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054 × Michelle's Birthday - part 2

La journée avait super bien commencé. On a mangé, on a danse, on a rigolé. Nous sommes même allés nous baigner. Je n'avais pas de maillot, mais heureusement les filles ont pensé à tout. Malheureusement, nous avons dû quitter la plage quand la pluie a fait son apparition. Nous sommes donc retournées à la piaule pour poursuivre les festivités. Toujours dans la bonne humeur. Enfin, tout le monde s'amusait bien sauf Jordan qui faisait la gueule et qui fait toujours la gueule. Je l'ai ignoré parce que c'est ma journée pas la sienne. Je m'en fous s'il ne s'amuse pas. La vie serait quand même plus cool, s'il ne cherchait pas à toujours être en compétition avec Brent.

Là, il se fait tard, l'ambiance s'est calmée. Il est minuit et ceux qui ne réside pas à la piaule son sur le départ. Pour une raison que j'ignore, Jordan est en train de sourire. Il est content de retourner à la maison. Je n'ai pas envie de rentrer avec lui, il va encore essayer de me retourner le cerveau. Mais, est-ce que j'ai vraiment le choix. Ce n'est pas comme si je pouvais rester ici.

Michelle, il serait peut-être temps, qu'on y aille, me dit-il en se rapprochant de moi.

Je n'ai pas trop envie de conduire là tout de suite, je suis tellement fatigué, lui informé-je.

Ouais, mais on y va, j'ai supporté cette journée horrible pour toi maintenant, je veux retourner chez moi, insiste-t-il.

La journée aurait pu être cool pour lui s'il s'était décoincé. Mais, non, il a voulu rester dans son coin. Moi, je me suis bien amusé. C'était le plus bel anniversaire que je n'ai jamais eu et il est jaloux parce qu'il a vu que je m'amuse mieux quand je suis avec eux qu'avec lui et sa bande. Il n'a rien à faire à Los Angeles. C'est un concentré de négativité, je n'ai pas besoin de ça, je suis déjà assez stressée comme ça. C'est un trait de caractère qui est propre à ma famille. Il a vraiment besoin de moi pour rentrer à l'appartement ? Il peut demander à n'importe qui de le ramener et puis, quand on était encore sur la plage, il aurait pu prendre un taxi. Il n'a pas profité de cette occasion s'est de sa faute.

Ben rentre chez toi ? Qu'est-ce qui t'en empêche ? lui demandé-je. Je ne t'ai pas obligé à rester à ce que je sache, lui rappelé-je.

Je n'ai pas ma voiture, il faut que tu me ramènes, ajoute-t-il.

Ben je ne le ferais pas, lui informé-je. Tu as été insupportable toute la journée, donc débrouille toi pour rentrer, poursuivis-je.

N'étant pas content de cette réponse, mon ex commence à se rapprocher avec son regard enragé sur le visage. Pour lui montrer que son regard n'a aucun effet sur moi. Je croise mes bras sous ma poitrine et le soutien. S'il croit qu'il me fait peur, il se fourre le doigt dans l'œil. Et puis qu'est-ce qu'il va me faire ? Me frapper ? Aucun des mecs ne le laisser faire. Mason ayant senti une embrouille enfin, je suppose, il se rapproche de nous.

ça va mec, je vais te ramener chez toi, lui propose-t-il en posant ses mains sur ses épaules.

Merci Mason.

Jordan surprit pose son regard sur ce dernier. Il a envie de refuser, mais je pense qu'il se doute que Mason ne le laissera pas se défiler. Du coup Mason, enroule son bras autour de ses épaules avant de le conduire en direction de la porte d'entrée. Étant soulagé, je reprends mon souffle et me rapproche de mes amis dans le salon.

Dites les gars ça vous embêtes, si je reste dormir ici ? leur demandé-je.

Je n'ai pas trop envie de me retrouver seule avec Jordan. Je n'ai pas peur qu'il me batte, disons que je n'ai pas envie de supporter sa crise de jalousie parce que je sais que quand, je vais rentrer, il va me sortir une tonne d'argument qui selon lui montre que Brent se sert de son argent pour m'avoir. Je connais Brent et il n'est pas comme ça et il n'a pas besoin ça pour m'avoir.

Suite à ma question, tous les regards se tournent sur Brent. Ils veulent savoir si ça le dérange que je reste. J'espère que ça ne le dérange pas. C'est vrai qu'on a décidé de redevenir ami, mais ça pourrait le déranger que je reste dormir ici. Surtout, où est-ce que je vais dormir ?

Non ça ne me déranger pas, finit-il par répondre après avoir constaté qu'on attendait sa réponse. J'ai un matelas en plus sur mon lit, tu pourras l'utiliser, propose-t-il.

Se sera parfait, lui répondis-je.

