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Chapitre 12

"Quand demain commencera sans moi..." - David Romano

Il y a quelque chose qui cloche. Je le sais parce que j'ai senti une sorte de frisson qui s'est finalement transformé en bouffée de chaleur. Le plus étrange, c'est que ce frisson a eu pour point de départ mon cœur. Je jette un regard aux Hardee, Karen s'occupe de la paperasse de son bureau qu'elle a ramené jusqu'ici et Jorge boit un énième gobelet de café qu'il a acheté à la cafétéria de l'hopital.

Il y a quelque chose qui cloche. Je sursaute quand on frappe à la porte. Les parents de Jen partagent un regard inquiet et se tendent tous les deux. Je vois à travers la vitre trouble de la porte qu'il s'agit de quelqu'un en uniforme d'hôpital. Je regarde ma montre. Non, normalement l'opération de Jen doit encore durer plus d'une heure.

Il y a quelque chose qui cloche. Les parents de Jen donnent le feu vert et on ouvre la porte. J'écarquille les yeux et pâli sur le champs. C'est le chirurgien en personne.

Il y a quelque chose qui cloche. Il n'est pas censé être ici avec son regard compatissant. Il est supposé faire son travail et placer cet engin de malheur sur le cœur de Jen. Il s'approche pas à pas des parents de Jen. Le bruit de ses chaussures sur le sol me donne des sueurs froides et je pose mes mains, de part et d'autre de mon corps sur le sol glacé. Sa mine s'attriste au fil de ses pas et il n'a même pas besoin de parler, j'ai déjà compris. Karen et Jorge aussi puisqu'ils ne retiennent pas un cri d'effroi.

— Madame, Monsieur Hardee. Il commence doucement. Je suis sincèrement désolé, mon équipe et moi avons fait tout ce que nous pouvions et elle aussi j'en suis certain, mais son coeur a lâché. Je voulais vous présenter en personne mes plus sincères condoléances parce que Jen est ma patiente depuis qu'elle est née. Je suis vraiment désolé...

Le docteur dit le tout et sa voix est sincèrement triste.

J'ai les yeux fermés et j'ai l'impression de suffoquer. Ma tête est lourde et elle vient se cogner contre le mur.

Quand j'ouvre mes yeux, je suis dans une immense salle. Je n'ai aucune idée d'où je suis réellement. Je tourne sur moi-même. Tout est d'un blanc immaculé et oppressant, le sol, le plafond, les murs. Je n'ai aucun repère spatial, la salle pourrait en fait être immense comme elle peut-être minuscule. Plus inquiétant encore, j'ai beau regarder autour de moi, je ne vois aucune voie de sortie.

Je tente alors de sortir un cri, mais rien à faire, ma gorge est douloureuse. Mon cœur accélère je commence très sincèrement à paniquer.

Je me mets à courir. Je cours, j'ignore dans quelle direction je suis parti mais je cours. Je ne sais pas vraiment ce que je cherche. Je crois que je compte courir jusqu'à ce que j'atteigne le mur d'en face, qu'importe le temps que ça me prendra.

Je cours, mes jambes font de grands pas. Je m'attends à ressentir une certaine peine physique mais rien. Je cours et je ne suis même pas essoufflé. J'accélère encore, mais toujours aucune douleur. Je me stoppe pour regarder autour de moi. J'ai avancé mais j'ignore si je me suis rapproché de quoi que ce soit. En réalité, j'ignore s'il y a quoi que ce soit.

Je commence à perdre espoir et je m'accroupis au sol. Qu'est-ce qu'il m'arrive? Je ne comprends rien. Je m'assois par-terre et finis par m'allonger et respirer. Je fixe ce qui semble être le plafond. Je regarde ensuite autour de moi. Ma panique vient de se décupler. Je crois être dans une pièce, pourtant il n'y a aucun néon, aucune ampoule, pas même une petite bougie et pourtant tout est clair et illuminé. Des larmes coulent le long de mes joues.

J'entends soudainement sa voix.

— Miles!

