Coucou les amis, je vous poste enfin le chapitre 46, mon moral va mieux merci à ceux qui ce sont inquiètés pour moi la semaine dernière ^^.

Ah oui, rien à voir, mais je viens d'apprendre dans une vidéo Youtube d'Octo Lady qu'apparemment, Valentino serait de nationalité Espagnol et non Italien comme je le croyais au début à cause de son prénom 😅. Bon, ben... je vais devoir changer deux ou trois petites choses dans mon chapitre 37, là ou je parlais un peu de sa vie quand il était encore en vivant et dans les premiers brouillons que j'ai fait.
Oui parce que pour ceux qui ne le sauraient pas, je prévois d'écrire une fanfiction consacrée entièrement à Valentino en duo avec ma sœur Queen_Loona666 dans laquelle nous allons raconter sa vie et ses débuts en Enfer🥰.
Perso, j'adore les hommes Espagnol, en général dans les films et les séries ils sont toujours beau-gosse, romantique et très charismatique, notre démon de la pornographie remonte un peu plus dans mon estime, si ça continue il pourrait même entrer dans ma liste de personnages préférés Hazbin Hôtel 😂.

Voili, voilou, c'est tout ce que je voulais vous dire, bonne lecture à vous ^^.

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Rajustant ses vêtements mis en désordres et essuyant le sang de ses victimes de ses mains lors du combat, Vox afficha son plus beau et tendre sourire et s'avança en direction de Vicky, toujours blessée et recroquevillée à terre, encore un peu effrayée par la vue de ce démon qui venait tout de même de lui sauver la vie.

Il s'agenouilla devant elle, son avant-bras gauche reposant sur sa cuisse, et lui tendit son autre main.

-Tout va bien mademoiselle, dit-il pour accompagner son geste, vous n'avez plus rien à craindre.

Sur le coup, Vicky aurait tant aimé le croire, mais elle se rappela soudain qu'elle était quand même en Enfer et qu'ici, se trouvaient majoritairement des psychopathes et des pervers. Rien ne lui prouvait que ce Vox l'avait sauvé par empathie ou juste par égoïsme, histoire de lui faire subir à son tour les pires vices qu'il puisse exister. Alors, se munissant du couteau du chef des méchants démons qui était tombé à terre, la jeune femme recula contre un mur et menaça le démon de la télévision avec, le tout en tremblant comme une feuille.

-Ne... NE VOUS APPROCHEZ PAS DE MOI !!!! Hurla-t-elle.

Les larmes lui montèrent de nouveau aux yeux, tandis qu'elle continuait de menacer le démon à tête d'écran plat de son arme. Ses sens commencèrent petit à petit à se troubler tant elle perdait de sang à cause de ses blessures, elle savait qu'elle ne pourrait pas s'enfuir parce qu'elle était trop faible, donc si jamais ce Vox tentait quoi que ce soit, elle pourrait toujours tenter de le poignarder.

-D'accord, répondit Vox calmement, je reste ou je suis si cela peut vous rassurer, mais vous ne pouvez pas rester comme ça, miss. Regardez-vous, vous êtes blessée et vous saignez beaucoup, laissez-moi vous aider...

-N...NON !!! S'entêta Vicky. Je refuse que... que vous m'approchiez !

Vox décida de s'assoir à terre, toujours face à Vicky mais en conservant au moins un bon mètre de distance avec elle.

-Vous n'avez pas confiance en moi, c'est ça ? Je viens pourtant de vous sauver la vie, cet acte devrait vous suffire comme preuve de ma bonne foi envers vous.

De plus en plus troublée, Vicky avait de plus en plus de mal à rester lucide et à tenir son arme. Ce démon semblait sincère dans ces paroles, mais elle ne pouvait s'empêcher de se montrer méfiante, après tout son ex-petit-ami qui était violent avec elle semblait - lui aussi - correct avec elle au début...

-Je... je ne vous... connais pas, répondit-elle, rien ne... rien ne me prouve que... vous n'avez pas fait ça uniquement pour me faire du mal après... Je me... méfis de tout le monde ici...

