" À travers l'imaginaire, je parcourrai les mondes, prête à noter les idées qui traverseront mon esprit sur ce cahier. Il deviendra mon compagnon, mon refuge et mon exutoire. Il sera rempli de tout, de rien, de richesses et de babioles. Autant caverne aux merveilles que recoin sombre d'un grenier où s'entasse les reliquats d'une vie. Symbole de réconfort pour ce qu'il contient comme pour ce qu'il est : Il sera mon havrelivre."
Perlemu - Avril 2018

Le terme "havrelivre" est dérivé de celui de "havresac" qui désignait un sac à dos où les gens de métier, en courant le pays, mettaient leurs provisions, leurs ustensiles, leurs outils. 

Je vous propose ma version littéraire : le havrelivre. 

Un recueil, mélange de journal personnel et d'espace d'écriture libre, où je réunirai autant les informations personnelles que les réflexions, les coups de gueule ou les réalisations diverses.

À moins qu'une personne me prouve le contraire, je revendique la maternité du terme de havrelivre, mais j'invite celleux qui désirent l'utiliser de le faire sans crainte, tant qu'iels ne prétendent pas avoir eu l'idée iels-mêmes.

Mon premier souhait serait de voir disparaître le terme "rantbook" de la communauté française. Nous parlons une langue magnifique, pourquoi user d'un anglicisme qui ne reflète, bien généralement, pas la réalité du contenu ?

Chaque écrivain·e devrait posséder son propre havrelivre, comme un abri personnel contre toutes les tempêtes qui peuvent ravager son cœur et son esprit...    

Voici le mien !

Vous débuterez votre découverte par ma "clairière" : c'est ici que tout a commencé. Quatre pierres en cercle au centre d'une étendue d'herbe entourée d'arbres. Non loin, coule un ru dont l'eau fraîche me désaltère et m'inspire.

Commençons les présentations...