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023 × Back to Sydney

Comment je suis ? lui demandé-je.

Tu es présentable, me répondit-il.

Nous y sommes, nous sommes de retour à Sydney. Je sens déjà le stresse monter en moi parce que maintenant, il n'y a plus que quelques minutes qui me séparer de mon ex. C'est la raison pour laquelle je n'arrête pas de passer ma main dans ma chevelure. Brent essaye de me rassurer en me disant que tout va bien se passer, mais je n'en suis pas si sûr.

Présentable, c'est tout ce que tu as à me dire ? lui demandé-je en posant mon attention sur lui.

Vu comment tu t'es fait belle pour lui, ça ne peut que bien se passer, ajoute-t-il.

Je ne me suis pas fait belle pour, le contredis-je en le dévisageant.

Okey, me dit-il en levant ses mains en signe d'innocence. On devrait aller se louer une voiture pour notre séjour, ajoute-t-il.

Ouais, allons-y, ajouté-je.

Reprenant les anses de mes valises, je le suis, jusqu'à la sortie de l'aéroport. À côté de ce dernier, se trouve une location de voiture. Nous entrons donc dans le bâtiment pour aller à la rencontre du loueur. Ce dernier nous sort le grand jeu, nous montrant les diverses voitures qui nous iraient à merveille. Je ne vais pas vous mentir après, qu'il nous est présenté la première voiture, j'ai arrêté de l'écoute parce que pour moi, elle était bien, mais Brent voulait voir les autres. Ce dernier n'arrête pas de me demander ce que je pense de chaque voiture et je lui dis que je m'enfiche qu'elles sont toutes magnifiques. Il finit par se décider, il a choisi une Audi A3 Sportback.

Je le laisse gérer les détails avec l'agent parce que je n'ai pas la tête à ça tout ce que je veux, c'est aller dans mon ancienne demeure récupérer mes affaires. Plus vite se cape sera passer plus vite, je pourrais tourner la page. Je me sens compressé, prise à la gorge et rien que le fait de ressentir tout ça, me met hors de moi. Je suis dans tous mes états et plus on attend ici moins ça s'arrange.

C'est bon, j'ai les clés, me dit Brent après une longuement discuter avec le vendeur.

Je ne lui réponds pas à la place, je me contente juste de prendre la direction du véhicule avec mes deux valises. Ce dernier ne comprend pas mon soudain changement d'humeur, mais il me suit quand même. Je le laisse déverrouiller notre véhicule le temps de ce voyage puis, j'ouvre le coffre pour y poser mes bagages, la valise de Brent rejoint les miennes puis, nous passons à l'avant sans un mot.

En un rien de temps nos ceintures sont bouclées, il quitte la place où le véhicule est garée pour s'engager sur la route une fois le portail ouvert. Je me mets à mon aise. Mon pied-droit repose sur ma banquette tandis que mon regard est rivé sur la vitre qui me sépare de l'extérieur.

J'ai fait quelque chose de mal, me demande-t-il.

Non ça n'a rien avoir avec lui. Je suis en train de me transformer en peste et le pire, c'est que j'en suis consciente, mais je n'ai pas envie d'y résister. J'ai besoin de me détendre passant mes mains sur mon visage, je bascule ma tête en arrière. Avant de lui répondre, je veux chasser les idées noires qui flottent autour de moi. J'ai besoin d'une nouvelle bouffé d'air. Je décide de me vider les poumons. Les yeux fermés, j'expulse tout l'air que je peux avant de reprendre une bouffer d'air tout neuf qui a pourtant l'air polluer à cause de mes pensées pour à mon ex. Je pose mon regard sur mon super ami qui attende toujours une réponse.

Non tu n'as rien fait, c'est juste toute cette situation avec Jordan, lui répondis-je. Rien que le fait de revenir ici me met dans tous mes états et ça joue beaucoup sur mon moral, lui expliqué-je.

J'avais remarqué, m'informe-t-il. Tu veux peut-être qu'on aille se prendre une petite glace avant d'aller chez toi, me propose-t-il.

Non plus vite on aura fini avec tout ça, plus vite je pourrais me détendre, lui informé-je.

Dans ce cas s'est partie, ajoute-t-il.

Mon compagnon de voyage, nous conduit donc jusqu'à l'immeuble dans lequel je vivais avant. Quittant le véhicule nous nous rejoignons au niveau du coffre que j'ouvre. Je récupère une valise Brent prend la seconde avant de refermer le coffre. Je l'entraîne vers l'intérieur du bâtiment. Ce dernier est toujours aussi bien entretenu. En même temps, le Stan est quelqu'un de plutôt propre sur lui, ça ne devrait pas me surprendre. Je l'entraîne vers l'ascenseur que j'appelle en appuyant sur le bouton fait à cet effet.

