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034 × She changed

2 mois plus tard.

Les gars, il est temps qu'on parle de Michelle, commencé-je en faisant mon entrée dans le salon.

Ça fait 2 mois, que je sors avec Michelle et j'ai remarqué des petits changements. Tout se passait super bien entre nous, mais en ce moment, elle est un peu dans sa bull. Je sais qu'elle est très occupée avec sa galerie, mais son comportement m'inquiète. C'est à peine si je la vois de la journée. Le matin, elle bosse dans sa galerie, l'après-midi, elle bosse dehors. Sa galerie, est ouverte depuis deux semaines. Je pensais que ça lui permettrait de se détendre un peu, après tous des travaux, c'est du boulot surtout si tu décides de tout faire toi-même.

Enfin, Eva l'aidait, mais j'aurais préféré qu'elle fasse appel à des gens compétents. Attention, je ne dis pas que leur boulot, c'est de la merde, je dis juste qu'elle aurait obtenu le même résulta avec du personnel. Après, je peux comprendre, qu'elle est tenue à faire ça elle-même. Elle a engagé une assistante. Le fait de l'engager était censé lui enlever un poids sur les épaules ben vous savez quoi ? C'est tout le contraire même quand elle est ici, elle garde un œil sur elle via les caméras de surveillance de sa galerie, elle a installé le logiciel sur sa tablette ce qui fait que quand elle est à la maison, elle suit les moindres mouvements de la jeune femme.

En tout cas en ce moment, on ne fait presque plus rien ensemble. Le seul moment où je ne l'ai rien pour moi, c'est le soir et encore certaine fois, elle reste dormir dans sa chambre. Quand j'essaye de lui parler, ce n'est jamais le bon moment parce qu'elle court dans tous les sens. Elle est pire que moi en fait. Du coup, je fais mon truc de mon côté, je continue les vidéos, je traîne avec mes potes, j'ai relancé mon merch, je vais voir mes parents, je continue de lui montrer à quel point je l'aime. Mais je ne suis pas sûr qu'elle se rende compte de tout ce que je fais pour qu'elle aille bien. Je ne sais plus quoi faire avec elle. De plus, elle est constamment de mauvaise humeur. D'où ça sort ? Je n'en sais rien.

Ouais, il y a un truc qui ne tourne pas rond chez elle, commence Alex.

Je ne sais plus quoi faire, leur informé-je. Je fais un sort d'être là pour elle, mais elle prend ses distances et je ne sais pas quoi faire, ajouté-je. Il y a même des fois, j'ai l'impression qu'elle m'en veut, mais je ne sais pas pourquoi, poursuivis-je.

Tu devrais peut-être lui parler, commence ma petit soeur.

Si seulement, elle avait du temps pour ça, ajouté-je en passant ma main dans ma chevelure avant de m'asseoir sur le canapé à côté de moi.

Parfois, c'est moi qui n'est pas le temps, parfois, c'est elle. C'est un vrai cercle vicieux. Je suis contente que son business va bien, mais il faut qu'elle se détente. Il faut qu'elle prenne du temps pour elle pour nous. Elle me manque. Toute cette situation me tue à petit feu parce que je l'aime. Je ne le lui ai pas encore dit parce que ce n'est pas le moment.

Tu sais sa mère à toujours ses problèmes, c'est peut-être ça qui la travaille, suppose l'autre Lexi.

Non l'a situation de sa mère va mieux, elle lui a même rendu sa carte bancaire, lui informé-je.

Elle a peut-être rendu à sa mère sa carte bancaire, ça ne l'empêche pas de consulter en permanence les relever de compte en ligne de cette dernière. Elle n'hésite pas à confronter sa mère, quand elle voit des sommes élever suspecte. Je n'ai jamais vu une personne aussi... comment dire. Elle aime avoir le contrôle sur tout. Je ne dis pas que cette qualité me dérange, je dis juste que ça lui ajoute du stress pour rien.

Salut les gars, qu'est-ce que vous faites, demande une voix.

C'est Michelle qui fait son apparition dans le salon, elle porte un sweat gris Relatable faisant partie de mon merch, un minishort en jean. Ses cheveux forment une queue-de-cheval et elle a son téléphone en main. Je suppose qu'elle n'a rien de prévu aujourd'hui.

Rien du tout on traîne, lui répondis-je. On pourrait parler ? lui demandé-je par la suite.

Oui bien sûr, me répondit-elle d'un air sceptique en haussant les sourcils.

Me levant du canapé, je quitte le salon et emprunte la route menant aux escaliers avec Michelle sur mes talons. Je la conduis dans ma chambre. Entrant de la pièce, je m'approche de mon lit et m'y assois. Michelle ferme la porte derrière elle et vient s'asseoir en tailleur en face de moi.

