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Chapitre 5


Chapitre 5.

À peine la porte de ma maison fut-elle refermée derrière nous, que je plaquai déjà Andreas contre celle-ci, lui ravissant de nouveaux baisers. Il haleta sous moi. Mes mains se mouvèrent sur son corps, touchant ses épaules, ses hanches, ses cuisses et (surtout) ses fesses. Il commença, lui aussi, à me toucher, m'explorant. Je lui embrassai le cou et, la tête rejetée pour mieux s'offrir à mes lèvres, il s'attela à défaire, bouton après bouton, ma chemise en coton. Je laissai des marques violacés sur sa peau fragile, puis mon haut tomba au sol sitôt que je bougeai un peu les épaules. Mes doigts s'activèrent sur la chemise d'Andreas à leur tour.

Une fois que nous fûmes tout deux torse nu, je sentis la chaleur monté d'un cran. Il y avait, d'ailleurs, une bosse dans mon pantalon – et le sien, (pour une fois!) – pour le prouver. Nous embrassant, nous nous plaquâmes l'un après l'autre contre les murs et je le conduisis progressivement vers la chambre où je le fis basculer sur le lit. Nous roulâmes et, rapidement, nos pantalons disparurent. Il ne restait plus que nos sous-vêtements. J'étais à deux doigts de découvrir ce qui se cachait derrière le boxer noir d'Andreas, ce qu'il ne montrait qu'aux personnes spéciales. Je pressai son postérieur, malaxant la chaire ferme. J'avais tellement envie de lui arracher ce bout de tissu! Avant d'aller plus loin, cependant, une question s'imposait :

-Passif ou actif? Demandai-je tout en continuant de l'embrasser.

Il gémit dans ma bouche et profita d'un court instant où nos bouches ne se touchaient pas pour me répondre :

-J'ai envie de te sentir en moi.

-Oh, putain!

Une vague d'excitation et d'inconscience me submergea. Habituellement, avec mes précédentes relations, du moins, je préférais toujours être celui en-dessous, mais avec Andreas, c'était différent. Je ne saurais pas capable de l'expliquer, mais je fantasmais à l'idée d'avoir son corps se contorsionnant sous le mien depuis la première fois où j'avais posé le regard sur lui (et la chute parfaite de ses reins.)

Je tirai l'élastique de son boxer, le faisant claquer contre sa peau. Puis, je recouvris son corps du mien. Mes lèvres descendirent le long de son cou déjà marqué par quelques coups de dents, puis arrivèrent dans le creux de sa clavicule – là où il sentait si bon – jusqu'à son torse. Je suivis la ligne de ses abdominaux légers de ma langue, suivant les poils fins qui disparaissaient sous le tissu de son sous-vêtement.

Il gigota sous moi, impatient.

-Vas-y, enlève-le! M'ordonna-t-il. Je commence à être serré là-dedans, moi...

J'en fis néanmoins à ma tête, prenant tout mon temps. J'avais tant fantasmé sur cette partie de son anatomie... Il était bizarre de me dire que j'allais enfin en avoir une vision claire. Avais-je peur d'être déçu? Non, je savais que je ne le saurais pas.

Prenant toute les précautions nécessaires, je commençai seulement à tirer le tissu vers le bas, dévoilant une toison brunette frisée. Je descendis le sous-vêtement jusqu'à ses cuisses et, aussitôt libéré, son sexe se dressa fièrement pour moi. J'en avais un peu plus gros – même si je n'aurais pas pu dire le contraire, mon orgueil masculine m'en empêchant –, mais le sien était d'une grandeur tout à fait respectable, au-dessus de la moyenne, même, allai-je jusqu'à dire. Ça ne me décevait absolument pas.

Andreas battit des jambes pour se débarrasser une bonne fois pour toute de son sous-vêtements, puis il agrippa (presque férocement) l'élastique de mon propre boxer.

-À toi de me montrer ce que tu caches!

Il m'offrit un sourire à la fois taquin et pervers, puis ne perdit pas de temps pour m'ôter ce dernier morceau de linge plus qu'encombrant. Ma virilité se tint, à son tour, bien droite au garde-à-vous, pressée contre mon ventre, prête à la guerre.

Les pupilles vrillées, j'attrapai nos deux masculinités dans la paume de ma main, puis nous masturbai avec énergie. Andreas haleta, incontrôlable. De ma main libre, je réussis à atteindre le tiroir de ma table de chevet pour attraper une petite bouteille de lubrifiant aux pêches – cadeau d'un ami souhaitant me faire un blague – et un emballage de préservatif.

Je mis une noisette de gel au fond de ma main, puis continuai de toucher nos virilité avec un peu plus de facilité. Je remis encore un peu de lubrifiant dans ma paume, puis avançai ma main sous Andreas pour atteindre ses fesses rondes et musclées. Il avait le corps d'un putain de Dieu. Pendant qu'il était distrait par ma main sur son sexe, je pressai deux doigts contre son intimité sans qu'il s'en rendre compte, puis finis par forcer leur intrusion d'une poussée un peu plus forte. Andreas gémit, mais s'habitua rapidement à la présence inconnue au fond de lui.

Afin de bien l'étirer, je fis des mouvements de ciseau avec mes doigts. De temps en temps, je pliai les jointures, à la recherche de son point G. Quand il cria un peu plus fort tout en basculant sa tête contre les oreillers, je sus que je l'avais trouvé.

