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Epilogue


— Je sens que je vais regretter mon offre.

— Tout va bien se passer, ce n'est que ton frère, bébé Do et leurs copains. Qu'est-ce qui peut bien arriver ?

— Il faut vraiment que je te rappelle ce qui s'est passé pendant le dernier nouvel an mon cœur ?

Yuta leva les yeux au plafond, ses jambes se balançant dans le vide alors qu'il observait SiCheng cuisiner. Il avait décidé que s'asseoir sur le plan de travail et observer son amant tout faire tout seul était une très bonne idée et il ne le regrettait pas, c'était rare que SiCheng soit assez à l'appartement pour préparer à manger. Yuta savait que même si le plus vieux râlait il ne regrettait pas d'avoir inviter les autres à passer la soirée avec eux, enfin pas encore. Le Japonais n'était pas sûr que ce serait toujours la même chose lorsque Chittaphon aurait bu plus de trois bières.

Le blond tendit les bras et appela son petit-ami, la bouche en cœur. SiCheng posa ses instruments de cuisine pour aller se glisser entre les jambes écartées du plus jeune, leurs lèvres se retrouvant naturellement. Yuta l'enlaça et glissa ses bras autour du torse tonique.

— J'ai envie de rester comme ça, marmonna le jeune homme.

— Sauf que si je ne bouge pas rapidement on va manger du charbon, dit SiCheng en se détachant de lui. 

Yuta fit la moue, déçu.

— Tu en as encore pour longtemps ?

— J'ai bientôt fini, qu'est-ce que tu peux être impatient parfois.

— Tu m'en veux si je te dis que j'espérais quelques galipettes sous les draps avant de devoir te partager pour le reste de la soirée ?

Un micro sourire releva le coin de la bouche de SiCheng qui coupa le gaz pour revenir se coller à son amant. Yuta enroula les bras autour de son cou pour pouvoir l'embrasser tout son saoul. Il ne s'en lassait pas et peu importe à quel point il s'abreuvait des lèvres de son amant il en avait encore soif. SiCheng lui caressa la joue en revenant l'embrasser tendrement.

— J'avoue que l'idée est très très tentante vilain démon.

Yuta sourit tout contre la bouche de son aîné alors que ses mains allaient défaire le premier bouton de la chemise du châtain. La sonnette de l'appartement les coupa et un soupir commun leur échappa.

— Si c'est mon frère je demande à mes parents de le déshériter, marmonna SiCheng.

Un beuglement plus tard et ils avaient leur réponse.

— C'est bien Chi, gloussa Yuta. Dommage mais on dirait qu'on va devoir attendre la fin de la soirée pour terminer ce qu'on avait commencé.

Le Japonais sauta du plan de travail, plaqua une dernière fois ses lèvres contre celles de son petit-ami avant d'aller dans l'entrer pour ouvrir à son ami qui s'impatientait. Attendre dix secondes ne serait jamais possible pour Chittaphon, ils allaient devoir finir par se faire une raison et arrêter d'espérer inutilement. 

— Ah bah enfin ! On a failli prendre racine nous ! râla l'argenté.

Yuta leva les yeux au ciel en souriant, Chittaphon ne changerait jamais. Le Thaïlandais entra comme une tornade dans l'appartement et s'il devait se fier au cri de protestation en provenance de la cuisine il était certainement allé se jeter sur le dos de son frère. Depuis que SiCheng essayait de s'habituer aux contacts physiques Chittaphon se faisait un malin plaisir de prendre la moindre occasion pour lui faire un câlin. Yuta posa alors ses yeux sur le petit-ami de Chittaphon qui attendait toujours sur le pas de la porte, abandonné par le plus petit, et une bouteille de vin emballée à la main. YongGuk avait l'air plus fatigué que sur les photos que Yuta avait eu l'occasion de voir mais l'homme revenait de plusieurs mois de mission sur le terrain, particulièrement éprouvants, cela n'avait rien de surprenant.

— Je suis ravi de te rencontrer pour de vrai YongGuk, sourit le Japonais en lui faisant signe d'entrer. 

— Moi aussi, sourit le militaire. Chi parle très souvent de vous mais c'est toujours mieux de rencontrer les personnes en face à face.

Yuta serra la main tendue et guida son invité jusque dans le salon où Chittaphon s'était déjà installé, après avoir très certainement tiré SiCheng jusqu'au canapé. Ce dernier se leva et se présenta auprès de l'amant de son petit-frère et Yuta pouffa discrètement. Il ne pensait pas un jour voir SiCheng faire son « regard de méchant grand-frère », le pauvre YongGuk ne savait plus quoi faire.

— SiCheng, tu abuses, gloussa Yuta à son oreille.

— J'ai quand même le droit de mettre un coup de pression au type qui partage la vie de mon petit-frère.

— Oh oui je suis sûr qu'il est mort de peur, ricana Chittaphon.

— Continue et je te mets à la porte sale gosse.

La fratrie se chamailla sur le côté et le Japonais décida de se concentra sur YongGuk, au moins une personne de calme et normale dans cet appartement. Ils apprenaient tout juste à se connaitre lorsque la sonnette se fit entendre pour la seconde fois de la soirée, obligeant Yuta à aller ouvrir pendant que SiCheng allait vérifier que tout se passait bien en cuisine. 

— C'est quoi cette horreur que tu portes ?

— Le pull infâme que Chi m'a offert l'année dernière, j'ai décidé que quitte à souffrir j'allais aussi vous pourrir le champ de vision.

— C'est trop aimable Dodo, ricana le Japonais.

— Je sais, j'imagine qu'il est déjà là si j'en crois le bruit ?

— Le pire c'est qu'il n'y a que YongGuk avec lui dans le salon, je ne sais pas comment il fait pour être aussi bruyant, soupira Yuta.

— Je compatis, j'ai des amis comme ça aussi, glissa San.

Yuta lui sourit et lui tendit la main. Ils avaient mal commencé, Chittaphon et Yuta s'étaient laissés emporter par leurs préjugés et avaient pendant longtemps empêché le jeune blond d'approcher DoYoung. Avec le recul le Japonais regrettait son attitude, déjà parce que ce n'était pas très ouvert d'esprit mais également parce DoYoung semblait heureux avec le sportif et qu'il s'ouvrait davantage aux autres grâce à lui.

— Il faut de tout pour faire un monde il faut croire. Bon, allons-y avant qu'il ne mette le feu au salon ou je ne sais quoi sinon SiCheng va nous tuer. 

Les trois garçons rejoignirent ceux déjà installés et chacun refit les présentations. Ils ne s'étaient encore jamais tous rencontrés et Yuta sourit en voyant que tout se passait bien. San s'avérait être un garçon sociable et lumineux, très à l'aise et avec qui on avait envie de discuter, tandis que YongGuk était d'un naturel calme mais avenant, prévenant et attentif pour calmer le Thaïlandais lorsque celui-ci s'emportait de trop. Yuta se glissa sur les genoux de son petit-ami lorsque celui-ci revint et il nicha sa tête contre son épaule.

— Tu as l'air d'aimer cette soirée, chuchota SiCheng contre sa peau.

— Je l'adore mais comment est-ce qu'il pourrait en être autrement ? Je t'aime et c'est le premier réveillon qu'on passe en tant que couple, mes deux meilleurs amis sont heureux, ils ont trouvé des personnes qu'ils aiment et qui les aiment alors oui, j'aime cette soirée et les personnes qui y sont, souffla Yuta ému. 

SiCheng l'embrassa sur la joue et la soirée continua dans une bonne humeur générale. Le militaire et SiCheng qui avaient des âges très proches se rapprochèrent et discutèrent pendant que les plus jeunes se chamaillaient et essayaient divers cocktails. Chittaphon s'était improvisé barman une nouvelle fois et essayait de convaincre San de boire sa préparation.

— Chi laisse-le tranquille, grogna DoYoung.

— Rabat-joie bébé Do, il est pas en sucre ton copain, marmonna Chittaphon.

— Non mais on a un avion à prendre demain matin et s'il est bourré on ne passera jamais la douane, contra le noiraud. D'ailleurs on devrait y aller si on veut dormir quelques heures avant notre vol.

— Vous allez où ? demanda Yuta un peu éméché.

— Paris, mes parents nous laissent l'appartement pour la semaine et je veux montrer à San les rues de la capitale française.

— Vous êtes pas drôles, allez un dernier verre !

— Je crois que t'as assez bu comme ça Chi, je vais te ramener aussi, soupira YongGuk en tentant de récupérer le cocktail des mains de son copain. 

SiCheng immobilisa son frère pour lui venir en aide et aida également le militaire à faire enfiler ses chaussures ainsi que son manteau au jeune homme. Celui-ci semblait déterminé à rester près de sa bouteille malgré les protestations de ses aînés.

— Bon courage pour le ramener, grimaça Yuta.

— Envoie moi un message quand vous êtes rentrés, demanda SiCheng à YongGuk.

— Je le ferai.

Le couple raccompagne ses invités à la porte, certains plus frais que d'autres, et lorsqu'ils n'entendirent plus Chittaphon se plaindre dans la cage d'escalier ils soupirèrent de concert. Yuta gloussa alors que son amant le prenait dans ses bras.

— Mon frère est infernal, geignit le châtain.

— Mais on l'aime comme ça, et puis parfois il a des idées qui ne sont pas si catastrophiques que ça.

— Si tu parles de votre pari je peux accorder que la finalité n'est pas si mal mais ça je ne lui avouerai jamais, souffla SiCheng contre sa bouche.

Yuta noua ses bras derrière sa nuque et quémanda un baiser passionné. Il avait attendu ce moment toute la soirée. 

— Promis, je ne lui dirai rien, gloussa Yuta. Et maintenant si on reprenait où on s'était arrêtés avant que Chi ne débarque ? 






Nda : 

Hello ! Voici donc l'ultime partie de cette fiction, je me suis bien amusée à l'écrire mdr

Pour ma part j'ai une nette préférence pour la partie de Yuta et Winwin, je suis moins convaincue par les autres, et vous ? Quelle est votre préférée ? :)

Merci d'avoir lu cette fiction, c'était un vrai plaisir de découvrir vos réactions et de discuter avec vous, c'est vraiment ce que j'aime sur cette plateforme, l'échange ^^ Je vous souhaite de bonnes fêtes, passez un bon nouvel an, et j'espère qu'on se retrouvera sur une prochaine fiction :D

Merci également à Salia qui supporte mes bêtises et me pousse sans cesse à finir mes histoires x)

Dalion~ Kiss :3


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