Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

004 × He's a nice guy

Notre ventre est plein et le film est terminé. Mon voisin range le reste de notre festin dans son sac puis, nous restons là en silence à digérer ce qui vient de nous arriver. On guettent le retour de l'hôtesse d'ailleurs, j'ai une réplique toute fraiche pour elle. La seule chose que nous avons gardés de son plateau, c'est la pomme. C'est à peu près la seule chose qu'on sait qu'ils n'ont pas cuisiné. 

Ils ne l'ont pas cuisiné j'espère ? 

Non ils ne l'ont pas fait sinon, elle serait surement en petit morceau. Avachie sur mon siège, je fixe le couloir, mon voisin m'imite même s'il jette des petites coups d'oeil à son téléphone. Surement pour connaitre l'heure. Il a l'air tellement concentrée et aussi fatigué que moi. Je ne dirais pas non à une sieste j'ai pour ainsi-dire fait une nuit blanche, d'ailleurs, c'est aussi son cas. L'hôtesse revient vers nous avec son chariot et récupérer nos plateaux. Nous les lui tendons avec plaisir mais, alors qu'elle est sur le départ je me lève de mon siège. 

La prochaine fois allez-y molo sur le sel, passe le mot au chef quand vous le verrez, ajouté-je avant de reprendre ma place. 

La jeune femme ne me répond, elle se contente juste de me fusiller du regard. Elle a surement cru que ça à allait me faire peur ben, elle se trompe je me contente juste de lui afficher un large sourire et de lui faire un signe de la main tandis que mon coloc est mort de rire.

Y a rien de pire que la bouffe d'avion, ajouté-je en posant mes mains sur mon ventre. 

Si y a la bouffe d'hopital, me dit-il en haussant les sourcils. 

Il n'a pas tord le petit. 

La bouffe d'hôpital est tout aussi infecte. Après, je pense que c'est la même société qui fournie la bouffe aux hôpitaux et aux aéroport donc ça doit surement être pour ça. Après avoir échanger un rire franc, je repose mon attention sur lui. Je vois exactement ce qu'il veut dire, ayant déjà passer une nuit à l'hôpital. 

Tu as trop raison, lui dis-je en souriant doucement. 

D'un coup le silence retombe, on est tous les deux partis pour s'endormir. Nos yeux luttent pour rester ouvert mais la fatigue est plus puissante et il y a aussi autre chose qui pressent pour moi. Une envie pressante. Je la sens me menace de sortir à tout moment. Ne voulant plus lutter une minute de plus je me lève mais, mon coloc en a fait de moment ce qui me fait froncer des sourcils. 

Où est-ce que tu vas, lui demandé-je. 

Au toilette et toi ? me demande-t-il en me défiant du regard. 

Au toilette, lui répondis-je en le défiant aussi. 

Plus un mot ne flotte dans l'air, on continue de se défier quand d'un coup mon coloc sort de sa ranger, je me rue à sa poursuite. Il est en tête et moi j'essaye temps bien que mal d'essayer de le dépasser mais, le problème c'est que le couloir n'est pas assez étroit pour deux personnes. Le seule moment où j'ai eux de la chance c'est quand il trébuche sur un sac à moitié dans le chemin. Je me fais toute fine et je passe devant lui. D'un coup je sens quelque chose s'enroulé autour de ma cheville. Me retournant vers se dernier je constate qu'il me tient maintenant la cheville 

J'essaye de me dégager temps bien? Je tortille ma cheville dans tous les sens mais, rien à faire, il est encore accroché et il est en train de se redresser. Ce serait bien de le dégoûter un peu. Portant ma main droite à ma bouche, je sors ma langue. Se dernier sait ce qui va suivre et il me défend de le faire en secouant la tête mais, étant donné qu'il n'est pas près à me lâcher et que je dois allée au toilette je décide d'exécuter ma menace. 

Ma langue se balade sur ma main et ma main saliveuse va rejoindre la sienne mais, avant que je ne le touche il me lâche en me faisant bien comprendre que ce que je viens de faire s'est dégueulasse mais, du coup vu que je suis libre, je ne m'occupe pas de lui, je va rejoindre le font de l'appareil où se trouve les toilettes. M'approchant de la porte je constate malheureusement que la porte est fermé étant donner que le voyant est rouge. 

Merde, lui dis-je en passant une main dans ma chevelure. 

On a passé trop de temps à se battre, ajoute-t-il en m'imitant. On est d'accord hein j'y vais avant ? Me demande-t-il en pointant son torse du doigt. 

