Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

S06 - EP 36 ✤ part II

Séquence sous le sceau du 3e C du label "C-C-C".

Partie 2/2

De grandes lettres métalliques, surplombant un haut mur de briques ocre, annonçaient : « circuit O'Ryner ». Une erreur de signalisation expliquait pourquoi la piste de rallycross n'était pas indiquée aux automobilistes depuis la route. Les gens s'y rendaient par habitude ou grâce au GPS. Il n'y avait pas un chat aux alentours. Red dévisagea son copilote, n'osant poser sa question.

— Tu voulais voir ce qu'elle avait dans le ventre, commença Dean. Ne t'emballe pas, hein ! Il n'est pas dit qu'on y arrive. C'est trop calme pour un jour de tournoi, mais rien n'exclut que le circuit soit fermé pour des essais ou quelque raison sécuritaire. Dans ce cas, on reviendra une autre fois. Enfin, si l'idée te plaît.

— Si l'idée me plaît, qu'il dit ! hoqueta Red, incrédule. Tu sais que je t'aime, toi ?

Il saisit les pans de la veste en cuir de Dean et l'attira sans se soucier de lui couper la respiration avec sa ceinture de sécurité. Le baiser surprit Dean autant qu'il l'enchanta. Il se détacha, évitant la meurtrissure de son entrave, comme les lèvres de Red suivaient l'arrondi de sa pommette, remontaient jusqu'à son oreille.

— Tu sais à quoi je pense, là, maintenant ?

Le murmure onctueux lui arracha un délicieux frisson d'anticipation. Dean n'eut pas la volonté d'invoquer la décence.

— Je suis curieux de le savoir.

— Et si je te montrais plutôt ?

Quand une main abandonna sa veste et se dirigea vers le territoire dangereux de sa braguette, Dean gémit presque.

— Je ne l'ai jamais fait dans une voiture.

La confession un brin candide arrêta l'élan de Red. Il se redressa vivement.

— Sérieux ?

Dean se maudit de rougir sous les feux ambrés des prunelles de son homme. Le commentaire assorti d'yeux rieurs ne l'aida pas à retrouver contenance :

— T'as jamais été jeune ou quoi ?!

— Aussi curieux que cela puisse te paraître, je ne suis pas si « vieux » ! bougonna-t-il. Et contrairement à toi, je n'ai pas eu la lubie de tester tous les clichés. Ils ne sont pas nombreux à l'avoir fait dans une voiture !

Je l'ai vexé, réalisa Red, se violentant pour ne pas rire. Dean était trop mignon à cet instant. Dévorable à souhait.

— Ne prends pas la mouche comme ça, Cream-caramel, le cajola-t-il. J'ai exprimé ma surprise avec maladresse. Mais tu as déjà testé la cabine en plein vol d'un téléphérique...

— Pourquoi retiens-tu ce genre de chose ? soupira Dean, dépassé.

— Parce que c'est important. T'y connais rien, Dean Leblanc ! Partant de cette histoire de téléphérique, j'ai supputé que pour arriver à un tel niveau d'audace, le b.a.-ba aura été emballé et pesé.

— Le b.a.-ba ?

— Tirer son coup dans une bagnole ou s'y faire tailler une pipe, pardi ! C'est un classique.

— Eh bien, pas pour moi ! Ce que tu peux être peu glamour, parfois !

Un ange passa dans l'habitacle après cette indignation véhémente. Puis Red explosa de rire. Dean vécut la quintessence de la mortification. Il n'avait tout de même pas dit ça !? Pour le coup, Red avait raison de se bidonner. Mais pas besoin de se boyauter aux larmes, non plus ! Cette hilarité crucifiait son ego « machiste ».

— C'est ta faute ! À te comporter en diva, tu me conditionnes à t'attribuer une nature glamour !

Son amant lui faisait dire des mièvreries... Les rires de la hyène redoublèrent. Le souffle court, elle réussit à caser :

— C'est toi qu'es trop guimauve, chéri ! Bon sang, j'aime quand tu me fais rire comme ça.

Dean grogna. Le spectacle étant plaisant, son ego s'en remettrait. Red retrouva ses airs de séducteur.

