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*Entrevue*

(Fait à la troisième personne, copié collé d'une entrevue entre Philippe, le chevalier et Henriette datant d'il y a moins d'un mois) Ce n'est pas une tâche.

Henriette sortait de ses appartements et cherchait son époux. Elle voulait lui demander si elle pouvait passer la nuit avec lui en raison d'une demoiselle malade qui occupait sa propre chambre. Henriette savait que Philippe était sans doute avec son amant et elle appréhendait le moment fatidique où elle devrait les interrompre. Elle contourna plusieurs pièces et s'arrêta devant la porte menant à la chambre de son mari. Elle prit une grande inspiration et s'avança fébrilement, prête à se faire expulser afin de les laisser tranquilles. Henriette entra et fut surprise de trouver Mancini, ex amant de Philippe en compagnie des deux amants se bécotant sur le lit. Prise de court, elle s'arrêta net, observant la scène, ignorant si elle devait repasser plus tard. Elle détestait ces moments-là où elle voyait délibérément Philippe et le chevalier se prouver leur amour en sa présence.

Elle n'osa même pas appeler son mari. Il ne ferait que se braquer et la repousser. La présence de monsieur Mancini était d'ailleurs surprenante. Deux des favoris de Philippe ainsi que sa femme étaient réunis dans la même pièce et cela donnait un rendu quelque peu déstabilisant. Henriette avait une folle envie de tourner les talons, préférant éviter les représailles mais elle tenta de rester de marbre, ne montrant aucunement le désarroi profond qu'elle ressentait en ce moment-même.
Philippe écarquilla soudain les yeux, apercevant sa femme dans la pièce
- Henriette ?
Le prince de France était étonné de la présence de son épouse dans ses appartements, car elle venait presque jamais dans ce lieu, elle ne supportait pas son amant et ses autres mignons... À moins qu'il soit passé quelques choses.
- Que ce passe t'il ?
Henriette, perdue, chercha rapidement une réponse.
Elle était gênée d'interrompre les deux amants.
-Et bien, je souhaitais...
Elle jeta un regard à Mancini, puis au chevaler et hésita. Devait-elle demander devant eux ? Cela risquait de les énerver encore plus qu'avant son arrivée. Elle chercha du soutien vers son époux, tentant de lui faire comprendre qu'elle était mal-à l'aise de parler ainsi devant d'autres personnes susceptibles de la voir d'un mauvais oeil. Elle était tiraillée entre le choix d'abandonner la raison de sa venue ou bien de continuer et de provoquer colères et jalousies. Ah ! Si seulement Mancini et Lorraine avaient pu être absent ! Elle se battait contre la raison et le besoin, débattant le pour et le contre. Elle ignorait si elle devait se lancer ou bien attendre qu'il perçoive son malaise grandissant.
Le Chevalier de Lorraine se figea en entendant cette voix si douce et mélodieuse mais qu'il détestait tant car elle appartenait à l'épouse de son bien aimé, soit celle avec qui il devait le partager. Il était surpris de la voir rendre visite à Philippe mais surtout il craignait qu'après avoir vu ce dernier le repousser, elle allait tenter d'en profiter comme une vipère sournoise elle allait hypnotiser le Prince et faire en sorte qu'il s'éloigna du blond chevalier. Alors ce dernier porta un mauvais regard sur elle puis déclara dans un faux sourire:
"Tiens Henriette ma chère vous n'êtes pas honorée de la visite de Sa Majesté ce soir ?"
Le Chevalier rappela bien qu'Henriette comme bon nombre faisait passer le roi avant Philippe, c'était en quelque sorte pour montrer à son amant que lui ne faisait pas cela, qu'il l'aimait.Henriette, irritée, tenta d'ignorer la voix dégoulinante de sarcasme que venait d'employer le chevalier et resta calme, le visage figé et impassible bien qu'elle tentait de retenir des tremblements. Elle détestait le chevalier de Lorraine, appuyant sa volonté de conserver l'emprise qu'il maintenait sur Philippe. De plus, il venait encore une fois d'évoquer sa liaison avec Louis et cela, elle ne supportait pas du tout. Toutes ces piques continuelles ne cessaient de la mettre en colère mais comme à chaque fois, elle se contrôla et se tut malgré son envie d'étrangler le chevalier. Elle n'acceptait pas que l'on parle publiquement de sa liaison royale. Elle serra les dents et chercha à répliquer mais la présence de son époux n'aidait pas.
La jeune femme secoua la tête et répondit en tâchant de garder un ton neutre :
-Non, je n'ai pas eu d'invitation de sa part pour ce soir. C'est même pour cela que je viens demander à Philippe un ''hébergement'' pour cette nuit. Mais, je vois que la place est déjà prise...