Dans tes rêves mon pote, lui répondis-je après l'avoir dévisager de la tête au pied. Les dames d'accord tu connais ? lui demandais-je en croisant mes bras sur ma poitrine. 

Ça ne s'applique pas dans se cas là, me dit-il. C'est pressant, ajoute-t-il en haussant les sourcils. 

Ben tu attendras parce que c'est aussi mon cas et je suis arrivée en première, lui rappelé-je. 

Sur ce la personne à l'intérieur, finit par quitter les cabinets du coup j'entre et fermer derrière moi. Je ne vais pas vous faire un dessins j'ai coulé un bronze et je peux vous dire que ça fait du bien. Après mettre laver les mains avec du savon, je jette un coup d'oeil à mon reflet. Je suis toujours présentable, qu'elle chance, mes yeux sont toujours rouges mais, ça doit sûrement être à cause du manque de sommeil.

Je quitte la cabine et laisse mon coloc passé après moi. Pour une raison que j'ignore au lieu de retourner à notre place, je décide de l'attendre. Peut-être parce que c'est plus marrant de trainer en sa compagnie que toutes seules. 

Une fois ressortie des toilettes nous allons rejoindre nos places. Arrivée à notre ranger en bon gentleman je l'espère il me laisse passer pour aller rejoindre mon siège. Je préfère pensé qu'il voulait être sympa et que ce n'était une technique désespérer pour mater mes fesses. Arriver à mon siège je ramasse mon sac et en sortir un plaide. Ouais, j'ai pris un plaide avec moi parce que je savais ce qui allait m'attendre. 

Je ne sais pas pour toi mais, c'est l'heure de ma sieste, lui dis-je avant me tourne vers lui les jambes retrousser contre ma poitrine. 

Ça tombe bien je suis fatigué, ajoute-t-il. 

Sur ce je recouvre mon corps avec le plaide et je pose ma tête contre mon dossier avant de fermer les yeux. Je suis à la recherche de sommeil. Je sens qu'il vient, je sens qu'il est proche et je le sens prendre possession de mon corps petit à petit. Je me sens légère et en sécurité et d'un coup je tombe dans les bras de Morphée. 

Quand je rouvre les yeux, ce que je vois s'est un téléphone qui affiche une playlist et des manches rouges. Ce n'est pas mon téléphone et ce n'est pas mon sweat. Ramenant ma main gauche à mon visage je commence à me frotter les yeux puis, je me décolle doucement de cet individu. Cet individu c'est mon coloc de siège, il est réveillé. J'ai dormi contre son épaule. Comment est-ce possible quand j'ai fermé les yeux, j'étais appuyé contre mon dossier. 

Mais, maintenant que j'ai réalisé, j'ai pu constaté que j'avais mal à la hanche à cause de l'accoudoir qui nous séparait. L'accoudoir sur lequel j'étais avachie un peu plutôt. Je sentais la douleurs, ce qui m'obligea à porter ma main à ma hanche que je me suis mise à masser avant de reposer mon attention sur le jeune homme à mes côtés. 

Il est qu'elle heure ? lui demandé-je après avoir étouffer un bâillement en posant ma main contre mes lèvres. 

Il est 8 heure, si on se basse sur le fuseau horaire de sydney, me dit-il en se redressant avant de remuer son épaule que j'avais user. 

Désolé pour ça, lui dis-je avant de repose ma tête sur mon dossier. 

Oh ce n'est rien tu avais besoin de réconfort et j'étais là ? me dit-il en m'adressant un sourire en coin. 

Est-ce que j'avais besoin de réconfort ? 

La ferme, lui répondis-je en riant doucement avant de croiser mes bras sous ma poitrine. Ce n'est pas vrai, ajouté-je. 

Je n'avais pas besoin de réconfort. Après, c'est vrai que j'ai l'habitude de dormir avec un corps bien chaud à mes côtés je recherchais peut-être cette sensation de chaleur ? C'était peut-être ce que j'avais besoin pour bien dormir. 

N'y pense pas, tu es mieux sans lui. Il ne prenait pas au sérieux notre histoire. 

Mon coloc de siège sort de son sac le sachet Xl de Cheetos et une paire de baguette. Il semble avoir un petit creux et c'est vrai que moi aussi j'ai un petit creux mais, j'ai aussi envie de m'amuser donc je décide de rendre cette petite partie de grignotage amusante. 

Ça te dit un petit jeu ? lui demandé-je en réquisitionnant le paquet à moitié vide. 

