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32 - Réaction

Petit résumé parce que ça fait longtemps héhé :

Après l'officialisation de notre couple avec Kim, Hoseok et moi-même sommes partis pour notre camp de deuxième année en plein aire, dans le Parc National de Bukhansan. L'école nous logent dans un vieux temple bouddhiste restauré en auberge, incrusté dans le flanc d'une immense montagne. La vue est juste époustouflante, étant au-dessus d'une combe, et le temple à l'architecture traditionnelle est à couper le souffle. Puis, alors que nous nous dirigions vers le réfectoire de la troisième résidence du temple pour aller manger, c'est avec un grand étonnement que nous découvrons deux de nos futures cuisiniers assignés pour notre camp. Ces deux garçons ne sont ni plus ni moins que Yoongi Hyung et Kim, ou autrement dit, mon désormais petit-copain.



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— Attends, attends, comment ça se fait que vous soyez là ? Vous êtes vraiment responsables de nos repas ? Genre tu vas cuisiner pour nous tous ?

Je demande encore incertain et avec appréhension, tout en suivant Kim au pas, dans le couloir en bois. Je l'entends souffler légèrement du nez et le bluet finit par me jeter un coup d'oeil par dessus son épaule. Ses sourcils sont légèrement courbés vers le bas et il semble tirer une mine boudeuse.

— Quoi ? T'es pas content ? Me questionne-t-il, offensé, avant de reporter son regard droit devant lui.

Je me pince distraitement les lèvres et accélère le pas pour le suivre. Mince, je crois que je l'ai vexé. C'est vrai qu'il a fait pas mal de progrès niveau cuisine, j'ai seulement été surpris, et aucunement déçu de sa dévotion. Au contraire, en réalisant pleinement sa présence ici, je ne peux retenir un fin sourire de venir se dessiner sur mes lèvres. Finalement, je n'aurais pas à attendre une semaine de plus pour qu'enfin nous puisons redormir ensemble, après son absence à cause de son camp d'entraînement.

Malheureusement, mes fameux espoirs de faire une nuit complète et agréable, s'en vont au moment même où Kim entre dans la chambre réservée à leur effet.

J'ai rêvé trop vite. Nous ne serons pas dans la même chambre.

Un léger soupire m'échappe et je pénètre à mon tour dans la salle. Le bluet s'avance directement vers l'armoire, comme je l'avais moi-même fait à la découverte de ma chambre. D'ailleurs, celle de Kim et Yoongi Hyung est exactement la même que la notre, mais en miroir, comme si le couloir faisait office d'un axe de symétrie. Enfin, je m'égare.

Le regard de Kim se déplace un peu partout dans la pièce, inspectant le lieu tranquillement, tout en déposant son sac de sport à côté du meuble en bois. Puis, ses yeux onyx croisent enfin les miens, mais toujours quelque peu vexé, il finit par détourner le regard. Je gonfle mes joues, et décidé, mes jambes m'amènent d'une allure déterminée devant lui. Mon menton se lève un peu et je souffle du nez, en voyant qu'il fait semblant de ne pas me voir.

Mais c'est qu'il est devenu un vrai gamin. J'ai l'impression d'être l'aîné du coup.

Cependant, cette constatation me fait bizarrement frissonner. Si tout comme ses gestes affectifs, il s'est retenu de montrer son véritable caractère, une appréhension étrange se répand en moi, avec la hâte de découvrir encore plus de détails sur lui.

La poitrine remplie de ce sentiment nouveau, ma main se lève pour venir prendre la sienne gentiment. Son attention enfin sur moi, je lui offre un sourire timide, tout en caressa affectueusement le dos de sa main pour me faire pardonner.

— Je me suis mal exprimé, excuse-moi, je commence d'une voix clame. Le bluet plisse un peu les yeux, réfléchissant à si oui ou non il devait arrêter de bouder dans son coin. Sache que je suis vraiment content que tu sois ici.

— Hum.

Je garde mon sourire heureux, malgré que le coin de mes lèvres tique légèrement face à sa réponse nonchalante. Et quelque peu agacé que mes efforts, pour avoir été sympa se soient révélés vains, je finis par resserrer ma prise sur sa main, alors que l'envie de lui broyer les doigts me traverse l'esprit.

— Est-ce que ton sac contient encore tes habits sales de ta semaine d'entraînement ? Dis-je tout en haussant une fois les sourcils.

Mon changement de sujet semble l'avoir un peu perturbé, avant qu'il n'abandonne enfin son indifférence pour lâcher un faible rire, en voyant la référence que j'ai fait par rapport à ce matin. Il retire en même temps sa main de la mienne, en la secouant légèrement. Comme quoi, malgré mon corps de brindille, il me reste de la force.

— Ne t'inquiète pas, ce sont depuis le début des vêtements propres. C'était juste une excuse pour que ma surprise de ma venu ici, ne soit pas révélée. Je ne suis quand même pas autant grade que ça.

— Laisse-moi en douter.

