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S07 - EP 16 ✧ part III

Partie 3/3

Rudy se reprit.

— Si les origines du G.L.O.B.E. venaient à se savoir, Edwards coulerait. (Rudy contint un frisson en ajoutant :) Et Vince aussi.

— Edwards coulerait bien profond, appuya Dean. Et on ferait de lui un exemple pour apaiser l'indignation de l'opinion publique. Même si cette expérience a grandement profité à l'État. Vince possède un flotteur. Le MIP-Club.

Estomaqué, Rudy peina à digérer le fait que sa famille trempait dans cette mascarade odieuse.

— Tu m'étonnes que la famille aime afficher son positionnement non politique ! Le clan ne donne pas dans la démagogie et n'encense aucun parti politique, parce que la politique c'est du menu fretin ! On préfère attaquer des cachalots comme la Défense de l'État.

White Enterprise© s'enorgueillissait certainement d'avoir su le harponner. Seulement, le cachalot se révélait plus monstrueux que prévu et, en dépit du flotteur, entraînait le chalutier Leblanc sous l'eau.

— Jusqu'où sommes-nous impliqués ?

Il ne voulait pas hériter d'un Empire criminel. Mais qu'il le veuille ou non, ces péchés appartenaient à son héritage. Se désister reviendrait à bafouer ses résolutions.

Dean haussa un sourcil.

— Nous ? Il n'y a pas de « nous » ni de « on » qui tienne. Tu n'es pas impliqué. Reconnaitre ton héritage ne signifie pas endosser la responsabilité de tes prédécesseurs !

De toute évidence, contrairement à lui, son fils embrassait son nom sans se perdre en conjonctures existentielles.

« Ton garçon est plus coriace que toi au même âge. »

Cette foutue voix culpabilisante ! Était-ce ce qu'avait vu Vince chez son fils ? Cette robustesse qui lui faisait défaut ? D'un autre côté, à dix-huit ans, Dean n'avait pas vécu la moitié des traumatismes de son rejeton. Rudy était habitué à l'adversité depuis qu'il avait conscience de vivre dans un monde tolérant, encourageant et pratiquant l'homophobie.

Dean avait été craint à cause de son tempérament dominateur assorti au prestige de son patronyme. Il avait le charisme d'un leader ; non pas celui qui haranguait les foules – ça c'était Dan –, mais celui qui en imposait par sa présence. On le suivait ou on s'écartait de sa route.

Rudy était tiré d'un autre bois. Il encaissait les coups et se relevait continuellement, jusqu'à forcer le respect de ses adversaires. En dépit du fait qu'il ait été élevé dans un cocon. Un cocon mal ficelé...

— Je saurai le degré d'implication de l'Empire après ce dîner avec Vince. J'en ignore beaucoup sur le G.L.O.B.E. Et je veux savoir dans quoi on patauge avant de piquer une tête. Non que je doute de mes notions de natation, mais mieux vaut savoir s'il faut y aller avec un scaphandre en néoprène ou vêtu d'un slip de bain en nylon.

Rudy jugea son ironie bas de gamme. Elle eut le don d'alléger un peu la tension.

— Si le financement du G.L.O.B.E. par Grand-père a été le prix de l'immunité Leblanc, Vince mis de côté, peut-être que l'implication de l'Empire est simplement financière ? Sur le plan économique, l'immunité reste un sacré atout. Dans le sens où l'Empire Leblanc peut se foutre des procès qu'on lui intente en cas de concurrence déloyale. Avec une telle arme, y'a rien de surprenant à ce qu'il se soit imposé comme le leader incontesté dans de nombreux domaines.

— On pourrait penser ainsi, mais ce serait faire peu de cas de l'opiniâtreté de Vince. Même sans immunité, il n'aurait pas démérité. Il a toujours voulu surpasser Ritchie. Et crois-moi, fils, cela reste une sacrée motivation.

— Ouais... Je commence à penser que l'immunité, c'était surtout pour avoir la paix, dit Rudy en lançant un regard équivoque à son père. Connaissant le spécimen turbulent qu'il avait pour second fils...

— Je ne te permets pas ! s'offusqua Dean.