Il descend quelques minutes plus tard complètement vides. Nous entrons donc à l'intérieur. J'appuie sur le bouton de mon ancien étage puis, je laisse les mécanismes faire le reste. Les portes finissent par s'ouvrir ce qui annonce que nous sommes arrivés. J'entraîne Brent jusqu'à l'ancienne porte de mon appartement. Sortant mes clés de ma poche avant, je l'introduis dans la serrure.

Après avoir exercé quelques rotations, elle s'ouvre, nous dévoilant un appartement plongé dans le noir. Ce qui me fit sourire. Jordan n'est pas là. Si ça se trouve, je n'aurais même pas le croisé durant tout notre séjour, si ça ce n'est pas une bonne nouvelle ça, je ne sais pas ce que c'est.

Bon ben on va être tranquille, lui dis-je en souriant doucement.

J'entre dans l'appartement laissant Brent prendre le soin de fermer derrière lui. Mais, attend voir si ça se trouve, il dort encore. Non, il est 13 heures, il n'est forcément pas là. Ayant besoin de lumière, je me jette sur l'interrupteur dans le couloir pour allumer à la fois, le salon et l'endroit où nous nous trouvons. L'appartement est plutôt propre, j'avoue que je suis assez surprise étant donné que Jordan n'est pas un spécialiste du ménage. Il doit sûrement s'être trouvé une nouvelle meuf.

Cette appartement est plutôt cool, me dit Brent une fois arrivé à ma hauteur.

T'attache pas trop à lui, lui répondis-je. Il n'est plus à moi, ajouté-je. 

Mon regard se pose à l'endroit où tout s'est passé. L'endroit où il m'a bousculé, l'endroit où je suis tombé. Cet endroit n'a pas vraiment changé. Regarder ce petit coin me fait revivre la scène le temps d'un instant. Je revois son regard désolé qui m'implore de lui pardonner. Je sens déjà les larmes que je n'ai pas versées depuis mon envol revenir, mais je balaie cette sensation.

Attrapant la poignée de mon ancienne chambre, je l'ouvre.
Le salon et la cuisine sont peut-être en bonne état, mais la chambre est dans un état lamentable. Le lit n'est pas fait, il est y a des vêtements sur le sol, une chaise pleine de vêtement. Un sac de sport sur le sol. Là, je reconnais bien mon ex petit ami. 

— Woah, ce n'est pas un pro du ménage, me dit Brent par-dessus mon épaule. Dis-moi y a moyen que j'utilise les toilettes, me questionne-t-il. 

Bien sûr, y a une salle de bain là, ajouté-je en désignant la porte à côté de mon ancien placard. 

Ce dernier me laisse donc seul avec ma seconde valise. Ne voulant pas m'éterniser ici, je me rapproche de mon placard pour en sortir mon bagage à main qui repose sur l'étagère au-dessus de la penderie. Je le pose sur le lit avant de contourner ce dernier pour attraper mon anneau lumineux. Comment je sais que c'est le mien ? C'est simple Jordan n'en a pas. Je décroche l'anneau de son trépied puis, je le pose sur le lit. Me concentrant sur le trépied, je plie ce dernier avant de refaire le tour du lit pour le poser dans le fond de mon sac. 

Quittant la chambre, je rejoins le bureau qui se trouve juste en face. Sa porte se trouve à côté de l'endroit où j'ai failli m'ouvrir le crâne à cause de mon ex. Restant concentrée, j'ouvre la porte et la première chose que je fais, c'est rassemblé tout mon matériel de photo. Mes objectifs, mes autres appareils, mes trépieds, mes fonds et le support de mes fonds. Je range mes trépieds et mon matériel de fond dans le même sac. C'est un sac noir avec deux lanières. Mes appareils sont juste dans leurs sacs respectifs et les objectifs aussi. En ayant fini avec cette pièce, c'est les mains pleines que je quitte mon ancien bureau. 

Et Brent pendant que tu es dans la salle de bain tu pourrais...

Je me coupe dans mon élan étant donné qu'un revenant se dresse devant moi. Il est là. Jordan est là. Je n'y crois pas putain, il est là. Il est un habillé d'un jean, d'un t-shirt blanc et à ses pieds, une paire de Nick de la même couleur que son t-shirt. Il est en soit propre sur lui. Ses cheveux sont fièrement dressés sur le haut de son crâne, il affiche sa mine surprise. D'ailleurs, je pense que j'ai sûrement la même expression que lui. Oui, j'ai la même expression que lui. Il ne s'attendait pas à me voir et inversement. 