— Tu sais que tu me fais un honneur ?

— Lequel ?

— Tu m'accordes le privilège de te faire tester les amortisseurs et l'angle de rabattage des sièges de ma nouvelle voiture.

Son regard lubrique disait « cap ou pas cap ? ». Dean y répondait toujours de façon favorable : « chiche, on le fait ».

— J'avais seulement prévu d'être la meilleure langue de ta vie, mais tu viens de signer pour le forfait complet Septième ciel. Une chance que les vitres soient teintées.

Quand Red embrassa la peau de son cou, Dean se dit qu'il n'était pas encore assez vieux pour ces conneries. Pourquoi diable n'avait-il jamais testé une fichue bagnole ?! Ce n'étaient pas les voitures qui lui manquaient, à l'époque, il en changeait comme de chemises. Il se serait épargné un moment de solitude... La langue de Red le ramena à sa divine besogne. Plus bas, des doigts mutins le cajolaient à travers le tissu de son boxer. Associées à la dégustation de sa peau, les attentions de son camarade lui échauffèrent les sens.

Un instant, Red se figea. Quand Dean s'était-il rasé ? La veille ? Il se félicita d'avoir initié son homme à la tonte de ses parties intimes. La sensation de cette peau lisse par endroit n'avait pas de prix ! Lil Dee s'apprêtait à recevoir les hommages les plus fervents dont il pourrait jouir dans une voiture. Du « car-service by Red Kellin », et il se faisait fort de prouver à Dean qu'il connaissait par cœur ses attributs. L'occasion parfaite d'engranger des souvenirs mémorables.

Pour plus de confort, Dean se débarrassa de sa veste et rabattit au maximum son siège vers l'arrière. Il déplora de ne pas être dans une voiture moins basse dont le moteur se situerait à l'avant. Mais Red le détourna de cet inconfort d'une poigne solide autour de son dard. Comme pris en flagrant délit de perversité, son homme lui lança un regard concupiscent, sans fard. Tandis que l'objet du délit de son amant se déliait sous son talent, Dean empoigna la chevelure de Red et leur imposa un baiser ardent.

Un frisson finit sa vie dans les orteils de Red. Témoins d'un soupir licencieux, Dean gronda. Les soupirs de cet homme de feu le rendaient dingue ! À l'instar de ses caresses lentes et persuasives, appel à l'abandon. D'une œillade, Red sonda l'ampleur de son désir, puis se concentra sur son entrejambe.

Premier palier du plaisir, franchi. La libido de Dean renvoyait Red à ses émois d'adolescent sous rush hormonal. Son jean dut rétrécir à en juger son étroitesse. Il déboucla habilement sa ceinture et relâcha la pression en libérant de la toile brute son membre enthousiaste. Avec plus d'espace, il n'aurait pas hésité à se doigter... Dean le rendait trop salace pour son bien !

Les yeux de lagon se délectèrent du spectacle. Dean partageait ses pensées, tant son envie se reflétait sur son visage lascif. Son homme l'aida à se débarrasser de sa veste, puis le regard de Dean se troubla sous l'habilité de ses doigts. Avec insolence, Red savoura l'extase de son partenaire qui penchait la tête en arrière et sifflait sa jouissance.

Le décalottage d'un vit n'avait jamais paru aussi fascinant. Le glissement d'une peau soyeuse, manteau d'une rigidité d'acier, au son de feulements érotiques... L'onanisme relevait du mystère et du rituel. À présent, le phallus arrogant de Phébus le faisait saliver. Red s'enivra de l'odeur musquée de l'homme à sa merci, qui étouffait ses plaintes en se mordant la lippe. Il pimenta le jeu en exprimant ses vœux.

— Sais-tu le plaisir que j'ai à te voir ainsi ? Ton corps bandé du désir de moi, chuchota-t-il au creux de l'oreille de Dean. C'est jouissif de te voir lutter pour garder un semblant de maîtrise.

Dean ne put qu'y opposer un grognement. Son envie se résumait à la bouche de sa moitié sur le territoire de son plaisir. Mais avant d'obtenir cette gâterie, son Red sadique le supplicierait d'abord de ses flatteries. Son souffle s'oppressa quand l'incube démentit ses pensées. Des lèvres enjôleuses titillèrent son priape. Malicieux, Red avala cette extrémité de lui aux sens décuplés. Une vague de chaleur s'abattit sur son bas ventre.

