un ultime motif. Bientôt, Vince perdrait au bras de fer contre les Meister. Le temps lui était compté. Donner du fil à retordre à un tel Cerbère nécessitait l'entrée dans l'arène d'un autre grand prédateur ; un prédateur indompté par les Leblanc qui occuperait l'autre molosse et donnerait à Dean le champ libre pour assoir sa vision sur White Enterprise©.

Toutefois, il ne sous-estimait pas la White chain. Sa machinerie pourrait le broyer, comme elle avait broyé Vince, l'avait fondu, l'avait moulé puis démoulé comme un pur produit labellisé White touch©. Dean refusait d'être le prochain numéro de série. Il ne mettrait pas son ange à la tête de cette usine de l'enfer. Sa seule solution : reformater toute la chaîne de montage. Or les Meister dans ses pattes rendraient cette tâche pis qu'herculéenne. Il devrait leur donner un os à ronger.

En accédant au MIP-Club, Hughs Bacchum aurait une nouvelle visibilité sur les flux économiques et politiques, et saurait placer ses pions pour les sénatoriales, puis briguerait certainement la présidence. Ce ne serait peut-être pas lui dans un premier temps, mais il avancerait un de ses éléments. La clique Alder-Olsten/Meister/Wales/Nuttingham compterait alors avec un nouveau challenger. Dean aurait ainsi toute latitude d'action.

Pour ouvrir les portes de la bergerie au loup que craignait les autres, il se voyait obligé d'inclure Hughs dans ses business-plans, puis les changer en white projects. Tâche complexifiée par la méfiance justifiée du lord.

Ce dernier forçait Dean à utiliser une bonne vieille méthode de la théorie des jeux basée sur le jugement de Salomon : pousser son adversaire à modifier sa stratégie pour garder l'illusion de ne pas perdre. Tout dépendait à présent de sa capacité à anticiper la décision du lord. Comment l'amener à changer son positionnement ou réformer sa ligne directrice ?

Il lui manquait du recul mais il misait sur le sens aigu des affaires de Hughs Bacchum. Cet homme prenait des décisions commerciales et tactiques depuis des années, afin qu'elles aillent toujours dans son sens. Un touche-à-tout qui semblait avoir « la main verte » dans le business, à en juger le slogan de sa holding : « les industries de l'abondance ».

Par conséquent, le white project de l'industrie pharmaceutique devait aboutir coûte que coûte. Hughs tendrait une oreille plus attentive à son beau-fils, Lester Lhomann, plutôt qu'à un laïus de Leblanc. C'était le seul bélier capable d'abattre son mur de défiance. En attendant, Dean affaiblirait ses fondations en prévision du coup de masse.

*o*o*

TBC ● EPISODE 31 – part 2

*MEDIA*
Intro vidéo : Stronger - The Score. Des lyrics que Dean dirait à ceux qui ont tendance à le sous-estimer.

I don't do this for the riches
I'm infected, my condition
Is I'm always in my head
These words are my religion
I'm obsessive by decision
I'mma do this 'til I'm dead

Set me on fire
Set me on, set me on fire (Whoa) (Whoa-oh)
I'm still alive
I'm still a, I'm still alive (Whoa)
Bet you didn't think that I'd come back to life
Fire, faster, everlasting
Bet you didn't think that I'd come back to life
Higher, faster, never-crashing
Bet you didn't think that I'd come back to life

Stronger
(Stronger, stronger, stronger, stronger)
Bet you didn't think that I'd come back to life
Stronger
(Stronger, stronger, stronger, stronger)
Bet you didn't think that I'd come back to life

I do this with conviction
I write truths and never fiction
My disease is what you fed
I can't stop with my ambition
Like a missile on a mission
I'm a force that you will dread

Set me on fire
Set me on, set me on fire (Whoa) (Whoa-oh)
I'm still alive
I'm still a, I'm still alive (Whoa)
Bet you didn't think that I'd come back to life

Stronger
(Stronger, stronger, stronger, stronger)
Bet you didn't think that I'd come back to life
Stronger
(Stronger, stronger, stronger, stronger)
Bet you didn't think that I'd come back to life

Bet you thought that I was dead
But I'm not dead
I'm not dead
Bet you thought that I was dead
But I'm not dead
I'm not dead
Stronger, stronger, everlasting
Higher, faster, never-crashing
Stronger, stronger, everlasting
Higher, faster, never-crashing
Bet you didn't think that I'd come back to life

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