Jen! Je pense si fort. Je me relève immédiatement et cours à grandes enjambées vers cette voix que j'aime tant. Je cours, je cours, mais je ne sais plus d'où vient cette voix. Il faut qu'elle crie mon nom encore une fois. Mon cœur accélère dans ma poitrine.

— Miles!

Elle crie plus fort et je localise la voix. Elle vient de ma gauche. Il n'y a strictement rien là-bas, mais je m'y dirige tout de même. On me bouscule par l'épaule et je m'effondre au sol. Je lève la tête pour voir de qui il s'agit, mais il n'y a personne. En voulant me mettre debout je constate que mon épaule me fait souffrir, j'ai dû me la déboîter en tombant. Je veux hurler de douleur mais je n'y arrive pas.

— Miles, il faut se montrer courageux... refait sa voix.

Je hoche la tête, une grimace de douleur sur le visage. Je cours en fermant les yeux pour éviter de penser à la douleur de mon épaule. En ouvrant les yeux je me sens soudainement aveuglé par de la lumière.

— Jen! Je réussis à crier alors que mes pupilles ne sont toujours pas rétablies du choc.

— Miles!

C'est presque la même voix, mais elle est plus mûre, moins agréable, plus pressée et plus bousillée par la tristesse. Ce n'est pas Jen, c'est sa mère.

Mes yeux finissent par s'adapter à la luminosité, je suis assis au sol dans la chambre d'hôpital de ma meilleure amie en attendant qu'elle daigne enfin sortir du bloc. Mon regard se porte sur l'homme accroupi devant moi. Il porte un uniforme d'hôpital et sur son badge c'est écrit "Docteur Patrick Wales". Mon cerveau percute et la situation me revient en tête.

— Jen est partie?

Je demande la voix tremblante. Je le fais sous forme de question parce que j'ai l'espoir de m'être évanoui et de m'être imaginé un scénario tragique. Le médecin se contente de poser une main sur mon épaule. Je pivote ma tête vers les parents de Jen, sa mère est en pleurs et son père ne fait pas mieux.

— Non, c'est impossible. Je fais catégorique. Elle ne serait pas partie. Elle ne m'aurait jamais laissé seul.

Je me redresse et manque de bousculer le chirurgien. Il se redresse à son tour et ses iris marrons ne me lâchent pas du regard.

— Elle est partie, je suis désolé.

— Non! Vous ne comprenez pas, vieux con! Je hurle. J'ai promis à Jen, j'ai promis à ma meilleure amie que je serais là à son réveil, je lui ai promis aussi tout un tas de choses, comme le fait que je passerai le bal de promo avec elle, que nous irons dans la même université, que nous rencontrerons Banksy un jour. Vous ne comprenez pas que je lui ai promis toutes ses choses? Je tiens toujours mes promesses. Vous comprenez? Vous comprenez que j'ai besoin d'elle et ce jusqu'à la fin de ma vie? Vous comprenez que je suis amoureux d'elle?

Je ne sais pas si dans les concours qu'ils doivent passer, il y a une notion "calmer le meilleur ami amoureux de sa patiente décédée", mais, quand il me prend dans ses bras et que je peux me laisser pleurer, il m'aide. Il m'aide à ne pas avoir envie de récupérer n'importe qu'elle seringue dans cet hôpital, la remplir d'air et insérer cet air dans un veine. Quand la bulle d'air aurait atteint mon cœur, je ne serais plus.

Karen prend le relais et me serre dans ses bras. Elle est bien plus petite que moi. Je m'effondre un peu plus. Je veux serrer Jen dans mes bras, je veux sentir son cœur battre dans sa poitrine, je veux entendre son rire, je veux sentir ses lèvres chaudes sur les miennes, je veux lui dire que je suis amoureux d'elle, qu'elle me dise qu'elle me déteste, qu'elle m'aime, je m'en fou je veux juste qu'elle soit là, comme elle l'a toujours été.