Je retirai lentement mes doigts devant l'air dépité d'Andreas qui se sentait vide sans eux. Je souris tout contre sa peau, lui assurant qu'il serait à nouveau bien rempli.

Je tins parole. Je déchirai avec mes dents l'enveloppe du préservatif, puis le roulai sur mon sexe dressé. Ma main vint positionner un oreiller sous les hanches de mon partenaire pour plus de confort, puis glissa jusqu'à la base de mon membre. Me mordant la lèvre, concentré, j'alignai le bout de mon gland avec son intimité, puis me poussai lentement dans son fourreau étroit. Andreas se raidit brusquement. Il agrippa une poignée de draps dans ses poings, les jointures quasiment blanches. Je lui massai les hanches et le creux des reins pour tenter de faire passer la douleur tout en lui murmurant des paroles douces à l'oreille destinées à le détendre.

-Tu es si étroit... si chaud... je suis presque totalement à l'intérieur...

Sa respiration redevint lente et contrôlée. Je lui mordis le lobe, puis terminai de me pousser en lui. Mon bassin se heurta contre son postérieur.

-Tu es prêt? Je vais bouger.

Il prit une grande inspiration, s'habituant à ma présence, puis hocha la tête.

-Okay, murmurai-je.

Je pris appui sur ses hanches pour me donner un élan. Je donnai un premier coup gentil – me reculant et m'avançant d'un coup –, heurtant directement sa prostate. Ses pupilles se diluèrent de plaisir et il gémit, incapable de se retenir. Je recommençai un peu plus fort, puis de plus en plus rapidement. Andreas cria sous moi, le corps arqué à la manière d'un chat comme pour en avoir davantage. Je lui donnai ce qu'il recherchait. Ma main libre attrapa son sexe dur et fit des mouvements de vas-et-viens sur celui-ci.

Sa prostate suscitée à chacun de mes assauts fut la première à rendre l'âme. Andreas, haletant, se braqua, puis jouit dans un grand cri sur son ventre qui montait et descendait aussi rapidement que les battements de son cœur.

Sous la pression de ses sphincters qui se contractèrent, je vins le second, remplissant le préservatif. Collant de sueur et le pouls effréné, je sortis de l'enveloppe de chaleur que me procurait Andreas pour retirer le condom, faire un nœud, puis le jeter dans la poubelle la plus près.

Je me laissai, ensuite, tomber dans le lit sur le dos, totalement vidé de mes forces. Je tournai la tête pour apercevoir Andreas qui ne semblait pas être dans un meilleur état que le mien, épuisé. J'attendis un peu de reprendre de mon énergie, puis je dis :

-Tu dois partir.

Il me regarda comme si j'étais fou.

-Quoi?

-Personne ne dort ici, personne n'a jamais dormi ici, expliquai-je.

-Pourquoi?

-Trop intime, grognai-je.

Il se rapprocha de moi et colla son corps en cuillère contre le mien, m'entourant la taille.

-Et ça, est-ce que c'est trop intime?

Je devais avouer que la position n'était pas déplaisante et que je n'avais pas la force de me battre. Je me contentai donc de grogner une réponse qui ne voulait pas dire grand-chose, incompréhensible.

-Je ne vais pas prendre le métro alors qu'il est près de 1 heure du matin, rajouta-t-il, alors je reste. Que ça te plaise ou non.

Il s'étira paresseusement.

-Puis... tu sais, c'était ma première fois, je ne sais même pas si je pourrais marcher jusqu'à la station de métro!

Je demeurai une ou deux secondes en silence, jusqu'à ce que quelque chose fasse tilt dans mon cerveau.

-Ta première fois? Répétai-je, choqué.

-Eh bien, avec un homme, bien sûr, je l'ai déjà fais avec une fille. Je devais avoir quatorze ans lorsque c'est arrivé. Je me cherchais et je n'étais pas certain d'être hétéro, bi ou homo... tu sais, le genre de questions existentielles que se pose chaque ado.

-Putain! Pourquoi est-ce que tu ne m'as rien dit au sujet de ta première fois? J'aurais été plus doux avec toi! Tu me fais me sentir comme un monstre, maintenant!

-Je ne voulais pas que tu sois plus doux...

-Merde, tu avais l'air si sûr de toi... J'étais certain que tu ne devais très certainement pas en être à ta première nuit!

Il haussa les épaules comme si tout ça n'avait pas d'importance.

-Le gars plein d'assurance que les gens croient que je suis, c'est juste un personnage que je joue sur la scène. En réalité, je ne suis pas comme ça..., m'avoua-t-il. Petit, j'étais un enfant assez timide, gêné... et seul. Le burlesque m'a aidé à sortir de ma coquille et à devenir – le temps d'une représentation – le genre de gars que j'ai toujours admiré et que j'ai toujours voulu être.

Je comprenais mieux pourquoi l'instant d'une seconde, il avait été déstabilisé que je l'embrasse au café. Il donnait l'impression de se ficher de tout, d'être un playboy qui accumulait les one night stand, mais en vérité, il n'était jamais aller plus loin que quelques baisers volés.

-Tu aurais dû m'en parler, répétai-je encore.

-Ce n'est pas le genre de choses que l'on raconte à tout le monde, seulement aux personnes spéciales.

Je hochai la tête.

-Ce n'est pas grave.

Je fermai les yeux, cherchant le sommeil. Notre relation était encore toute jeune et j'ignorais si j'étais prêt à devenir la personne spéciale de qui que ce soit... 

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