Écoute, j'ai bien remarqué que quelque chose ne va pas de ton côté en ce moment et j'aimerais comprendre, commencé-je.

Cette dernière ne sait d'un coup plus où se mettre. Elle a tout de même l'air soulagée. Elle n'a quand même pas cru que j'allais la quitté. Je ne pourrais pas, je suis complètement fou d'elle. Je veux juste savoir ce qu'elle a et l'aider à aller mieux. C'est-ce que ferais tout bon petit ami. Elle ne me regarde plus, elle regarde ses mains qui jouent avec les lacets de ses converses.

Il faut que tu me dises.

C'est juste, commence-t-elle avant de prendre une grande inspiration pour ensuite poser son regard sur moi. Vivre ici, c'est cool, mais je devrais déjà être partie, mais avec tout ce que j'ai dépensé pour la galerie..., me dit-elle. Ça me dérange de reste ici okey, je ne veux pas imposer ma présence trop longtemps, ajoute-t-elle.

C'est ça son excuse ? Je sais que ça l'a toujours dérangé de venir vivre ici, mais je ne vois pas où est problème. Elle-même ne voulait pas rester dans leurs caravanes. Je ne voulais pas qu'elle continue de dormir sur cette banquette. Je voulais prendre soin d'elle. Je pensais que ça allait lui passer et en plus, elle avait l'air bien les jours qui ont suivi. On était super proche, on se marrait bien. Je ne comprends pas ce revirement soudain.

Je ne comprends pas où est le problème, même avant que tu vives ici, tu étais tout le temps-là, lui rappelé-je. Et puis nous nous sommes tous mis d'accord pour t'accueillir ta mère et toi ici, ajouté-je.

Oui mais, traîné et vivre ici ce sont deux choses différentes, me dit-elle avec plus d'assurance. Ça fait deux moins que ma mère squatte la chambre d'Alex et deux mois que j'envahie l'espace personnel de Lexi, me rappelle-t-elle. J'ai l'impression de ne pas avoir ma place ici, je suis un envahisseur, ajoute-t-elle.

Alex, ne se plains pas d'avoir été jeté hors de sa chambre. Mais je crois que je la comprends. Je pense que ça aurait été mieux qu'elle et sa mère est leur propre chambre, mais on n'a pas de place. Je crois que je comprends où est problème. Elle veut se dépêcher de partir pour redonner un semblant d'intimité aux personnes qui ont dû se déplacer à cause d'elle et sa mère.

Non ne dit pas ça, ce n'est pas vrai, lui dis-je en secouant la tête de droite à gauche.

Ecoute, commence-t-elle en se rapprochant de moi, me prenant ensuite les mains. J'ai besoin d'un break.

Quoi ? la coupé-je. Tu... tu es en train de me quitter ? lui demandé-je.

C'est une blague, elle n'est pas en train de me quitter ? Pourquoi elle voudrait me quitter nous sommes bien ensemble. Rien ne cloche dans notre couple. Je n'ai rien fait de mal pourquoi elle voudrait se séparer de moi. De plus, elle n'en a pas envie, je peux le lire sur son visage, ça lui fait autant de mal à qu'à moi. Rien ne nous oblige à rompre.

Écoute, écoute, insiste-t-elle en posant ses mains sur mes épaules pour me forcer à me concentrer. Ça n'a rien avoir avec toi, c'est à cause de moi, ajoute-t-elle.

C'est-ce que dise toutes les personnes avant de larguer quelqu'un, lui fis-je remarquer.

Sérieux, c'est une de ses répliques qui revient le plus souvent et le plus souvent le problème vient de la personne qu'on quitte. On le sait tous, la personne qui nous quitte essaye juste de nous rassurer. Mais, qu'est-ce que j'aurais dû faire, la laisser vivre elle et sa mère dans cette boite à sardine ? Je ne me le serais jamais pardonné. Cette dernière repose ses mains sur ses cuisses et prendre une nouvelle inspiration. Elle repose ensuite son attention sur moi et prend mon visage entre ses mains. Elle me regarde avec ce regard plein de tristesse.

Brent écoute moi, c'est très sérieux, me dit-il. J'ai trop de choses à gérer, j'ai beaucoup de boulot et temps que je n'aurais pas trouvé un appartement pour ma mère et moi, je ne pourrais pas me concentrer sur nous et tu ne mérites pas ça, ajoute-t-elle en me regardant dans les yeux. J'ai besoin de régler tous mes problèmes, tu comprends ? Me demande-t-elle en haussant les sourcils.