— Je comprends Miles, fait sa mère, je comprends. Jen... elle voudrait que tu ne changes pas, que tu restes toi même et que tu gardes ta bonne humeur, ta persévérance. Elle voudrait que tu sois l'homme le plus heureux de la Terre, parce que tu le mérites. Elle voudrait que tu vives pour elle. Elle t'attendra là-haut, mais elle veut que tu vives d'abord.

J'ouvre le yeux et même si ma vision est obstruée par les larmes, je distingue tout de même le journal intime de Jen, sur la table-plateau. Je m'empresse de me détacher de la mère de Jen, récupère rapidement le carnet et m'en vais en courant jusqu'à la voiture de mon père que j'ai empruntée.

La petite berline dont le modèle est sorti il y a une dizaine d'années et garée un peu n'importe comment. Je rentre immédiatement à l'intérieur. Jette le journal de Jen sur le fauteuil passager, la place du mort, qu'elle ironie.

Même si je suis profondément triste, même si mon cœur me fait mal à chacun de ses battements, même si je suis conscient d'avoir perdu ma meilleure amie et de devoir vivre pour toujours avec sa mort dans mon cerveau, je ne pleure pas. Je ne pleure plus. Peut-être que trop de larmes ont déjà coulé de mes yeux. Je ressens juste de la colère. Ma meilleure amie est morte et moi je ne ressens plus que de la colère.

Je m'en veux terriblement de l'avoir laissée s'en aller sans tout lui dire, je m'en veux de ne pas avoir réussi à lui donner encore plus l'envie de se battre. Je suis en colère contre son cœur, son satané cœur qui l'a toujours narguée, lui rappelant constamment qu'il pouvait s'arrêter à tout moment. Je suis en colère d'avoir perdu alors que son cœur lui a gagné.

Je crois que je m'en veux aussi, parce que c'est de ma faute si je souffre autant aujourd'hui, parce que j'aurais dû écouter mon frère. Il m'a toujours dit que je ne devais pas trop être proche de Jen, qu'elle risquerait de m'abandonner à tout moment, que je ne serais jamais prêt à encaisser sa perte si je créais une relation exclusive avec elle. Mais j'ai fini par en tomber amoureux. Je n'ai pas écouté mon grand-frère car il a toujours été quelqu'un de super négatif et a toujours passé sa vie à broyer du noir, sauf quand il était aux alentours d'un cheval. Je donne un coup dans le volant. Si je n'avais pas été si têtu, j'aurais certainement été triste d'apprendre la mort de ma voisine, mais, je me serais fait une raison, ma vie aurait continué, mais là... j'ai l'impression d'être mort avec elle.

Ça y'est. Je pleure de nouveau. J'essaie de toutes mes forces de penser à la poésie.

— Quand demain commencera sans moi... j'aimerais tellement que tu ne pleures pas. Je répète encore et encore et encore pour me calmer.

En vain.

J'appuie sur le bouton pour allumer la radio et augmente le volume sur une musique pop électro que je ne connais pas du tout. Jen la connaît certainement, c'est son genre de musique, il suffirait que je lui envoie un snap de la chanson et elle me dirait la signification des paroles, l'histoire de la chanteuse. Mais elle n'est plus là.

Jen Hardee, ma Princesse, celle qui sent le kiwi, qui a des oreilles d'elfe et qui porte des Vans Old Skool jaunes nommées de droite à gauche Géraldine et Diane n'est plus là. Elle est morte et elle ne rigolera plus jamais à mes blagues nulles, elle ne me traitera jamais plus de vieux con, je n'aurai plus personne à emmener sur mon vélo chaque matin, plus personne pour me donner ces papillons dans le ventre que j'ai longtemps considéré comme une légende urbaine.

Je ne réalise pas vraiment que je démarre en trombe et que les pneus crissent sur le sol. Où alors en fait si, mais je ne réalise pas vraiment que c'est mal, j'ai tellement autre chose en tête. J'accélère même si la chaussée semble glissante, je ne regarde plus la vitesse à laquelle je suis et même si j'ai failli arriver dans le décor en faisant mon dernier virage, je ne lâche pas l'accélérateur. Un bruit de gyrophare me ramène à la réalité. C'est en fait une sirene de police. Je ralentis instinctivement et tapant toujours et encore dans le volant. Je regarde dans mon rétroviseur, c'est bien ce que je craignais, je suis contrains de m'arrêter sur le côté de la route menant à Corvallis.