Cette fille faisait mal au cœur de l'Overlord, il aimerait tant l'aider et non pas uniquement parce qu'elle lui faisait pitié, il l'a trouvé très, très, TRES belle, mais il chassa rapidement cette pensée en songeant à Valentino, avec qui il était en couple depuis plusieurs mois maintenant.

-Je vous promet sur la tête de mon petit-ami que je ne vous ferai aucun mal, je n'ai jamais violenté aucune femme de toute ma vie, dans ma mort non plus d'ailleurs. Je ne suis pas comme ça, mon but est vraiment de vous aider.

-Mais... mais vous... vous êtes un monstre ! Lâcha Vicky. Vous... vous êtes effrayant, votre tête est... bizarre, vous me faites vraiment peur, qu'êtes-vous exactement ? Et vous... vous avez tué ces démons... avec tellement de... violence...

Sur le coup, Vox se sentit assez vexé, la remarque de la jeune femme par rapport à sa tête le blessa quelque peu. Ce n'était pas la première fois qu'il prenait une remarque désobligeante par rapport à sa tête d'écran plat, mais venant de cette jeune femme qu'il venait tout de même de sauver, sans aucunes arrières pensés, lui fit tout de même quelque peu mal.

-Vos parents ne vous ont jamais dit qu'il était mal de juger une personne sur son physique ? Souligna-t-il en croisant les bras sur son torse.

En entendant Vox parler de ses parents, les larmes de Vicky redoublèrent et cette fois-ci, elle se mit à pleurer à gros sanglots.

-Désolé, s'excusa aussitôt l'Overlord, je ne voulais pas vous faire de peine, mais... tout ça pour vous dire que tous les démons présents ici ne sont pas tous mauvais. Quand vous m'avez bousculé tout à l'heure, dans la rue, j'ai tout de suite compris que quelque chose n'allait pas chez-vous, alors je vous ai suivie et... j'ai bien fait visiblement.

Il jeta un coup d'œil fier aux cadavres qui se trouvaient éparpillés un peu partout dans la rue, avant de reporter son regard sur la jeune femme.

-Vous venez d'arriver en Enfer, je suppose ?

-Ce... cela se voit... à ce point ?

Vox émit un petit rire.

-Oui, n'importe qui l'aurait remarqué d'ailleurs.

Son rire ne rendit pas du tout le sourire à Vicky, elle eut soudain l'impression que la voix du démon de la télévision venait de très loin, comme un murmure, elle avait perdu trop de sang. Elle lâcha le couteau, sa main ne parvenant plus à la tenir en l'air et commença à vaciller sur le côté, Vox s'empressa de la rattraper avant que sa tête ne heurte le sol sale de la ruelle.

-Ne vous inquiétez pas, murmura doucement l'Overlord en serrant la jeune femme contre lui, je vous promet que vous n'avez rien à craindre avec moi, je vais bien m'occuper de vous.

Epuisée et ne pouvant plus lutter contre la douleur, Vicky se sentit partir, elle s'évanouie et s'abandonna complétement au démon de la télévision. Ce dernier retira son manteau et en couvrit la jeune femme avec, avant de passer une main dans son dos et l'autre derrière ses genoux, il l'a porta avec douceur jusque chez-lui.

***

Vicky ouvrit doucement les yeux, il lui semblait revenir de trèèèès loin, elle se sentait bien sur le coup et pourtant, elle n'avait pour le moment aucun souvenir de ce qui avait pu lui arriver à son arrivé en Enfer. Elle tenta de bouger son corps, elle le sentait un peu endolorie et grimaça quelque peu dès l'instant où elle tenta de remuer son bras droit, elle avait mal à son coude et se rendit compte qu'il était couvert d'un épais bandage. Ce serait-elle blessée ? Auquel cas, quelqu'un l'avait soigné bien comme il faut, mais qui ?

Vicky s'attarda ensuite à son entourage, elle se rendit compte qu'elle était dans une chambre, allongée dans un lit très confortable, dont les draps sentaient bon la lessive aux fruits exotiques. La couverture couleur bleu foncé avec de petits éclairs électrique comme motif lui tenait bien chaud, mais elle ressentit soudain une douleur similaire à celle de son coude au niveau de son genou gauche, alors elle retira la couverture et découvrit sa jambe reposant soigneusement sur un petit coussin de velours - visiblement pour plus de confort - et son genou couvert soigneusement d'un bandage. La personne qui s'était occupé d'elle n'avait pas fait les choses à moitié, sur une chaise dans un coin de la chambre, Vicky découvrit même des vêtements propre, plié bien proprement et du nécessaire de toilette pour se laver, surement pour elle lorsqu'elle serait en mesure de se lever.

Encore un peu faible, la jeune femme tenta de se rappeler ce qui avait bien pu lui arriver, mais sa mémoire lui jouait des tours, pas moyen de se rappeler de l'origine de ses blessures, ni même du visage ou du nom de celui qui l'avait sauvé. Car oui, elle se souvenait parfaitement avoir été sauvé par un démon, mais par qui et pourquoi, elle ne parvenait pas à s'en souvenir.

La porte de la chambre s'ouvrit soudain doucement et Vicky reconnut tout de suite le démon à tête d'écran de télévision qui l'avait sauvé. D'un seul coup, tout lui revint en mémoire depuis le moment où elle était arrivée en Enfer, pour une raison qu'elle ignorait encore.

-Ah, vous êtes enfin réveillé, lui dit gentiment Vox avec un sourire. Vous avez dormi une journée complète tout de même.

Il tenait dans ses mains un plateau contenant un bol de soupe, un morceau de pain avec du beurre dedans, une petite salade de fruit, un bout de fromage posé bien proprement sur une serviette et des couverts. Vox posa le tout sur son bureau et vint s'assoir sur son lit, prenant soin de garder une certaine distance avec la jeune femme, peut-être avait-elle toujours peur de lui...

-Vous... vous m'avez sauvé, répondit timidement Vicky, et... je suppose que c'est également vous qui m'avez soigné ?

Elle serra la couverture très fort entres ses doigts et la remonta jusqu'à son menton, comme si elle voulait se cacher en dessous, elle était de nature assez timide de base.

-Oui, répondit Vox, et je tiens à vous rassurer tout de suite, je ne vous ai rien fait de bizarre pendant votre sommeil. De toute façon, ce n'est pas dans ma nature d'être comme ça et je ne voudrais pas faire des infidélités à mon petit-ami.

Il avait dit ça avec humour, mais aux vues du regard apeuré que lui affichait la jeune femme, Vox se ravisa et reprit un air sérieux, il tenta de la rassurer :

-Je dis la vérité vous savez, je ne vous ai vraiment rien fait. Pourquoi me craignez-vous à ce point ? Je vous ai tout de même sauvé de cette bande de voyous hier, de quoi avez-vous peur exactement ?

-Je... je ne fais plus confiance à personne, tous les gens que j'ai croisé dans ma vie m'ont tous fait du mal... surtout les hommes !

Elle avait achevé sa phrase sur un ton presque menaçant, appuyant sur chaque syllabe des mots, histoire de bien faire confiance au démon qu'elle ne lui faisait toujours pas confiance, même s'il l'avait sauvé et soigné. Sans doute l'Overlord comprit le message caché, car il afficha une moue un peu triste et gênée à la fois, avant de se lever sans rien dire, il prit le plateau en main et l'amena à la jeune femme.

Vicky mourait de faim, c'est vrai, mais encore une fois elle se méfia.

-Attendez, dit-elle suspicieuse, qu'est-ce qui me prouve que vous n'avez pas mis du poison dans cette soupe ou bien une drogue genre « drogue du violeur », comme on voit beaucoup dans des discothèques ? Je n'ai toujours pas confiance en vous...

Vox poussa un profond soupir de lassitude et d'énervement, il commençait à être plus que lassé par la méfiance de Vicky à son égard. Non mais franchement, avait-il une allure de vilain démon à ce point ? Ce n'était tout de même pas inscrit sur son visage qu'il était malveillant ? Il était gentil de nature - enfin ça dépendait avec qui - malgré ses aires égoïstes et froid qu'il se donnait en permanence.

L'Overlord quitta donc la pièce sans rien dire et alla chercher quelque chose dans sa cuisine, sous le regard étonné et un peu inquiet de Vicky, avant de revenir vers elle. Il tenait une cuillère à la main et la plongea dans le bol de soupe, avant de la porter à ses lèvres, il but la gorgée de soupe et tourna ensuite ses yeux rouge électrique vers la jeune femme.

-Croyez-vous sincèrement que j'aurai été assez fou pour gouter cette soupe si j'avais réellement mis quelque chose de pas net dedans ?

Vicky ne répondit pas.

-Vous voyez ? Ajouta Vox. Je vais bien ! Pourquoi je vais bien ? Parce qu'il n'y a aucun poison ou drogue d'aucune sorte dans cette soupe, je l'ai acheté ce matin dans une supérette à côté de chez-moi, elle ne contient que des légumes : tomates, pommes de terre, poireaux, oignons et carottes si je me souviens bien.

L'Overlord avait énuméré les légumes sur ses doigts, il n'était plus très sûr de ce que contenait cette soupe en brique, mais peu importe à vrai dire, le plus important étant que Vicky mange quelque chose.

-Et puis, reprit-il, si j'avais vraiment voulu vous faire du mal...

Vox matérialisa aux creux de ses mains une petite boule d'électricité toute tremblotante et dansant entres ses doigts, avant de terminer sa phrase :

-... ça serait déjà chose faite !

Il lança sa petite boule magique d'électricité vers le plafond de la chambre et l'a laissa éclater tel un feu d'artifice, laissant tomber tel une fine pluie de flocons de neige de toutes petites étincelles électriques dans toute la pièce, sous les yeux émerveillés de Vicky, qui trouvait ce petit « tour de magie » absolument incroyable.

-Vous pouvez contrôler l'électricité ? Dit-elle admirative et un peu plus confiante.

-Oui, répondit Vox fièrement, c'est l'un de mes pouvoirs. Je peux aussi me déplacer d'appareils électrique en appareils électrique, je peux m'introduire dans un téléphone portable et le contrôler à ma guise par exemple ou encore devenir moi-même un courant électrique et me balader dans des câbles, pour ensuite ressortir par une simple prise.

Impressionnée, Vicky esquiça un sourire en coin, avant de se rappeler soudainement les lumières des lampadaires de la rue qui s'étaient éteint brusquement, juste avant que les démons ne lui fassent du mal.

-Les lumières de la rue... c'est vous qui les avaient éteinte ?

L'Overlord approuva d'un simple hochement de tête, assez fier de son pouvoir et de l'effet qu'il venait de produire sur Vicky.

La jeune femme se pencha soudain sur son bol de soupe qui - elle devait bien l'avouer - lui faisait très envie. Elle n'avait rien avalé depuis facilement deux jours et la faim lui tiraillée l'estomac, sans comptez qu'elle ne craignez rien à avaler cette soupe, le démon l'avait gouté après tout et elle ne semblait pas empoisonnée. Alors, Vicky se saisit de sa cuillère et gouta la soupe de légumes, pas mauvaise du tout d'ailleurs, elle finit par très vite reposer la cuillère pour se saisir carrément du bol et ainsi en boire le contenu plus vite.

Le bol une fois vide, elle s'attaqua ensuite au bout de pain beurré et au morceau de fromage, sous l'œil plutôt satisfait de l'Overlord. Vicky avait tellement faim qu'elle termina son repas en seulement quelques minutes, avant de se tasser un peu dans le fond du lit, rassasiée et se sentant un peu mieux.

-Merci, dit-elle, vous êtes plutôt gentil pour un démon. Au fait, je ne connais même pas votre nom...

Le démon de la télévision esquiça un sourire charmeur, il retira son chapeau et le plaça contre son cœur, avant d'exécuter une gracieuse révérence, digne des vrais gentlemans :

-Je m'appelle Vox ma chère, Overlord de la télévision et de l'électricité.

Il déposa un baiser sur le dos de sa main, avant de remettre son chapeau en place.

-Et vous ? Quel est votre nom ?

-Victoria Olsen, mais tout le monde m'appelle Vicky, pour faire plus court.

-Quel jolie prénom, presqu'autant que la fille qui le porte.

Il lui fit un clin d'œil charmeur, mais malgré la gentillesse dont Vox faisait preuve à l'égard de Vicky, la jeune femme continuait de se sentir perdue et perturbée par son arrivée en Enfer. Elle ne comprenait toujours pas ce qu'elle faisait là, et elle ne savait pas ce qu'elle ferait une fois guérie, mais il était évident qu'elle ne pourrait pas rester indéfiniment chez l'Overlord. L'ennuie, c'est qu'elle n'avait nulle part où aller, ni même ou habiter et si elle restait dans la rue, sûr qu'elle se referait agressée une nouvelle fois et cette fois-ci, probablement que personne ne viendrait la sauver...

-Vous allez me jeter dehors une fois que je serai guéri ? Demanda-t-elle timidement.

-Ca dépend, répondit Vox en se rasseyant sur le bout de son lit, vous venez d'arriver en Enfer, j'en déduis donc que vous n'avez aucun endroit ou habiter.

Vicky approuva d'un simple signe de tête, avant d'essuyer une larme silencieuse qui perlait au coin de son œil, d'un revers de manche. Vox s'avança vers elle, d'abord prudemment car il craignait qu'elle n'est encore peur de lui, mais contre toute attente elle ne montra aucun signe de peur à son égard cette fois, alors il prit doucement ses mains dans les siennes et les lui caressa tendrement avec ses pouces, dans le but de la rassurer.

-Vous pourriez rester avec moi, suggéra-t-il, je vis seul dans cet appartement et je reconnais qu'un peu de compagnie ne me ferait pas de mal, mon petit-ami ne vit pas avec moi. Si vous acceptez de vous occuper des taches ménagères, de me faire à manger et de vous occuper de mon linge, moi en échange, je vous garantirai ma protection, un endroit ou habiter et un salaire.

Il resserra un peu sa prise sur les mains de Vicky, avant d'ajouter :

-Enfin... si seulement vous êtes d'accord bien sûr, il est tout de même vrai que nous ne nous connaissons pas vous et moi.

Vicky regarda d'abord ses mains prises dans celle de son hôte, sa peau était chaude et lui procurait un sentiment de bien-être et de sécurité, avant de lever les yeux vers Vox, un sourire aux lèvres. Elle n'avait nulle part où aller de toute façon et était livrée à elle-même dans les rues de Pentagram City, la protection d'un puissant démon pourrait à coup sûr lui être bénéfique.

-D'accord, je veux bien.

Satisfait de sa réponse, Vox esquiça un sourire qui dévoila toutes ses dents bleu électrique, avant de lâcher les mains de Vicky. Il débarrassa le plateau avec tout ce qu'il contenait et remit la couverture sur la jeune femme avec douceur.

-Je suis heureux de vous avoir sauvé miss Vicky, vous devriez vous reposez maintenant. Quand vous vous sentirez mieux, je vous ai mis à disposition de quoi vous laver et vous changer.

Il pointa du doigt la chaise sur laquelle se trouvait les vêtements propres bien pliés et les flacons de gel-douche et de shampoing.

-Merci, dit Vicky dans un murmure.

Elle se rendormit presqu'aussitôt, cette fois-ci à cause de la digestion qui lui provoquait des somnolences. Vox quitta la chambre à pas de loup et prit soin de refermer la porte derrière lui, avant de s'en retourner à ses occupations respectives.