J'ai eu raison de ne pas l'inviter chez moi. Vous avez vu dans quoi, il vit. C'est un palace cette maison. Je ne m'attendais vraiment pas à ça. D'ailleurs, ma surprise doit se lire sur mon visage, lui, il se contente juste de me sourire. Il se même décale de la porte d'entrée ce qui veux dire que j'ai le droit d'entrée. Je ne me fais pas prier, je fais mes premiers pas dans cette maison en traînant à mes côtés sa valise. Je ne perds pas une miette des alentours. Ce que j'aimerais vivre ici où dans n'importe quelle maison, dès que ce n'est pas une caravane.

Je ne suis pas compliqué comme fille. De l'entrée d'un blanc immaculé, je peux voir le salon sur ma gauche. Devant moi, je vois brièvement la cuisine et l'escalier menant à l'étage. Cet endroit à l'air géniale. Il n'y a pas de photo exposée dans l'entrée, je suppose qu'il n'a pas eu le temps de se concentrer sur la décoration. Ah les mecs, je ne suis pas surprise. Cette maison a besoin d'une touche féminine. Alors que je suis concentrée sur ma contemplation, je suis interrompu par des bruits de pas se dirigeant vers nous. Tous ses pieds quittent le salon. Il y a 3 filles et Alan et Alex.

— Les gars, je vous présente Michelle, ma voisine de siège lors de mon long vol, commence Brent. Michelle voici ma petite sœur Lexi, commence-t-il en désignant Raiponce.

Oh, c'est sa petite sœur.

Sorry, j'ai cru que c'était sa petite amie. Pourquoi j'ai cru ça ? Ce n'est peut-être pas sa petite amie, mais l'une des autres filles doit l'être à moins qu'elle s'est déjà un copain où que ce soit les mecs son truc.

— À côté d'elle se trouve un autre Lexi et Pierson, continue-t-il. Et tu as déjà vu Alex et Alan, me rappelle-t-il.

— Salut tout le monde, les salué.

— Salut, me répondit-il à l'unisson.

— Du coup qu'est-ce qui se passe ici ? leurs demandé-je. Tu vis seule dans cette villa de malade ? le questionné-je.

Cette maison, c'est un truc de malade. Après, je ne me vois pas vivre seule dans une maison aussi grande. Ce serait un peu triste et pas trop fun. Certes le premier jour j'aurais été aux anges mais, je pense qu'après je m'en serais lasse. Je n'aime pas trop là compagnie des gens, mais dans un espace comme celui-ci, je pense qu'un peu de compagnie ne peut pas faire de mal.

— Non j'y vis avec les twins, les Lexi et Ben celui qui m'avait invité à Sydney pour son challenge, me répondit-il. Tu le verras sûrement plus tard.

— Vous vivez donc tous ensemble en mode Hype House ? leurs demandé-je.

— Quoi ? Non ce n'est pas pareil, me dit Alan. Ici, il n'y a qu'une bande de potes, on ne bosse pas ensemble, ajoute-t-il. Enfin, on collabore à des moments, mais, pas de la même façon qu'eux, nous sommes indépendants, essaye-t-il de m'expliquer.

— Vous bossez sur quoi ensemble ? leurs demandé-je un peu perdu.

Pour une raison que j'ignore, ils se mettent à me dévisager comme si j'avais dit quelque chose de mal. Comme si j'étais sensé savoir quelque chose à leurs sujets. Je suis désolé les gars, mais je ne vous connais pas donc je ne vois pas pourquoi vous me regardez comme ça. J'attends qu'ils me répondent, mais, à chaque fois que je pose mon regard sur l'un d'entre eux, ils regardent Brent. Comme s'ils recherchaient sont autorisation pour tout me dire.

— Nous sommes tous des Youtubeurs, ajoute Brent les mains dans ses poches. Donc, parfois, on fait des vidéos entre nous, précise-t-il.

— C'est plutôt cool, je comprends mieux pour la maison tout d'un coup, ajouté-je. Sinon avant que j'oublie, je peux récupérer mes biens ? J'ai dû m'acheter un nouvel appareil parce que j'ai cru que j'avais perdu le mien, je veux donc voir s'il va bien, informé-je la foule.

