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22 | 伤疤 !

TWENTY-TWO ✧ SCARS

⋆˚༘.

« Minho ! Promets-moi que t'as ton permis ! »

Et le vespéral des nuitées glaciales se couchait à leurs paupières, crémées d'une lourde adrénaline luminescente, lorsque sur les chemins bossués un véhicule déambulait au rythme effréné. Le blond éméché au zéphyr violent, frappait au nacré des plus constellés de violacé, d'ecchymoses galaxies criardes au touché. Tout se passait rapidement ; c'était électrique, éprouvant. Car scintillaient là sous les instances étoiles d'un velours ciel, les faciès déformés de stupeur atroce, les caligineuses émotions œuvrant aux absolutions moroses. C'était sous le hiémal nocturne que la Lunaire a brûlé au creux des paupières, guidant les lignes d'un destin éphémère.

Et c'était sous le hiémal nocturne que les deux garçons s'échappaient du monde de misère.

« Lee Minho bon sang, promets-le moi !

Boucle-la ! »

Alors les lettres s'évaporèrent ; brume chaotique d'un souffle de non-maîtrise, dès lors où Jisung se laissa glisser contre le siège cuiré de cette vieille voiture. Ses vocales s'immiscèrent au silence des lumières, il n'osait encore entacher l'atmosphère de ses plaintes sous le téméraire des paroles de Minho. Rien de plus qu'un faible grésillement musical provenant de cette radio, certainement abîmée car sous les rayons de l'artificiel, il ne percevait qu'à peine un néant fervent à travers le paysage déroutant. L'irisé de ses mèches, éclairci au baiser des astres, se mêlait aux lueurs inquiètes transperçant ses regards éffarés et de ses lèvres scellées par les dires d'un noiraud aux folles idées, Jisung s'enfonçait de plus en plus. Bien qu'il avait toujours été baigné dans ce type d'histoires ; jamais ne lui était-il venu à l'esprit d'enclencher l'animosité jubilaire d'un groupe malhonnête en leur volant cette terrible carrosserie.

« Boucle-la ! se répéta durement, la voix autoritaire du plus âgé en tournant furtivement la tête, les jointures tremblantes sur le volant déplorable, ta ceinture ! Ta ceinture Jisung, boucle-la ! »

Quelques étincelles ; un monde à cramer sous le ciel.

L'adrénaline, la belle électrique dansant à travers leurs veines.

Et c'était cela durant de longues minutes, à sillonner les ruelles sans que l'un ou l'autre ne possède l'audace, ni même le courage d'offrir à cette atmosphère une once d'avenir attendri. Mais tout se passait vite, ou du moins assez pour que leur psychisme ne puisse s'y habituer, au brusque évènement ㅡ à cette potentielle erreur qui semblait se commettre dès lors où les phalanges tremblantes de Minho s'étaient accrochées à ce volant déchiré, ô bien de haine, de vieillesse. Et qui d'elle même, crispait l'aîné de torpeur à le faire cauchemarder de gangrène avide.

Leurs souffles étaient saccadés, les cœurs emballés ; et c'était sous le Clair de lune qu'ils s'échappaient. Quelque part oscillaient les orages, les tempêtes à leurs oculaires, le satané coup de tonnerre, à travers ces côtes malmenées. Mais c'est qu'ils ne savaient encore où tout cela leur mènerait, deux gamins brisés sur les routes accidentées. Simplement tamisé, tacheté de poussière lumière lorsque sous les lampadaires soleil, l'irisé doré semblait refléter ; chevelure quelque peu longue, où l'éther naît au bout des mèches, les accroche-cœurs au semblant miel.

