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S07 - EP 25 ✧ part III

Comme annoncé précédemment, cette séquence est classée 3ème C du label "Cerveau-Cœur-Couilles". Alors, éloignez les enfants !


Partie 3/3

Il était loin le temps où Rudy se montrait timoré dans leurs joutes sensuelles. Rey avait vite pris goût à un petit-ami de plus en plus désinhibé. Sans vergogne, Rudy le déshabillait du regard, assumant son désir, le sourire coquin. Rey en devint toute chose. Avec ce bourreau des cœurs, il avait expérimenté la jalousie, le romantisme, la soumission, la domination, la perversité, l'amour vache, la gourmandise... À présent, il dévorait la peau du cou de son blond-argenté, plaqué contre la porte s'ouvrant sur son bureau.

Rudy fut poussé dans la grande pièce, sa ceinture virée des anses de son pantalon. Le mobilier, qui criait « patron », « pouvoir », aurait dû l'intimider, cependant son excitation grandit à l'idée de souiller les lieux. Il s'assit sur le meuble de direction en bois de chêne massif et verni, aux lignes audacieuses, s'accordant quelques secondes pour admirer les inserts en verre et les finitions de métal chromé.

Rey l'avait choisi pour sa modernité, son visuel original à la fois industriel et vintage. Seuls vestiges de l'ancien office de son père : les deux grandes bibliothèques et les tiroirs muraux. Le reste avait été réaménagé et remeublé afin de refléter la personnalité du jeune patron. Rey s'était offert un cadre de travail luxueux et stimulant, en modulant l'éclairage et le revêtement des murs clairs pour un meilleur effet d'optique. Choix difficile mais nécessaire. Le style d'origine, traditionnel, élégant et classique, lui rappelait trop Marshall et ne l'aidait pas à se concentrer. Le changement envoyait aussi un message à son entreprise : dorénavant, le patron se nommait Rey Lee-Cooper.

Celui-ci jeta un œil à la porte principale.

— Je n'ai pas verrouillée...

Mais il n'eut ni le temps, ni la motivation d'y remédier, attiré entre les jambes de Rudy.

— C'est la pause, y'a personne.

— Le service d'entretien passe parfois entre midi et deux. Je ne sais plus quel jour.

Il haussa les épaules. Au pire des cas, le technicien de surface risquait simplement de parfaire son éducation érotique homosexuelle. Rey se gaussait du colportage de ragots à son sujet. Si la rumeur devait courir qu'il baisait du monde dans son bureau, qu'elle coure ! Il se moquait du jugement d'autrui. Son petit-ami partageait le même avis.

— De toute façon, t'es le directeur général. Qu'est-ce qu'ils feront ?

En effet, si Rey devait abuser de ce pouvoir pour préserver Rudy, il le ferait avec aplomb. Sa nomination et son éventuelle révocation étaient tributaires du conseil d'administration, mais il possédait plus de levier en tant qu'actionnaire majoritaire. Rey avait atteint ce stade de sa vie où le rejet de la société n'impactait plus sur sa personne. Coop-Company© avait un C.E.O bisexuel, en couple avec un garçon sexy en diable. Deal with it!

Cela dit, il espérait éviter qu'un employé toque pile au moment où il se nourrirait du foutre de son ange. S'il se tamponnait le coquillard de l'opinion extérieure, choquer n'était pas sa vocation non plus ! Avec un peu de chance, Blacky s'assurerait de l'absence d'interférence. Les orgasmes de Rudy étaient réservés à l'exclusivité de Rey.

À l'étroit dans son pantalon, il avait hâte de se connecter physiquement au réseau internet de son mec au sex-appeal indécent. Émotionnellement, il était en ligne, 24 h/24, malgré les kilomètres qui les sépareraient plus qu'à son goût.

— Certains jours, j'aimerais pouvoir me téléporter, confessa-t-il. Je te rejoindrais n'importe où, à l'envie.

Le baiser sensuel de Rudy trahit un sentiment similaire. Il massa l'entrejambe de Rey, en se demandant s'il lui ferait cet effet dans dix ans. Quand ils auraient la trentaine, Rey viendrait-il à lui avec le même empressement ? Lui répondrait-il avec la même ferveur ? Dans vingt ans, son partenaire quadragénaire aurait-il toujours faim de lui ? La réponse se trouvait entre ses mains. À lui de le fidéliser pour le pire et le meilleur et s'assurer que la monotonie ne frappe pas à leur porte.

D'une franche poussée, Rudy cloua le C.E.O dans sa chaise de bureau en cuir au design futuriste. Il s'assit sur le rebord de la table, puis posa d'autorité son pied entre les cuisses de Rey.

— Restez assis, Patron.

Voilà que le « subordonné » dictait des ordres à son « supérieur ». Des deux, le Leblanc avait tendance à dominer durant leurs jeux sexuels. Rey le soupçonnait d'avoir conscience de ce côté directif. Quelque part, le blondinet l'avait dans le sang. En matière de prise d'initiatives, il n'avait plus rien à apprendre de Rey.