La phrase mourut dans sa gorge et un goût amer s'immisça dans sa bouche. Elle sentait bien que si Philippe devait choisir entre passer la nuit avec le chevalier ou bien avec sa femme, elle n'avait pas à attendre la réponse. Elle la connaissait déjà.
Philippe d'Orléans voyait sans mal qu'Henriette hésitait à demander quelque, gênée surement de se retrouver avec son époux, son amant et son premier amour dans la même pièce. Le duc sentait son malaise et voulait demander aux deux autres hommes de sortir quelques instants, mais son chevalier fût plus rapide que lui. Philippe soupira des paroles prononcées de son amant à son épouse. Le duc commença à avoir un mal de tête, il ne supportait point la situation gênante et froide. Le duc posa une main sur le torse de son amant pour lui faire comprendre de se taire qu'il pouvait très bien gérer son épouse seule. Le prince de France n'est pas dupe pas le ton neutre qu'avait répondu sa femme à son chevalier, il savait très bien que si elle aurait pu le tuer sur place elle l'aurait fait. Le duc ne savait pas pourquoi est se retenait, au fond de lui-même il se dit que c'était peut-être qu'elle avait peur que son époux soit en colère contre elle... Le duc écouta attentivement la demande de son épouse, il sourit légèrement quand elle déclare n'avoir pas reçu d'invitation du roi.

Il réfléchit longuement à la demande de son épouse et contre toute attente il embrassa le front d'Henriette et déclara :
- En tant que mon épouse, mes appartements sont aussi tes appartements. Je ne t'héberge point, tu es chez toi.
Henriette acquiesca, reconnaissante, sans quitter des yeux le chevalier. Elle était ravie d'avoir pu soutirer une faveur à son époux en présence des deux amants de ce dernier et elle cacha avec peine le petit sourire qui vint se glisser au coin de ses lèvres, signe d'une victoire contre le chevalier.
-Merci, Philippe.
Les yeux pétillants de malice, elle était ravie qu'il n'ait pas dit non. Cela l'aurait rabaissée encore plus bas que d'habitude et la duchesse n'aurait pas supporté. Des fois, elle aimait bien son époux.
Le Chevalier se tourna vers Philippe, l'espace d'un instant son bleu regard refléta jalousie et désespoir, son bien aimé allait passer la nuit avec son épouse.. Cette femme qui le détestait et allait sûrement le rabaisser aux yeux du Prince, elle était la première à ne voir que vice et manipulation dans le Chevalier. Puis il se reprit, il était agacé par le regard victorieux de la Duchesse et ne lui ferait pas le plaisir de lui montrer qu'il était blessé. Il rassembla lentement ses affaires, rejeta ses boucles blondes et il lança en tournant les talons:
"Bien, une créature bienveillante m'ouvrira très certainement sa couche pour ce soir."
Il releva fièrement la tête, sans gratifier son époux d'un dernier regard, il était ivre de jalousie et se dirigea vers la porte. Henriette observa l'attitude du chevalier avec fierté. Pour une fois qu'elle avait en main la situation. Elle était ravie et leva la tête d'un air hautain et victorieux lorsque le chevalier la frôla. Elle avait gagné la bataille et elle afficha un sourire des plus moqueurs à l'amant de son époux.
-Je me demande à qui vous allez vous vous tourner... Un domestique vous laissera bien une place dans son lit mais je crains fort qu'il ne soit pas à votre goût... Ou alors, monsieur Mancini se fera un plaisir de vous recevoir...
Elle lâcha un petit rire sarcastique et attendit la réaction des deux hommes visés.
Philippe d'Orléans savait qu'il avait dû surprendre les trois personnes présente dans la pièce d'avoir accepté une faveur de son épouse. Il n'était pas d'humeur à refuser car il ne supportait plus les provocations de son amant et de son premier amour. Et puis c'était son épouse, il ne pouvait refuser et de prendre le risque qu'elle aille dans le lit du roi. Il déteste par-dessus tout cela ! Alors pour une fois qu'elle demande une faveur à lui et pas au roi ou à quelqu'un d'autre, il n'allait tout de même pas refuser. Il la rendait déjà assez malheureuse comme ça...Même si cela blessait et rendit jaloux son amant, le duc regarde son chevalier rassembler ses affaires. Son amant savait qu'en continuant de s'aimer et de se fréquenter après le mariage du prince, qu'il devrait désormais partager de temps en temps avec Henriette. Les mots de son amant en se dirigeant vers la porte furent un électrochoc pour le duc. Il sentit son coeur rater un battement, il ne voulait pas que son amant aille voir quelqu'un d'autre.
Philippe prit par la main son amant et le tira vers le salon luxueux, situé à côté de sa chambre. Puis il lâcha la main de son amant, son chevalier voulait sûrement pas que le duc le touche... puis il croisa les bras contrarier. Il ouvrit plusieurs fois la bouche pour parler mais aucun son de sortit.
