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Chapitre 6 : RETOUR À LA RÉALITÉ.

Samedi 19 décembre

10h16

Mes yeux s'ouvrirent doucement alors que la clarté du matin s'infiltrait dans la chambre. J'aurais encore voulu dormir une bonne heure mais quelque chose retenu mon attention. Les bras de Harry. Ils étaient toujours fermement serraient autour de moi et je pouvais même sentir ses petites boucles me chatouiller l'épaule. Sa respiration était régulière et sa peau me tenait chaud. Cette position pouvait être agréable mais dans de telles circonstances, ce n'était pas le cas. J'étais dans les bras de mon putain de kidnappeur et aujourd'hui, je devais réussir à m'échapper que ça lui plaise ou non. Hier, j'avais rater plusieurs opportunités, aujourd'hui, je les saisirais toutes.

Donc, le plus doucement possible, je pris le bras de Harry et le déplaça le long de son propre corps puis je fis de même avec l'autre bras. Ma respiration était haletante mais je devais m'enfuir, il était putain d'endormi et j'avais la possibilité de partir sans qu'il ne s'en rende compte. Je fis glisser mon corps à la lisère du lit, toujours dans le plus grand silence. Mon cœur battait la chamade et la boule au ventre me compressai l'estomac. Je dois me barrer, bordel !

Lorsque je fus assise sur le matelas, je respirai à fond et me levai. Mes pieds nus survolaient presque le plancher puis une mains m'attrapa brutalement le poignet. Chiotte !

"Mais où vas-tu comme ça, mon amour ? Ne me dis pas que tu pensais réellement pouvoir t'enfuir ?" murmura-t-il en me collant à son torse par derrière. Il nous berça tous les deux et sa tête s'appuya sur mon épaule, je sentais son sourire de connard contre ma joue. "Tu ne peux pas partir loin de moi, babe. Quand le comprendras-tu enfin ?"

"Je chercherais toujours à m'enfuir, connard. Je ne t'aime pas, tu me dégoutes !" assenai-je en le repoussant. Mais bien sûr, il ne bougea pas.

Il ricana. Étonnement mes insultes ne lui faisaient ni chaud ni froid. "Ho, de si bon matin, tes paroles me brusquent, babe. Moi qui compter être gentil avec toi, je crois que c'est raté." Ses mains vinrent sur mes hanches et son corps se pressa plus contre le mien. Heureusement, il portait un boxer et un T-Shirt.

La température était basse et je grelotai presque. Tout d'un coup, la chaleur du lit que je partageais avec Harry me manqua, il y faisait bon et le froid d'hiver qui s'infiltrait des fenêtres refroidit les pièces. On se croirait dans un vrai frigo.

"Tu as froid ?" demanda Harry en resserrant ses bras sur moi.

Je ne répondis pas à sa question et tenta de m'éloigner une nouvelle fois de lui. "Lâches-moi." dis-je froidement.

Cela me dégoutai qu'il s'inquiète pour moi. J'avais l'impression qu'il se foutait constamment de ma gueule et je n'aimais pas ça.

Il était tellement hypocrite et manipulateur. Personne ne le voyais mais, moi si. Je savais reconnaître les gens qui jouaient une putain de comédie comme lui. Et tout ce que ce bouffon voulait, c'était que je tombe dans le panneau. Il n'attendait que cela mais je crois qu'il allait encore attendre très longtemps.

"Non, babe. Je ne te lâcherais plus désormais. Tu es à moi." dit-il pour la millième fois. Je crois que me faire rappeler dans quel pétrin j'étais, l'amusait. Sadique.

"J'ai froid et je veux m'habiller donc lâche-moi, putain." sifflai-je en me démenant pour m'extirper de son emprise.

Il soupira et me libéra enfin. Alléluia !
Cependant, il revint à mon niveau alors que je récupérai ma robe sur la table de chevet en grimaçant. Cette robe me grattai toujours autant et je n'avais aucune envie de la porter de nouveau. Elle me rappelai trop de mauvais souvenirs.