— Ouais, bien sûr suis-moi, me dit Brent avant de récupérer sa valise et prendre les devants.

Du coup, je fais un dernier signe de main à la foule et je le suis dans les escaliers. En pleine ascension, je jette un œil par-dessus la rembarre. J'ai une vue directe sur le salon. Lexi, la blonde et Pierson retournent dans le salon. Les twins vont dans la cuisine, j'ai pu les voir passer derrière nous et disparaître dans l'autre pièce. Une fois au sommet, je suis Brent dans un long couloir vers la gauche. La deuxième porte dans cette direction, mène à sa chambre.

En bon gentleman, il me laisse entrer en première. Je fais mes premiers pas dans cette pièce et je peux constater qu'elle est simple et bien ranger. Il a un lit, une armoire, un bureau, une chaise de bureau et il a une salle de bain rien pour lui. C'est le grand luxe ici en plus, il a un balcon qui se ferme à l'aide de deux portes vitrer. C'est la classe. Mon hôte pose sa valise contre le mur de l'entrée tandis que moi, je m'assois sur son lit.

Un bon lit, un bon lit bien confortable, c'est fou ce que ça me manque. Mon fessier est aux anges. J'ai l'impression d'être assise sur un nuage. Oh mon dieu. Ce que j'aimerais avoir un lit. Qu'est-ce qui m'empêche d'aller m'installer dans une chambre d'hôtel ? Et de m'occuper de ma mère en pleine journée ? Vous savez quoi ? Je ferais ça quand j'aurais repris le boulot. Je sais que je ne suis pas chez moi, mais je me laisse tomber sur le lit, super moelleux sous le regard de Brent qui ne fait que se marrer.

Ce dernier se déplace dans sa chambre pour se rapprocher de son bureau. Il y a une valise noire sûrement la mienne. Posant ses mains sur cette dernière, il la fait rouler jusqu'au lit, il la porte et la poser devant moi. J'ai envie de me redresser pour fouiller son contenu, mais si jamais me lève qui sais quand est-ce que j'aurais la possibilité de profiter du confort d'un lit. Voyant que je ne suis pas motivé à me redresser, il s'assoit à côté de ma valise.

— Alors tu l'aimes bien, mon lit, me dit-il en riant doucement.

— Il est super confortable ouais, lui répondis-je en hochant la tête. Aide-moi à me redresser, ajouté-je en lui tendant la main.

Secouant la tête de droit à gauche, il me prend la main puis la seconde avec son autre main. Il se redresse sur ses pieds puis, il m'attire vers lui. Avec une grande flemme, je finis sur le postérieur du coup, il pose doucement mes mains sur mes jambes pour s'assurer que je ne vais pas retomber en arrière.

Je me tourne vers ma valise en croisant ma jambe droite sous ma jambe gauche. Je saisis la fermeture éclaire qui finit à l'extrémité d'où elle reposait de basse. Brent se décale pour me laisser la place qu'il me faut pour ouvrir mon bagage. Ma valise est en bordel, je ne suis pas surprise vu que je n'ai pas pris le temps de plier mes affaires. D'ailleurs, je sais aussi qu'il a fouillé dans ma valise étant donné qu'il devait chercher mon numéro et que ce dernier est inscrit tout au fond du bagage. Voyant pas mal de lingerie, je pose mon regard sur lui.

— Me regarde pas comme ça, je les ai à peine regardés et presque pas toucher, me dit-il en levant les mains en signe d'innocence.

— Même pas sentis ? Lui demandé-je en haussant les sourcils.

— Quoi non, me dit-il en pouffant nerveusement.

Il a le comportement d'un coupable, mais je ne crois pas qu'il l'est fait. Ça ne lui ressemble pas. Après, c'est vrai que je ne le connais pas des masses. Avant ce matin, je ne savais même pas comment il s'appelait. Je ne sais pas, je le sais au fond de moi que ce n'est pas un pervers où même un fétichiste des culottes.

— Je crois, lui dis-je en souriant doucement.