Rudy jeta son sweet-shirt au sol, dézippa son jean stretch. Sans quitter son camarade des yeux, il déboutonna lentement, très lentement, sa chemise.

— As-tu conscience que je ne répondrai plus de moi quand j'estimerai que tu as assez titillé ma patience ?

— Tout à fait, Patron, répondit Rudy, effronté. Mais si vous arrivez à vous contenir, je vous laisserai me prendre dans tout votre bureau, dans la position... les positions de votre choix. Celles qui vous donneront le plus de sensations. Contre la porte, contre la baie, dans votre fauteuil, sur la table basse là-bas ou sur celle-ci, dit-il en caressant le rebord du meuble sur lequel reposait son fessier.

Éros lui vienne en aide ! pria Rey. S'il en possédait les capacités, il explorerait en entier le deuxième des sept livres du Kâma-Sûtra. Les soixante-quatre positions qui y étaient décrites n'auraient plus de secret pour lui. Il en avait pratiqué certaines et comptait en soustraire d'autres du domaine de la théorie.

— Tu vas comprendre ta douleur, à force de me pousser au vice ! promit-il.

Afin de garder le contrôle sur sa bête en rut, il s'attela à déchausser Rudy. Les pieds nus, celui-ci en glissa un jusqu'à l'entrejambe de Rey et soupesa l'outillage viril de ses orteils. L'ordre fusa :

— Ouvrez votre braguette, Patron.

Rey obtempéra, le geste fébrile. Le jeu de rôle apportait du piquant à l'échange.

— Sortez-la.

— Et si je ne veux pas ? opposa Rey, mû par l'envie de corser la joute.

Il caressa la jambe de Rudy, remonta aussi loin que lui permit l'élasticité du jean, puis, le geste brusque, il tira sur le pantalon et l'en débarrassa. Il attaqua la chemise et releva le boxer de ses fonctions.

Désormais, Rudy se tenait nu devant un Rey entièrement vêtu. Cet état de vulnérabilité fit grimper la jauge d'excitation. La verge du blond-argenté défia la gravité. La voir se dresser si fièrement mit Rey en appétit. Il testa sa fermeté, stimula son gland, sa couronne, massa son frein jusqu'aux bourses, et se réjouit de voir les perles séminales attester de la jouissance de son homme.

Les jambes tremblantes, le ventre contracté d'anticipation, Rudy s'allongea sur le bureau lorsque Rey l'y incita. Ce dernier ramena ses fesses sur le rebord de la table. Elle en aurait des choses à raconter... Rey tordit le cou à la culpabilité qui tentait de l'agripper à la gorge, à l'idée de profaner le bureau légué par son père. Il s'était promis de prendre soin de la compagnie de Marshall ; cela ne lui interdisait pas de prendre soin du joli petit cul de son Rudy, sur le siège du boss. Ce n'était point incompatible !

Ses états d'âme envolés, succomber à la tentation devint une simple formalité. Impossible de résister à l'appel de cet ange à la blondeur polaire vers des contrées ardentes de luxure.

Rudy se pinçait les tétons, gémissait son plaisir et surjouait ses soupirs. Sachant Rey réceptif, il rudoya ses bourgeons sensibles, en imaginant les morsures sensuelles que lui infligerait sa moitié. Rey voulut l'embrasser. Il l'arrêta.

— Pas le premier soir, Patron.

Rey cilla. Oh, tu veux la jouer comme ça ? Soit. Le secrétaire passerait à la casserole sur le bureau du boss. Point. Les baisers impliquaient un attachement que ne ressentaient pas les protagonistes. Mais en matière d'offre et de demande, chacun trouvait son compte.

Les doigts avides, Rey tâta les rives humides de Rudy, rêvant d'y perdre plus que son corps. Son cœur et son âme s'égareraient volontiers dans le jardin secret de ce garçon. Un garçon qui personnifiait la débauche, reins cambrés, yeux fermés, tétons durcis, l'intimité fouillé avec ferveur.

Le sang de Rudy s'affola comme on l'explorait sous toutes coutures. L'autre main de Rey remonta le long de ses cuisses, caressa son aine, joua avec son pubis, et empoigna sa tour sensible. Tous ces doigts qui frictionnaient, écartelaient, pressaient, malaxaient, claquaient, semblaient déterminés à échauffer sa peau, à accélérer son souffle jusqu'à le priver de ventilation. Le bassin agité, le ventre contracté, les jambes écartées, son corps chantait son invitation.

Bientôt, le casting du jeu de rôle changea. Rudy devint l'offrande vierge sur l'autel sacrificiel de quelque rite païen, et Rey le prêtre venu le profaner, refusant de le livrer au bon vouloir du dieu-totem. Une fois le rituel du préservatif et du lubrifiant accompli, d'une poigne solide, Rey contraignit Rudy à s'ouvrir et le prit avec force.