L'officier ne tarde pas à descendre de la voiture et je suis forcé de constater que ce n'est pas qu'un simple policier, il s'agit du shérif de la ville, Eddy, alias le père de Derek. Il est grand et très intimidant, il a la peau noire et porte son uniforme vert-kaki. Il parle dans son talkywalky et quand il découvre mon identité, il informe ses collègues leur disant que c'est une fausse alerte, qu'il gérera le problème tout seul.

— Miles, il s'accoude contre ma vitre ouverte. Tout va bien? Tu as vu l'allure à laquelle tu roulais?

— Désolé, je suis fatigué, je baisse la tête pour qu'il ne capte pas ma tristesse.

— Tu ne devrais pas conduire dans cet état, il souffle, c'est dangereux et tu peux te planter et laisser tes parents seuls à tout moment.

— Comme Jen m'a laissé seul?

— Jen est... il se coupe éberlué.

— Morte.

Eddy m'a finalement laissé poursuivre mon chemin, me faisant promettre de faire gaffe avant de me dire qu'il est désolé. Je ne sais pas pourquoi, mais, quand je vois l'entrée vers sa maison à ma droite, je ne peux m'empêcher de m'y engouffrer. Je veux qu'elle me prenne dans ses bras. Je veux que je ressente des papillons dans mon ventre quand elle est là, comme avec Jen. Je veux qu'elle me fasse totalement oublier ma fut meilleure amie.

Je passe devant Eclair dans son enclos et après avoir toqué à la porte sans obtenir aucune réponse, je rentre. Elle est censée être déjà rentrée des cours à cette heure-ci, nous finissions tôt aujourd'hui. Je grimpe à l'étage et alors que je m'apprête à crier son nom, je me stoppe net.

Des gémissement, oui j'entends des gémissements très clairement perceptibles. Je la connais tellement bien que je peux affirmer que Rima est en ce moment même entrain d'atteindre l'orgasme, l'apothéose, ou alors elle simule pour satisfaire son copain.

Son copain? Je manque de rater une marche. Je suis son copain. Qu'est-ce qu'elle fout? Je me précipite en vitesse vers sa chambre alors que la colère est remontée en moi, il y a tout qui part en vrille, pour me libérer de ma colère, je pousse un bibelot présent sur un meuble et il vient s'écraser contre le sol.

Elle pousse un hurlement de stupeur, pas de de plaisir. Je la vois bientôt apparaître dans le couloir, rhabillée de façon négligée d'une robe. Quand elle croise mon regard elle ouvre la bouche et devient rouge, de honte, de tristesse peut-être mais pas de plaisir.

— Miles... ce n'est pas ce que tu crois. Essaye la brune.

— Ouais bien-sûr, tu me diras quel vibromasseur tu utilises pour te mettre dans de tels états. Je crache. Vieille conne, t'es qu'une traînée.

Je la contourne pour rentrer dans sa chambre. Je la méprise et elle est morte de honte, elle a joint ses mains entre elles et se mord la lèvre à en saigner. Et je le vois sur son lit, il tente de se rhabiller et a déjà enfilé un caleçon et la moitié de son jean. Il est dos à moi mais je n'ai pas besoin qu'il se retourne pour savoir de qui il s'agit. Je vois rouge, mes points sont contractés.

— Derek. Je lance froidement.

— Mec... il se retourne en sursautant.

— T'es juste un vieux con, un connard, un pote en carton. Je m'emporte. D'abord Jen et ensuite ma nana? T'as des soucis? Tu te tapes tout ce qui bouge ou juste celles qui sont à moi?

— Jen ne t'appartient pas mec, malgré tout ce que ton ego croit. T'avais certes merdé ce soir-là, mais Jen me voulait moi, ta, il dit un brin moqueur, Jen.

— De toutes façons, t'as toujours été un vieux con, je ne suis pas surpris, mais toi Rima, t'es censée être ma copine, t'es censée être à moi.