Rudy s'esclaffa. Dean se fit soudain pensif. Et si c'était vrai ? Et si c'était pour sa progéniture que cet homme avait intrigué pour se procurer ce sésame donnant à sa famille le statut d'intouchable ?

« Cela voudrait dire que ton père ne se foutait pas de ce que tu faisais ou devenais... »

Dean grommela, peu enclin à accorder à Vince des circonstances atténuantes. Mais depuis que son fils n'hésitait plus à pointer du doigt ses torts, il donnait, malgré lui, de plus en plus raison à son père. Au fond, ils n'étaient pas si différents. Ils pouvaient pactiser avec le diable si cela garantissait la sécurité de leur progéniture.

— En ce qui concerne le prix de l'immunité Leblanc, disons qu'à l'époque, les termes de ce marché de dupes avaient été fixés ainsi. J'ai le sentiment qu'aujourd'hui, Vince perd son emprise sur Edwards. Au fond, rien de surprenant, maugréa-t-il.

Ayant compris la faille de la politique Leblanc – s'assurer que tous ses débiteurs payent leurs dettes –, Edwards s'était arrangé à ce qu'aucun de ses fils ne soit débiteur de l'Empire. Aujourd'hui le G.L.O.B.E., préalablement financé par Vince, était dirigé par Sâminathan Meister, membre du top dix des fortunes nationales. La responsabilité de l'Agence incombait officieusement à Jai Rao. Et Edwards chapeautait le tout, visage officiel dans le siège du directeur de l'IANS. S'il venait à tomber, aucun autre pion de Vince ne pourrait lui succéder, car la relève Meister ne cèderait pas sa place.

Vince avait rencontré un stratège à sa hauteur. Seulement, sa main actuelle était faible aux yeux du MIP-Club. Quand la relève de Vince avait le poids light d'un Rudy Leblanc, trop jeune, fragile, non formaté par le programme de squale des Leblanc, un tantinet angélique au milieu d'un champ de batailles vicieuses et sordides, celle d'Edwards pesait aussi lourd que Jai Rao et Sâminathan, deux monstres aux mains sales et suffisamment riches pour s'acheter une immunité, une bonne conscience, et sans doute une place VIP au paradis. Le pronostic final n'allait pas en faveur du challenger Vince.

Aussi Dean ne comprenait pas pourquoi Vince persistait à miser sur Rudy, quand il avait Dan sous le coude. Il commençait à se demander si son frère aîné ne rejetait pas cet héritage. Peut-être qu'en refusant de donner une descendance masculine à l'Empire, Dan avait sciemment refusé de rentrer dans le moule. Dean n'avait plus d'autre choix que le confronter sur les raisons réelles de son désistement. Si l'oncle avait assumé jusqu'au bout sa position de premier né, le neveu ne serait jamais devenu une cible.

Le retrait de Dan – sa lâcheté sans doute – avait exposé Rudy. Et quelque part, Dean en voulait à son frère. En représailles, il raflerait ce qui aurait dû revenir, de droit, au fils aîné s'il avait répondu à tous les critères du successeur. Dorénavant, Dean n'aurait que faire de la jalousie mal placée de Dan. Ce dernier avait raté sa chance.

De toute manière, Dean pissait désormais sur les aléas du destin. Ce sadique avait beau battre et distribuer les cartes, la décision de les jouer restait sienne.

— Il perd son emprise parce qu'il se fait vieux ?

L'ingénuité de la question dessina un sourire sur les lèvres de Dean.

— Non, fiston. Tu apprendras qu'un Leblanc devient plus efficace et plus redoutable à mesure qu'il vieillit.

— Tu m'en diras tant, marmonna Rudy. Daniel-Ritchie en est la preuve vivante !

Ce rappel les refroidit.

— C'est parce que Meister a appris à lutter contre Vince en utilisant les mêmes armes. Voici mon hypothèse. Au départ, Edwards qui possède un héritage militaire par son père, était un solitaire. Il aura su copier le modèle en chaîne de W. Ent, en comprenant son efficacité. Or la solidité d'une chaine repose sur la résistance de son maillon faible. Edwards s'est entouré de ses fils, et le plus faible d'entre eux a une poigne d'acier. Mon intuition est qu'aujourd'hui, Vince n'a aucune influence sur ces derniers. Je pense qu'il a conscience de perdre son hégémonie. Mais je n'arrive pas à voir comment il compte retourner la situation. Je ne saisis pas son « plan de bataille ».

