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20 | 飛吻 !

TWENTY ☆ KISSES IN THE NIGHT


⋆˚༘.

Les contes du soleil -- tu sais, les histoires qui s'racontent à merveille. Jisung, petit prince à la couronne solaire. Il s'pavane sur le sable, sur les dunes cristallines qui s'fanent à ses pieds. Ô mais le soleil vient danser sur la mer. Ô mais la couleur tendresse qui colore ses lèvres. Les belles plages, effacées des pensées amères.

Ce ne sont là que les espérances oubliées. Que de visions ombragées, puisqu'ils ne sont vivants que lorsque les yeux sont fermés.

Les terres d'antan, parfois déchirées, parfois fleuries.

Parfois même tant haïes ; car le rouge, car la misère le ronge.

Il se réveille - une énième fois dans la nuit, pas prêt de digérer ses rêves illusoires. Il se réveille - le cœur qui flanche à chaque bruits.

« Le soleil ne s'allume pas ici, pourquoi je rêve encore de lui.. » les rires ; les éclats dissipés sous le magenta des pommettes rosées. « Je crois plutôt que je deviens un peu trop fou dans ce monde pourri. » mais surtout métaphore qui désarme les accords.

La lune majestueuse qui illumine la glorieuse maisonnette, il y avait les beaux éclats de lumières qui traversaient les fenêtres. Télephone entre ses doigts, mais Jisung le petit diamant condamné de désarroi -- car la peine peut-être viendra bientôt s'éteindre à l'échine du gamin déraciné d'ses ambitions ailées. Puisque les larmes tombent et que l'étincelle s'efface. Puisque la couronne tombe et que l'orgueil se fane. 

Jisung allume le cellulaire qui brillait peu à peu dans ses mains, il ne savait même plus quoi faire en vérité, tout l'exaspère, tout était vain. Mais surtout, tout avait un goût horrible et amer. Un goût de fin du monde.

Et pourtant - les étoiles à offrir, car à ce moment là, tout s'était peint de douceur et de sourire. Minho qui s'affiche à l'écran, le blondinet tremble d'effervescence.

Mais il ne répond pas le sale gamin, il le laisse encore s'illuminer sous ses yeux, à téléphoner, à sonner en vain. Puis lorsque l'oreille enfin adoucie des sonneries mélancoliques, il reçoit les messages, les textes de panique.

« Jisung ? »
« Comment tu vas ? »
« Je m'inquiète énormément.. »
« Écoute, il faut qu'on parle. »
« Sérieusement, cette fois. »

Malgré tout le cœur qui s'arrête un instant, car la peur s'agrippe à son être. Amour désamorcé, car les explosions sont terminées. Quelques jours déjà, depuis la fameuse scène, et les douceurs effacées à ses rêves. Qu'avait-il essayé de faire sous les réverbères lunaires ? Qu'avait-il cherché en soulevant ses vêtements ?

Ambiguïté masculine sous les regards d'un gamin peint de larmes cristallines.

« On se retrouve au parc à la même heure. » avait envoyé Minho.

Mais Jisung ne réagit pas, il préféra éteindre son téléphone et s'enivrer de ses draps.

Les étoiles effarouchées - l'astre solaire a flambé. Ô le ciel embrasé qui colore la bonté du gamin, et qui chaleureusement offre les rayons magiques de très bon matin. La nuit s'en est allée, Jisung détaché des tendresses lunaires, il se réveille à peine encore de sa nuitée de hier. Son corps divague, les paupières coloriées de ce rouge infatigable, preuve indéniable de ses soirées bien trop infernales.

Toujours élancé de sa faible rapidité, il s'avance vers son lit, y retire des boîtes quelconques dans lesquelles s'illumineent mille et un remède. Les merveilles volées de la pharmacie prospère. Cinq, dix, vingt. Chiffres et Nombres. Poison du monde qui se colore de ses doigts, car Minho n'était qu'un lien à récupérer son argent froissé. La clé qui permet de tout changer - celui qui lui offre tout, sans rien donner.