— Hé !

Son expression se recouvre d'un voile de contrariété et un rire plus franc m'échappe à sa vu. Malheureusement, nous n'avons le temps de rien nous dire de plus que Yoongi Hyung et Hoseok Hyung finissent par arriver à leur tour dans la chambre.

— Tu vois bien que j'avais pas de réseau ! Se lamente une fois encore le rouquin, pendant que le capitaine de basket lève les yeux au ciel.

Mon regard reste accroché à leur petite querelle jusqu'à ce que la voix de notre professeure ne résonne dans le couloir, nous avertissant de se bouger si nous voulions manger. Ainsi, après avoir salué rapidement les deux basketteurs, enfin cuisiniers, nous étions sortis de leur chambre avec Hoseok.






¦¦¦






— Nettoyage de la cours !

— Oh non pas ça ! C'est nul, plutôt... euhm... de la pêche !

— Bof, ça peut être intéressant oui, mais franchement rester des heures sans bouger, ce sera sans moi. Décrète la jeune fille et je vois Hoseok rouler des yeux.

— Alors cueillette, randonné, prière—

— Ça, c'est assez logique vu où nous nous trouvons.

J'affaisse légèrement les épaules, tout en avalant un plus de riz. C'est que je commence à m'ennuyer à les entendre discuter ensemble ces deux là. D'autant plus qu'ils sont vachement bruyants.

— HA ! Je sursaute et observe avec de grands yeux JiAe, qui avait plaqué brusquement sa paume sur la table basse, tout en s'exclamant fortement. Un jeu de piste. Affirme-t-elle et Hoseok approuve.

Ça doit faire une bonne quarantaine de minutes que nous étions entrés dans le réfectoire de la troisième résidence du temple. Et depuis le début du repas offert par les moines, JiAe nous avait rejoint pour parler de « stratégie » avec son binôme, autrement dit Hoseok. Les deux étaient beaucoup trop appliqués dans leur rôle, alors que ce ne sera que de simples activités pour nous occuper la journée.

Soit étant, la paire essaie depuis belle lurette de découvrir les futures activités, et de se préparer un plan d'attaque, car selon eux, le meilleur binôme aura pour sûr une récompense en fin de camp.

Un soupire discret me quitte et encore une fois, je balaye la salle des yeux, n'ayant pas grand chose d'autre à faire et ne voulant pas vraiment m'impliquer dans la discussion de mes aînés. Beaucoup de têtes méconnues se présentent à moi et je constate que nous sommes tout de même une belle brochette de deuxième année comparer aux terminales. A croire qu'avec les ans, le nombre d'élèves augmentent drastiquement.

Le réfectoire est vraiment immense pour le coup et aménagé d'innombrables tables basses, l'une à la suite des autres, entourées de petits coussins pour reposer nos genoux où nos postérieurs tout dépend comment on s'y assoit. Les murs sont un mélange de terre et de bois, avec plusieurs pilonnes carrés en bois massif vers les côtés, gravés pour donner forme à plusieurs dessins. Les portes-fenêtres en papier de fibres d'écorce sont fermées, car non seulement le temps commence gentiment à se refroidir, mais en montagne tout devient plus frais. Heureusement, grâce à l'ondol, qui est le chauffage traditionnelle des anciennes bâtisses, le sol où nous résidons est chauffé.

Après une nouvelle inspection de la salle, ma foi bruyante, mes yeux se posent sur une table au loin, de l'autre côté de la pièce. Au départ je ne l'avais pas remarquée, jusqu'à ce que les gens devant ma vision ne se décident de se coucher sur le parquet, me laissant donc un champ de vue sur mon partenaire de binôme.

Kang YonSon

Sans vraiment réfléchir à ce que je m'apprête à faire, je me relève de ma place, mon bol de riz à moitié vide et mes baguettes en main, ayant finit peu avant l'assiette d'accompagnement.

— Kook ? Qu'est-ce que tu fais ? Me demande Hoseok en voyant que je m'éloigne.

Je hausse mollement les épaules et lui réponds sans trop de conviction.

— Je vais parler de stratégie avec mon binôme.

— Sérieux ?

Hoseok semble assez choqué. Normal vu qu'il n'apprécie pas Yonson, ou plus précisément mon ancien bourreau. Dans tout les cas, je ne lui réponds pas vraiment et me concentre pour ne pas marcher sur les mains des autres étudiants ou leur affaires, en traversant le réfectoire. Personne ne fait vraiment attention à ma présence, sauf ceux où je leur passe devant, qui m'offre un adorable regard de dégoût.

Mouais, ils ne m'avaient vraiment pas manqué ces homophobes.

La salle enfin traversée, je m'assoie calmement devant YonSon, qui étrangement réside seul à sa table. Et ma présence ne semble pas l'affecter. Je me demande s'il m'a même remarqué.

Maladroitement, je dépose bruyamment mon bol sur la table basse, la frappant quelque peu, mais attirant contre toute attente le regard du noiraud. Il ne fait que relever légèrement la tête, précédemment baissée sur son portable.