Attrapant le sac de mon appareil photo, je peux voir que ce dernier est encore intact et la pochette dans laquelle j'ai mis mes cartes SD est encore là. Tout est là. Saisissant la boite, je veux voir si tout son contenu est là. Je l'ouvre puis, je commence à examiner les inscriptions que j'avais pris la peine d'écrire sur chacune d'entre elle. Elles sont toutes là. Je suis tellement contente que je pourrais en pleurer, mais je ne le ferais pas, il est devant moi.

— Bon ben tout est là, lui dis-je en refermant la pochette. Je vais pouvoir rentrer, ajouté-je.

— Rentrée ? Me demande-t-il surprise. Tu viens d'arriver, tu peux bien rester un peu en plus, j'ai acheté tes bonbons, j'ai fait aux talents comme tu ne m'as pas dit ce que tu voulais, ajoute-t-il en m'adressant son regard de petit chien battu. A moins que tu es quelque chose de prévu.

Je n'ai rien de prévu et pas le moindre ami, je pense que je vais rester. Entre passer du temps dans cette maison avec des gens et trainer dans une caravane pourrit toutes seules, je préfère de loin être entouré ici avec des bonbons en plus, c'est fou ce qu'il a l'air mignon quand il fait le bébé chien. Je n'ai pas pu m'empêcher, je laisse échapper un petit rire.

— Okey, je reste, lui dis-je. J'ai hâte de voir ce que tu m'as choisi, lui dis-je avant de saisir le couvercle de ma valise pour la refermer.

Nous levons au même moment et nous dévalons les escaliers pour prendre la route menant à la cuisine. Une cuisine meublée de placard en boire et d'un plan de travail en marbre blanc pourtant les tiroirs de ce plan de travail sont en boite en tout cas ça en jette si on oublie tous les sachets de bouffe qui repose dessus. Ils sont ouverts un buffet ma parole.

Accouder contre le plan de travailler, je regarde mon hôte se diriger vers son frigo en inox qui est doter de deux portes. Il ouvre la porte droite et en sortie 3 sachets qu'il vient agiter devant mes yeux. Alors on a des tagadas bon choix j'adore. Des Kinder Schoko-Bons, woah je surkiffe. Des Daim, risquer, mais bien choisi, j'aime aussi.

— Alors j'ai bon ? Est-ce que j'ai fait un sans-faute ? Je t'ai surprise ? me questionne-t-il.

— Tu as tout bon, lui répondis-je en souriant doucement. Tu as fait un sans-faute comment tu as fait ? lui demandé-je.

— Je vis avec des filles, je me suis dit que j'allais voir si tu avais les mêmes goûts qu'elle, me dit-il.

— Donc tu as eu un coup de chance, lui dis-je avant de récupérer le sachet de Shoko-Bons pour me rendre dans le salon.

Ce dernier me suit avec les autres paquets. Ses amies sont tous réunis. Il y a juste une nouvelle tête qui s'est ajouter au tableau. Je m'assois sur le seul canapé encore libre et pour une raison qui m'échappe Brent s'assoit sur le bras de mon canapé. Il y a des poufs plus loin, il pouvait en prendre un et le rapprocher.

— Michelle voici donc Ben que tu n'as pas encore croisé, c'est lui qui m'avait lancé le défi avec d'autres de nos bons amis, ajoute-t-il.

La tête inconnue ayant entendu son nom lève sa main en guise d'un coucou brève. J'en ai fait de même "Hey Ben".

— Et tu es partie le premier, ajouté-je en regardant Brent avant de m'asseoir en tailleur.

Ouais, je sais, je fais comme si j'étais chez moi.

— J'ai eu un problème technique okey, répète-t-il.

— Ouais, à force de faire les andouilles sont matelas à fini percer, poursuit Ben en riant doucement. On était déjà trop nombreux donc il a dû rentrer à la nage, ajoute-t-il.

— ça avait l'air cool la prochaine fois invite moi, lui proposé-je avant d'ouvrir mon sachet de bonbons.

— Sinon tu es photographe parle nous un peu de toi, commence la sœur de mon ami. Brent nous a dit que tu fuyais ton petit ami, ajoute-t-elle.