Sur le coup, je ne sais pas quoi dire. Je suis un peu en état de choc. Ce mec est toujours aussi beau et sexy. Pourquoi j'ai largué un mec pareil ? Parce qu'il est impossible à vivre par moments. Il est impossible à vivre, mais on était heureux. À cet instant, tous nos petits moments de complicité me reviennent en mémoire...

Tu m'as appelé ? demande Brent en sortant de notre chambre. Oh, je dérange, ajoute-t-il en constatent que mon ex est parmi nous. 

Tu pourrais aller mettre tout ça dans la voiture, lui demandé-je. 

Du coup, je lui tends les lanières du grand sac et celle des sacs de mes appareils. Il les récupère avant de se diriger vers la sortie. Jordan qui ne s'attendait pas à voir quelqu'un d'autre que moi ne cesse de dévisager Brent, il se donne même la peine d'analyser chacun de ses mouvements jusqu'à ce qu'il disparaisse de son champ de vision. Il repose ensuite son regard sur moi. Il n'est pas surpris, il est en colère. Je le suis aussi à présent. 

Je peux savoir ce que tu lui trouves ? me demande-t-il. 

Nous ne sommes qu'ami, pour ta gouverne, lui répondis-je. Et ne t'inquiète pas, tu n'auras pas à nous supporter longtemps, je ne reste pas, ajouté-je avant de regagner notre chambre. 

Ce dernier, ayant encore des choses à me dire me suit jusque dans cet espace qui était réserver à nos moments intimes et nos siestes. 

Enfin bref, Mic revient à la maison, me demande-t-il. Je sais que j'ai déconné, mais je veux faire les choses différemment cette fois, ajoute-t-il. Je tourne en rond sans toi, j'ai l'impression de ne plus être moi-même. 

Il se fout de moi là ? Qui il croit berner ? Je ne suis pas aussi conne que j'en ai l'air. Si je lui manquais pourquoi il ne m'a pas contacté une seule fois depuis mon départ. J'aimerais bien savoir. Ce mec, il me prend vraiment pour une conne. Si je lui avais manqué, il m'aurait harcelé d'appel et de message. Il ne l'a pas fait. Il n'a rien fait de tout ça.

Est-ce que j'ai l'air d'une conne ? lui demandé-je. Depuis, que je suis partie, tu n'as pas cherché à me contacter une seule fois, lui rappelé-je. Et là, tu oses sortir les belles paroles, est-ce que j'ai l'air d'une conne ? lui demandé-je. 

Écoute, je me suis dit que tu avais besoin de temps et j'étais loin de penser que tu quitterais carrément la ville, ajoute-t-il. 

Ben j'ai quitté la ville et je suis en train de me reconstruire, l'informé-je. 

C'est vrai que j'avais besoin de temps, c'est vrai aussi qu'il ne savait pas que j'avais quitté la ville, mais j'ai eu pas mal de temps pour me calmer. Je suis sûr que si je n'étais pas venu, il ne m'aurait toujours pas appelé. Tout simplement parce qu'il est content d'être débarrassé de moi. Plus personne ne lui faire chier pour le loyer ou pour tout autre chose. 

Oui, tu es en train de te reconstruire avec ce type-là, me dit-il en pointant la porte. Ça va, il te rend heureuse, me questionne-t-il. 

Nous ne sommes qu'ami tous les deux, lui répété-je. 

Ah ouais, on n'aurait pas dit vous passer votre temps coller, l'un à l'autre, reprit-il. Vous dormez ensemble et tu veux me faire croire que vous n'êtes qu'ami, ajoute-t-il. 

Oui, c'est vrai qu'on pourrait penser que Brent et moi nous sommes ensemble pour ses raisons, mais ce n'est pas le cas. Nous sommes juste de super ami. Je ne dis pas ami parce que c'est évident que notre relation est plus profonde que ça. C'est mon super ami sur qui je peux toujours compter. Je ne sais pas comment lui, il voit notre relation étant donné qu'il a plein d'amis, mais c'est comme ça que moi, je le ressens. 

Va te faire foutre, je n'ai pas de compte à te rendre, lui rappelé-je. Si tu ne veux pas croire qu'entre lui et moi, il n'y a rien, c'est ton problème, lui informé-je avant de récupérer ma valise pour me rendre dans la salle de bain. 

Je n'arrive pas à croire, ce qu'on est en train de vivre, c'est une blague, me demande-t-il en me suivant. On était heureux ensemble et toi tu envoies tout valser comme ça, m'accuse-t-il. Tout ça pour te foutre avec cette couille mole. 

Putain, mais il ne la ferme donc jamais. 

Il ose se permettre de juger la virilité de mon super ami. Okey, vous savez quoi, je ne vais pas relever parce que ce n'est pas mes affaires et... non, on va juste passer à autre chose. C'est un sujet un peu trop gênant. En tout cas, il n'a pas à manquer de respect à Brent surtout parce qu'il ne le connaît pas et qu'il ne le lui a rien fait. Je sais qu'il est en colère, mais ce n'est pas une raison pour devenir grossier. 