— Gosh, Andy !

Le geste doux, il glissa ses doigts dans la crinière incarnate et la dégagea. Non pour qu'elle ne gêne pas l'action divine de Red, mais pour assouvir son voyeurisme. Il se damnerait que de manquer une seconde de la danse de cette langue virtuose avec sa masculinité. Les lèvres de son partenaire connaissaient les secrets de Lil Dee ; de ses appétences les plus audacieuses aux plus indicibles. Aidé des doigts musards du musicien, sa bouche prit en otage son désir. Le délice accéléra sa respiration. Dean balbutia une mise en garde, mais dévoué à sa mission de le rendre fou, Red ne l'entendit pas. La sève de son plaisir montait, et la parole lui échappait.

La main tremblante dans ses cheveux indiqua à Red la perte du contrôle du capitaine à bord. Hum... trop tôt. Il avait un autre plan de navigation. Ce n'était pas le moment de lâcher la barre. Libérant celle qu'il tenait avant que l'autre ne chavire, Red s'attaqua à la boutonnière de Dean, tout en frustrant ses lèvres de baisers pointus à l'accent aigu. Son Apollon ne l'entendit pas de cette oreille et y répondit par des baisers suaves à l'accent grave.

Dean frémit, certainement de « froid » maintenant que Lil Dee avait quitté la chaleur de son cocon. Des mots crus panachèrent d'obscénités la tendresse de ses caresses. Red exulta. Il adorait quand le côté fripon de son homme sortait jouer. Ce clivage entre le raffinement de son apparence et la grossièreté de son verbiage au moment de l'acte attisait son incandescence.

Son partenaire avait déjà oublié l'endroit où ils se trouvaient. Le geste fébrile, Dean l'incita à l'enjamber dans l'espace exigu. Il dénuda son torse et en titilla les tétons. Red cherchait encore une position confortable quand on le plaqua contre un buste musclé. Dean butina dans son cou. Il songea qu'il avait une autre raison d'utiliser l'écharpe, maintenant que son propriétaire l'avait marqué d'un délicieux suçon douloureux. Cambré, Red grogna son désir, comme des mains avides malaxaient ses fesses et accentuaient le frottement de son bas ventre contre les abdominaux de son camarade.

— J'ai tellement envie de toi ! confessa Dean.

Empressé, il fouilla dans le boxer de Red et massa son trésor de famille. Celui-ci gloussa.

— Il n'y a qu'à te servir, tu sais.

— J'ai envie de te sucer, précisa-t-il.

En écho à cette gourmandise, l'insigne viril de Red manifesta son impatience et nourrit sa frustration.

— Dans l'état actuel des choses, ce sera compliqué, mon amour. Une autre fois ?

Dean le fit taire d'un baiser exigeant. Comme à son habitude, il mima l'acte charnel de sa langue et activa le mode « furie » de la bête érotique de Red. Dominante, elle lui saisit la nuque et prolongea leur échange. Grognements synchrones, aveux de délectation.

Le déhanché de Red imprimait une houle rythmée à leur plaisir. Dean bénit l'inventeur du stretch en défroquant davantage son danseur personnel, sans trop nuire à l'aisance de ses mouvements. Ses doigts lubrifiés de fluides naturels furetèrent dans le pays bas de Red. La préparation ne serait pas longue, ils avaient été plutôt actifs ces derniers jours en prenant souvent leur douche ensemble.

— Ce serait bien si t'avais une capote, Phébus, rappela Red, rattrapé par la logistique.

— Dans mon sac, grogna-t-il.

Red roula des yeux. Il fallait tout faire avec cet homme ! Il se contorsionna pour atteindre le petit sac en cuir aux pieds de Dean et le mit face à son partenaire de manière ostensible. La cassure d'ambiance arracha une moue à Dean, mais il ne se fit pas prier. Il dénicha le sésame de latex, et sa poche de gel qui leur sauveraient la mise, et en vêtit sa vigueur.

