|PDV Clarck|
Et voilà qu'on venait à peine de sonner que moi et ma soeur sortions du collège pour nous rendre à la station de métro, lieu où nous avons rendez vous avec Anthony. On aimait bien marcher mais l'endroit où l'on allait, était bien trop loin et on allait pas pouvoir arriver à temps, d'ailleurs nous sommes en retard et ce n'est pas de notre faute puisque c'est Cranford qui relâche à cette heure. Je me demande ce qu'on va bien pouvoir dire à Anthony...
Je continuais de penser à ce que m'a proposé le directeur de Cranford. Je m'étais obstiné à croire qu'il ne m'avait pas tendu cette enveloppe de plein gré. Et qui me dis que ce n'est pas pour m'éloigner de Mélyne, ainsi on pourrait lui faire du mal...

On attendait à présent le bus qui allait nous déposer directement au métro de Dawlys Street.
Il arriva enfin. On le monta et nous assîmes l'un devant l'autre elle devant moi. On pouvait penser qu'on était les enfants de terroristes tellement on avait le visage crispé, durs, qui n'invite pas au venez-me-parler. On était toujours ainsi, on ne se parle que très rarement dans la rue.
On allait passer quelques minutes avant d'arriver à destination, ce qui aggravait notre retard. Melyne tenait un bâton de chocolat qu'elle mangeait et qui venait de sortir de son sac. Ça se voit qu'elle est stressée et porte tout à sa bouche quand elle est ainsi.

On arriva à destination et descendis de la voiture. On descendis les marches menant au métro et commençâmes à chercher Anthony des yeux, ce qui ne fut pas facile puisqu'il y avait ube foule de gens qui faisaient le va et vient.
Un homme avec des lunettes s'approcha de nous et nous informa que nous étions en retard, qu'Anthony commençait à s'impatienter...

Mélyne fit une grimace et porta ses doigts à ses tempes.
-Clarck on doit partir! Me lacha t-elle.
Mais qu'est ce qui arrive? Nous sommes là pour un rendez-vous!
Une voix me parla dans ma tête et je reconnus la voix de notre soi disant entraîneur. "Écoute ta soeur et partez de là!". Sans plus attendre je pris Melyne par le bras et pris la direction de la rue.
-Suis moi! Me cria Melyne.

Qu'est ce qui se passe? C'était la seule question qui pouvait me traverser la tête mais je n'avais pas le temps de poser la question parce qu'à présent je courais avec Melyne en face de moi.
"Pars là!" M'indiqua t-elle en tournant vers la gauche. On longea une ruelle et je ne pouvais m'empêcher de regarder à l'arrière. Je ne voyais personne à notre poursuite, c'est étrange on cours pour qui là?

"Stop!" Me dit ma soeur en s'arrêtant, une main sur ma poitrine et un doigt de l'autre main à ses tempes.
-Quoi qu'y a t-il maintenant? Demandai-je.
Elle ne semblait ne même pas m'avoir entendu. Elle me prit le bras et accrocha ses dents à mon poignet droit, me mordit, bu de mon sang, me laissait sentir la douleur et voir le liquide rouge qui coulait. J'y comprends rien, elle ne me mordait plus jamais depuis que j'avais 4 ans!
-Mais tu deviens folle!!? Eh! Ressaisis toi...
-Je sais ce que je fais. Tu vas ressentir une douleur plus atroce que celle que tu ressens par la morsure, cela va te...
Elle n'eut même pas le temps de finir sa phrase que la douleur dont elle me parlait fit son apparition. Je contractais mes membres supérieurs, je sentis une chaleur me traverser, j'ouvris ma bouche en penchant ma tête à l'arrière, de grosses veines apparaissaient au niveau de mon cou. Des gens qui nous regardaient, commençaient à paniquer, ceux qui prenaient leurs téléphones, qui commençaient à crier et à courir. Je sentis une sensation dans mon dos, je paniquais, je perdais le contrôle de moi même...
Melyne était en face de moi et n'avait aucune réaction, c'est comme si c'était du toujours vu. Et voilà qu'elle me regardait avec mes deux ailes qui s'étendaient, mes yeux rouges, une forme corporelle monstrueuse d'athlète et prêt à attaquer.
-Clarck écoute moi, c'est toi qui va te battre avec eux. Me fit elle croire en me montrant du doigt 6 créatures bizarres de forme plutôt humaine qui étaient derrière moi.

-Mets toi à l'abri. Dis je à ma soeur.
Sans se faire prier elle partit se cacher pendant que je commençais à fixer les 6 créature auquels je faisais à présent face.
2 d'entre eux approchaient vers moi, la rue à laquelle on se trouvait était vide sauf à l'intérieur où des gens nous regardaient.
-Il est préférable de nous suivre, on n'aime pas perdre notre temps. Déclara l'un des créatures.

Il m'envoya une boule de fumée noire que j'esquivai habilement. Il m'en envoya d'autre pendant qu'il ne s'arrêtait d'avancer vers moi. Je continuai d'esquiver les boules sans même porter attention à lui. Une fois les boules de fumées fini je n'aperçus plus la créature et ses accolites. Ah mais non aurais-je déjà gagné en esquivant que des projectiles de fumées noires? S'avoueraient-ils vaincus?
Une main me prit par la gorge et me souleva. Que je déteste cette sensation d'étouffement, ça m'énerve! Je me débattis avec mes ailes, mais c'est sans espoir et ça m'affaiblit. Je ne respirais plus, si ça continue j'allais mourir...
-Haha haha! Que c'est facile de te tuer. Tu n'as aucune technique de combat, t'es faible, tu n'es pas digne d'être l'héritier élu de notre peuple. Mais puisqu'on doit te ramener vivant à notre maître, je te fais le plaisir de respirer tes dernières heures.(traduction)

Il me lâcha le cou, ouf il était temps... les 5 autres créatures m'entourèrent et commencèrent à réciter une incantation:

"Keu xupeo liej keo pu nimwu uhg wuhgomu, jugiejmu yec nyomh we wuhgomu wuh umvuj"

J'étais faible, il avait raison. Et maintenant il va m'emmener sans que je ne puisse rien faire pour sauver Melyne.
Il fallait qu'à tout prix je réagisse. Super j'ai un plan...

Je ferme les yeux et prononce "wohlyjogoim". Je savais ce que ça faisait, espérons qu'à présent ils ne puissent me réperer.
Je pouvais les voirs mais eux ne semblaient pas m'apercevoir. Je m'approchai derrière l'un deux et au moment où j'allais attaquer il disparut comme par magie je ne l'apercu plus.
-Pauvre petit, ne sois pas si sur de toi. Allez en route! Me dit-il en me faisant respirer l'odeur d'un liquide qui était dans un flacon.
L'odeur me piqua les narines, me fit sentir son trajet tout au long de ma trachée pour envahir mes poumons qui me brulèrent. Je n'eus plus conscience de moi même, tout devient noir et je m'écroulai.

Salut mes chers et infatiguables lecteurs, alors je vous le dis sincèrement je suis pas trop satisfait de ce chapitre. Merci pour tout vos support à ce livre: 17 votes et 1 commentaire qui sont jusqu'à date bloqués ahah! ("-").
Je me rappelle le dernier fois que je vous ai remercier pour les vues il n'y avait que... vues! Maintenant nous sommes à... woa!!( j'ai la bouche ouverte là)
Sinon je n'ai plus rien à dire que je comptes sur vous pour débloquer les 17 votes et le seul commentaire en les augmentant bien sur et à plus pour le chapitre 14.