Je lui ai dit ça oui, mais pas pour le répéter. Suite à cette annonce, je dévisage Brent pour lui faire comprendre que personne n'avait besoin de savoir que j'avais fui Sydney à cause d'un mec. Non mais sérieux pourquoi il leur a dit ça ? Ce ne sont pas leurs affaires, c'est ma vie privée enfin.

— Et tu es partie le premier, ajouté-je en regardant Brent avant de m'asseoir en tailleur.

Ouais, je sais, je fais comme si j'étais chez moi.

— J'ai eu un problème technique okey, répète-t-il.

— Ouais, à force de faire les andouilles sont matelas à fini percer, poursuit Ben en riant doucement. On était déjà trop nombreux donc il a dû rentrer à la nage, ajoute-t-il.

— ça avait l'air cool la prochaine fois invite moi, lui proposé-je avant d'ouvrir mon sachet de bonbons.

— Sinon tu es photographe parle nous un peu de toi, commence la sœur de mon ami. Brent nous a dit que tu fuyais ton petit ami, ajoute-t-elle.

Je lui ai dit ça oui, mais pas pour le répéter. Suite à cette annonce, je dévisage Brent pour lui faire comprendre que personne n'avait besoin de savoir que j'ai fuis Sydney à cause d'un mec. Non mais sérieux pourquoi il leur a dit ça ? Ce ne sont pas leurs affaires, c'est ma vie privée enfin.

— Woah heureusement que je ne t'ai pas dit ce qu'il avait fait, lui dis-je. Oui, j'ai fui à cause de mon ex, admis-je. De basse, je suis de Los Angeles, mais je suis partie à Sydney pour voir un paysage différent, faire de belle photo, commencé-je. J'ai rencontré mon ex et les choses ont changé. Je suis resté un peu longtemps à Sydney et 3 mois plus tard nous avons emménager ensemble, ajouté-je. Ça faisait 2 ans que nous étions ensemble, ce n'est pas rien, mais, bon, il a déconné, j'ai tout plaqué et je suis venu retrouver ma mère, terminé-je en haussant les épaules.

— Elle doit être contente de te retrouver, ajoute Lexi la blondasse.

Si elle est contente ? Je dirais que oui, mais, qu'elle se passerait bien de mes caprices. De basse, je ne suis pas capricieuse, mais il y a une limite et son domicile à franchie la limite donc oui, je fais m'a peste parce que je ne peux pas faire comme si tout était normal. Sur ce avec mes nouveaux amis, nous échangeons beaucoup. Je leur ai parlé de moi, ils m'ont parlé d'eux. Depuis combien de temps, ils se connaissent, quand est-ce qu'ils sont commencés leurs chaînes et pourquoi ils les ont montés. Et surtout pourquoi ils vivent ensemble.

— C'était l'idée de Brent, commence Alex. De basse, lui et Lexi vivaient chez leurs parents. Nous avons pris l'habitude de nous réunir là-bas, ajoute-t-il.

— C'était un vrai moulin, ils entraient comme s'ils étaient chez eux mais, c'était vraiment n'importe quoi, ajoute Lexi.

— Et puis, comme la bande est trop grande et qu'on est toujours ensemble, je leur ai proposé qu'on vive ensemble, poursuit Brent. Ce n'est pas tout le monde qui a accepté vu qu'il en a qui avaient déjà leur propre appartement, mais, les personnes qui sont là sauf Pierson on accepter.

— Woah, c'est une super histoire, lui dis-je en souriant.

J'aurais aimé avoir une bande comme ça. Malheureusement, je n'ai pas gardé de contact avec mes amies et à Sydney, je n'avais pas le temps de faire amie-amie, je traînais avec la bande de mon petit ami ça me suffisait largement. Après toutes ses histoires, et le fait que j'en avais marre de manger des bonbons Brent a proposé qu'on aille se chercher de la bouffe, parce que c'est l'heure.

— Je conduis qui vient ? demande Brent en agitant ses clés de voiture.

— Allez-y sans moi, je vais aller voir ma mère et lui montrer que je suis encore entier, dit Ben en se levant de son fauteuil.

— Je vais rester, ajoute Alex. Surtout que la dernière fois, c'est moi qui est payé, l'addition, poursuit-il.