Pourtant à l'issue d'une dernière valse lumineuse, qui s'agitait comme les baisers poèmes à leur nacré, Minho détacha lentement ses pulpes du volant vieillot, l'autre main toujours posée. Doigté céleste qui vint cueillir le cristallin fleurissant, les tendresses soudaines, furtives et quelque peu incertaines d'un jeune homme au myocarde arc-en-ciel. Et en vérité, Jisung s'était sans doute à nouveau perdu dans le lacunaire, dans cet amas de vide où le temps s'écoulait comme le limpide à ses paupières. Alors de son pouce, Minho caressa l'échine laiteuse du blondinet où se démarquait le rougeoyant à peine suintant, qui valut un désagréable frissonnement au plus jeune. Retour à la réalité, où le monde continuait à crever. Puis d'un geste las Jisung l'avait repoussé, accoudé à la portière les mirettes orientées à l'extérieur de la voiture.

« Qu'est-ce que t'as ? demanda Minho, en le regardant de temps à autre, sans qu'il n'ait eu de réponse directe, hé, Jisung, je te parle. »

Il tourna une dernière fois la tête, lorsqu'à travers la nuit, un bruit sourd implosa dans le capot où se dégageait une étrange fumée.

« Fait chier ! renfrogna le noiraud, en frappant le volant de ses paumes.

Bravo Minho, maintenant on est coincé au milieu de nulle part, qui s'échappa comme une injure de la part de Jisung.

C'est bon, t'as fini ton caprice ? Tu crois vraiment que c'est le moment de s'accuser, alors que je viens de nous sortir d'une merde pas possible ? »

Son vis-à-vis déglutit, et cela sans que ses croissants de chair n'avaient péri dans une énième parole. En vérité, le blondinet ne savait plus réellement où donner de la tête, pris de court, par ces mascarades funestes, et seulement des bribes réminiscences des dernières heures semblaient quelque peu colorer le fond de sa pensée. Alors il ne répondit plus, laissant virevolter les soupirs et le lucide, les calamités et ses ennuis. Pourtant ô savait-il qu'ils reviendraient ; car s'en était-il sûrement imprégné, dans ces terrains de misère où l'astral brasier ne brillait guère. Un peu plus, il s'enfonçait, dans ce siège détérioré, fracassé, comme sa belle conscience aux vipères entachées ㅡ aux oeuvres bien trop vilaines, qui s'en découlaient grossièrement comme la sève venin entre ses doigts abîmés aux nuances de haine.

Et jusqu'où allait-il encore songer à se dissiper, à s'effacer face à l'éventualité de tout cramer ? de tout foutre en l'air ?

Son crâne hurlait, depuis si bien longtemps; et Minho était sa bombe à retardement, sous l'étoilé des cieux braqués.

« Ces mecs là... s'engagea le prénommé, tandis que le néant se posait peu à peu à la commissure de leurs lèvres, tu les connaissais Jisung ? »

Mais peut être bien que l'explosion avait commencé;
bien plus tôt, entre ses côtes fêlées.

Le plus jeune demeura silencieux encore quelques minutes, le temps d'une accalmie fiévreuse. Ô car il ne les connaissait que trop bien, les sales vilains. Cependant, embrumé par les soupirs agacés de son compagnon, sortit du véhicule, il s'exécuta de même dès l'instant où oscillèrent les réverbères lunaires au nacré de son faciès. Ainsi, du coin de ses paupières affaiblies par la lourdeur des évènements, il contemplait son compagnon inspecter son cellulaire sûrement à la recherche d'une énième solution.

« C'est de ma faute. »

Et entre quelques lignes semblait-il reprendre son souffle retenu bien trop longtemps sous ces eaux tempétueuses, pression que le blondinet désamorçait au gré d'un débit affaibli. Après que la lumière électronique de son appareil s'éteignit, Minho mit ses mains au fonds de ses poches et levant les mirettes face à la belle Lactée, il marmonna ce qui apparaissaient comme de fines prières inaudibles, une façade d'espoir dans cet univers putride.

« Pourquoi ça le serait ? s'enquit le gamin ébène.