Rudy ressentit la frustration de son père. Le sujet le travaillait vraiment.

— La plupart des personnes mises dans la confidence des origines du G.L.O.B.E. sont persuadées qu'Edwards se trouve toujours aux commandes. C'est lui qui signe les papiers. C'est lui la figure d'autorité officielle de cette branche occulte. En réalité, le cerveau actuel est quelqu'un d'autre. J'ai le sentiment que Vince ne l'a pas saisi à temps. Sinon, il se serait dépêché de faire de ce « cerveau » son débiteur dans quelque domaine.

La main de Vince manquait de cartes fortes, parce qu'il avait sous-estimé Edwards Meister.

— Qui est ce cerveau officieux ? demanda Rudy.

Le voyant suspendu à ses lèvres, son père fit la moue. La curiosité enthousiaste de Rudy lui masquait la dangerosité des informations échangées dans ce bureau.

— Ce n'est pas un jeu, ni une intrigue de polar, fils. Il s'agit d'une sombre facette de notre sécurité nationale. Le côté romanesque qui semble t'enthousiasmer est l'écran de fumée devant la laideur du tableau.

— Chayton a eu le temps de me le faire comprendre.

La réplique doucha Dean.

— Soit.

Le prénom Chayton le plongeait dans une colère plus cristalline que de l'eau pure. Il ignorait comment il réagirait lorsqu'il verrait ce serpent. Le gardien de prison assurerait sûrement la sécurité du détenu et non celle de son visiteur...

— C'est mon erreur de toujours te croire naïf, admit Dean.

En dépit des horreurs qu'il avait subies, Rudy embrassait cette part sombre de son héritage que Dean avait rejetée plus jeune, sans en sonder la profondeur. Que Dean le veuille ou non, son fils l'avait dans le sang. Eh bien, autant entamer la leçon suivante du programme d'initiation.

— Le cerveau du G.L.O.B.E. est le propriétaire de la société IGIT©.

— Le grand-frère de Blacky ? releva Rudy, interloqué.

Dean sursauta.

— Attends, il t'a dit que c'était son grand-frère ?

Voyant Dean lutter contre son hilarité, Rudy s'indigna.

— Te moque pas ! Je suis pas aussi crédule, j'avais capté que c'était du pipeau ! Ouais, bon, je l'ai réalisé y'a quelques minutes, confessa-t-il, bougon. C'est pas Blacky qui me la dit, c'est lui. (Il pointa la photo du dénommé Isha Askook.) D'après lui, Blacky vénère le propriétaire d'IGIT©, même s'il ne l'admet pas.

— Oh... je vois, susurra Dean.

En voilà une info croustillante !

— Donc tu sais qui c'est, relança Rudy.

Dean choisit de digresser. Il ne révèlerait pas le nom du patron du G.L.O.B.E. à son garçon. Rudy devait le découvrir seul.

— L'Agent Sainsbury n'a qu'une sœur aînée, fiston. Le premier rôle féminin de la trilogie The Windwalkers.

— Hannah Sains est la sœur de Blacky ?! souffla Rudy, sidéré. Sérieux !? Wow ! Sa frangine est une star de Brown Alley... J'y aurais jamais cru ! Elle a raccourci son nom, comprit-il. Et je suis sûr que si on cherche sur sa page wiki, on ne trouvera aucune allusion à son frère. Ou une vague mention.

— Exact, confirma Dean. De nombreuses stars sont discrètes sur leur parenté. Mais les données sur Hannah Sains sont tronquées. Parce qu'un manitou tire les ficelles dans l'ombre.

Rudy était sur le cul.

— C'est dingue !

— Je ne te le fais pas dire. Je l'ai découvert grâce à ton doyen, ajouta Dean, amusé.

— Ah ouais ? Je crois que... je vais choper le vertige.

Tout, mais vraiment tout, était lié. Dean compatit.

— Bienvenue au club, mon ange.

Rudy l'étudia.