"Tu ne portes pas ça, aujourd'hui, bébé. Tu n'es pas une pute." dit-il en comme si c'était une évidence.

Je haussai les sourcils et lui lançai un regard qui voulait tout dire. "Parce que c'est une robe de pute ?"

J'étais de nouveau en colère. D'une certaine manière, il venait de me traiter de prostitué. Ce connard devait surement en ramener tous le soirs avant que j'arrive et il osait me dire ça ? Le calme, je dois être calme, bordel.

"Oui" il se dirigea vers la penderie à côté de la porte et l'ouvra. Ses doigts frôlèrent habilement les vêtements qui pendaient sur les cintres et il attrapa deux habits. Il s'agissait d'un T-Shirt blanc et d'un jogging qui devait m'être dix fois trop grand. Ho non, je ne porterai pas ces choses. Premièrement parce que c'est moche et beaucoup trop grand pour moi et deuxièmement, parce que ce sont ses vêtements. Je ne mettrai pas ça.

"Tiens" dit-il en tendant les vêtements. Mais, je n'esquissai aucun mouvement. "Ashley, ne m'énerve pas, O.K. ? Tu portes ces putains d'habits sans discuter." ordonna-t-il en me menaçant du regard.

"Non, j'en ai rien à foutre, je ne porterai pas tes merdes." Je croisai les bras et Harry serrai les vêtements dans sa main. Il semblait essayer de se contrôler mais de toute évidence ça ne fonctionnait pas.

"Tu portes ces putains de vêtements où je te séquestre dans cette pièce jusqu'à que tu acceptes de les mettre ? je te jures que j'en suis capable." Il s'avança dans ma direction. "Et rappelles-toi ce que je t'ai dit hier. Tu m'écoutes où il y aura des conséquences. Je veux que tu mettes ça, point !" Plus ses paroles franchissaient ses lèvres plus je percevais la colère dans ses iris. Il était à présent face à moi et comme, la veille, nous nous défions du regard.
Puis, je jetai un regard à ma robe qui avait l'air mal en point. Merde, elle devait puait l'alcool et il gelait dehors. Je serrai les dents et fixai cette fois-ci les vêtements de Harry. Je crois que je n'ai pas le choix de toute façon. C'était soit ça, soit une grippe.

Je marmonnai dans ma barbe et lui arrachai les vêtements méchamment. Il me regarda avec un air triomphal. Mes doigts se resserrèrent sur le T-Shirt comme lui auparavant. Je ne me posai plus la question et m'habillai même si le pervers était toujours dans le chambre. Je savais qu'il n'allait pas partir mais heureusement, il s'affaira lui aussi à s'habiller.

Lorsque nous eûmes terminé, je le suivis jusqu'à la cuisine et une mini rafale de froid me tapa sur le visage. "Tu ne mets jamais le chauffage dans cette baraque ou quoi ?" me plaignais-je en croisant les bras sur ma poitrine et en me dirigeant vers le radiateur pour le mettre en marche.

Harry se contenta de hausser les épaules et de mettre sa veste. J'activai les boutons alors qu'il déverrouilla la porte d'entrée et je sentis comme l'odeur de la liberté chatouiller mes narines.

"On ne prend pas de petit-déjeuner ?" Je me dirigeai dans la cuisine et ouvrit quelques placards mais la main de Harry vint fermer chacun d'entre eux.

"Non, chérie, on n'a pas le temps. Prépare-toi, on sort."

Je le regardai avec des yeux de merlan frit. "Mais, moi, j'ai faim !" m'exclamai-je en ouvrant un tiroir, butée.

Je devais gagner du temps. Il ne devait y voir que du feu.

"Ashley, ne recommence pas. Tu as vraiment décider de me faire chier jusqu'au bout ce matin !" s'insurgea-t-il en claquant le tiroir. "Aller, dépêches-toi et arrêtes ton putain de cinéma !"