Le Chevalier de Lorraine s'avança vers Henriette et cracha ses mots: "Maintenant que le roi ne veut plus de vous c'est vers Philippe que vous vous tournez mais sachez ma chère que jamais vous ne rattraperez le temps perdu ! Vous avez blessé Philippe et ça jamais il ne vous le pardonnera. Vous avez peut-être un titre et les faveurs du roi, moi j'ai l'amour du Prince et ça c'est bien plus fort que tout ce que vous possédez!"
Le Chevalier s'avança alors de nouveau vers la porte, l'air hautain quand soudain il sentit son amant le prendre par la main. Il fut à la fois soulagé qu'il le retînt à nouveau mais il était toujours extrêmement jaloux du fait qu'il allait passer la nuit avec elle.. Le Chevalier allait retirer sa main mais son amant le la lui avait déjà lâchée en rentrant dans le luxueux salon. Il soupira bruyamment, se dirigea vers la table pour se servir un énième verre de vin. Philippe de Lorraine en but une longue gorgée puis son regard énervé et froid se posa vers son amant tandis qu'il lâcha sur le ton de la jalousie: "Ton épouse va t'attendre. J'imagine qu'elle se fait une joie de coucher avec toi ! De me prendre ce qui m'appartient pour une nuit ! Faute de pouvoir relever ses jupes pour le roi, cette traînée vient vers toi !"
Henriette fusilla du regard le chevalier et dut se faire violence pour ne pas lui sauter à la gorge ou tout simplement lui administrer une belle gifle dont il se souviendrait longtemps. Pourtant, elle se contenta de ne pas ciller, gardant son regard fixé dans celui de son "adversaire".
-Que savez-vous de mes relations avec le roi ? Comment osez-vous en parler alors que vous ignorez tout du sujet ?
Elle contrôla le tremblement de sa voix et continua :
-Et vous avez peut-être les préférences de mon époux mais sachez qu'il sera le seul à vous les accorder. Vous êtes pathétique, empoisonnant et manipulant les pensées de Philippe.
Elle abandonna et détacha son regard, ravalant le sentiment d'irritation qui lui brûlait la gorge. Elle observa le chevalier parler à son amant sur le ton du complot à son sujet et elle tenta d'ignorer les propos désobligeants sortant de ses lèvres. Des fois, Henriette se demandait comment une telle vipère pouvait rester ici à Versailles et le pire : rester dans les bras de son époux. Exaspérée, Henriette ajouta avec colère qu'elle tentait de dissimuler :
-Sachez, monsieur de Lorraine, que je ne prends aucun plaisir à être sa femme. Mais si cela vous dérange autant que moi, j'irai définitivement dormir auprès de celui qui a pris décision de nous marier, si vous voyez de qui je parle. D'ailleurs, il est beaucoup plus enclin à partager son lit avec moi que mon propre mari.
Elle jeta un regard furieux au chevalier et attendit la réponse, ignorant si Philippe reviendrait sur sa décision ou pas. Tant pis si elle avait touché à l'ego du chevalier, elle y avait pris un grand plaisir. Et, comme ils l'avaient dit, s'ils se décidaient à l'exclure de la pièce, elle n'aurait pas d'autre envie que de retrouver le roi, le seul homme la respectant comme telle. Henriette releva la tête et sourit, ravie de ne pas s'être laissée faire.Le chevalier avait beau lui faire peur, ce n'était pas à lui de contredire la volonté de dieu.
Philippe d'Orléans savait très bien que son amant était vexé et surtout jaloux, qui ne le seraient pas à sa place. Il regarda son chevalier se servir du vin et Philippe dégluti quand celui-ci lança un regard froid et en colère. Le duc n'aimait pas les disputes avec son chevalier de Lorraine, mais il ne voulait pas que son épouse aille voir le roi. Il était face à un dilemme.
- Je ne vais pas coucher avec elle... seulement dormir... Et puis tu savais très bien à quoi t'en tenir lorsque mon frère m'a ordonné à l'épouser alors qu'on était amant avant le mariage...
Le prince de France eut le courage de faire quelques pas face aux regards assassins de son amant à son encontre.

Le duc prit son chevalier dans ses bras et murmura à son oreille :
- C'est toi que j'aime, mon cœur s'affole dès que tu es dans la même pièce que toi, je ne suis rien sans toi.
Le duc tourna sa tête vers son épouse qui les avait rejoint dans le petit salon, il fronça les sourcils aux mots prononcés par Henriette. Il lui lança un regard noir et froid.