— T'as beau soutenir le contraire, ça reste un « jeu ». Avec des règles sordides, mais un jeu quand même. Un jeu de pouvoir, de stratège, un jeu d'anticipation où le premier qui trouve le lien entre toutes les pièces a gagné. Parce qu'un chainon relie toute chose quand ça se rapporte à la White chain.

— C'est une façon de voir les choses, concéda Dean, plutôt surpris.

Rudy l'amenait à changer de perspective. Le jeune homme semblait appréhender de manière innée l'essence de leur politique familiale, sous un regard neuf. Cela avait beau nouer l'estomac de Dean, son fils incarnait bel et bien l'héritier de cet empire à la vision surréaliste. Peut-être que Rudy serait celui qui, de toutes les générations s'étant succédées à la tête de White Enterprise©, lèverait l'espèce de malédiction rattachée à leur patronyme. Le conseil de son fils aiderait Dean à souffler un vent de renouveau sur ce clan passéiste. À la condition que son ange ne perde pas l'essence de sa candeur et sa fraîcheur, même si on lui avait déjà dérobé son auréole.

— Alors qui est le proprio d'IGIT© ? insista Rudy.

— N'attends pas toujours qu'on te donne les réponses, fils. Tu l'assimiles à un jeu, alors apprends ses règles et joue avec. Devine, anticipe. Sais-tu ce qui arrive si tu attends une réponse ?

Ouais, son père prenait aussi son pied à jongler avec ces absurdités, pensa Rudy, frustré. Dean y excellait carrément ! À lui de rentrer dans la danse.

— On va me taxer la réponse, grommela-t-il. Du coup, plus je devine ou découvre la vérité par moi-même, moins j'ai à la payer. Moins je suis débiteur. Et si je maîtrise l'information, si je renfloue mon stock en « vérités », je les aurai à ma merci puisque je serai libre de leur fixer mon prix.

Dean exhala, le cœur alourdi d'un sentiment vulgaire : de la jalousie.

— Je ne m'attendais pas à ce que tu apprennes « le Leblanc » aussi facilement. À ton âge, je n'assimilais pas les règles avec autant de facilité.

Rudy s'amusa de le voir bougon.

— J'ai un bon instructeur.

La réponse émut Dean. Un peu par surprise. Comme si le compliment s'était nimbé d'un autre sens : « j'ai un bon père ». Il devait l'accepter ; cet amour du « jeu », de la spéculation, de la gageüre, circulait dans leur fichu sang bleu. Et Dean y aurait excellé, sans fausse modestie, si son géniteur lui avait transmis les règles de façon moins spartiate, moins lapidaire, moins violente.

Être un « wrong way addict » ne signifiait pas qu'il faille dégoûter son fils. Ce dernier aurait certainement apprécié « jouer » aux côtés du père. Jouer dans la même équipe. Au lieu de quoi, il avait été exclu, mis sur le banc de touche, parce que né le second. Absurde ! Nul ne choisissait son ordre de naissance ! Venir après Dan ne le rendait pas moins apte. Et Dean le leur prouverait.

— Le proprio de la société IGIT©, c'est un Meister, n'est-ce pas ? dit Rudy. Un des fils d'Edwards. Que Blacky vénère, malgré le fait qu'il ait été un de leurs cobayes, grinça-t-il. C'est du conditionnement à tous les coups. De la lobotomisation ! Ou alors ils sont proches.

Ce serait compliqué de le « voler » à un homme qu'il admirait. Mais pas impossible. Lui aussi deviendrait un proche de Blacky.

— Suffisamment proches pour avoir partagé une chambre à l'internat, glissa Dean.

— Comment tu le sais ?

— Vince a daigné me transmettre ces infos, ironisa Dean.

Rudy arqua un sourcil. Voilà qui confirmait ses pensées. Quelque chose le turlupina.

— Il te les a transmises gratis ?

Dean grimaça.

— Justement, c'est là que le jeu se corse. Il ne m'a pas encore exigé leur prix.

Cela le travaillait au fil du temps. La nature de ces infos impliquait un coût considérable.

— Tu penses qu'il le fera ?

— Il s'agit de Vince, fiston.

— Okay. Mais... et si tu avais déjà payé ces infos, tu y as pensé ? Connaissant Grand-père, faut d'abord payer avant d'être servi. Donc tu as déjà réglé cette transaction.

— Comment ?

La perplexité de son père l'interloqua.

— P'pa... je ne pensais pas que ce serait à moi de te le dire. Vince se sent coupable ou redevable envers toi, car j'ai été enlevé parce qu'il m'a positionné comme son héritier. Je crois qu'il essaye, certes de façon bancale, de faire amende honorable. Il ne sait juste pas comment s'y prendre autrement. Ça ne lui viendrait pas naturellement de te présenter des excuses, comme ça ne te traverserait pas naturellement l'esprit de lui demander de l'aide.

Dean en resta coi.

— Comment cela se fait que tu comprennes cet homme mieux que moi ? pensa-t-il à voix haute.

Rudy eut un sourire amer. Tu es tellement aveuglé par ce qui vous brouille que tu ne vois pas à quel point vous êtes semblables.

— Je suis son héritier, normal ! se vanta-t-il.

— C'est moi qui t'ai fait, coassa Dean.

Il se rembrunit. Vince pensait vraiment pouvoir se racheter de cette manière ? Alors cet homme le connaissait mal. Rien de surprenant. Néanmoins, la réflexion de son fils le troublait plus qu'il n'osait l'admettre.

La porte du bureau s'ouvrit sur la tête de Red, venu annoncer à Rudy l'arrivée de son Blacky-caramel. Le jeune homme lui sourit, prit une photo du trombinoscope avec son téléphone sous le regard aigu de son père, puis extirpa un marqueur du pot à stylos sur le bureau. Il traça une croix sur le document et le posa sur le guéridon à côté des fauteuils. Au moment de prendre congé, Dean l'arrêta.

— Envoie-moi ton Blacky-caramel.

— Ce n'est pas mon Blacky.

— Pourquoi quand Andy le dit, tu valides et quand c'est moi, tu te rebiffes ?

— Parce qu'Andy ne l'accompagne pas d'une pelletée de sarcasme. Pourquoi je te l'enverrais ?

Dean se força à ne pas s'agacer. Son fils pouvait mettre sa possessivité et sa suspicion en sourdine.

— Je dois m'entretenir avec lui.

— D'une chose que je ne peux pas entendre ou ne dois pas entendre ?

— Rien de cela. Ta présence le rendra trop méfiant, si ce n'est hermétique. Je n'obtiendrais pas de lui ce que je désire.

— Tu me l'abîmes pas, le prévint son fils.

— Rudy, tu parles d'un être humain, remarqua Red, qui suivait cet échange, perplexe.

Il flottait une ambiance curieuse dans ce bureau.

— Je sais. C'est p'pa qui l'ignore. Pour lui, c'est juste un outil espion placé à proximité de son trésor. Je te le fais monter. Tu viens, Andy ?

Ce dernier, suspicieux, considéra le père et le fils, et ne releva pas. Si le duo voulait garder ses secrets, il s'en tiendrait à sa politique de ne jamais s'immiscer entre eux.

*o*o*

TBC ● EPISODE 17

*MEDIA*
Intro vidéo : Rise Up - Clear Blue Fire. On dédie ces lyrics badass à Dean & Rudy, parce qu'ils seraient puissants s'ils menaient bataille ensemble !

We can be fearless
We can be bold
We can be brave
We can be the unknown

We can be the wild ones
Heroes of the world
We can share the message
Of the lessons that we learned

We can be the fire
Feeding our desire
Taking all the chances
We never get burned

We can go our own way
We can be the new day
Coming up strong
Ohh Ohh Ohh gonna

Rise up
No stoppin' us now (Hey)
We're takin' on the world
Ohh Ohh Ohh gonna

Rise up
No stoppin' us now (Hey)
We're takin' on the world
Ohh Ohh Ohh gonna

We can be
We can be

We can be the strongest
We got what it takes
Runnin' through the jungle
We're going all the way

We can be the next gen
We can be the champions
Standing on top
Ohh ohh ohh ohh

We can be the thunder
Be the uprising
We can be the storm
We can be the lightning

We can go our own way
We can be the new day
Coming up strong
Ohh Ohh Ohh gonna

Rise up
No stoppin' us now (Hey)
We're takin' on the world
Ohh Ohh Ohh gonna

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