Non, je ne comprends pas. Nous ne sommes pas obligés de rompre, je pourrais l'aider. Mais, malheureusement, c'est une femme indépendante, elle aime tout gérer par elle-même. C'est une qualité comme un défaut.

Je comprends, lui mentis-je. Mais je pourrais t'aider, ajouté-je en posant mes mains sur ses cuisses.

Ce n'est pas ton rôle de m'aider à régler mes problèmes, me dit-elle. C'est quelque chose que je dois faire seule, ajoute-t-elle. Je suis désolé.

Est-ce que j'ai droit à un dernier baiser ? lui demandé-je.

Bien sûr, me répondit-elle.

Elle plaque une dernier fois ses lèvres contre les miennes. Je profite de ce dernier baiser, de ce dernier échange. Ça va tellement me manquer. J'espère qu'elle mettra vite de l'ordre dans ses affaires et qu'une fois se sera fait, elle voudra encore de moi. Ses douces lèvres remuent en harmonie avec les miennes, mais alors que je lui demande l'accès à sa langue, elle me le refuse. Elle rompt notre échange.

On peut toujours rester amis tu sais, ajoute-t-elle. On était de très bon ami avant tout ça, poursuit-elle en jetant un coup d'œil en direction de ma porte vitrée avant de revenir vers moi.

Oui bien sûr, lui répondis-je. Je ne veux pas te perdre, ajouté-je.

Moi non plus, me dit-elle. Il faut que j'y aille, ajoute-t-elle

La jeune femme se lève de mon lit et prend la direction de la sortie. Saisissant la poignée, elle tire sur cette dernière avant de disparaître derrière la porte. Épuiser par cette conversation, mon dos rejoint mon matelas. Attrapant l'oreiller à côté, je le pose sur mon visage. Contre ce dernier, je lâche un cri d'agacement avant de le balancer contre la porte de ma salle de bain. Reposant mon dos sur le matelas, mes mains se retrouvent sous ma tête. Je n'arrive pas à croire qu'elle met quitter quitter. Moi qui pensais qu'on serait capable de tout surmonter. Regardant mon plafond, j'essaye de me remettre de ce qui sait passer dans cette pièce et sans prévenir une foule de mec fait son entrée. Enfin une foule, c'est peut-être exagérer, il n'y a que les twins et Ben, ils viennent se joindre à moi sur mon lit.

Qu'est-ce qui vient de passer ? On a vu Michelle quitté, la piaule, commence Ben. Tu l'as quitté ? me demande-t-elle.

C'est plutôt elle qui m'a jeté, lui répondis-je en me redressant. Elle a des trucs à régler de son côté donc, ajouté-je. Mais, nous sommes toujours ami.

Et heureusement, je n'aurais pas supporté de la perdre d'un coup comme ça. Mais quelques choses me dit que notre relation amicale ne sera plus comme avant étant donné qu'on était du genre assez même trop tactile. Comment je vais gérer une relation amicale avec elle.

Et si on sortait histoire de te changer les idées, propose Alan.

Ne le prenez pas mal les gars mais, j'aimerais rester un peu seule, lui répondis-je.

Okey, c'est normal, tu viens de te faire larguer, mais si tu changes d'avis, tu sais où nous trouver, ajoute Alex en riant doucement me donnant une tape sur l'épaule.

Oui, je sais où les trouver, nous vivons ensembles. J'ai compris sa petite blague. Sans attendre, ils se relèvent de mon lit et disparaisse derrière la porte. Je n'ai envie de rien, j'ai besoin d'être seule. Je n'arrive toujours pas à croire qu'une relation aussi parfaite vient à son terme. Enfin, elle n'était pas si parfaite que ça étant donné qu'elle prenait ses distances. En fait, vous savez quoi, c'est peut-être un mal pour un bien. On a peut-être vraiment besoin d'un break. C'est vrai que notre relation a pris l'eau. Je vais la laisser faire ce qu'elle a à faire, je vais l'attendre parce que je l'aime.

Le soir venu

C'est vraiment très bon Debra, commence Alex.

Je ne suis pas un chef étoilé mais, je sais me débrouiller, derrière un fourneau, nous dit-elle en souriant. En plus, c'est un plaisir de cuisiné pour vous, ajoute-t-elle.

Là, nous sommes à table avec la mère de Michelle. Michelle est là. Je ne lui ai pas parlé depuis qu'elle m'a largué en même temps, je crois qu'elle a cherché à m'éviter. En tout cas, ce soir, elle est magnifique. Certe peut maquiller, mais magnifique. Elle porte un minishort en jean, un crop top à longue manche noir qui laisse très légèrement entrevoir sa poitrine et sa chevelure est lâcher. Elle évite de me regard, son regard est plongé dans son assiette.

Vous allez nous manquer quand vous partirez avec Michelle, ajoute Lexi H.

Je pourrais toujours passer à l'occasion vous cuisinez un petit truc, propose-t-elle.

Je suis pour, ajoute Alan en levant la main.

La réplique d'Alan fait rire tout le monde sauf moi et Michelle qui est toujours concentrée sur son assiette. D'ailleurs, je pense qu'elle ne supporte plus l'ambiance parce qu'elle se lève de table son assiette et son verre en main. Elle prend la direction menant à la cuisine. Elle ne revient pas.

Le reste du dîner se passe dans le silence, tout le monde à du sentir que je vis mal le fait qu'elle est quittée la table comme ça. Je n'ai pourtant rien fait. C'est elle qui m'a quitté pourtant elle agit comme si c'était moi qui l'avais quitté. Vu que le dîner est terminé, chacun rassemble sa vaisselle et prendre la direction de la cuisine. La mère de Michelle tient à faire la vaisselle, cette dernière se trouve déjà devant le lavabo. Je pose donc ma vaisselle à côté d'elle.

Ce n'est pas contre toi, me dit-elle alors que je m'apprête à prendre la route menant à ma chambre.

Comment ça ? lui demandé-je en me retournant vers elle, glissant mes mains dans mes poches avant.

— La rupture, me dit-elle. Elle ne voulait pas rompre et ça l'affecte beaucoup, ajoute-t-elle. C'est juste qu'elle a beaucoup de chose à gérer et tu sais comment est Michelle, elle aime régler ses problèmes toutes seules, me rappelle-t-elle.

Mais, elle n'a pas à le faire seul, lui dis-je. Je pourrais l'aider, ajouté-je.

ça me touche beaucoup que tu cherches à l'aider, me dit-elle. Tu es vraiment un jeune homme serviable, ajoute-t-elle. Malheureusement, elle doit gérer ça toute seule, mais quand elle aura besoin d'aider, je suis sûr qu'elle te fera signe, poursuit-elle.

C'est vrai que généralement quand Michelle a besoin de moi, elle me le fait savoir. Je comprends qu'elle veuille régler ses problèmes seules, elle est du genre autonome et c'est ce qui me plaît chez elle, mais, elle a tendance à péter les plombs quand elle n'en peut plus, je veux éviter ça. Parce que je l'aime. En fait dans cette famille, ils aiment bien accumuler les tâches. Je ne comprendrais jamais pourquoi. Après ma conversation avec Debra, je quitte la cuisine et rejoins le premier étage où je crois mon ex qui justement s'apprête à descendre.

Je voulais lui faire de la place pour passer, donc je me coince sur ma gauche, mais elle en fait de même. Du coup, je vais de mon côté droit, elle suit le mouvement. Ce qui finit par nous faire rire tous les deux. Ça fait longtemps, que je ne l'ai pas vu rire. Elle est tellement plus belle quand elle est heureuse.

Écoute, je ne veux pas que la situation devienne bizarre entre nous, finis-je par dire. Comment on fait pour repartir du bon pied, lui demandé-je.

Franchement, je n'en sais rien, me répondit-elle en coinçant une mèche derrière son oreille. Je ne veux pas non plus que les choses deviennent bizarres entre nous, ajoute-t-elle. Je pense... je pense qu'il faut peut-être qu'on arrête de se mettre la pression, suppose-t-elle.

Tu as sûrement raison, lui dis-je. On pourrait peut-être ce regard un film, ce soir, lui proposé-je en haussant les épaules.

Pas ce soir, j'ai beaucoup de chose à faire demain donc je compte aller dormir tôt, dans ma chambre, me répondit-elle.

Ouais, donc en gros, ce n'est pas la peine de lui proposer de venir dormir avec moi. De toute façon, je ne l'aurais pas fait, on vient à peine de se séparer. On a besoin de retrouver notre zone de confort. Elle a doit se retrouver et je dois en faire de même. Je l'aime, mais je dois la laisser faire ce qu'elle à faire.

D'accord, lui dis-je une. Une prochaine fois ? lui proposé-je.

Avec plaisir, me répondit-elle en souriant.

Sur ses mots, elle poursuit sa descente, en direction de l'entrée tandis que moi, je poursuis ma montée et entre dans ma chambre. N'ayant rien envie de faire de la soirée, je me rapproche de mon placard pour en sortir un pyjama. Un pantalon et un t-shirt, sans perdre de temps, je me débarrasse des bouts de tissu qui recouvre mon corps puis, je les enfile. Mon corps s'échoue sur mon matelas mon compagnon de ce soir sera mon téléphone. 

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