Puisque c'est la mienne, c'est tout. Car la première fois, c'est moi qui t'ait demandé de m'embrasser. Et que la première fois, c'est moi qui ait aussi tout bousculer. Peut être, qu'au final, tout ça... Tout ça, n'était pas une bonne idée. »

Ils ne se regardaient pas, tout les opposait, l'un chacun de l'autre côté ; parmi les glaïeuls flétris d'une route ensevelie, leurs silhouettes brillaient. Et c'était entre deux courants que la Lunaire a brûlé au creux des paupières, que les chants ont psalmodié, au grésillement amer des radios de l'éther.

Peut être qu'au final, entre eux deux, rien n'allait marcher.

« Peut être bien oui. »

Et ça fait mal ; d'entendre les syllabes effleurer la barrière de ses lèvres, celles auxquelles la sincérité n'avait que trop fortement frappé. Et ça fait mal ; de ne pas pouvoir dire quoique ce soit, car le myocarde s'est scellé dans le désarroi. Pourtant qu'il se forçait, à s'en déchirer la poitrine, il se forçait à vouloir tout lui cracher. Malgré tout - c'était le mensonger qu'il continuer de faire régner. Alors doucement, Jisung se sentait glisser contre la carrosserie, se mettant accroupit face au goudron maudit, car au final tout cela ne pouvait que s'envenimer du peinturluré. Des calomniés ; des condamnés.

« Mais peut être que ça a été la plus belle erreur que j'ai faite. »

C'est qu'il rata un battement le blondinet, sous les instances lumineuses d'un ciel à nouveau dégagé. Néanmoins, avant qu'il ne puisse se remettre de ces dernières phonèmes, il se fit aveuglé par l'arrivée d'une seconde automobile aux allures vieillottes, ou du moins quelque peu rassurante face à la noirceur des lieux. Alors il se releva, les phalanges contre les paupières, perplexe qu'elle s'arrête près d'eux, mais il comprit bien vite de qui il s'agissait dès lors où ses mirettes croisèrent les prunelles d'un australien aux bouclettes frivoles.

« Chris... ? s'étonna le blond. Qu'est-ce que.. Qu'est-ce que tu fais là ?

C'est le seul qui a la majorité pour pouvoir conduire, alors je l'ai appelé.

Donc t'as véritablement pas ton permis ! le gronda Jisung, avant d'aussitôt se faire reprendre par le noiraud.

Quant à toi, je me la ramènerais même pas, tu me dois toujours des explications. »

Sous le léger rire du métisse, les deux jeunes garçons montèrent dans leur nouveau transport. L'atmosphère s'était enfin détendue depuis le moment où Minho avait auparavant entreprit la route, pour semer ces anarchistes dépravés. Les nuitées sont solitaires ; et les arbres frissonnent à l'absence du solaire. Malgré tout, c'était bien à travers cette particulière ambiance que le sombre gamin appréciait s'y perdre. La pulpe déchirée sous le torrent des bourrasques, entre les œuvres architecturales des ruelles vespérales. L'âme tourmentée au cœur de cette ébène histoire, dans laquelle Minho aimait se projeter entre ses sommeils irrécupérés. Car sous les louanges d'un ciel néant, les sylphides valsaient au delà du cumulus, de part et d'autre, dans sa tête assourdie de silence.

Durant un long instant, sa tête semblait renversée sous les musettes câlines d'un doux mistral, secondes pendant lesquelles tout lui paraissait surmontable.

Cependant, la petite voix de Jisung s'éleva dans la clarté amoindrie en même temps que celle de Chris :

« Comment ça se fait que vous vous connaissez ?

Où vous avez eu cette voiture ? »

Les saynètes étincelles d'un silence de peine ; mais surtout des preux sourires, qui ont bordé les visages meurtris. Épris d'une douceâtre gêne, Jisung inclina légèrement la tête afin de répondre timidement à l'australien.

« C'est Minho qui l'a volé à des sales types.

Quoi ? s'écria le bouclé, étonnante surprise qui se témoigna par l'arrêt sec du véhicule. »

Le noiraud manqua de se cogner, mais se rattrapa en soutenant la portière.