Et c'est pour ça qu'ils auraient dû se quitter, car les carcasses humaines n'étaient faites que de vanité.

Les différents médicaments emballés, il sort enfin de chez lui pour s'activer à les distribuer. Il passe prudemment près de chaque maisonnette de son quartier, puis dépose à l'entrée les paquets convenus. Jisung n'était qu'un robin des bois urbain ; fidèle serviteur aux ambitions de ses amis au sein de la misère.

Nul ne sait à quel point tout n'était que noirceur dans ces terrains, tous à espérer que la joie revienne, tous des crève-la-faim.

Lorsqu'il s'est de nouveau dirigé vers chez lui, Jisung s'était mis à chercher l'enveloppe d'argent que lui avait offert sa grand-mère. En vérité, il n'avait pas encore mangé quoique ce soit - il n'avait rien à nier, sa faible santé physique ne l'arrangeait pas. Ses phalanges se faufilent à travers les poches de sa veste, les fragrances enchevêtrées aux sachets d'amuse bouche machinalement déchiré aux côtés de son lit. Pourtant la frayeur à son cœur lorsqu'il constate qu'aucune enveloppe ne figure à ses poches.

« Où est-ce que j'ai pu mettre ça, bon sang.. C'est pas possible ! » les veines qui s'enflamment, l'écarlate a son âme. Il n'était attisé que sous le feu de sa colère, les états d'âmes qui l'exaspèrent. « J'ai certainement dû l'égarer, quel con sérieux.. »

Soupir - ou plutôt, réminiscence de ses actions maladroites.

Dans un râle bruyant, il se dirigea vers son armoire pour se changer. Et après cela, il prit une grosse bouffée d'air après être sorti.

« J'espère qu'il ne va pas me retiendre longtemps. »

De son côté, Minho s'était attardé à contacter Felix à propos de sa situation. En vérité, il y avait tant à conter ; des sentiments amers aux plus adorables sourires prospères. Mais surtout, qu'aujourd'hui les 'je t'aime' sonnent comme des douceurs fébriles d'un amour bafoué. Les relations cachées - les mensonges à compter.

Mais étaient-ils encore ensemble à s'aimer ?

« Salut, je t'appelle pour te dire que j'arriverais un peu en retard chez toi. On se retrouve plus tard Felix, faut que je te laisse. Je te raconterai la suite. »

Les étoiles se rencontrent ; à nouveau sous le firmament des cieux. Depuis plusieurs jours, sans nouvelles et sans décibels. Depuis plusieurs jours, sans aucune retrouvailles. Et désormais, ils se voyaient entre les arbres.

« Je.. » les lettres s'envolent, le silence qui le cogne. « Salut Jisung, je voulais m'excu-

- Ça va aller, je vais pas te gronder Minho. Évite les excuses C'est moi qui.. il reprend son souffle un instant, qui suis pas habitué à tes caresses tactiles. Voilà tout.

- Quoi ? le noiraud se fige un instant, N-Non, en fait, c'est bien plus compliqué que ça, Minho se gratte la nuque. Ce n'était pas des caresses, je m'inquiétais seulement pour toi Jisung. Ta condition physique était vraiment inquiétante,  Ça me fait tellement de mal de te voir dans cet état.

- Et il fallait que tu fasse ça ? »

Et puis il rigole une énième fois -- histoire d'ancrer l'atmosphère des folles vibrations de joie, pourtant il n'y avait rien de drôle, n'est-ce pas ?

« Ça fait... si longtemps que je ne t'ai pas vu rire aux éclats, s'exprime Minho dans une douce voix.

- Alors laisse moi t'en mettre pleins les oreilles ? C'est... Agréable. »

Les paroles mielleuses, les regards dénudés de frayeur. Les cœurs merveilleux qui pavanent les ruelles allumeuses - ô mais les douceurs fleuries, ô mais les éclats de verre ( d é t r u i t s ). Elle n'était pas si belle la nuit ; ou du moins, pas sans lui. Minho entre dans un commerce, attrape quelques bières. Trois ou bien quatre, ah mais les cœurs qui flanchent ! Eau de vie calcinée entre les veines. « Allez, direction le parc, maintenant ! » s'écrie Minho, le jeune blondinet encore dehors, il quitte définitivement le bâtiment pour le rejoindre.

Il sourit ; il sourit adorablement car sa compagnie l'enchante merveilleusement. Minho rigole, les belles paroles qui s'échappent des lèvres, Jisung qui exprime pourtant trop de choses, le creux d'ses pensées en osmose. « Tu sais, je suis content de t'avoir rencontré, Jisung. » 

« Épargnez moi vos mots de prince charmant, Monsieur. » et une fois encore, les sourires à démontrer. Alors sous les réverbères -- le noiraud tourne harmonieusement autour de lui. Les chants ; les décibels affectueuses qui décolorent la tristesse des rues silencieuses. Les étoiles aux prunelles, le rougeâtre aux lèvres, il remet les bières dans son sac - offre un néant pourtant si rassurant aux regards du blond, car les mains qui cachent la réalité funeste. À son tour -- lui -- de surprendre le petit. Minho lui cache la vue. Et y'a la voix de l'autre qui vacille.

« M-Minho ! Qu'est-ce que tu-

- Fais-moi confiance, Sungie. »

Les messes basses, les chuchotements au creux des tympans. Laisse lui arborer les plus belles réminiscences. Et il s'enfonce, il coule, pas à travers les vagues mais à travers tout. 

Et les sentiments - et les mots manquants. 

La forêt - les éclats du firmament qui commence à scintiller, où virevoltent les feuilles, les pages, les amours d'extase. Les silhouettes touchées des caresses du vent qui s'échappe.

« On est arrivé. Mais garde les yeux fermés. »

Le brun dépose alors le sac de bière, ô mais la clairière des étoiles, ô mais les lumières celestiales ! Minho se ramène rapidement derrière Jisung, pose ses mains sur celles qui cachaient encore les regards importants - puis à nouveau le cadeau  offert. « Ouvres les yeux maintenant, admires le paysage. » Les sentiments dévoilés ; Jisung encore illuminé, il l'emmène près de ces étangs littéraires. « Je t'es emmené autre part, ce n'est pas le même endroit où on a l'habitude de se revoir. J'espère que tu n'es pas trop déçu ? Car j'en ai à te raconter de belles histoires. »

Les paupières encore tremblantes, ses iris captivaient encore à peine le monde qui l'entourait et rapidement, sa voix cristalline s'éleva à travers le décors.

Mais il ne comprenait pas.

Il le stoppe avec son bras : « Attend, quoi ? Pourquoi la bibliothèque ? » Jisung fronce les sourcils après avoir posé sa question.

Minho sourit ; il sourit adorablement car sa compagnie l'enchante merveilleusement.

« Shhh... On y restera toute la nuit, ça te dit ?

- T'es complètement.. Fou. »

FOU.

« En effet, j'ai le cœur en folie à cause de toi. »

Les bières débouchées.
Les lèvres baignées du fervent pétillant. 
Il n'y a avait là que les fragrances des émotions alcoolisées.

Mais tout ce qui s'ensuit, n'était baigné que d'un amour chaleureux et ivre. Oh, non, pas d'alcool mais de sentiments bien trop forts. Car les nuances de l'âme à coler sur les cœurs. Jisung amoureux des merveilles - mais surtout de ces lèvres baignées de tendresse.

« Tu es un sacré menteur, Minho.

- Pourquoi ça ? demande-t-il, amusé.

- Laisse tombé, t'as vraiment les meilleures idées pour te faire pardonner idiot. »

Le noiraud rigole, la pulpe de ses doigts qui détaille l'extrémité de la bouteille, qui retranscrit le contour ; ô mais il ne sait ce qu'il donnerait pour que ses lèvres s'y collent, non pas à ce verre translucide, mais bien à celles d'un gamin perdu dans la vie.

Mais le néant - le silence qui crève dans le bâtiment.

Et avec cette allure langoureuse, il pose sa tête sur son bras, lui-même soutenu par l'un de ses genoux repliés. Pupilles rivées à cette œuvre parfaitement maquillée de réalité, car l'art à ses yeux ne se résument qu'à Jisung, sourire niais qui éclos à ses lèvres, et malgré tout qui titubent.

« Hey, Jisung, il lâche sa bouteille auparavant bloquée entre son index et son majeur, puis le prénommé le répondit :

- Oui ?

- T'as un truc dans les cheveux.  »

Sur ces mots, le noiraud s'approcha doucement vers le blondinet, les regards mélangés, Minho rapproche à son tour sa main de la chevelure qui rayonnait légèrement. Cependant, la pulpe ne toucha aucune mèche, mais s'amusa à se faufiler sur la peau galatée de Jisung. Les doigts à sa nuque, l'aîné fit une légère pression qui invita sa victime à le suivre dans ses gestes ; et sous un millier d'éclats stellaires à ses pupilles revigorées, ses croissants de chair vinrent poser une pluie doucereuse de baisers aux lippes du blondinet.

Puis - rien. Seulement un bruit cristallin. Le fracas de la bouteille au sol, ô non sans éclats de verre, seulement la résonance des textures qui prospère.

Alors ils se stoppent, les iris qui se cherchent, qui ne s'opposent. Le vide entre les lèvres, et pourtant la passion à crever au fond de l'être.

Mais enfin les amours à reconstruire, lorsque Jisung se positionna sur les jambes de Minho encore allongé parmis ces forêts littéraires. Sourire espiègle à son visage, ses phalanges imitent ces marches charmantes sur le torse vêtu du plus grand, sentiments qui explosent sous le feu ardent de leurs corps.

C'etait décidé, n'est-ce pas ?

Fallait renaître ce soir.

Minho attrapa sa main baladeuse à sa peau, puis inversa leurs positions en le repoussant en arrière. Dos au parquet, Jisung le contemple.

Les lumières sont éteintes, et les nuitées sont scintillantes face au clair de Lune. Rayons lumineux contre leurs corps envoûtants, les deux amants se contemplent. Mais ya son sourire qui ajoute une pincée d’étoiles à cette obscurité infernale. Mais ya son coeur qui bat pour la première fois d’une cadence si douce. Jisung l’admire, Jisung frisonne. Et lentement il ressent la tendresse de ses gestes sur son putain de visage souriant.

Alors il touche lui aussi, cette main chaleureuse, il l’embrasse. Mais Jisung ne répond plus car c’est qu’il n’en est plus réellement capable. Ses mots se mêlaient aux bêtises interminables de ses pensées ivres. Son attitude démontrait avec évidence, que son âme tourmentée allait flancher à un moment ou l’autre.

« Arrête de me regarder.

- Jamais, susurre Minho à ses oreilles rougies. Il fait noir, et malgré tout j'arrive à percevoir les rougeurs à ton visage. »

Sa main vint s'ajouter à caresser la chair pulpeuse du gamin, les lippes qu'il savourerait tant.

« Embrasse moi, idiot. Rallume ce qui est éteint à mon âme, Jisung prend sa main, lui offre ces baisers papillons avant de la poser à sa poitrine. Fait battre ce qui s'est arrêté. »

Alors il sait qu'enfin les corps allaient s'unir ; que les esprits, plus jamais, n'allaient mourir.

Qu'entre ses doigts à lui, Jisung allait vivre.

☆☆☆

mdr c moi qui
est morte ouais.

enfin bon je comeback 😎
j'espere que vous êtes encore
là les bibiches. G préparé
du lourd pour la suite ;)))

(Mdr moi qui voulait profiter
sur wattpad pdt le confinement
bah g pas eu un internet, super
👌🏻👌🏻👌🏻👌🏻👌🏻👌🏻👌🏻)

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