- Je ne prends également aucun plaisir à être ton mari et que tu préfères mon frère que moi ! Et peut-être que si tu me rabaissais pas auprès de mon frère et que tu n'allais pas le voir à chaque fois pour des broutilles ou simplement pour être satisfaite, je serai plus enclin à vouloir partager mon lit... tu es mon épouse et tu ne seras jamais l'épouse du roi...
Philippe soupira bruyamment et tout en se servant du vin, il essaya de se calmer, il était trop énervé et déçu, encore une fois que sa propre épouse le rabaisse et lui dise son frère est bien plus important à ses yeux que lui. Le chevalier de Lorraine but d'un trait le contenu de son verre puis à peine l'eut-il éloigné de ses lèvres qu'il se servit de nouveau en liquide rubis. Le blond tenait très mal l'alcool et pourtant il avait tendance à en abuser lorsqu'il était en colère... Il ricana avant de lâcher dans un cri:
"Ah oui ton rôle de procréateur ! Belle excuse pour partager son lit n'est-ce pas ?! En plus tu as pleinement assumé ce rôle déjà ! Tu m'avais promis que tu la délaisserais une fois qu'elle fut tombée enceinte Philippe !" Des larmes de rage bordèrent ses paupières, il voulut repousser son amant en le voyant s'approcher mais en sentant ses bras puissants qu'il aimait tant autour de sa taille, il ne put s'y résoudre. Alors il l'embrassa comme si sa vie en dépendait tout en le maintenant par sa nuque, il ancra son regard dans le sien en déclarant:
"Tu es à moi Philippe et à moi seul !"
En entendant Henriette s'immiscer de nouveau entre eux, il allait exploser de colère mais le Duc fut plus rapide. En l'entendant ainsi jeter ses quatre vérités à son épouse, Lorraine sourit satisfait avant de s'emparer de son bras en fanfaronnant:
"J'aimerai de parler mon amour seul à seul."
Philippe d'Orléans n'aimait point que son amant abuse trop de l'alcool car le chevalier avait tendance à être soûle assez rapidement et faisait n'importe quoi qu'il lui passait par la tête. Philippe s'en voulait grandement car c'était à cause de lui que son amant en buvait autant en ce moment. Le duc soupira très légèrement quand son amant lui parla de son devoir conjugal, il n'aimait pas en parler à son chevalier et encore moins parler de ses enfants.
- Je sais, mais s'en ai jamais assez pour le roi... Car mon frère dit que très peu d'enfants à la cour atteignent l'âge de 5 ans et encore moins leurs majorités et il n'a pas hésité à rajouter que les miens n'auront pas plus de chance que les autres...
Le prince de France répondit au baiser langoureux, il aimait tellement sentir les lèvres de son amant sur les siennes. Il regarda son chevalier dans ses magnifiques yeux. Il fit un sourire en caressant avec tendresse la joue du Chevalier de Lorraine. Le duc se laissa faire par son amant quand ce dernier s'empara de son bras. Il adressa un sourire à son amant en acquiesçant positivement la tête à sa demande. Puis il reporta son intention sur son épouse.
- Attends-moi ici.
Le prince tira son amant dans la pièce où se trouvait la chambre, avant de fermer les portes il adressa à son épouse :
- Tu sais, un jour, mon frère te délaissera... il trouvera une autre plus belle, plus jeune... Il a toujours fait cela et cela ne changera point avec toi.
Henriette lança un regard noir à Philippe. Elle était blessée par ses remarques. Ne comprenait-il donc pas qu'il lui faisait vivre un enfer ? Ne savait-il pas qu'Henriette souffrait lorsque son époux et son amant s'embrassaient en public ? C'était un affront, une honte pour son frère, le roi d'Angleterre. Henriette ravala un sentiment d'irritation et décida de se taire. Elle en avait trop dit. Si elle défendait avantage le roi, cela leur confirmerait qu'elle était blessée et ils en profiteraient pour l'achever, remuer le couteau dans la plaie. Elle les observa s'embrasser langoureusement et elle baissa les yeux.
L'habitude lui avait appris que durant ces moments-là, elle avait mieux fait de se taire plutôt que de remettre de l'huile sur le feu. Elle s'appuya contre le mur, attendant qu'ils cessent leur petit jeu de provocation en sa présence. Elle retourna les paroles blessantes qu'ils lui avaient lancées dans son esprit. Un goût amer lui traversa la gorge. Avaient-ils raison ? Serait-ce possible que le roi la rejette comme son frère avant lui ? Elle ravala le sentiment de colère et de mécontentement qui lui piquaient les yeux. Ne pas montrer ses faiblesses. Telle est la règle numéro un pour survivre à Versailles et qu'elle s'était jurée de suivre.Elle sentit que si cette situation empirait, elle se résignerait à faire demi-tour et à chercher un autre lit dans lequel dormir, peu importe son propriétaire...

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