Je souris jusqu'aux oreilles et plaça ma main sur le plan de travail en inox. "Comme tu veux, babe."

À peine ai-je le temps de prononcer ces paroles que je m'élançai à folle vitesse vers la porte d'entrée. L'adrénaline courrai dans mes veines et quelques secondes plus tard, j'entendis les pas de Harry tapaient contre le sol "Reviens ici tout de suite, Ashley !" vociféra-t-il.

À ce moment là, je savais que s'il me rattrapai, j'étais fichue, je devais le semer et pour ça, courir plus vite. Je ne devais pas refaire la même erreur qu'avec Louis et le laisser me saisir.

Mais putain arrête de réfléchir et cours, Ashley !

Pourtant, mon stress s'agrandit en franchissant le seuil de la porte d'entrée. Je ne savais pas quelle direction choisir. Et puis merde, je tournai à droite et accélérai le mouvement. J'eus le malheur de me retourner et aperçus à seulement quelques mètres, Harry, furieux. "À ta place, babe, je courrais plus vite !" se moqua-t-il en me coursant. Chaque seconde me rapprochai un peu moins de la liberté, à mesure qu'il avançai plus vite vers moi. Je le savais, il allait me rattraper.

Sa main agrippa mon avant bras et m'arrêta rapidement. Tout à coup, il me saisit la taille et me porta comme hier sur son dos en me claquant les fesses. Cette fois-ci, je ne contestai et ne gesticulai pas. Au fond, j'avais peur de ce qui m'arriverais plus tard. Ce malade était capable de tout, je le savais et il commençait déjà à me faire peur. J'étais dans la merde.

Par miracle, il se dirigea vers la Range Rover et cette voiture devint immédiatement mon meilleur ami. Tout mon corps se détendit de soulagement. Je soupirai mais cependant, je me demandai pourquoi, il n'avait pas appliquer sa fameuse méthode qui rime. Mais, je n'allais pas m'en plaindre.

Harry me balança sur le siège passager et s'installer à la place du conducteur. Il ne démarra pas et me pris soudainement le menton. "Je te prévient, chérie. Si tu venais à recommencer ce que tu as fait, je te jure que les choses sérieuses commenceront pour toi et là, je ne serais pas du tout gentil." m'avertit-il en broyant mon menton. Son regard me coupa le souffle, d'habitude, il m'effrayait certes mais pas plus. Pourtant, ce regard là me donnait envie de me suicider sur place. C'était le regard d'un tueur.

Il me lâcha et démarra. Cette fois-ci, je tentai de mémoriser les chemins par lesquels Harry passait mais ils se ressemblaient tous et j'échouai lamentablement. Encore une putain de défaite. Je me rendis compte que je n'avais que le simple T-Shirt de Harry et qu'avec toute mon agitation, je n'avais même pas ressentis le froid qui me glaçait à présent la peau.

"Harry, j'ai froid." chuchotai-je pour ne pas l'énerver.

Il jeta un coup d'œil à ma tenue et refixa la route d'un air exaspéré. "Si tu avais mis une putain de veste au lieu de chercher à te barrer, tu n'aurais pas froid." m'accusa-t-il. "Regarde sur la banquette arrière, il y a peut être un truc pour te couvrir."

Je ne me fis pas prier et me leva de mon siège. Par chance, je trouvai un blazer en cuir noir pour femme...et un string. Je soulevai avec écœurement le morceau de dentelle blanc et le montra à Harry. "Non mais je rêve, tu es vraiment dégueulasse. Je me demande comment ces putes peuvent avoir envie de coucher avec un monstre comme toi !"

Il remarqua le sous-vêtement de merde dans ma main et ricana en entendant mes propos. Sérieusement, c'était n'importe quoi. Qui pourrait avoir envie de coucher avec Harry Styles ? Il me dégoutais et en plus, il laissait trainer des petites culottes dans sa bagnole. J'avais envie de vomir.