Quand ses yeux croisent les miens, son visage reste inexpressif, mais la petite lueur de surprise qui traverse ses pupilles, me prouve qu'il m'a bien reconnu. Cependant, il reporte son attention sur son smartphone, délaissant son repas a moitié finit sur le côté. Le silence s'installent entre nous, enfin, il est présent depuis le début. Calmement, je reprends mes bouchées de riz, finissant tranquillement le repas simple, offert par les moines.

Mes pupilles observent alors le garçon devant moi, qui malgré ces plusieurs mois d'altercation, je n'ai jamais pris la peine de vraiment mémoriser ses traits faciaux, ou d'ailleurs même son nom. Ses mèches noirs sont brossées de manière à exposer son front, alors que sa peau est assez pâle, bien qu'elle n'égale pas celle de Yoongi Hyung. Mais au débit de son épiderme lisse, son visage est recouvert de pansements couleur peau, d'où le fait que je ne les avais pas remarqués avant. Il semble assez amoché, et je devine sous une bonne couche de fond de teint un vieux coquard à son œil gauche.

Durant toute mon observation, une question me turlupine dans la tête ; Qu'est-ce que je fous ici ?

Je suis venu sur un coup de tête, c'est vrai. Mais malgré qu'il ait été mon bourreau, une certaine curiosité est née en moi, même si je ne serais dire quand. Probablement à la rentrée, quand cette limousine l'avait déposée à l'école tout comme ces deux toutous. Enfin, je ne pense pas qu'à ce moment là, l'appellation « toutous » soit appropriée, vu que ces derniers s'étaient pris à Yonson au beau milieu de la cours, lui faisant un croche-pied.

Mh, d'ailleurs faudra que je pense à me renseigner au près de JiAe, vue qu'elle était allée parler, voir réprimander Yonson après cet épisode.

Mais peut-être bien que ma curiosité était présente même avant.

Le dernier jour d'école, où Kim était revenu de son hospitalisation et où j'avais rencontré Choie. Le cadet de Hoseok qui avait été harcelé subitement par Sang et Song, et sauvé par Yonson.

Ouais, décidément, le changement de comportement de Yonson ces derniers mois, m'intrigue.

Mon riz terminé, je ne me gêne pas de piocher dans l'assiette d'accompagnement du noiraud. Mon coude sur la table et mon menton dans ma paume, je m'occupe à finir le repas de Yonson, tout en réfléchissant à comment l'aborder, vu ça non collaboration.

— Qu'est-ce que tu fiches ?

Tout compte fait, ce n'était pas si compliqué d'attirer son attention.

Je referme ma bouche, avec le morceau de brocoli encore devant moi, toujours pincé par mes baguettes. Je me racle un peu la gorge et regarde un instant le coin de la table, avant de reporter mes orbes sur le noiraud. Ses yeux lasses, voire fatigués sont braqués sur mes baguettes, puis lentement, ils se relèvent jusqu'à croiser mon regard. Son sourcil se hausse et me questionne silencieusement.

— C'est pas bien de gaspiller la nourriture.

Cette logique m'a toujours été inculquée, notamment à cause des faibles capacités financières de ma famille il y a presque un an. Certes, nous n'avions jamais des avances, mais on m'avait éduqué ainsi, car si j'avais la possibilité d'avoir un bon repas conséquent, je ne devais en aucun cas le gaspiller.

Bon.

J'avoue que j'ai peut-être un peu exagéré en mangeant aussi celui de Yonson. Je me sens d'ailleurs un peu ballonné.

Cependant, le regard inexpressif et illisible du noiraud, me fait soudainement stresser et monter des théories plein la tête.

— Mince, t'avais pas encore finit ? Je demande d'une voix incertaine et désolée.

Mais le noiraud ne fait que de braser l'air de sa main, tout en reportant son regard sur son téléphone.

— Sers-toi.

Je le regarde intrigué et amène doucement le morceau de brocoli à ma bouche. Voilà encore quelque chose d'insolite. Quel genre d'harceleur partage son repas avec son souffre-douleur, qui plus est « malade » comme ils le disent si bien. M'enfin, je pense que uniquement le fait de m'avoir laissé prendre place docilement devant lui, soit déjà exceptionnel, d'où ma fameuse curiosité.

Cependant, il semble avoir fait très vite abstraction de ma présence et je soupire discrètement tout en finissant son plat d'accompagnement.

— Qu'est-ce que tu fais ? Je finis tout de même par demander après un certain temps.

Ma tête se penche par dessus son téléphone, mais habillement il l'éteint et relève son visage vers le mien.

La première chose qui attire mon œil est sa lèvre supérieure fendue. Je ne l'avais pas vraiment remarquée au départ. Mais rapidement, mes yeux remontent vers les siens, me présentant ses traits fermés, et ses sourcils froncés, alors qu'il me fixe presque soûlé.