Qu'elle genre de jeu ? me demande-t-il en haussant les sourcils. 

Je ne lui réponds pas à la place j'appelle un hôtesse pour lui demander un plateau vide. La jeune femme aurait pu se bouger mais, non elle se contente de swingger jusqu'à l'arrière de l'appareil. Je peux vous dire que je commence à perdre patience et mon coloc attend toujours que je lui fournisse une réponse. Elle revient après une éternité avec ce que je lui ai demandé. Je réquisitionne l'objet puis, j'y verse le contenu du paquet dessus en faisant un sorte de ne pas verser les miettes toute au fond. 

Alors ? insiste mon partenaire. 

On va essayé d'attrapé une cheetos sans les mains, lui dis-je. On aurait des miettes pleins la bouche mais, ce n'est pas grave, les lingettes sa existe, ajouté-je. 

C'est une bonne idée je commence, me dit-il. 

Ce mec a l'air affamé ce qui me fait rouler des yeux. Il n'a vraiment pas l'air de connaitre l'expression les femmes d'abord mais, bon je lui laisse cette chance. Je pose le plateau sur l'accoudoir entre nous. Croisant ses bras derrière son dos, il allait s'abaisser pour commencer mais, ayant remarquer que ses cheveux allaient se balader sur tout le plateau je le stoppe en posant ma main sur son front. Ne comprenant pas il se redresse pour ensuite me dévisager. 

Ça va pas tes cheveux vont se balader dans les cheetos, lui informé-je. On va arrangé ça, ajouté-je.

Abaissant ma tablette je pose le plateau dessus puis, je lui fais signe de me tourner le dos. Ce qu'il a du mal à faire. Je vais lui attaché les cheveux et pour ça j'ai besoin d'un chouchou. Ayant ce qu'il faut dans ma chevelure, je saisie le bout de plastique et délivre ma chevelure. Il finit  autour de mon poignée et je rassemble une grosse touffe de cheveux que je ramène en arrière et l'attache. Ayant terminer je pose mes mains sur ses épaules et je l'autorise à se retourner. 

De quoi j'ai l'air, me demande-t-il. 

Tu as l'air ridicule, lui informé-je en riant de bon coeur avant de reposer le plateau entre nous. Aller tu peux commencer, ajouté-je.

Remettant ses mains dans son dos, il s'abaisse pour ensuite essayé de saisir une chips. C'est assez drôle parce qu'il n'y arrive pas. Son nez le dérange et la chips part toujours plus loin. Je me paye une bonne tranche de rigolage jusqu'à ce qu'il trouve la technique. Il incline sa tête sur sa gauche et il réussit à en attrapé une. Fière de lui, il se met à la manger en levant les mains en signe de victoire.  Vu que mon tour est venu et que je n'ai plus de chouchou sous la main je rassemble mes cheveux ensemble et je me contente de les tenir de mon côté gauche pour pouvoir utiliser sa technique d'inclinaison et j'ai eux la chance d'en avoir attrapé deux. 

Non, non, ce n'est pas juste, me dit-il en me pointant du doigt toute en souriant. 

Si, si, on n'a pas dit combien qu'on avait le droit de prendre, ajouté-je en riant doucement avant d'avaler ma boucher en me déhanchant comme Shakira. 

C'est bon je retiens, me dit-il en hochant la tête avec se sourire plein de malice dont il a le secret.

Du coup s'est de nouveau son tour, main dans le dos, il se penche en avant pour essayer de choper le plus de cheetos possible. Ce qui me fait toujours autant rire. A des moments je fais même bouger le plateau pour que celle qu'il a rassemblé lui échappe. D'ailleurs, il en a fait de même quand se fut mon tour. Je ne saurais pas dire qui a manger le plus de cheetos parce que je n'ai pas tenu les comptes et je pense que lui non plus. Le plateau a fini vide et plein de miette en tout cas. 

Sinon elles sont où tes linguettes ont en a partout c'est horrible, ajoute-t-il en riant doucement. 

Elles sont dans mon sac, ajoutais-je avant de reposer le plateau sûr ma tablette. 

Attrapant de nouveau mon sac, j'en sors un paquet de linguette pour bébé. j'ouvre mon paquet pour en prendre deux. Je lui en tends une et je garde l'autre, nous nous mettons à essuyer nos visages pour éliminer chaque miette qui s'y balade. D'ailleurs, je vais me démaquiller pendant j'y pense, j'en ai vraiment partout. Je m'aide mon miroir que mon voisin me subtilise pour s'admirer. 