Je ne te permet pas, c'est mon ami et il ne t'a rien fait, respecte le, lui ordonné-je. Tu n'avais cas payer la facture, c'était ton tour et tu as l'air d'oublier que tu m'as poussé et que j'ai failli m'ouvrir le crâne, lui rappelé-je en haussant le ton pour être à son niveau. 

On est encore là-dessus, me demande-t-il agacer. 

Évidement qu'on est encore là-dessus ça fait partie des raisons pour lesquelles je suis partie, lui informé-je. 

Nous sommes encore en train de nous crier dessus quand d'un coup Brent fait son apparition. Il ne semble pas vouloir s'interposer, mais dans un sens, je sens qu'il a peur que ça dégénère donc il se place entre nous. 

Hey les gars ont vous entend depuis, le couloir, nous informe-t-il. Vous ne voudriez pas baisser le son. 

La ferme Brent, lui crions-nous à l'unisson. 

Mon regard, se repose sur mon partenaire de dispute, toujours aussi fou de rage. Je suis toujours remontée contre lui et j'ai besoin de m'exprimer. Je veux qu'il connaisse le fond de ma pensée parce que je n'ai pas vraiment eux le temps de lui crier ma façon de penser. Je suis partie sans un mot maintenant que je suis en face de lui, je m'exprime en mettant de côté, c'est attribues physiques qui m'ont fait craquer pour lui. 

Tu sais quoi prend tes affaires et tire-toi, ajoute-t-il avant de quitter la salle de bain. 

Mon attention se repose sur Brent alors que la rage pulse toujours dans mes veines. Son visage doux et rassurant finit par me remettre les idées en place, il est si bienveillant. Est-ce que notre dispute aurait pu mal tourner ? Je n'en ai aucune idée et je ne le saurais jamais tout ça grâce à lui. Je suis contente d'être venu ici avec lui. J'avais besoin de lui. 

Je suis désolé, pour le « la ferme », lui dis-je en souriant doucement. 

T'inquiète, ce n'est pas comme si c'était la première fois que tu me disais de la fermer, ajoute-t-il en riant doucement. On ferait mieux de se concentrer sur les valises d'accord ? 

Pour seule réponse, je me contente de hocher la tête. Je me retourne vers le lavabo et je ramasse mes divers fers à cheveux, je les mets tous dans la valise ainsi que mes divers produits pour les cheveux. En gros, je prends tout ce que j'ai laissé dans la salle de bain et je les mets dans mon bagage à main. 

Je rejoins ensuite Brent dans la chambre, il rassemble les chaussures que j'ai laissées et mes divers sacs à dos ou à bandoulière dans les valises restante. Attrapant le sac de mon anneau, lumineux, je fais le tour du lit. J'y glisse l'anneau avant de le refermer. Je crois que j'ai tout. Brent ne semble plus savoir quoi prendre d'autre donc, nous convenons de partir. Je l'aide à fermer mes valises. 

Valises qui finissent sur leurs 4 roues. Mon super ami attrape leurs anses tandis que je saisis les anses de mon sac de voyage et le sac de mon anneau lumineux. Nous quittons la chambre, nous sommes prêts à partir du moins jusqu'à ce que Jordan ne revienne à la charge. 

Tu pars sans dire au revoir, me demande-t-il. 

Je n'ai plus rien à te dire Jordan, lui informé-je avant de suivre Brent dehors.

Mon camarade et moi rejoignons donc notre véhicule. Nous chargeons mes bagages dans le coffre avant de rejoindre les banquettes avant. C'est encore Brent qui conduit parce que mine de rien, je n'en ai pas la force et je ne sais même pas dans qu'elle hôtel, il a réservé. Le trajet se fait dans le silence parce que je n'ai rien à dire. Je me contente juste de regarder mon camarade qui conduit avec sa mine super concentrer de la mort qui tue. 

Merci d'être intervenu, je ne sais pas ce que je serais devenu si tu n'avais pas été, lui dis-je en posant ma tête contre mon dossier. 

C'est justement pour ça que je suis venu, je ne voulais pas qu'il te refasse du mal, m'informe-t-il en jetant un regard sérieux sur ma personne. 

Tu es le meilleur, lui remercié-je en souriant. 

Ce dernier m'adresse un fin sourire avant de se reconcentrer sur la route. Il libère tout de même une de ses mains qui vient rejoindre mon genou plié. Ma main rejoint la sienne et nos doigts se retrouvent entrelacer tandis que mon autre main se pose sur le dos la sienne. 

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