— Qu'est-ce que tu me veux, Jeon ?

Évitant à merveille ma question, il va direct au but et je souffle légèrement. Cependant, avant même de pouvoir commencer à répondre, il me repose une autre question.

— C'est JiAe qui t'envoie ? Dit-il en serrant les dents, mécontent.

Et c'est à mon tour de froncer les sourcils. Je repose définitivement mes baguettes sur mon bol et croise mes bras sur mon torse.

— Pourquoi elle voudrait que je vienne te voir ?

Ma question semble l'agacer, en voyant que je n'étais pas au courant de certaines choses, et malheureusement pour lui, ça m'intrigue encore plus.

Je me demande si c'est pas malsain ce que je fais ? Quel genre de souffre-douleur va faire la causette avec son bourreau, sérieux.

— Pour rien, crache-t-il.

Je gonfle légèrement mes joues, avant de me précipiter pour lui poser une question, en le voyant rallumer son portable.

— Qu'est-ce qui t'es arrivé pour que tu sois si amoché ?

— Rien qui ne te regarde.

— Tu sais que c'est impossible faire un conversation descente si tu t'impliques pas un peu.

— Peut-être bien que c'est parce que je ne veux pas faire la causette, t'y as pensé ? Me demande-t-il sarcastiquement et je souffle du nez.

Il m'agace.

— Pourquoi t'es pas avec tes toutous ? Je retente, malgré qu'il est repris son activité sur son smartphone.

— Pourquoi t'es pas collé au basques de ton Hoseok ?

— Arrête de répondre par d'autres questions sérieux, je me lamente.

— Alors arrête de me poser des questions Jungkook et laisse-moi tranquille, où je n'hésiterais pas à te frapper, me menace-t-il.

Le noiraud repose son smartphone à plat contre la table et son regard soûlé et mécontent se pose sur moi. Il fait un petit coup de menton, m'incitant à dégager.

— Tu n'oserais pas, assuré-je

— Quoi, tu as déjà oublié tous les coups que je t'ai infli—

— Tu ne le feras pas, je répète, le coupant. Mon regard sûr de moi semble le déstabiliser un peu et je reprends. Tout simplement parce que tu ne le fais plus, n'est-ce pas ?

Une légèrement surprise traverse son expression, mais très rapidement ses traits se referment. Cependant, je ne lui laisse pas la possibilité de parler.

— Tu ne veux plus le faire, comme avec Choie. Tu l'as protégé de tes toutous, et en te mettant de travers, ils commencent à se rebeller, ou je me trompe ?

Je lui expose ma théorie d'une voix formelle, mais sa réaction brusque me surprend. Et au quart de tour, mon t-shirt se retrouve emprisonné dans sa poigne. Mes paumes s'abattent sur la table, pour l'empêcher de me tirer trop vers lui et son regard se fait noir. Mais étonnement, sa voix reste calme et c'est son chuchotement qui me parvient aux oreilles.

— Qu'est-ce que t'essaie de faire au juste, Jeon ? C'est quoi tout ça, hein ? Depuis quand t'es devenu aussi chiant ? Tu peux pas rester à ta place et devenir invisible comme tu sais si bien le faire ?

Je sens le regard de quelques élèves vers nous, mais je ne m'en préoccupe pas. J'expire lentement du nez, essayant de calmer les battements de mon coeur qui s'étaient affolés par les gestes de Yonson.

— Désolé, mais je ne suis plus ce Jungkook qui s'en foutait de tout, j'ai changé en ces derniers mois. Et tout comme moi, tu l'as fait toi aussi. Mais je comprends pas pourquoi... Comment ça se fait que tu sois devenu si docile ?

Je demande calmement, tout en observant sa mâchoire se serrer, avant de reporter mon regard dans le sien.

— Depuis quand toucher un homosexuel ne te fais plus rien ?

Ses yeux tiquent légèrement à mes derniers mots. Puis, je sens sa poigne se faiblir sur mon t-shirt. Et comme il le fait si bien, il évite une fois encore mes questions.

— Tu ne sais rien, absolument rien. Alors viens pas me faire putain de chier compris ? Tu as peut-être l'impression que je me suis fait plus docile, mais ce n'est certainement pas parce que je ne veux plus te frapper. Oh non, ça me démange même horriblement à l'instant.

Il retrouve sa confiance en soit et sa poigne se resserre, tirant mon t-shirt encore plus vers lui, m'obligent à mettre plus de force dans mes doigts pour le repousser.

— Si je ne te frappe plus, Jungkook, c'est parce que t'es devenu la chienne de Taehyung.

Il hausse les sourcils pour me narguer et c'est à mon tour de serrer la mâchoire.

— Ma famille risque d'avoir une mauvais réputation si les Kim y mettent leur grain, tu comprends ? Va pas te faire des idées tirées par les cheveux parce que l'année passée j'ai été moins sur toi. Je ne vais pas devenir plus gentil parce que tu n'es plus mon souffre-douleur, il y a bien assez de pédé dans cette école pour se refouler sur eux—

— Comme toi ? Demandé-je subitement, le coupant et faisant passer une lueur nouvelle dans ses pupilles.

De la panique.

Mais il la terrasse rapidement, alors que ses traits s'aggravent plus.

— Qu'est-ce que tu dis ? Sa voix se fait basse.

— Que t'es un putain de gay refoulé, Yonson.

Je veux le déstabiliser au maximum. Même si c'est faux, j'y ai pensé, s'il agit comme ça, peut-être est-ce parce qu'il n'assume simplement pas son orientation. Peut-être qu'il frappe ceux qu'il y arrive. Mais ce n'est qu'une supposition, et j'espère qu'elle se fasse exacte par sa réaction.

Mais sa riposte est toute autre.

Sa poigne relâche gentiment mon t-shirt et il glousse, avant de se mettre à rire assez bruyamment. Il se repositionne correctement à sa place et essuie sa main sur son torse. Je papillonne légèrement des yeux et me replace lentement à ma place également, les yeux incompris posés sur lui.

Son rire montre toute sa dentition et après plusieurs secondes, il reprend son souffle.

— Je savais que tu pouvais avoir des idées loufoques, mais de là à prétendre que je sois de ta même espèce est la meilleure. Nan mais sérieux, vous pédé c'est toujours pareil. A peine un autre garçon s'approche de vous, que vous croyez qu'il est tout autant malade. Il reprends son souffle et plisse les yeux mesquinement. Si Taehyung ne te satisfait pas, je connais d'autres pédés, si ça peut de faire plaisir, vu la chienne en chaleur que t'es.

Mes dents se serrent à m'en faire mal et je retiens de lui fracasser le nez. Le noiraud se met vite à l'aise, bras tendus en arrière et sourire au coin, alors que ses pupilles portent enfin du dégoût à ma personne.

— Je vais répondre à ta question, Jungkook. Reprend-t-il et je le regarde surpris. Si mon visage est amoché, c'est parce que j'ai peut-être fricoté un peu trop avec la meuf d'un mec plus âgé, tu vois. Il ricane légèrement en levant les yeux à ce souvenir. Alors si je ne t'ai pas encore frappé ou fait une quelconque scène, pour avoir inondé mon espace de ta présence abjecte. C'est parce que si les regards pouvaient tuer, je serais déjà six pieds sous terre, vu comme il me fusille des yeux, ton mec.

Les sourcils froncés jusqu'à là, j'écarquille un peu les paupières face à sa dernière phrase et tourne ma tête vers la direction que m'indiquent ses yeux. C'est là que je remarque, à la même table des professeurs, les cuistots volontaires pour notre camp. Sans trop de difficulté, mon regard se pose sur une touffe bleu, et effectivement, les yeux noirs de Kim sont fermement ancrés sur la personne de Yonson.

Je ramène mon attention sur le noiraud, qui entre-temps a repris son portable, ne me portant plus aucun intérêt. Mais ce n'est pas pour autant que je vais m'arrêter.

— Si ce que tu dis est vrai, ça n'explique pas pourquoi tu t'es—

Malheureusement, ma phrase se fait couper par une nouvelle voix. Une voix grave et portante, qui fait taire toute la salle. Les étudiants se retournent tous vers la table du font, posée sur un plan plus haut où résident les professeurs. Une homme d'âge mûre, sûrement un autre enseignant est debout sur cette estrade, attendant le silence complet. Et une fois que tous les étudiants soient assis convenablement, il reprend.

— Le repas touche bientôt à sa fin et pour cela, nous allons vous communiquer plusieurs informations, notamment la formation de plusieurs groupes pour la vaisselle et le rangement du réfectoire. Pour que ça aille vite et que se soit plus simple, les groupes seront par classes. Nous estimons qu'à vingt étudiants, vous soyez capable de vous occuper de ça. Il y aura en tous douze repas, que se soit déjeuner, dîner et souper, donc chaque classe passera trois fois aux nettoyages et à la vaisselle.

La salle se fait un peu bruyante par des râles, mais je ne m'en préoccupe pas. Je n'écoute d'ailleurs que d'une oreille les instructions, alors que je suis toujours remonté par les propos de Yonson.

— D'ailleurs, vous serez supervisés par les moines pour le rangement du réfectoire et par les cuisiniers pour ce qui est de la cuisine.

A sa phrase, je tourne tout de même la tête vers l'estrade et je vois cinq personnes, dont les deux basketteurs, se lever et se placer aux côtés du professeur.

— Je vous présente vos aînés et vos futures cuistots pour le camp. Ce sont des terminales qui ont accepté de venir nous aider pour ce camp, sacrifiant leur temps précieux pour la répétition de leur examen. C'est pourquoi je veux que vous leur portiez encore plus de respect qu'habituellement.

Mes yeux balaient d'une traite les cinq terminales, qui comptent trois filles, Yoongi Hyung et Kim. Le professeur continue son speech, informant le premier tournus des classes pour la vaisselle. Puis, après encore quelques minutes de plus pour donner d'autres instructions et indiquer le prochain rendez-vous pour la première activité, le professeur libère les étudiants.

Le brouhaha se répand à une vitesse impressionnante et parmi ce bordel, mon regard croise celui interrogatif de Kim, me rappelant ma conversation avec Yonson. Je me retourne de ce fait rapidement vers ce dernier, mais mes paupières s'écarquillent en constatant qu'il était déjà partie.

Bordel.

Je me lève donc à mon tour et vais rejoindre Hoseok et JiAe, avant que nous ne sortions à notre tour de la salle, notre classe n'étant pas corvée de vaisselle.







¦¦¦








Yonson m'a peut-être échappé des doigts à midi, mais il a oublié que nous étions binômes. Ainsi, nous nous retrouvons côte à côte pour la première activité du camp. Mais comme je m'en doutais, il m'ignore complètement et un froid s'installe entre nous. Je n'essaie même pas d'arranger cette atmosphère pesante, étant tout de même bien remonté par comment il m'a traité, même insulté plutôt.

M'enfin, il y a au moins une chose où nous réussissons à nous mettre d'accord, et c'est ; que cette activité est une vraie plaie.

Pour le premier jour, les enseignants veulent que nous connaissions le temple, avant de sortir hors de ses murs. C'est pourquoi, ils ont caché plusieurs petits billets dans les jardins de la résidence. Ce qu'ils contiennent, ils ne nous l'ont pas dit. Le seul but est d'en récupérer vingt par binôme et surtout de visiter le temple. Évidement, il faut avoir une grande précaution pour ne pas faire de gaffe avec les statues et autres objets précieux à la mémoire du lieu. Tout comme, il faut garder le silence pour ne pas déranger les moines qui prient.

En soit, c'est une activité calme, mais le vrai problème qui nous dérange principalement avec le noiraud à mes côtés, c'est que les profs ne veulent pas que nous nous divisons. Et pour ça, ils nous ont attaché un poignet ensemble avec un bout de tissu.

Super.

Le top départ est lancé et les quarante binômes se mettent en route. Certains se dépêchent, vu qu'une fois avoir ramené vingt billets, nous sommes libéré pour le reste de l'après-midi. Soupirant bruyamment, nous finissons par avancer, mais même pas trois pas que nous nous arrêtons, alors que le lien nous liant se tend.

— On va à gauche, affirme le noiraud et je souffle du nez.

— C'est mieux à droite.

— Commence pas à faire chier, Jungkook.

Je roule des yeux, alors que nous commençons à débattre par où aller. Et malgré que se soit de vraies gamineries, je refuse de lui donner raison. C'est donc subitement que je lui agrippe le poignet avant de le tirer derrière moi.

— Hé tu fais quoi ?! Il hausse la voix et essaie de me retenir, mais les nombreux petits cailloux sous nos pieds le font glisser. Lâche-moi, putain.

— Tu préfères que je te prenne la main peut-être ? Je lui demande sarcastiquement et fais glisser mes doigts le long de son poignet.

Son corps se crispe et il se libère de ma prise.

— C'est bon t'as gagné, crache-t-il. Choisis donc le chemin, mais ne me touche pas.

J'arbore un air satisfait et il grogne légèrement, avant d'amener sa propre main à sa cuisse pour essuyer son poignet, me tirant par la même occasion vers lui. Nos regards se croisent, mais il dévie rapidement et avance dans la direction que je voulais.

Ainsi se passe le reste de l'après-midi. En silence et en tirant l'autre à un endroit à l'autre des différentes zones du temple.

Nous avons déjà amassé seize billets en presque une heure et demi, vu que nous perdons du temps à se chamailler comme des gosses après chaque papiers trouvés pour la prochaine direction à prendre.

A chaque emplacement où se trouve un lot de billets, un pour chaque binôme des quatre classes, une information sur le temple est donné. Fallait sans douter que même en camp, les professeurs allaient nous faire apprendre. Au départ, je ne les lisais même pas, contrairement à Yonson qui prenait le temps de les consulter. Ainsi, intrigué, j'ai fait de même, mais vu que monsieur refusait de partager, nous perdions deux fois plus de temps pour les lires chacun son tour. Puis une heure après, étant fatigué de perdre autant de temps, il s'est mis à les lire à voix haute, pour éviter que nous ne soyons trop proche.

Étrangement, sa voix était beaucoup plus calme et agréable à écouter, avec une lecture continue et non saccadée. Les billets donnaient des informations sur le temple, les statues, mais aussi sur le parc national et je me surprenais à trouver ça très intéressant.

Finalement, nous sommes arrivés vers le derniers jardin de la résidence, le plus éloigné de l'entrée du temple et celui possédant le plus de statues. En le pénétrant, nous croisons pour la troisième fois Hoseok et JiAe, qui contrairement à leur stratégie durant le dîner, ont pris le temps de profiter de la visite libre du temple.

— Ah Kook, commence le rouquin alors que nous nous arrêtons devant eux. On vient de finir avec Ae, on allait se diriger vers le réfectoire. Madame Shin nous a dit que certains jeux de plateau étaient disponibles et que bientôt ils mettrons à disposition des quatre heures.

Je hoche la tête face à ces dires, mais discrètement je sens mon poignet se faire tirer et je jette un regard au coin à Yonson. Il ne dit rien, cependant ces yeux me font comprendre qu'il veut qu'on bouge. Ainsi je coupe court à la discussion et nous laissons le binôme des deux rouquins partir. J'avais déjà remarqué que Yonson n'était pas à l'aise avec JiAe, et que cette dernière prenait toujours un air dur en le regardant.

Je ne sais pas ce qu'il se passe entre les deux, mais décidément le noiraud refuse de me dire quoique se soit.

Plusieurs minutes plus tard, nous trouvons enfin le vingtième billets, caché dans un vase purement décoratif et sans valeur apparente. Comme avant, Yonson le lit à voix haute, il s'agit d'un vieux conte coréen et je me penche vers le noiraud pour observer l'image mise à côté, montrant une jeune fille sous un arbre aux feuilles blanches. Malheureusement mon approche ne semble pas plaire à Yonson, qui s'éloigne et me pousse en même temps.

— Putain, je t'ai dit de ne pas me coller, crache-t-il et je roule des yeux.

Il me plaque brutalement le billet sur le torse et j'ai juste le réflexe de le prendre avant qu'il ne tombe. Le noiraud croise alors les bras, s'en foutant de monopoliser mon bras attaché au sien et attend que je finisse de lire pour mon compte. Ça de fait, nous partons, marchant à travers les statues, pour retourner à la résidence principale. Tout le sol est parsemé de petits cailloux, glissant quelques fois, et le dernier jardin où nous nous trouvons, qui est plus surélevé des autres, est entouré d'un muret pour délimiter la fin du temple. Nous descendons du coup deux petites marches en pierre pour rejoindre le pallier inférieur. Mais alors que je perçois un mouvement à gauche de Yonson, il est trop tard et ce dernier tombe en avant, me tirant à sa suite.

J'atterris durement sur lui, alors qu'il encaisse le choque, en plus du sol de cailloux. Je n'ai le temps de comprendre ce qu'il se passe que deux rires s'intensifient à notre gauche. Je tourne la tête et mes traits se ferment en voyant Sang et Sung. Les poignets déliés, ils se moquent de nous et ne sachant quel nom appartient à qui, c'est celui avec des mèches blondes et les racines noirs, qui shoote subitement dans les petits cailloux. Je n'ai le temps que de tourner la tête et de mettre mon bras devant le visage de Yonson que quelques cailloux nous percutent.

Les dents serrées, je leur refais face pour leur cracher dessus, mais les deux frères étaient déjà partis.

C'est quoi leur problème putain ?

Je souffle du nez, énervé et reporte mon regard sur le noiraud sous moi. Il a les yeux fermés et son visage est crispé, alors qu'il est encore un peu sonné par la chute, son dos ayant heurté de plein fouet le sol.

— Hey...ça va ? Je demande calmement et il souffle un bon coup, avant d'ouvrir les yeux.

Ses pupilles s'ancrent dans les miennes et j'y vois de la fatigue.

— Seulement... quand tu te seras décalé, tu m'écrases la bite putain.

Sans rouspéter, je m'enlève de sur lui et l'aide à se redresser en position assise. Il geint légèrement et sa main se presse dans le bas de son dos, très certainement douloureux.

— Qu'est-ce qui c'est passé ? Je demande après un peu, toujours assis au sol, alors que les alentours sont déserts, probablement que les autres binômes ont déjà finit.

— Mon pied a glissé et je suis tombé, fin de l'histoire.

Je fronce les sourcils, pas convaincu.

— C'est de ta propre faute donc ? Je demande pour être sûr, alors qu'il fait craquer ses cervicales tout en acquiesçant.

— Par contre, tu rêves que je te donne des excuses, parce que tu m'est quand même tombé dessus, crétin.

Je le regarde blasé et on finit par ce lever peu après. Il titube légèrement et pose une main à l'arrière de son flanc. Sans trop réfléchir je me place derrière lui et pose mes paumes dans la chute de ses reins. Mais rapidement, il tire sur nos liens pour que je m'enlève.

— Je t'ai dit de ne pas me toucher ! Dégage !

Pour toute réponse, je tire à mon tour, amenant son bras à l'arrière de lui.

— Il y a personne ici, alors arrête de faire le connard et laisse-moi voir. Je lui ferme son clapet et après quelques secondes, il relâche son bras, me permettant de bouger ma main.

Sa tête se baisse légèrement et je pose doucement mes doigts sur le bas de son dos. Je touche un peu et l'entends geindre, mais il ne me semble pas qu'il ait quelque chose de déplacé. Je relève sa chemise et son corps se crispe, alors que mes yeux s'écarquillent.