Hey tu permet j'ai pas fini, lui fis-je savoir. 

Deux secondes je regarde si j'ai tout éliminé, m'informe-t-il en détachant ses cheveux. 

Ce dernier essaye de se recoiffer comme il peut mais, franchement il a beaucoup de cheveux, il serait peut-être temps qu'il se fasse une petite coupe, je l'a lui ferai bien moi du moins si on était pas dans un avion. Enfin je pourrais le faire mais, on devrait aller au toilette pour ça. Ayant fini de faire le beau, il m'a tend le miroir que je récupère et terminer ce que j'ai commencé. Je me démaquille pour me remaquiller toujours avec simplicité vous savez du mascara, deux trais d'eyes-liner et du gloss sans plus. Je n'ai pas le temps d'en faire d'avantage. 

Etant maquillé je décide de m'occuper de ma chevelure. Je commencé par la démêler avec mon peigner. Mes cheveux ont passée la nuit attachée ça doit être devenu un paquet de nœud. En fait non le peigne glisse aussi facilement qu'une plaquette de beurre sur une poêle. Ayant démêler les quelques nœuds je change d'instrument pour la brosse qui finit par parcourir l'ensemble de mon cure chevelue. 

Sinon tu as une copine ? lui demandé-je. 

Non, me répondit-il le nez dans son téléphone. 

Une crush ? lui demandé-je. 

Je ne sais pas trop, me répondit-il. 

Okey il a une où peut-être même plus d'une ?

Une pote avec qui tu aurais une relation ambiguë ? Une sexfriend ? lui demandé-je. 

Quoi non c'est quoi toute ses questions ? me demande-t-il en riant doucement posant on regard sur moi. 

J'ai un dont pour mettre les personnes mal à l'aise et là il l'est c'est trop marrant. Vous devez surement vous demander pourquoi je lui pose toutes ses questions ben franchement je n'en sais rien. Pour faire la conversation ? Au fond je me fiche de sa vie sentimentale mais, il est marrant et ça me plait bien de l'embêter surtout de voir son air gêner sur le visage. C'est un truc de malade. 

Oh elle t'a largué c'est ça ? Supposé-je. 

Oui et ce n'est pas le sujet cette relation date de plusieurs années, m'informe-t-il. Et puis, je suis célibataire et je compte le resté, ajoute-t-il en laissant échapper un rire nerveux. 

Je touche quelque chose là mais, au moins je sais ce qu'il en est de tout façon s'il avait eux une copine, elle serait surement venu avec à ce petit voyage improviser ? Vous ne pensez pas ? Après, je ne veux pas dire qu'une fille est obligé de suivre son mec à un voyage où inversement je dis juste que ça arrive. Je trainais bien Jordan a des soirées où j'étais engagé comme photographe. J'avais beau être en plein boulot on trouvait un moment pour s'amuser. Pourquoi je pense à ce mec là tout de suite ? 

Tu as bien raison les relations de couple c'est trop de complication, lui informais-je en brossant la pointe de mes cheveux. 

C'est quoi toutes ses questions ? Tu tâte le terrain ? Me demande-t-il en m'adressant un sourire en coin. 

Je tâte que dalle ouais, lui répondis-je en riant doucement. J'essaye juste d'apprendre à te cerner, lui informais-je en riant encore plus fort. 

Ben tu as ta réponse, ajoute-t-il.  

Ne supportant plus les regard de mon voisin, je capture son menton dans ma main puis, je tourne sa tête en face de lui pour qu'il regarde le siège juste devant lui. Je retourne ensuite à l'entretient de ma chevelure. Vu qu'on a une petite faim je demande à mon voisin ce qu'il a dans son sac magique. Vous savez ce qu'il en sort un sachet de céréale. Je ne sais pas de qu'elle marque étant donné qu'il n'a pris que le sachet tout ce que je sais, c'est que le céréale on la forme de donut et qu'il y a diverse couleur. 

Du coup j'ai l'idée d'un nouveau jeu. Une sorte de poker sans les cartes. On joue à tic tac toe et celui qui arrive à alignée une ranger de céréale de même couleur remporte toutes les céréales qui ont servit pour la partie. C'était compliquer étant donner que nous sommes aussi futé l'un que l'autre. A chaque fois que j'ai une fenêtre il vient la bouchée et j'en fais de même pour lui. En fait j'ai plus l'impression qu'on cherchent plus à bloquer l'autre qu'à gagner. 

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro