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Chapitre 33

"Il y a un certain plaisir à pleurer. Par les larmes, la douleur s'épuise et s'exhale." - Ovide

Austin essaie de rappeler une énième fois Brandy, mais celle-ci ne daigne pas décrocher. Il marmonne quelques mots et je comprends qu'il s'agit d'insultes envers notre mère. Je comprends mieux l'attitude d'Austin envers nos parents, même si je suppose qu'ils avaient eux aussi leurs raisons de ne pas faire opérer leur fils. La couverture sociale est loin d'être la meilleure dans ce pays et les prêts peuvent parfois s'avérer trompeurs comme nous l'a bien démontré la crise des subprimes. Ou alors ils étaient inquiets, s'imaginaient que l'opération représentait trop de risques... ils se sont finalement convaincus que la douleur d'Austin était supportable et que ça ne valait pas la peine de le faire risquer la paralysie ou la mort sur une table d'opération.

Tous les dépliants concernant les préparatifs de son mariage sont étalés au sol et Moka qui a tendance a avoir la bougeotte reste allongé contre le torse de mon frère. Il soupire une fois de plus quand son téléphone est redirigé vers la boîte vocale de Brandy.

On sonne à la porte d'entrée et je suppose que c'est Taylor, alors je me lève et vais lui ouvrir. C'est bien elle, elle se tient sur le perron de la porte, dehors c'est le torrent, elle secoue son parapluie pour qu'il sèche plus vite mais éclabousse nos jeans au passage. Elle fait un sourire désolé et je l'invite à entrer après avoir posé mes lèvres sur les siennes. Je la prends par la main et elle dépose son parapluie dans le pot prévu à cet effet.

Austin fait un petit effort quand nous arrivons dans le salon, il ramasse les dépliants qui traînent au sol et lance une mine enjouée à Taylor quand il la découvre.

— Bonsoir! Elle fait la voix douce.

— Salut, il passe sa main sur sa nuque, je suis Austin le grand-frère de Miles. Et toi tu es Taylor.

— Et moi je suis Taylor, elle acquiesce en joignant ses mains.

Austin hoche la tête en enfonçant ses mains dans ses poches. Je lui souhaite une bonne nuit et monte l'escalier derrière Taylor, mais il se racle la gorge et je me stoppe, indiquant à Taylor la porte de ma chambre.

— Tu peux venir m'aider à mettre de l'ordre Miles?

— Ok... j'expire en redescendant les marches.

Je le rejoins et m'accroupis à ses côtés, je ramasse quelques feuillets et il en fait de même, enfin jusqu'à ce qu'il ait vérifié que Taylor ne puisse plus nous entendre.

— Je ne savais pas que tu aimais les blondes. Il me nargue. C'est mal si je te dis qu'elle me rappelle vaguement Jen?

— La Jen que je connaissais n'aurait jamais porté des talons, ni de jean aussi moulant. Je secoue la tête.

— Je veux juste dire par-là qu'elle est blonde... il hausse les épaules. T'es déjà sorti avec Jen?

— Putain mais Austin, c'est quoi ces question? Je m'agace.

— Je demande juste, il secoue la tête. Je ne sais pas si tu t'en souviens, mais petit tu lui avais fait une carte, tu lui demandais de cocher si elle voulait ou non être ton amoureuse.

— J'ai fait ça? Je demande décontenancé.

— Ouais, je m'en rappelle parce que tu m'avais demandé de l'écrire pour toi, il hausse les épaules.

— Et Jen m'avait répondu?

— Non, il secoue négativement la tête. Il faut dire que tu ne lui as jamais donné cette carte, je crois que c'est à cause de sa première crise... il pose sa main sur son menton, je n'en suis plus très sûr.

Maintenant qu'il me raconte tout ça, certaines bribes de ma mémoire enfantine refont surface. Je crois que j'hésitais à donner ma lettre à Jen, peut-être par timidité et parce qu'à l'époque je n'avais encore jamais eu "d'amoureuse". Enfin, oui, il y avait eu Marie-Rose, quand j'étais encore à Manchester mais ça c'est une partie sombre de mon existence que je préférerais avoir oublié. Je ne la lui ai jamais donnée, parce qu'elle a été emmenée d'urgence à l'hôpital. Je me souviens de la peur immense que j'ai ressenti en voyant l'ambulance se garer devant chez les Hardee, quand j'ai compris qu'ils emmenaient Jen... j'ai eu peur, je me suis dit que comme elle avait des problèmes de cœur, elle ne pourrait pas être amoureuse de moi, je n'ai alors pas essayé. J'étais stupide, un vrai vieux con. Et je refais les mêmes erreurs.

— Jen est morte... c'est tout. Je finis par cracher.

— Ok, ok!

Il abandonne, pensant certainement qu'il s'aventure sur une voie encore trop sombre pour moi et il a raison.

Je me dépêche de ramasser les autres papiers cartonnés et me rends à l'étage. Taylor est assise sur mon lit et quand j'arrive elle me fait un grand sourire. Je m'assois à côté d'elle et caresse sa cuisse.

— Ça avance les préparatifs du mariage? Elle m'interroge.

— Peut-être qu'il n'y aura pas de mariage, je grimace.

— Quoi? Pourquoi?

— Ils se sont disputés ce soir et c'était plutôt virulent... en gros ça craint.

— Je suis désolée... tu voulais peut-être passer du temps avec lui?

— Oui, mais j'ai cru comprendre que je manquais déjà à ma copine, parce que ma présence lui est devenue indispensable.

— Très drôle, non, en faite Charles est passé me voir peu après notre appel. Elle s'allonge sur le lit l'air dans les nuages.

— Ton ex? Pourquoi? Ça vous arrive souvent de vous voir comme ça? Je fronce les sourcils.

— Non... non, laisse tomber, je n'aurais pas dû t'en parler.

— Taylor! Je reprends plus fort et plus sévèrement.

— Il n'était jamais revenu à l'appart depuis notre séparation, elle se défend. Je ne sais pas qu'est-ce qu'il lui a pris...

— Qu'est-ce qu'il t'a dit exactement?

— Il m'a dit... elle cache son visage derrière ses deux mains. Il m'a dit qu'il était désolé, qu'il avait tout foiré mais qu'il a quitté l'autre, que je lui manque.

— Quel vieux con! Je peste. Tu le crois? Dis-moi que tu sais très bien que ça ne l'empêchera pas de baiser à droite à gauche. Tu lui as répondu quoi? Je demande sur les nerfs.

— Rien... elle retient ses sanglots.

— Taylor!

— Je lui ai dit que je devais y réfléchir.

— Pardon? Je m'écrie en me levant. Tu dois y réfléchir Taylor? Réfléchir à quoi exactement? A nous?

— Non... elle secoue la tête, calme-toi Miles s'il-te-plaît. Je ne savais pas quoi lui répondre... je ne m'y attendais pas... mais c'est tout réfléchit, je suis avec toi, lui il appartient juste au passé.

— Tu me le promets? Je vérifie.

— Promis.

Je m'allonge à côté d'elle et elle se sert sur mon torse. Mon nez est dans son cou et j'ai l'agréable surprise de constater qu'elle porte le parfum au kiwi que je lui ai offert. Je fais ma main glisser le long de son corps et elle pose sa main sur mon torse. Elle met rapidement le doigt sur mon collier et le sort de l'ombre de mon t-shirt, je me tends mais elle dépose un baiser sur ma joue.

— Je t'ai dit que je ne l'ouvrirais pas. Il faut que tu me fasses confiance Miles, sa voix me berce.

Elle lâche finalement le pendentif en forme de goutte et je prends une grande inspiration. Elle m'embrasse à nouveau sur la joue, je lui souhaite bonne nuit avant d'éteindre la lumière. Elle pousse un soupire et elle se décolle légèrement de moi.

— Miles? Elle dit tout bas.

— Taylor?

— Tu as des secrets?

— Non, c'est une perte de temps.

— Pourquoi? Elle me relance.

— Parce que tous les secrets sont faits pour être découverts.

Je le dis mais je suis intimement persuadé que c'est faux. Si les secrets sont découverts c'est soit que leur valeur n'est pas très importante, soit qu'ils sont gardés par des incapables.

Je prends du temps à trouver le sommeil, parce que je sais très bien que Taylor ne pensait pas ce qu'elle disait... elle n'a jamais réussi à oublier l'amour qu'elle avait pour Charles avec moi, je n'ai pas été un pansement assez performant. Elle non plus n'est pas un pansement assez performant pour palier à l'absence de Jen, elles sont trop différentes pour que Taylor puisse un jour la remplacer et c'est compliqué à avouer.

Je me demande si quelqu'un m'aimera un jour comme j'ai aimé et j'aime Jen ou comme Taylor aime Charles ou même comme Austin aime Brandy. Peut-être que c'était le cas de Rima... mais je ne l'aimais pas.

L'amour est vraiment un vieux con.

— Qui est Aurore? Elle me demande alors.

Je ne crois pas qu'il soit judicieux que je réponde à cette question. Elle ne me croirait pas si je lui répondais qu'Aurore est juste une amie. Et puis je juge qu'il est trop tard pour qu'elle me fasse à présent une scène par rapport à Aurore. Elle a très bien vu son prénom s'afficher sur mon portable lors de notre double-date avec Ludovic et Lou, juste avant que je leur fasse faux-bon. Si il était légitime qu'elle me fasse des reproches le lendemain, il est trop tard maintenant. Je continue alors de dormir espérant que demain elle n'aura plus le mot "Aurore" en bouche.

***

Quand mon réveil sonne, Taylor n'est déjà plus dans le lit. Je choisis mes vêtements du jour en me demandant si elle a vraiment filé à l'anglaise, son sac à main n'est pas ici, bref il n'y a aucune trace de sa présence. Je sors de ma chambre et Austin m'attrape directement par le bras.

— Vous vous êtres disputés hier soir? Il me questionne.

— Ouais, un peu pourquoi?

— Elle est sur le sofa, elle est dans ses pensées et ne m'a même pas dit bonjour quand je suis descendu prendre mon café. Il explique.

— C'est elle qui fout la merde, c'est elle qui boude et c'est à moi de ramer? Je m'exténue.

— Bon courage frérot!

— Tu as réussi à joindre Brandy?

— Toujours sur sa messagerie... il dit tristement.

— Bon courage frérot!

Je pose mes habits sur le meuble du couloir et descends les marches deux par deux. Austin a dit vrai, Taylor est sur le sofa, repliée sur elle-même, les yeux dans le vide. Je m'assois à côté d'elle attendant qu'elle daigne se détendre mais elle ne fait que de se crisper d'avantage.

— Qu'est-ce qu'il se passe? Je lui demande après m'être éclairci la gorge.

— Qui es-tu Miles? Elle me lance un regard de colère que je ne comprends pas.

— La réponse est dans la question. Je suis Miles.

— Est-ce que tu connais mon père? Elle triture ses mains.

— Non... tu m'as dit que tu ne tenais pas à ce que je le rencontre.

— Arrête! Elle pousse un cri hystérique qui me vaut un sursaut. Dis-moi la vérité Miles! Elle se lève, ses mains tremblent. Est-ce que vous vous payez ma tête? Il t'a demandé de garder un œil sur moi? D'être mon ange gardien? Il te paye pour me faire croire que je t'intéresse? T'es une sorte de gigolo...

— Hein?

Elle a visiblement oublié l'histoire avec Aurore mais de tous les reproches qu'elle aurait pu me faire, celui-ci est bien le plus invraisemblable. Je me rappelle que Charles l'avait traité d'hystérique, je ne le croyais pas jusqu'ici mais je commence à me dire qu'il n'avait peut-être pas tort. Je me mets debout et m'approche lentement d'elle mais elle s'évertue à reculer jusqu'à être bloquée par le mur gris clair du salon.

— Du calme Taylor, je dis doucement, on va se calmer et tu vas tranquillement m'expliquer ce qu'il se passe, je pose une main sur son bassin.

— Ne me touche pas, ne me touche pas, ne me touche pas! Elle crie en repoussant mon bras.

Austin dévale les escaliers et me lance un regard inquiet. Je secoue la tête pour lui dire que je ne comprends pas la situation puis je sens une pression sur ma nuque. Je me retourne face à Taylor qui tire sur mon collier, ou plutôt le collier de Jen. Elle réussit à l'arracher de mon cou et quand elle l'ouvre, elle fond en larmes, se laissant tomber contre le sol.

— Taylor, je m'agenouille face à elle inquiet. Rends-moi ce collier s'il-te-plaît.

— Tu m'avais dit que c'était une photo de tes parents! C'est qui cette fille? C-comment tu l'as connais? Pourquoi toi aussi tu as une photo d'elle? Elle murmure.

Ses yeux sont fixés sur la photo de Jen, son visage est vieillit de dix ans à cause de ses larmes, son front est cerné, son maquillage coule. J'arrive à récupérer le pendentif, mais ça ne sert plus à grand chose puisqu'elle a vu Jen... mais elle semble l'avoir déjà vue auparavant... et son père m'a tout l'air d'en être la cause.

J'avais trois jours pour tout lui avouer, mais je choisis de tout lui dire maintenant, parce que je vois que rester dans le déni la rend complètement folle et lui fait plus mal qu'autre chose.

— Taylor, je dis précautionneusement, je vais tout te raconter.

Je m'assois face à elle et essuie ses larmes. Comme je n'arrive pas à supporter les yeux verts pleins de tristesse de Taylor, je me concentre sur ceux de Jen, ils sont joyeux alors c'est plus facile.

— Tu te rappelles de la fois où je t'ai parlé de mon amie d'enfance pour qui j'ai subitement ressenti des sentiments?

— Jen... comme ma poupée... elle hoche la tête.

— Jen était ma meilleure amie, je la connaissais depuis que j'avais cinq ans et nous faisions tout ensemble. Elle a toujours occupé une place spéciale dans mon cœur et j'ai fini par en tomber amoureux. Je n'ai jamais pu lui dire comment je l'aimais, parce que ce n'était pas le bon moment. Le cœur de Jen a toujours été mon ennemi, il l'a faisait souffrir, elle était atteinte de cardiomyopathie dilatée. 

J'observe Taylor mais elle ne semble pas joindre les deux bouts. Sa mère est morte quand elle avait six ans, je suppose que son père a dû se contenter d'un "maman avait un problème au cœur" sans entrer dans les termes scientifiques avec elle, et comme une enfant, elle n'a pas cherché à voir plus loin.

— C'est elle Jen. Je lui tends le pendentif.

Elle l'observe attentivement durant plusieurs longues secondes, elle passe un doigt sur le petit nez retroussé de Jen, sur ses yeux verts, sur ses oreilles d'elfes.

— Tu l'as déjà vue? Je l'interroge après un instant.

— Juste en photos... sur le bureau de mon père. Tu sais pourquoi est-ce qu'il avait des photos d'elles?

— Tu le lui a demandé?

— Non, j'ai cru que c'était sa nouvelle conquête, je trouvais qu'elle était très jeune et qu'elle était la copie-conforme de ma mère alors je n'ai pas osé lui en parler...

— Avant de partir, Jen m'avait dit que ses parents lui cachaient quelque chose, elle m'a fait promettre de le découvrir. Quand elle est morte, j'ai commencé mes recherches et j'ai compris que les parents de Jen n'étaient pas ses parents biologiques. Je raconte lentement.

— Elle a été adoptée?

— Non, échangée à la naissance.

La bouche de Taylor s'entrouvre et plus aucun bruit n'en sort. Elle repose sa tête contre le mur et part dans une nouvelle crise de larmes. Cette fois-ci, quand je pose ma main sur sa cuisse pour la soutenir elle ne montre aucun signe de résistance, elle finit même par se serrer contre mon torse. J'essaye de la bercer mais ça me rend triste de la voir dans cet état. C'est exactement pour cette raison que je ne souhaitais pas que Taylor apprenne la vérité, de la même façon que je n'aurais jamais voulu tout avouer à Jen, quitte à brouiller notre amitié pendant un temps. Mais là, la situation était différente, pas plus simple, mais différente... Il y a Karen et puis Taylor qui selon ma déduction a ouvert mon pendentif lorsque j'étais encore assoupi.

— Taylor, tu es quelqu'un de formidable et ne laisse jamais personne te convaincre du contraire. Je lui dis alors qu'elle est sur le perron, le visage toujours rempli de tristesse.

— Merci Miles.

— Tu réfléchiras à ce que je t'ai dit?

— Oui, elle déglutit, mais ça me prendra du temps pour être prête à la rencontrer... hum Karen... et puis il faut que je parle à mon père... ça fait beaucoup.

— Prends tout ton temps... personne ne te mettra la pression.

— Merci Miles, il faut que j'y aille.

Je la prends une dernière fois dans les bras, elle sent comme Jen. Elle met fin à notre échange, descends les trois petites marches et alors que je m'apprête à rentrer, elle se tourne face à moi.

— Comment était-elle, Jen?

— Laisse-moi une minute, je reviens!

Elle hoche la tête et je monte en courant dans ma chambre. J'ouvre le tiroir dans lequel je stocke mes caleçons et déterre le carnet bleu marine rempli de patchworks multicolores, le journal intime de Jen. Je fais le chemin inverse et cours jusqu'à Taylor. Elle regarde le carnet intriguée mais l'attrape tout de même.

— Elle était parfois régulière mais parfois pas du tout, elle avait plusieurs périodes. Je hausse les épaules. Mais une chose est sûre, si tu le lis, tu la connaîtras par cœur.

Je regarde Taylor s'en aller en voiture et rentre rapidement dans la maison. Je suis en retard au café, mais je ne me voyais pas mettre Taylor dehors alors que sa vie venait tout juste de basculer. Nous n'avons pas parler de nous et je ne sais pas si nous formons toujours un nous, Taylor a d'autres choses plus importantes à penser.

Austin m'attend les bras croisés et quand il m'aperçoit, il s'empresse de me serrer dans ses bras. Je ne comprends pas immédiatement son geste, mais suppose qu'il est dû au fait qu'il était présent quand j'ai dit être amoureux de Jen, ou bien alors touché par l'histoire de Taylor. Qu'importe la raison, cette étreinte est réconfortante. Il ne me demande rien et ne me reproche rien non plus, il est juste là pour moi, trait pour trait comme j'en ai besoin.

Avant de m'enfermer dans la salle de bains, je regarde le pendentif, caresse le visage innocent et rayonnant de Jen. Je me dis qu'elle me manque mais que pour elle je dois me battre et aller de l'avant...

Mais je crois vaguement qu'il m'est impossible d'aller de l'avant.

*******

Hey!

J'espère que vous allez bien (contrairement à moi qui suis super malade),

Et que ce chapitre vous a plu!

Je vous oblige à rien mais je vous ai mis la nouvelle chanson d'Abel (The Weeknd pour les non-intimes) elle est trooop bien. Aussi j'ai un petit peu honte de vous l'avouer mais ces temps-ci j'aime écouter des chansons anciennes genre Call Me de Blondie, ou même When I Grow Up des Pussicat Dollz ! Donc si y a une chanson plutôt ancienne que vous aimez dites moi svp :(

Cœur cœur ❣️

Noémie =)

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