Rudy s'abandonna. Il oublia l'instinct qui le poussait à résister, oublia ses tabous effarouchés, et embrassa ses envies débridées. Il n'avait rien de virginal et n'était pas aussi pur que l'insinuait son apparence. Sa bouille angélique dissimulait un incube ! Se savoir pris d'assaut par un Rey toujours vêtu, pantalon et boxer à peine baissés sur les cuisses, catapulta son exaltation vers le firmament.

Le fantasme à son apogée, leurs gémissements rauques emplissaient le bureau. La grande pièce n'avait pas la même isolation acoustique que le studio musical attenant, mais c'était une sale habitude chez eux de saupoudrer d'un zeste de risque leurs parties de jambes en l'air. L'idée de se faire surprendre rehaussait les sensations.

Chaque coup de bassin ébranlait le bureau, accueilli par un feulement sauvage. Rudy en voulait toujours plus. Rey le bascula sur le ventre, et il présenta son délicieux postérieur, l'invitant à lui mettre les reins en feu.

Rey lécha la peau qui brillait d'une brume de sueur, joli contraste avec les cheveux d'argent. Le tableau fantasmagorique resterait gravé à vie. Son cœur battrait la chamade à chaque fois que remonteraient ces réminiscences.

— Tu sais quoi ? Je vais te demander de cosplayer Zayn Pierce, ensuite je te ferai sauvagement l'amour.

Rudy gémit son approbation.

— Et pas un cosplay bas de gamme, continua Rey. Je vais soudoyer les équipes de couture et make-up de W.M.

La confection des vêtements, les accessoires et le maquillage seraient de niveau professionnel. C'était son droit de fantasmer ! Et il serait stupide de ne pas profiter des moyens à sa disposition pour le réaliser. Rudy pouffa. Il ne contrarierait pas ce délire.

Attentif à la jouissance de son partenaire, Rey sentit le moment où Rudy se déconnecta des considérations terrestres. Or ce n'était point l'heure d'embarquer à destination d'Orgasm-City. Il le ramena dans le bureau, en les installant dans son siège pivotant dont il glorifia le rembourrage et le confort d'assise de haut niveau. Rudy s'aida des accoudoirs du fauteuil ergonomique et le chevaucha avec plus d'ardeur. Il l'attira plus près, plaquant le dos de Rudy contre son buste. Son petit-ami positionna ses pieds sur ses genoux, et le jeu de reins atteignit une autre dimension.

Les doigts de Rey s'enfoncèrent dans le cuir. Ce garçon causerait sa perte ! Il lui glissa des grivoiseries à l'oreille. En réponse, les plaintes de l'objet de son désir gagnèrent en obscénités.

— Tu sais que t'es une putain de bête de sexe ? grogna-t-il.

— Prenez... vos responsabilités, Patron ! haleta Rudy.

Oh que oui, je vais les prendre ! Et bien en main. Rey frictionna le membre de son génie du sexe avec passion. L'action devint frénétique à l'approche du point de non-retour. Il n'en fallut pas plus pour qu'il se perde dans les limbes de la jouissance. La baise au bureau, c'était spatial !

Yeux clos, Rudy émit un ultime gémissement, puis se laissa emporter par la vague. Le souffle court, les membres amorphes, il se livra aux câlins de Rey qui revendiquait sa dose de baisers, apaisant la frustration résiduelle de leur manque durant l'acte. Rey lui caressa la lippe d'un pouce humide de ses propres fluides. Rudy le suça, savourant les dernières répliques du séisme orgasmique.

— Tu penses qu'on pourrait remettre le couvert un de ces quatre ? s'enquit Rey. Vu comment ç'a été torride, ce serait triste de ne pas réitérer l'affaire.

Rudy gloussa.

— Mr Lee-Cooper, c'est vous le patron.

*o*o*

TBC ● EPISODE 26

*MEDIA*
Intro vidéo : E.T - Katy Perry. Parce que ces lyrics étaient écrits pour ces deux-là !

You're so hypnotizing
Could you be the devil?
Could you be an angel?
Your touch magnetizing
Feels like I am floating
Leaves my body glowing

They say, be afraid
You're not like the others
Futuristic lover
Different DNA
They don't understand you

You're from a whole 'nother world
A different dimension
You open my eyes
And I'm ready to go
Lead me into the light

Kiss me, kiss me
Infect me with your loving
Fill me with your poison
Take me, take me
Wanna be your victim
Ready for abduction

Boy, you're an alien
Your touch so foreign
It's supernatural
Extraterrestrial

You're so supersonic
Wanna feel your powers
Stun me with your laser
Your kiss is cosmic
Every move is magic

You're from a whole 'nother world
A different dimension
You open my eyes
And I'm ready to go
Lead me into the light

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