« Je t'ai toujours appris à conduire, illégalement peut être, mais pas à voler des voitures ! continua le brunet, paroles qui claquèrent sous ses dents, comme le début d'une injure.

C'était soit on se cassait avec la seule bagnole du coin, soit on se retrouvait à moitié mort à cause d'une bande de tarés qui est apparue de nulle part ! répliqua Minho en se retournant complètement face à l'aîné. Il insista durement sur la fin de sa phrase et ses onyx se portèrent sur la présence du blondin perdu au creux de la pénombre, qui lui détourna le regard, aussitôt les comètes écrasées à chaud contre la pupille névrosée. »

La tension était remontée, les pupilles enflammées ; et surtout, il y avait lui sous les foudres du plus âgé. C'etait comme si Minho flairait ses terribles mensonges. C'était comme si Minho savait déjà pour leur situation. Simples balbutiements de la part du gamin flavescent, lorsque sous le Clair de Lune le cardiaque semblait se livrer aux maux cursifs. Les délires, le maussade, les nœuds à son estomac. Mais un avenir entre ses doigts, à l'éclat du hasard, un tout qui pourrait cesser ㅡ le désarroi incontesté.

« C'est.. C'est bon, on s'en est sorti non ? »

Tenta Jisung, qui n'eut malheureusement nulle autre réponse qu'un énième furtif regard accompagné d'un soupir bruyant, dont la bluette s'était pétrifiée ㅡ dont l'corps s'est tant abîmé au putride, les paupières aux rosacées opalines. Car les blandices ne sont que trop jolies à ses lèvres maudites, et que l'injure ne se dépeint qu'au cortège mensonger des folies patelines. Alors sous le ciel de Corée, l'artificiel a coloré, les messages envenimés, un 't'es passé où?' avait sonné.

« Dépose nous près de chez Felix, déclara le cadet du brunet en rangeant à nouveau le cellulaire.

J'ignore ce que vous trafiquez les gars, et je n'ai pas envie de m'y mêler mais.. S'il vous plaît, soyez prudents. »

Et le moteur redémarra, pour ce qui semblait être une dizaine, ou bien une quinzaine de minutes. Ils n'en savaient trop rien, que trop peu dans ces incertitudes du destin. Ils en jetaient de leurs doutes à ces lumières éphémères brûlant sous les lampadaires. Mais Jisung les connaissait bien trop ; à sentir les sales maux, l'effluve onirique des cauchemars se pulsant à la peau. Sempiternel non-dit à ses satanés lippes pusillanimes. L'herbe s'était couché sous leurs inéspérances, ô non pas comme la peine luisante aux paupières, mais bien semblable à la confiance qu'ils se vouaient l'un à l'autre ; la vieille bonne galère des querelles attachantes.

Ainsi, comme l'avait demandé le noiraud, l'australien les déposa non loin de la résidence de leur camarade. Minho remercia le conducteur avant de sortir du véhicule, duquel s'exécuta le second passager.

Le silence s'était à nouveau déposé au bout des coeurs et seulement le fugace des regards épousait les nacrés rougis du fièvreux. Puisqu'à l'aube des fatalités, les amants se sont échappés des caligineux, des souvenirs acrimonieux pour embrasser le hiémal dansant aux pointes des cheveux. Ô et la nuit était sereine, et qu'est-ce qu'elle était belle entre ces forêts incertaines, sous leurs pas où fleurissait la douce verveine.

« Minho.. Tu marches trop vite, attends moi ! »

Puis surtout, qu'est-ce qu'elle semblait bête, la vie en morceaux sous les paupières ; lorsque l'hélianthe n'enlaçait les souvenirs du solaire.

« Tu m'agaces à la fin ! C'est quoi ton problème ! »

Minho s'était stoppé ; au bon milieu de la route désarçonnée.

Mais tandis que la brise venait accorder miséricorde aux paroles dénouées d'un destin brisé, Chris fut alerté par le flash lumineux qui jaillit du siège passager. Sans doute à quelques ruelles d'ici, le brunet se permit d'inspecter l'appareil d'où provenait la lueur avant de comprendre avec surprise qu'il s'agissait du cellulaire de Minho. Quelques bribes, quelques lettres ; et en particulier, ces lettres étrangères au goût doucereux de l'Océanie. Il avait vu le prénom du rouquin s'afficher ㅡ sans réellement comprendre, que c'était à partir de cela que tout allait s'écrouler.

Ainsi chantait le vent,
comme un poème de décembre.

Le noiraud recula, des gestes des plus lents ; et de ses mains il attrapa, la gueule d'ange du blondin. Les souvenirs, mais aussi les sourires. Les bouquets aux lèvres, comme les nuages au visage de merveilles. Mais à ce moment, il attrapa aussi ses peines, et un peu de haine. La vie qui s'écroulait sous les violents heurts. Ils n'étaient que quelques courbes, au creux de la pénombre sourde ; ils n'étaient que deux, dans une foule imaginaire.

Mais avant tout, ils étaient eux, contre tous.

Alors ils se sont embrassés, sans plus se soucier.

Alors ils se sont embrassés, sous la clarté de l'étoilé.

Et doucement, les mains de l'aîné s'étaient glissées à son cou au lacté luminescent qui brûlait sous son pouls, pressant leurs lippes l'une contre l'autre. Bambin savait se couvrir des étoiles adorables s'épousant au nacré de son âme. Alors tout s'était figé, le monde s'arrêta de tourner ; c'est qu'il s'y rattachait encore à ces bribes patelines, les rosiers souvenirs à la belle psyché ! A ce gamin, qu'il avait tenté d'aider. A ce souvenir d'adolescence qui semblait encore exister.

« C'est toi Han Jisung. C'est toi mon putain de problème. »

Peut être bien que les teintes de l'aube ne s'étaient jamais autant imprégnées à l'échine du blondinet et que, sous les levers de soleil, semblait-il briller auprès du brasier. Et la nuitée était solitaire, sous les aurores stélées d'un conte jamais psalmodié en hiver. Les mots doux ; l'épitre promesse en aumônes à leur histoire. Et qu'elle semblait si belle la mer émotionnelle, sous l'acerbe caresse d'un garçon aux jurons mélancoliques. Les colères ; les amours, mais avant tout le solaire à jeter au crève-coeur.

« Reste derrière moi, d'accord ? Je gère. »

Jisung hocha timidement de la tête, prunelle univers entre les doigts comètes. Pour lors s'éliminaient les astres à travers le ciel, dès l'instant où la flore n'a cessé de cultiver auprès de ses lèvres dorées. Le plus âgé glissa ses phalanges entre les siennes, et à deux, ils s'avancèrent jusqu'à chez leur compère. Joues dénigrées au maquillage violacé, lorsque sous le crépuscule l'enfer décida de frapper. Et si leur histoire s'éclairait jusqu'entre les lignes de blanc, rien ne demeurait de plus astringent que les pages livides au goût du silence. Les redoutables ; les non-dits, détruisant les quelques espoirs de vie.

Car toujours et encore, Minho était sa bombe à retardement. Il était son artifice.

Puisque derrière le soleil, se cachait toujours les ennuis. Et qu'à travers le vitrail de l'entrée, d'où s'élevaient les terribles vocales d'un homme aigri, Minho vit les allures de la parenté et les regards graves se défigurer à l'instant où, sur leurs silhouettes, la porte s'était ouverte.

« Papa ? »

⋆˚༘.

HI there!! ♡
petit disclaimer : je risque de
corriger certaines choses
dans les anciens chaps!

les derniers chapitres seront
un peu plus longs à chaque fois!
n'hésitez pas à me poser des
questions, ou à aller relire
les anciens chap si vous vous
sentez largués ♡

j'espère que ça vous plaît toujours,
j'essaie de caler les dernières infos
nécessaires au scénario! :(

j'ai déjà la fin écrite hihi
elle risque peut être de ne
pas plaire à tout le
monde </3

vous avez votre
propre idée ?

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