Je commençais à être étouffé, je pris sa main qui m'étranglait et il me dit:
    -Hmm! Ta main est chaude... mais ne penses pas que c'est cela qui va t'empêcher de mourir en cet instant, car une fois débarassé de toi il me reviens le droit d'aquérir ce que je rêve depuis si longtemps!
    Sa voix devenait plus haute et ses doigts me serrais encore plus fort, je sentis ma respiration ralentir et là ce n'était plus la colère qui m'envahissait mais plutôt la peur...
    Je devenais faible et ma main se refroidissait. De nul part, on entendit:
    -Arrête Grégoire et lâche le!...
    -Tu sais bien que je ne le ferai pas. (Traduction)
    Je ne respirais plus, mes poumons étaient bloqués, mes membres faiblissaient et je devenais comme une poupée, immobile...
   
    Je commençais à voir une porte derrière laquelle on pouvait entendre des éclats de rires, des frottements de couteaux, cuillères, fourchettes... évidemment c'était peut être un diner, dans mon dos je pouvais entendre les cris de douleurs de beaucoup de gens et sentir une forte chaleur si près qu'il pouvait brûler mes vêtements...
Qu'auriez-vous fait à ma place?
    J'aurais bien pu frapper à la porte et demander la route pour retourner à la vie sur terre, mais qui me dis que ce n'est pas un piège... alors je n'avance ni ne recule, je reste en place et ferme les yeux, je pense à rien d'autre que moi...
    Dans l'inconnu du temps je me retrouve avec Melyne qui m'appelle. Sa voix désespérée est flou et je me sens emprisonné en moi-même. Progressivement j'ouvre les yeux à demi et la lumière me rentre dans les yeux, ce qui me fait faire une grimace.
    -Ughr c'est pas vrai... quel mal de tête!
    -Clarck! Me crie ma soeur pour s'assurer que je suis bien en vie.
    -C'est toi Melyne? Questionnai-je pour être sur d'être arrivé à la vie.
    -Qu'est ce qui t'es arrivé? Me demanda t-elle dans une voix marquée de stupéfaction et d'impatience.
    -Si vous me preniez au sérieux lorsque je vous parle de mes nuits t'aurais su ce qui vient de m'arriver lui lançai je me levant sur ses cuisses.
    -Je dois mettre maman au courant. Dit elle en composant le numéro sur son telephone.
    -Arrête! Elle en a assez eu à entendre de mes problèmes... lui dis je en lui raccrochant l'appel.
    La cour était remplie d'yeux qui m'observait avec ma soeur, à travers les fenêtres, mais nous étions seul sur le gazon.
    Dans ma tête je me questionnais sur comment cela a du finir pour que j'arrive déja les pieds sur terre? Où est ce qu'il y a toujours une confrontation avec la voix qui a pris ma défense? Je porta un bref coup d'oeil au ciel et en conclus que c'était la pagaille en haut.
    Je marchais lentement et cela a permis à Melyne de me rattrapper et de me poser sa main sur mes épaules...
    Elle m'aimait vraiment beaucoup et c'était réciproque... à son geste je compris qu'elle s'en voulait de ne pas écouter mes salades, et j'aimais pas qu'elle se sente mal à cause de moi. J'étais le plus grand et je me voulais protecteur.
    -Comment as-tu su que j'étais sur la cour? J'aurais bien pu être dans les toilettes!
    -Je t'ai suivi.
    -Quoi?! Mais... tu... pourquoi?
    -Je l'ai fait car je t'ai vu pris de panique lorsque tu étais dehors, à côté de la porte... alors j'ai mentis au professeur lui faisant croire que j'étais allé aux toilettes...
    -Et ensuite?
   - Je t'écoutais parler à quelqu'un mais je n'ai rien pu saisir de ce que vous aviez dit...
    -T'ayant vu sortir de la toilette et te dirigeant vers les escaliers, je sais pas ce qui s'est passé parce que tu t'étais évaporé!... je devenais plus inquiète. Poursuivit elle avec une voix de tristesse.
    Moi j'ai horreur de la tristesse, du chagrin, de la mélancolie et tout autre chose leur ressemblant... je les considère comme une faiblesse et à chaque fois que je suis dans une situation où ils se présentent, j'ai la trouille et ne fais rien au lieu de réconforter cette personne... ce qui me vaut la personnalité d'un mauvais garçon.
    -Arrête, ne continue plus...
    Après un long silence, et à marcher à mes côtés, nous rejoignîmes nos salles de classes. Nous trouvâmes une bonne quantité de démonstrations de physiques dont nous avions raté les explications...
    -Ah vous voilà!... allez faites vites de recopier ce qui est sur le tableau parce que je vais effacer...
    Nous rentrâmes en salles de classes et nous commençâmes à faire le fast and furious 8 dans nos cahiers...

    Voila pour le chapitre 5! Je laisse trop de temps passer avant que je ne post... ouais c'est vrai mais le temps que je dispose pour écrire est minuscule et c'est sauf les vendredis que je tape... désolé!
    Mais on ne parle pas de moi, mais de Clarck... à plus pour le chapitre 6!!
   Kiss à vous tous sauf les garçons.