— Je vais lui tenir compagnie, nous informe Pierson.

Après tous les désistement Brent leur a demander, ce qu'ils veulent qu'on leur rapporte après m'avoir demandé ou je veux qu'on aille manger. C'est à moi de choisir étant donné que je suis une invitée. Du coup, j'ai choisi Chipotle. Comme Ben ne veut rien nous quittons le domicile pour rejoindre la voiture de Brent. La voiture que j'ai vu la fois où on était à l'aéroport. Étant une invitée j'ai droit à la place d'honneur à côté du chauffeur.

— Donc, c'est ta voiture ? lui demandé-je.

— Oui c'est son bébé, me répondit sa sœur. Il ne laisse presque personne la conduire, ajoute-t-elle.

— Pourtant l'autre soir à l'aéroport ce n'est pas avec cette voiture que tu es venu le chercher ? lui demandé-je.

— C'est la seule façon que j'ai de la conduire sans l'avoir sur le dos donc oui j'en ai profité, ajoute-t-elle en riant doucement.

Un rire qui fait rouler des yeux son grand frère et qui me fait rire. Du coup, après avoir boucler nos ceintures, Brent quitte sa place de parking pour prendre la route de Chipotle, je suppose. Je n'ai pas eu le temps de revisiter Los Angeles malheureusement. Étant en mission de reconnaissance, je ne cesse de fixer le paysage à travers ma vitre. Pour le mémoriser et revenir quand j'aurais la dalle. Nous décidons de passer par le drive. Après que Brent est donné nos commandes, il avance jusqu'au guichet qui sert de caisse.

— Vous connaissez la règle sortez vos cartes, commence Brent en jetant un coup d'œil à la banquette arrière. Michelle, tu n'es pas obligé de jouer vu que c'est ta première fois, me dit-il.

— Mais, je veux jouer, c'est quoi le but ? leurs demandé-je en jetant un coup d'œil à la banquette arrière.

— Tu te souviens, Alex a dit que la dernière fois c'est lui qui avait payé l'addition ben le but de notre petit jeu, c'est que chaque personne dans la voiture donne sa carte bancaire au chauffeur, ce dernier les montre au caissier et lui demande de choisir une carte au pif. S'il pioche ta carte, tu payes tous les menus, m'explique Alan.

J'adore le concept comme quoi, je ne suis pas la seule personne à avoir de bonnes idées de jeu. Ils sont aussi très ingénieux. Les autres veulent savoir si je suis partante et le sourire sur mon visage donne une partie de la réponse. Je sors mon téléphone et je sors de la coque de ce dernier ma carte que je donne à Brent. Une fois, toutes les cartes réunies, il les déplie en forme d'éventail puis, il demande à la caissière de choisir.

Elle prend une carte puis, elle retourne à ses occupations. Brent ramène le reste des cartes vers lui puis, il regarde les noms. Il pose sa carte sur sa cuisse puis, il donne à Lexi blonde et Alan leurs cartes. Je sens que l'addition est pour moi, je ne sais pas pourquoi. Est-ce que ce serait si surprenant que ça, que la nouvelle à peine sortie de son trou paie sa tournée.

— Et l'addition est, commence-t-il avant de rapprocher la dernière carte vers la banquette arrière. Pour Lexi, ajoute-t-il en ramenant la carte vers moi.

— Yes, ajouté-je après avoir récupéré ma carte et avoir bien vérifié que c'est bien la mienne.

— Ce n'est pas vrai, se plaint Lexi en laissant retomber son dos contre son dossier.

— T'inquiète pas chacun son tour, lui dis-je en souriant.

La caissière remet à Brent la carte bancaire avec le reçu qu'il donne à sa petite sœur. Il avance ensuite jusqu'au dernier guichet. Il récupère les commander qui passent de moi à derrière. Chacun cherche son menu et je pense qu'ils les ont trouvés moi, je porte celui de Brent et le mien et je peux vous dire que ça sent bon. J'ai pris un taco et j'ai envie de n'en faire qu'une bouchée, mais je vais attendre, je ne veux pas salir le bébé de monsieur.