"Tu te trompes, mon amour. Toutes ces filles rêvent de coucher avec moi, en plus, elle sont plutôt bien payer. Mais maintenant, je n'en ai plus besoin." Il tourna vers un petit village puis s'engagea sur une autoroute. Putain, je ne pensais pas qu'on était aussi loin de Londres.

Je haussai un sourcil et le regardai. "Et pourquoi ça ?" demandai-je.

"Parce que je t'ai, toi." déclara-t-il en souriant malicieusement.

Je le regardai horrifiée. Encore une fois, il venait de me comparer à une pute. Je me force à fixer la route sans ouvrir ma bouche pour dire quelque chose que j'allais ensuite regretter.

"Tu peux toujours courir, je ne coucherai pas avec toi." J'essayais au maximum de ne pas crier, je devais rester putain de calme et penser à un autre moyen de m'enfuir au lieu de gâcher ma salive pour lui dire des choses inutiles.

Il secoua la tête et ricana. "Bébé, tu es ma girl et si j'ai décidé qu'on coucherait ensemble, on couchera ensemble. Tu n'es pas en position de protester."

Je ne dis rien car cette discussion de merde ne nous mènera à nul part. J'étais têtue, il était têtu, ça ne servais à rien de se disputer pour ça. Et de toute façon, dans moins de vingt quatre heures, j'aurais décampé d'ici. Ce petit merdeux n'aura même pas le temps de me violer !

"Où on va ?" dis-je après quelques minutes de mutisme.

Si on va à Londres, je devais partir à ce moment-là. Ce serait parfait pour me cacher.

"Dans un bâtiment, j'ai de l'argent à récupérer." rétorqua-t-il en entrant dans une zone industriel. Tout paraissait vieux et moisi. Les bâtiments décolorés semblaient pouvoir s'effondrer à tout moment tant ils étaient en ruine. Pourtant, sur certains parkings, des voitures stationnaient dans le calme.

"Je croyais que c'était une transaction."

Il secoua la tête et me sourit mais ce sourire dégageai quelque chose de foireux. "Nan, pas exactement. Tu verras quand on y sera."

Harry avait ralenti mais je ne voulais pas rester ici, je voulais aller à cette putain de capitale. Dans cet endroit, je n'avais aucune chance de me repérer et encore moins de trouver la sortie.

Deux minutes plus tard, le moteur de la voiture s'arrêta et nous sortîmes du véhicule. Harry se dirigea vers un entrepôts d'apparence désinfecté qui ne m'inspirait aucune confiance. J'émis l'hypothèse qu'il s'agissait d'un ancien hangar à avions vu la taille de la porte et la hauteur de la façade.

Je m'empressai de rejoindre le meurtrier qui m'attendait à l'entrée et il me prit immédiatement la main ; les autres hommes de son gang étaient déjà sur place et une silhouette se cachait derrière eux mais je ne pus la distinguer.

Liam me lança un regard froid et rien que de le voir de nouveau, la nausée me gagna. De leur côté, Niall et Louis nous souriaient. C'est ça, foutez-vous de ma gueule ! Harry leur fis une accolade et se plaça près de Louis.

"Alors qu'est ce qui ce passe ? Où est mon fric ?" questionna-t-il en regardant, une feuille que Louis tenait entre ses mains, plusieurs paragraphes étaient visibles mais je ne pouvais pas lire. Je regardai avec amour la porte grand ouverte, mais les doigts de Harry entrelacés aux miens me rappelaient que j'étais une putain de victime.

"On a eu quelques petits problèmes." dit Niall en fixant la forme derrière Liam qui me fixait toujours aussi méchamment. Je fis de même, ce petit enculé avait encore plus ruiné ma journée déjà assez merdique.

"Quoi comme problèmes ?" demanda Harry avec menace.

"Il lui manque 500£." dit Louis en revérifiant sur sa feuille.