— Moi non plus je ne t'appartiens pas Miles, rétorque Rima. Tu me laisses toujours à l'arrière-plan de tout et je l'ai remarqué quand tu es parti en road-trip avec Jen. J'étais tellement en colère et jalouse j'ai dit à tout le lycée que Jen allait se faire opérer, mais je ne me suis pas sentie bien pour autant. J'ai longtemps parlé avec Derek et on a fini par coucher ensemble, c'était pas calculé, c'était une surprise pour nous deux. Quand t'es rentré, je m'en voulais au départ, mais tu ne me portais toujours pas l'attention que je mérite tu ne voyais que Jen, Jen, Jen. Je n'avais plus de remords. Quand je vous ai invité chez moi avec Derek, je voulais en profiter pour t'annoncer que je suis tombée amoureuse de Derek, je me suis dit que si Jen est présente tu seras moins dangereux. Mais tu t'es vraiment montré adorable avec moi, mais même quand tu me montrais le plus de tendresse, je savais bien que tes pensées étaient dirigées vers Jen.

— T'es amoureuse de moi? Répète Derek. Je ne veux pas de copine, ça ne m'intéresse pas, je veux rien de sérieux.

— T'es sérieux toi? Elle manque de s'étrangler.

Ils partent dans une longue dispute et je les regarde faire les yeux écarquillés. Ils s'insultent mutuellement et aucun ne laisse de répit à l'autre. Et puis je suis là, entrain d'observer la scène dont je suis en partie responsable sans dire un mot. Je cherche le regard complice de Jen pour qu'elle se moque d'eux avec moi, mais je me rappelle rapidement que...

— Jen est morte.

Derek qui était un pleine tirade se stoppe immédiatement et déglutit avec difficulté sa salive.

— Quoi? Il hésite.

— Jen est morte, je répète livide.

Je baisse la tête et fourre mes mains dans mes poches avant de sortir de chez Rima. Derek ne tarde pas à me rejoindre dehors. Comme je suis conscient d'être en larmes, je fais mon possible pour l'éviter mais il persiste et finit par me prendre dans ses bras.

— Elle t'aimait plus que personne Miles, il me dit.

— Je sais, on se le disait souvent.

Il s'écarte de moi et me scrute du regard. Il secoue la tête et se retient de dire quelque chose. Je vois que la nouvelle l'affecte aussi, ses yeux sont rouges et je n'avais jamais vu Derek au bord de la crise de larmes.

— Elle t'aimait bien aussi, j'essaie.

Il sourit tristement et lève la tête au ciel. Je fais de même, je me demande alors si Jen est là-haut, si elle va bien, si elle me regarde et entend mes pensées. Si c'est la cas Jen, je veux que tu saches que je suis désolé, je ne peux pas aller bien maintenant que tu m'as quitté, il me faut du temps, laisse-moi le temps de trouver comment être heureux en ton absence... laisse-moi souffrir et ne m'en tiens pas rigueur, je t'en supplie.

*******

Hey!

J'espère que vous allez bien,

Et que ce chapitre vous a plu!

J'espère que vous ne voulez pas me tuer ❤️ je suis désolée pour les fans de Jen (j'en fais moi même partie et j'ai voulu supprimer mon livre en écrivant ce chapitre) mais elle sera toujours présente quelque part... dans le cœur de Miles et je peux vous assurer que d'autres rebondissements vous attendent ! So Stay co

J'aimerais vous dire un grand merci pour toutes vos lectures, vos votes, vos commentaires et je suis vraiment désolée de ne plus pouvoir trouver le temps de vous répondre, je les lis vraiment tous et y en a de très drôle, mais je n'ai plus assez de temps pour répondre. Ça m'énerve franchement parce que depuis Nous je réponds systématiquement aux commentaires de ma dernière partie, mais je suis en TS et croyez moi quand je vous dis que je passe mon temps à travailler dès que je rentre des cours =(

Je vous aime trop! Cœur cœur ❤️❤️

Noémie =)

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