Du coup, vu que la fête est terminée, ceux qui doivent partir part tandis que les résidents rejoignent tous la chambre de Brent. Nous récupérons sont deuxième matelas, puis nous quittons la pièce. Nous descendons les escaliers et retournons dans le salon. Alan et Lexi n'était pas occupés à tenir le matelas, il attrape la table basse qu'ils rapprochent un peu plus du meuble sous leur télé murale.

Nous nous rapprochons donc de l'espace vide pour y poser le matelas. Nous nous séparons ensuite. La bande me laisse seule avec Brent. Nous allons dans la buanderie à l'étage. Il s'approche d'un placard et en sort une housse et une couverture pour moi. Il retourne ensuite dans sa chambre et revient vers moi avec un oreiller. Surement un des siens.

C'est ensemble que nous descendons les escaliers pour rejoint le salon. Il pose tout ce qu'il a dans les mains sur le canapé le plus proche et saisit la housse de lit. Voulant l'aider, j'attrape le bas du bout de tissus. Nous prenons chacun un côté. J'ai le côté droit et lui gauche. Nous commençons par habiller le haut du matelas puis, nous descendons à mes pieds. En un rien de temps, c'est fait.

Il récupère donc la couverture et l'oreiller et les poses sur le matelas tandis que moi, je me laisse tomber sur mon lit pour ce soir. Me voyant faire ce dernier se met à sourire, puis s'allonge à son tour.

Cette soirée était vraiment super, commencé-je. Vous avez fait les choses en grand, poursuivis-je.

J'avais prévu tout ça avant que tu ne me quittes, m'informe-t-il. Je ne me voyais pas changé mes plans au dernier moment surtout en ce qui concerne la voiture. C'est quelques choses dont tu as besoin.

En effet, j'en ai besoin pour le boulot. J'ai tellement hâte de me pavaner à son volant quand j'irai au boulot demain. Je n'ai jamais vraiment eu de voiture rien qu'à moi. Avec Jordan, on se partageait une voiture. En ce qui me concerne, j'avais les moyens de m'acheter un nouveau véhicule. Jordan, je ne sais pas trop, mais étant donné qu'il n'avait pas tellement besoin de sa voiture. Je suppose qu'il ne voyait pas l'intérêt d'en avoir deux. Je suis celle qui bougeait le plus. Là je suis toute seule et je bouge toujours autant. Je ne peux plus continuer de partager la voiture de ma mère, elle en a besoin surtout quand elle finit tôt. Brent si tu savais à quel point j'avais besoin de se cadeau.

Je me sens bien et un peu mal parce que je l'ai quitté alors qu'il avait prévu une soirée géniale pour moi. Je crois que je me souviendrais toujours dû jour où j'ai eu 24 ans. Je me suis amusé comme jamais. Il faut voir les choses en face. Brent est trop bien pour moi. Je ne le mérite pas.

Je suis désolé pour ça, lui dis-je. J'étais tellement concentré sur moi-même que je ne me suis pas vraiment occupé de toi, poursuivis-je. J'ai vraiment été une petite amie horrible, ajouté-je.

Je ne vais pas te contredire, me répondit-il. Ni t'en blâmer, tu avais pas mal de chose à gérer, me rappelle-t-il. Tout ce que je voulais s'était t'aider et te soutenir, ajoute-t-il. Il faut que tu acceptes de l'aide, ce n'est pas un acte de faiblesse, poursuit-il.

Il a raison, mais ce n'est pas aussi simple. Je suis quelqu'un qui a tendance à tout gérer toute seule. J'aime avoir l'œil partout et nous sommes comme ça dans ma famille. Je me fais confiance pour tout ce que j'entreprends. Je devrais peut-être lâcher un peu du lest et plus faire confiance à mon entourage. Me redressant, je m'assois sur le matelas et prends appuie sur ma main droite.

Tu as raison, admis-je. Je dois apprendre à lâcher prise, ajouté-je.

Je ne sais pas par où commencer, mais je vais trouver. Mon compagnon content d'entendre cette annonce, un sourire se dessine sur son visage, ce qui me fait automatiquement sourire. Il est tellement mignon quand il sourit. Plongé l'un dans les yeux de l'autre, je remarque assez vite que mon partenaire se rapprocher de ma personne. Voulant savoir ce qu'il a en tête, je ne bouge pas. J'attends la suite.

Son visage devient de plus en plus proche et enfin ses lèvres viennent s'écraser contre les miennes. Cet instant ne dure que quelques secondes et pourtant, elle a su réveiller une explosion d'émotion et de sentiment tout au fond de moi. Je n'aime pas l'effet qu'il a sur moi. Enfin, j'aime, mais c'est dingue de se dire qu'un individu peu te retourner d'un simple contacte.