Harry se dirigea brusquement vers Liam qui se déplaça pour le laisser passer. Harry me tira avec lui sans se soucier de moi, j'étais une marionnette, il n'en avait rien à faire de moi alors qu'il m'avait trainer jusqu'ici !

Je remarquai ses yeux emplis de rage mais il ne laissait rien paraître. J'aperçus enfin la forme et mon sang se glaça à la minute où je compris dans quoi il m'avait embarqué. C'était tellement atroce et barbare que mon estomac se retourna.

Un homme. Il y avait un homme. Sur une chaise. Ligoté de toutes parts. Et cette homme était très mal en point, de gigantesques bleues apparaissaient, gros comme des prunes sur sa peau rouge et marbré, des multitudes de coupures étaient visible sur son visage et ses bras. Ses yeux ne ressemblaient plus qu'à deux gros yeux au beurre noir où le sang coulait sous ses cils, sa lèvre était fendu et ouverte et tout son corps pissait le sang. Mais le sang n'était pas rouge comme lorsqu'on s'égratigne le genoux. Non, il était noir. Noir comme lorsqu'on bat quelqu'un jusqu'à la mort. Bordel, c'est la chose la plus abominable que j'avais pu voir de toute mon existence.

"Matthew Carpentes. Je t'ai donner quatre putains de jours pour me rembourser alors où est ma tune ?" demanda très calmement Harry en se baissant à la hauteur de Matthew.

L'homme pleurait déjà toutes les larmes de son corps et secoua la tête avec insistance. "Monsieur Styles, je vous assure que j'ai tout fait pour rendre tout l'argent mais laissez moi encore un peu de temps, s'il vous plaît !" quémanda-t-il en relavant la tête, de grand yeux chocolats tuméfiés le suppliant du regard. "Je vous l'apporte dans trois jour, sans faute !"

Cet homme avait l'air d'avoir la quarantaine et, il avait réussi à me faire de la peine. Mais Harry ne montra aucun signe de pitié et sourit comme si la situation paraissait amusante. C'est vrai qu'il n'y rien de plus drôle que de voir un homme suppliait !

Puis, sans prévenir, il envoya un uppercut dans la mâchoire de Matthew. "JE VEUX MON PUTAIN DE FRIC, MAINTENANT !!!" hurla-t-il en me lâchant la main.

Le déclic vint tilter comme quand on appuie sur un interrupteur. Harry était trop préoccuper par sa tune que par moi, il ne me donnait plus aucune intention, j'allais réussir à m'échapper !

"Pitié, j'ai une petite fille, elle n'a que trois ans !" chouina l'homme.

Harry ricana puis toucha la crosse de son arme. "Eh bien, elle sera mieux dans un orphelinat qu'avec un toxico comme toi. Je lui rend un service en te flinguant."

Je choisis ce moment pour courir, dépassant au passage les hommes de Harry aux yeux exorbités. Je ne fixai que la porte immense en allongeant mes enjambées à chaque foulée. Puis j'entendis quelqu'un jurer.

"Harry, elle s'est barrée !!" cria Liam.

"Quoi ?...EH MERDE !!!"

Deux secondes plus tard, les pas de Harry se firent entendre. "Tu n'aurais jamais dû faire ça, chérie !"

Cours, Ashley.

Cours !!!

oooooooooOOooooooooo

Voici le chapitre 6 !!!

Ashley a enfin réussi s'échapper de Harry ! Arrivera-t-elle à s'enfuir sans qu'il ne la rattrape ?!

J'espère que vous avez aimez ce chapitre ! Il y a enfin de l'action donc ça m'a fait vraiment plaisir de vous l'écrire !

Dîtes-moi tout en commentaire et vous pouvez aussi me donner des hypothèses sur la suite de l'histoire ! Elle risque d'être très Heartless ! Ptdrrr...

Votez&Commentez !

bye, bye <3

-LISE-

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