Pendant ce temps, Red réalimentait le four en stimulant les zones érogènes de son terrain de jeu. Il suçota le lobe d'une oreille, titilla le nombril, sema de petits baisers sur le tracé de la mâchoire. Il aurait volontiers gratifié d'une marque la peau chaude à la jonction du cou et de l'épaule, si tous deux ne se partageaient pas une seule écharpe. Refusant de s'en laisser contrarier, il satisfit son envie sur la clavicule de Dean.

— Si j'étais un vampire, je m'abreuverais de ton sang en te chevauchant. Je suis sûr qu'il me tournerait la tête.

— Je te verrais plus en garou, rétorqua Dean. Félin, de préférence. Laisse le Nosferatu à Rey.

Red rit.

— Ah ouais ? Pourquoi ?

— Rudy a mis une option dessus. Pour ma part, j'aime quand tu rugis, susurra Dean en se positionnant avec l'aisance de l'habitude.

Red le sentit pulser contre son intimité. Dean voulait l'entendre rugir ? Il ne serait pas déçu. Avec un cri félin, surjoué de façon très érotique, il le prit en lui.

— God, Andy !

— C'est parfait, exhala Red. On passe de « gosh » à « god », c'est parfait !

Dean ne lui reprocha pas sa vantardise. Il cala sa danse sur un tempo lent, déterminé à visiter la moiteur de sa moitié vénérienne. La voiture limitant ses mouvements, le rythme langoureux de ses reins lui interdisait le rodéo sauvage. Mais Red enfourchait très bien son étalon ; monture qui variait à loisir l'alternance des allées et venues de Little Dean.

— Je t'ai déjà dit que j'aime quand tu changes ta façon de me prendre ?

Red eut droit à de l'arrogance en réponse.

— Pas besoin, je le sais.

Dean maîtrisait la mécanique de la chevauchée. L'angle et la profondeur, des paramètres non négligeables, au même titre que la vitesse. Son homme risquait d'emboutir son scalp contre l'intérieur de la carrosserie, aussi ne modulerait-il que les deux premiers. Il mobilisa ses muscles et suréleva les cuisses de Red. Cette session s'annonçait sportive. La routine. Dompter un dragon exigeait toute ses ressources.

Quasi-immobilisé, Red se retrouva à la merci du ramonage d'un amant doué. Vraiment doué du gland ! Il mordit dans un cri de plaisir et de frustration. D'un jeu de bassin cruel, Dean refusait de le gratifier de toute la longueur de Popaul-caramel. Au supplice, il ne tint plus.

— Putain, honore-moi de toute ta virilité, sale égoïste !

Le sadique ricana. Avec un plaisir malsain, Dean le prit très lentement, puis, sans crier gare, céda à la brutalité. L'à-coup arracha un feulement de panthère à Red.

— Oh oui, mon Zeus ! Encore !

Il aimait cette bestialité ! L'ego surplombant l'Olympe, Dean exauça son vœu encore et encore, non sans le supplicier par le côté aléatoire de ses coups de glaive. Son fourreau fut malmené, instrument de plaisir livré au bourreau d'Éros qui prévoyait de l'achever. Mais alors que ce dernier s'y attendait le moins, le fauve dompté reprit de l'ascendant. Red s'appuya sur ses épaules, crispa des doigts possessifs dans la tignasse d'or et dévora la bouche du dompteur. Ayant de l'endurance à revendre, il s'éloigna et s'adossa contre la boîte à gants. À ce moment-là, Dean quitta l'Olympe et entrevit le parvis du Nirvana.

La vigueur dressée avec hardiesse lançait un appel à l'indécence. Dean y répondit avec obligeance. Bannies de l'autel de leur déraison, les traces de leur raison se dissipèrent dans un brouillard d'euphorie. Le temps se dilata. Ils échappèrent à son emprise, loin de toutes considérations matérielles.

Assoiffé de sa peau, de ses baisers étourdissants, Dean ramena Red contre son corps. La délivrance s'annonçait. De manière déloyale, le phénix lui porta le coup de grâce. Les bras autour de son cou, son bien-aimé haleta à son oreille les mots qu'il avait toujours voulu entendre. Des mots qu'il espérait entendre le restant de son existence.

— Tu es mien, Dean Leblanc... Je t'aime. Je t'aime tellement !

Une plainte sauvage accompagna sa reddition dans un ultime soubresaut. Front contre front, Red se délecta de son retour de la septième strate céleste d'où il l'avait catapulté. Sa satisfaction donna une autre saveur aux contractions de son intimité. Il ravala un gémissement aux adieux du membre de son amant. La succion immorale lui ferait signer un second acte. Mais Lil Dee n'étant plus d'attaque, Dean le frictionna jusqu'à l'extase.

Oublieux de toute logistique, le nectar de Red macula le ventre de Dean, sa poitrine et son cou. Le couple pouffa. Échevelé, les oreilles bourdonnant des restes de son orgasme, son intérieur pulsant de bien-être et d'un soupçon de douleur agréable, Red se réadossa contre la console, le souffle laborieux.

— On devrait tester les voitures plus souvent, soupira Dean, alangui et repus.

N'étant pas le plus raisonnable des deux, Red assentit.

— La tienne est la prochaine sur la liste. Ensuite on essayera une limousine.

— Et enfin le Gulfstream.

— Hmm, en apesanteur ? fit Red, coquin.

La perspective de rejoindre le « High Miles Club » leur inspira un sourire grivois. Dean tiendrait cette promesse, Red n'en douta pas.

— T'as des mouchoirs ?

Plus consterné que concerné, Dean dévisagea son buste. S'il en avait, ils étaient restés dans sa voiture. Merde. Il haussa les épaules et saisit son écharpe. Red fut bien obligé de valider ce choix, à court d'alternative. La pauvre écharpe se sacrifia donc pour leur toilette. La maniaquerie de Red sortit de son anesthésie lorsqu'il vérifia que le cuir neuf des sièges n'avait rien subi de leurs ébats.

— Si cela t'inquiétait tant, j'aurais pu me contenter d'une...

Les sourcils arqués de Red interdirent à Dean de finir sa phrase. Tous deux savaient qu'après une pipe comme celle d'aujourd'hui, il en aurait voulu plus. Cet homme aimait le beurre, l'argent du beurre et le cul du crémier. Dean lui déroba un baiser, plutôt chaste après leurs élans de passion.

— Il faut que tu m'apprennes à en faire, des fellations comme ça.

— Tu t'en sors très bien, sourit Red, ravi du compliment implicite.

— Mais toi, tu as la maestria.

Dean ne voulait pas faire moins bien que son partenaire. Lui refiler des tuyaux concourrait à leur bonheur à tous les deux.

— Ce n'est pas censé être une compétition, s'en amusa Red. Je t'aiguillerai sur mes sensations la prochaine fois. Si, bien entendu, j'ai toujours l'usage de la parole. Tu me fais perdre la tête, Dean. Tu le sais.

— Pas autant que toi.

Dean reprit ses lèvres avec tendresse. Un soupir extasié plus tard, Red mit un terme à l'échange sensuel, au grand dam de son homme qui activait le mode « câlins post-coït ». Pour sa défense, Red l'y avait habitué. Mais ce dernier quittait déjà la voiture, avec l'énergie d'un bâton de dynamite. Son partenaire pétait le feu ! À lui de suivre le rythme, avant d'écoper à nouveau du statut de « vieux »...

*o*o*

TBC ● EPISODE 37

Reconnexion  ReDean. Enfin. Il n'y a plus qu'à prier qu'ils ne foutent pas à nouveau tout en l'air !

*MEDIA*
Intro vidéo : (Rapunzel OST)  I See The Light - Tangled by Mandy Moore & Zachary Levi. De manière étrange, ces lyrics doux se sont imposés pour cette séquence plutôt épicée. Et parce que les "she" pourraient bien être remplacés par "he", avec ces deux-là.

All those days, chasing down a daydream
All those years, living in a blur
All that time, never truly seeing
Things the way they were
Now she's here, shining in the starlight
Now she's here, suddenly I know
If she's here, it's crystal clear
I'm where I'm meant to go

And at last I see the light
 And it's like the fog has lifted
 And at last I see the light
And it's like the sky is new
And it's warm and real and bright
And the world has somehow shifted

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro