Cher journal.
Je me suis retrouvée de l'autre côté de flammes.
Je suis rentrée de nouveau dans la salle du trolls, qui, à mon grand soulagement, était toujours assommé.
J'ai traversé la salle en courant puis je suis allé dans la sale de l'échiquier géant.
Dès que j'ai repéré le corps de Ron, je me suis approché ou plutôt précipité vers lui et me suis agenouillé.
Il était toujours inconscient.
Je l'ai appelé sans succès. Il restait inconscient à mon grand désarroi.
Je lui est tapoté la main, toujours rien.
Alors, je fis une chose insensée... je le gifflais.
Là et seulement là, il c'est réveillé.
J'étais tellement heureuse que je lui est sauté au coup. Le honte !
Il a dit quelque chose d'incompréhensible et je me suis écarté.
Je l'ai aidé à se relever et nous sommes allez dans la salle au clefs.
Nous avons pris les balais et sommes passé devant Touffu.
Nous sommes allez, balais en mains, dans la volière.
J'ai rapidement rédigé une lettre au professeur Dumbeldore sur un bout de parchemin vierges, que j'ai accroché à la pâte de Hedwige et nous sommes répartie dans les airs avec elle.
Et, tout à coup, je le vis. Dumbeldore.
Je me suis élancé vers lui et lui est expliqué en quelques phrases courtes ce qu'il c'était passé.
Il est allé voller (au sens propre comme figuré) au secours de Harry après nous avoir explicitement ordonné de nous rendre dans notre salle commune.
Nous y sommes retournés.
En se moment même, Harry est surment entrain de souffrir et je ne peux rien rien y faire.
Ron essaye de se changer les idées en mangent, et moi j'écris.
Je suis très inquiète.