Des bleus.

Son bas dos en est parsemé.

Mais ils ne sont pas nouveau ceux-là.

Sa chute de rein est couverte de différentes couleurs, allant du violet, au jeune, et vert. Ils sont vieux. Je relève un peu plus sa chemise, mais Yonson se retire brusquement. Et sa voix claque dans l'air.

— Me touche pas, pédé.







¦¦¦







La nuit était enfin tombée.

Le reste de l'après-midi, Yonson l'avait passé je ne sais où, mais ça m'importait peu. Et à la place je suis allé retrouver Hoseok et JiAe qui s'occupaient avec un jeu de plateau. Quelques heures plus tard, le souper était servi et après ce dernier, nous sommes allés prier avec les moines dans une salle de la deuxième résidence. Nous y sommes restés une heures, presque plus, avant d'être relâché pour le reste de la soirée.

J'ai profité de ce temps pour aller parler avec Kim qui avait finit de superviser les corvés de vaisselles et de préparer la cuisine pour le lendemain. Nous étions partis nous isoler dans un jardin, et je lui ai raconté mes altercations avec Yonson. Il ne l'a pas vraiment apprécié et ne comprend pas vraiment ma curiosité non plus. Mais je ne lui en veux pas, moi-même je ne me comprends pas totalement.

Dans tous les cas, il est d'accord dans le fait que se soit louche, mais selon lui, plus je suis éloigné de Yonson, moins j'aurais d'ennuis.

Après ça, nous avons discuté de sa journée à lui qui était surtout destinée à mémoriser les différents emplacement dans la cuisine. Et pour finir, je lui ai récité les histoires et informations que j'avais retenues de l'activité de cet après-midi.

J'avais l'impression que notre discussion était différentes de celles que nous avions pu avoir avant. Différente dans le bon sens et j'ai beaucoup aimé partager un moment tranquille comme celui-ci avec lui.

Malheureusement, le couvre-feu allait bientôt tomber et nous sommes tous les deux retournés dans nos chambres respectives.

Et nous voilà maintenant, au beau milieu de la nuit, a essayer de dormir avec un Hoseok bien trop envahisseur. Nos futons avaient un léger espace entre les deux, mais il n'existe désormais plus à cause de ses jambes. Je ne pensais pas qu'il dormait autant de travers.

Après un énième soupire, je me tourne une fois encore. Décidément, depuis que je partage mon lit avec Kim, j'ai de la peine à dormir seul maintenant. Et je crois bien que le pire est qu'il n'est qu'à quelques mètres de moi—

Attends voir.

Je me mors quelque peu la lèvre inférieure et après une bonne minute, je me relève de mon futon. Le plus silencieusement possible je sors de notre chambre, traverse le couloir et fait coulisser doucement la porte de la chambre en face. Directement, j'entends de faibles ronflements et marchant à l'aveuglette je m'arrête au premier futon trouvé, non sans avoir shooté dans quelque chose.

Je m'accroupis et mes mains tâtent un peu tout, avant de trouver une tête. Je passe mes doigts dessus, essaie de comprendre qui sait, mais subitement, je me retiens de geindre quand mon doigt se fait mordre.

Non mais ça va pas !

— C'est qui ? Ronchonne une voix a moitié réveillé.

— Hyung ?

— Hum. Jungkook, qu'est-ce que tu fiches ici ? Il chuchote, bien qu'il ne bouge pas.

— Hoseok voulait dormir avec toi.

Rien ne se passe pendant plusieurs secondes et je me demande s'il ne s'est pas endormit. Mais finalement, je l'entends bouger et les draps se froissent, avant qu'il ne se relève.

— Pas besoin de me mentir, gamin. Il baille et traîne des pieds, alors que je me sens rougir. Tu me le revaudras.

Et suite à ça, la porte de la chambre se referme. Je finis par coller le futon de Yoongi Hyung à celui de Kim, avant de me mettre dedans. Je ne vois rien, mais avance doucement et me colle au dos du bluet, ressentant directement sa chaleur.

Il ne me faut que quelques minutes de plus pour enfin me faire bercer par les bras de Morphée.





















¦¦¦

Hello !!!!

Bon, déjà désolé pour cette assez longue absence T-T

J'avais un gros dossier à rendre, (d'ailleurs je l'ai toujours pas finit T-T) et un peu le syndrome de la page blanche...;-;

Mais là ça va mieux ! J'ai aimé écrire ce chapitre (un peu moins le début m'enfin) et j'espère qu'il vous a aussi plut ! ^^

!!! D'AILLEURS, je pense que vous l'avez remarqué, mais je n'ai pas mis en gras les discussions comme je le faisais avant et je voulais savoir si ça vous va ou si vous préférez avec du gras pour mieux lire et distinguer ?

Si rien est dit je continu comme ça, mais si vous préférez comme avant, pas de problème !

Bref sur ce, au weekend prochain, j'espère !














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