N'ayant pas eux ma dose, je pose ma main libre sur sa joue et capture ses lèvres avec les miennes. Ses lèvres m'ont tellement manqué. Dire que je les ai laissé s'éloigner de moi. Mon super ami... Woah ça fait longtemps que je ne l'ai pas appelé comme ça. Il répond à mon échange avec une tel douceur que je menace de fondre à tout moment. Sa main droite rejoint ma hanche alors, que notre baiser devient plus intense. J'autorise sa langue à venir rejoindre la mienne pour une danse sensuelle. Nous profitons de cet instant, nous ne sommes pas pressés. Il prend cet échange comme un signe du coup, il exerce une pression sur ma hanche, pression qui m'oblige à m'allonger sans pour autant se détacher de moi, il suit le mouvement et se retrouve très vite au-dessus de ma personne.

Il se positionne entre mes jambes. Son visage prisonnier de mes mains, je continue de dévorer ses lèvres comme si c'était la première fois. Comme si on ne s'était jamais embrassé avant. Là tout ce qui compte, c'est nous deux personnes d'autre. Il vient de faire un pas en avant, je décide d'en faire de même. Libérant son visage, je pose mes mains sur ses hanches et les descends jusqu'à arriver au bas de son sweat.

Je l'attrape en même temps que son t-shirt et le remonte en direction de son visage. Il me laisse faire sans rien dire, il est beaucoup trop occupé à séduire mes lèvres. Mes arrivées au niveau de ses épaules, il se voit dans l'obligation de se détacher de moi pour se débarrasser des deux boues de tissu qui recouvrait son torse.

C'est fou ce qu'il m'a manqué.

La barrière ayant disparu, il revient prendre possession de mes lèvres, un bras lui sert d'appui tandis que l'autre caresse ma cuisse gauche. Ce simple contact me fait trembler de tous mes membres, plus elle monte plus, je sens une chaleur bouillonnée au fond de moi. J'en veux plus. De sa main, il caresse mon sous-vêtement avant de commencer à tirer dessus. Il veut me l'enlever. Je n'arrive pas à croire qu'on pense à faire ça dans le salon sur un matelas. Pris d'une soudaine panique, je romps notre baiser et encadre son visage de mes mains.

On est dans le salon s'est vrai.

Brent quelqu'un pourrait nous voir, lui informé-je.

Oui c'est vrai, tu as raison, admit-il.

Ce dernier s'allonge à mes côtés et récupère ma couverture pour la nuit. Il la déplie et s'en sert pour dissimuler nos corps. Étant enfermé dans notre petit cocon, il revient à la charge, il reprend sa place entre mes jambes et ses lèvres viennent saluer les miennes. Est-ce que ça me va de le faire dans ses conditions ? Oui, je trouve ça assez excitant et puis, si on est couvert personne va nous voir. Ils vont juste voir un drap bouger pas vrai ?

Étant de nouveau dans l'action, je glisse ma main droite dans sa chevelure et l'autre derrière son dos. Je profite de notre échange tandis qu'il glisse ses mains sous ma jupe et qu'il récupère mon sous-vêtement. Je le laisse faire parce que j'en ai envie. Je veux le sentir en moi. On n'a pas vraiment eux l'occasion de le faire.

La faute à qui ?

En un rien de temps mon sous-vêtement rejoint le sol avec nos chaussures, je suppose. C'est un signe. Glissant mes mains entre nos deux corps, j'attrape sa ceinture que je défais sans attendre. Mon partenaire au moins aussi excité que moi m'aide à le déposséder de ce bout de tissu. Il quitte sa place entre mes jambes et jette son pantalon en dehors de notre petite bulle. Il faut que je prenne les choses en main. Quand il revient vers moi, je l'allonge à mes côtés pour ensuite me glisser au-dessus de lui.

J'emprisonne une nouvelle fois ses lèvres avec les miennes. Elles échangent de nouveau quelque politesse. Posant mes mains de part et d'autre de sa tête, je commence à bouger mon bassin contre le sien. Je ne peux plus me retenir, je veux tellement le sentir en moi et je sais qu'il veut la même chose. En un rien de temps à nos gémissements sont ajouter des grognements, de ses mains, il me guide, il me donne le rythme avant de faire basculer.

Il est de nouveau au-dessus, et il juge que je suis trop couverte. Enfin, je suppose. Il saisit la ficelle de mon haut et défait le nœud en deux temps trois mouvements. Voulant profiter de cet instant ses lèvres se posent sur mon cou et descend petit à petit. Fermant doucement les yeux, je glisse ma main droite dans sa chevelure, par ce geste, je l'incite à continuer.

Il comprend le message. Ses baisers rejoignent mes seins tandis que ses mains m'aident à me débarrasser du bout de tissu qui dissimulait les montagnes jumelles. Sentir ses lèvres sur ma peau me fait un bien fou, mais ce n'est pas suffisant, il m'en faut plus. Pour le lui faire comprendre, j'attrape donc son caleçon, tirant dessus, je libère la bête.

Il a bien compris le message-là, je pense. Ce dernier vient retrouver mes lèvres. Il sait ce qui va se passer et ça le fait sourire au moins autant que moi. Du coup, je soulève ma jupe et lui laisse le champ libre. Il se positionne comme il faut, puis il entre en douceur. Je le sens en moi. Il n'est pas pressé et prend son temps. Je suis dans le même cas. Fermant doucement les yeux, je me cambre et profite de cet instant. Il est d'une telle douceur.

Une fois bien installer, il prend appuie sur ses avant-bras et reprend possession de mes lèvres. Cette fois, c'est différent étant donné qu'il commence à bouger en moi. Oui, ce n'est pas un rêve, il est en moi et me donne tout ce qu'il a. Posant mes mains dans son dos. Je m'accroche à lui et suis ses mouvements de bassin. Je veux qu'il aille plus vite, j'ai attendu ce moment depuis tellement longtemps et j'ai aussi peur qu'on se face repérer, mais c'est tellement excitant.

La température monte et la chaleur se fait sentir. Ne pouvant plus supporter l'air étouffant de notre bull, je le fais basculer et la perce. Enfin, je ne la perce pas vraiment disons juste que je libère nos têtes.

Enfin de l'air.

Pouvant de nouveau respirer, je reprends les mouvements de bassin que j'ai interrompus. Mon partenaire étant plus à l'aise pose ses mains sur cuisse et se redresse en me forçant à faire de même. Enroulant mes bras autour de son cou, je presse ma poitrine contre son torse, tandis qu'il me donne le rythme. Cette nuit, n'aurait pas pu mieux se terminer.

Je t'aime, lui dis-je en souriant doucement.

Je t'aime aussi, me répondit-il en se jetant une nouvelle fois sur mes lèvres.

Un peu plus tard.

Qu'est-ce que ça veut dire pour nous ? lui demandé-je.

C'est bien beau de succomber au plaisir de la chair, mais qu'est-ce que c'est sensé vouloir dire pour nous deux ? Que nous sommes ensembles ? Ou alors, il voulait juste tirer son coup parce qu'il n'en a pas eu l'occasion avec moi. En tout cas, je ne suis pas déçu, il s'est super bien débrouillé et rien que le fait d'y penser ça me donne chaud. Est-ce qu'il est mieux que Jordan ? Je ne répondrais pas à ça. Je ne répondrais jamais à ça. Ils sont deux personnes différentes avec des caractéristiques qui leur son propre. Ils sont bons à leur façon.

D'ailleurs comment va réagir Jordan quand il va apprendre qu'on a couché ensemble ? Il va devenir encore plus fou et je vais devoir l'écouter, se plaindre encore plus. Je suis déjà sûr que quand je vais rentrer, il va me tomber dessus donc imagine un peu quand il va savoir ce qu'on a fait ? Au pire, je m'en fous, ce n'est pas mon mec, ce n'est plus mon mec.

Je suppose que ça veut dire que nous sommes ensembles, me répond Brent. Enfin, si tu veux de moi, précise-t-il.

Nous sommes toujours allongés sous les draps de mon lit improvisé. On profite de ce moment rien que tous les deux bras dessus, bras dessous. Je ne suis pas sûr que j'oublierais cette nuit. Cette journée était parfaite et mon peut-être petit ami est tellement beau avec les cheveux en bataille.

Je veux toujours de toi, lui répondis-je en prenant appui sur mon coude tout en maintenant la couverture contre ma poitrine. Je n'aurais jamais dû te laisser filer, poursuivis-je en venant lui voler un baiser.

Je suis content de l'entendre dire, me dit-il après avoir répondu à mon geste d'affection.

Posant sa main sur ma hanche, il rapproche une nouvelle fois son visage du mien pour un nouveau baiser beaucoup plus profond auxquelles j'y réponds s'en attendre. Ce soir, je suis heureuse et je suis à peu près sûr que personne ne nous a vue. D'ailleurs, on devrait peut-être s'habiller, on ne sait jamais.

Il serait peut-être temps qu'on s'habille, lui suggéré-je en souriant doucement contre ses lèvres.

Tu as raison, il y a de vraie fouine ici, poursuit-il en riant doucement.

Étant déjà vêtu de son boxer, il quitte la couverture et se ramène avec nos affaires. J'enfile donc mon haut et mon sous-vêtement, il enfile son haut et son pantalon. Posant un bisou sur mon front, il me fait comprendre qu'il revient vite. Récupérant ses baskets, il quitte notre lit improvisé pour rejoindre les escaliers et les escalader. J'espère qu'il va revenir. 

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