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Chapitre 28

Hello! :3

Ça faisait un petit moment, nah? En fait, c'est que ce chapitre est tombé dans une de mes périodes creuses où je n'avais pas très envie d'écrire... et dû au fait qu'il ne contient pas beaucoup d'action, il a été plus difficile à écrire, bien qu'il soit essentiel, car c'est important que nos tourtereaux se réconcilient depuis la dernière fois! ❤️ Enfin, le prochain chapitre sera beaucoup plus mouvementé! Déjà, je peux vous dire que le mystère du message de Anna sera révélé et que vous pourrez voir que Kors n'a pas été le seul marqué par ce que les garçons ont subi... ;) 

Je vous souhaite une bonne lecture! ❤️


Chapitre 28.

— Alors, qui était-ce ? demanda Griffin en lorgnant le téléphone de Kors.

Le rebelle haussa les épaules. Il ne savait pas exactement pourquoi, mais il ne voulait pas que Griffin sache de qui provenait le message.

— Rien d'important. Seulement ma mère : je lui ai envoyé une photo de mon tatouage et elle dit qu'elle l'aime bien, mentit-il en s'efforçant de sourire tout en refermant son cellulaire.

Griffin hocha la tête.

— Oh, c'est bien, fit-il distraitement.

Kors rangea son portable, tout en se demandant ce que Anna pouvait bien lui vouloir. La dernière fois qu'ils s'étaient parlé, il lui avait pourtant bien fait comprendre qu'il n'était pas intéressé..., non ? Hum..., mais à bien y repenser, il se rendait compte qu'il n'avait, en fait, pas été très clair. C'était à peine s'il avait pu faire une phrase complète, en réalité... Il se sentait mal maintenant. Anna – hormis son frère – n'avait rien de mal, elle semblait gentille, mignonne et attentionnée. Il aurait dû lui dire plus franchement qu'il n'était pas intéressé. Voilà pourquoi il irait la rencontrer lundi, pour lui dire qu'il ne pourrait rien y avoir entre eux.

Mais alors, que lui dirait-il ? Il jeta un regard à Griffin qui paressait sur le sofa, les yeux rivés au plafond. S'il ne pouvait pas être avec Anna, c'était à cause de lui... Tout était à cause de lui. Mais ce n'était pas comme s'il pouvait le dire juste comme ça ! Il tenait encore au peu de virilité qui lui restait !

— Ça va ?

La voix de Griffin fit sursauter Kors qui sortit immédiatement de ses pensées.

— Ouais, je réfléchissais...

— Dis plutôt que tu pensais à moi !

Le rebelle s'empourpra.

— N'importe quoi ! s'exclama-t-il avec un peu trop d'empressement.

Griffin lui offrit un clin d'œil.

— Si tu le dis...

Kors secoua la tête et changea de sujet :

— Est-ce que... est-ce que tu prévois de dormir ici ce soir ?

— Juste dormir ? lui répliqua Griffin en haussant un sourcil, pervers.

— Quoi d'autre ?

Kors préférait jouer l'innocent plutôt que de rentrer dans le jeu du sportif.

— Oh, tu sais très bien... des choses qui demandent à ce que nous soyons tous les deux nus... enfin, surtout toi.

Réalisant qu'il était toujours en sous-vêtement, Kors attrapa son pantalon qui traînait au sol et l'enfila illico presto.

— Je dors en boxer et en T-shirt ! Pas de chance pour toi !

— Pourquoi combats-tu autant tes désirs ? Pourquoi tant de réticence alors qu'on l'a fait il y a à peine quelque jours... ? soupira Griffin sans comprendre.

Kors hésita, mais il finit par craquer et s'exclamer brusquement :

— Parce que c'est embarrassant, putain !

Il croisa les bras sur sa poitrine comme pour se donner un peu de dignité, malgré ses joues rougies et ses yeux fuyant ceux de Griffin.

— C'est donc ça. Tu l'as enfin avoué, il était temps, dit le sportif en étirant les bras au-dessus de sa tête avec nonchalance. Je pense que je vais rester dormir, alors. Pour te récompenser.

— C'est trop facile pour toi de prendre ça à la légère..., l'accusa Kors.

— Ce n'est pas plus facile pour moi que pour toi, tu devrais juste apprendre à relaxer un peu. Ça te ferait du bien de te relâcher un peu et d'arrêter d'angoisser pour tout et rien. Tu devrais te mettre au sport.

— Non merci, rétorqua Kors, radical. Je te laisse le sport. Taper dans un ballon, c'est pas mon fort.

Il n'avait jamais été très sportif. Il ne devait ses muscles qu'au travail à la quincaillerie et aux cours d'éducation physique qu'il était forcé de suivre depuis la petite école. Aller s'entraîner n'était pas vraiment son genre.

— Eh bien, y'a des sports qui ne nécessitent pas de ballon... ni rien du tout, d'ailleurs...

Kors manqua de s'étouffer.

— Est-ce que t'en as bientôt fini de ton répertoire de blagues sexuelles ?

— Non, je viens tout juste de commencer.

Le rebelle allait répliquer quelque chose, mais le sportif continua de parler :

— Oh, aller, arrête de me regarder comme ça et détend-toi. Viens t'asseoir ici.

Griffin tapota la place à côté de lui sur le sofa et, quelque peu prudemment, Kors s'approcha pour s'asseoir. Alors qu'il allait poser ses fesses sur le divan, à la toute dernière seconde, Griffin l'attrapa par les hanches et le tira pour qu'il s'assit sur ses cuisses. Le tatoué cligna des yeux, il n'avait rien vu venir.

— Hé !

— Quoi ? On est bien, là, non ?

— Je ne suis pas une putain de poupée ! Laisse-moi descendre !

Griffin avait passé ses bras autour de la taille de Kors, l'empêchant de s'en aller. Le sportif secoua la tête.

Tut, tut, tut. Si tu veux que je dorme ici, j'ai mes conditions, princesse. Et la première, c'est que tu me laisses être près de toi et te toucher, car autrement, il n'y a aucun intérêt à dormir ici et je préférerais autant être dans mon lit, chez-moi, dans mes affaires plutôt que de coucher seul sur un sofa froid pas même assez grand pour que mes jambes n'en dépassent pas.

Kors fronça les sourcils.

— Je t'ai dit de ne pas m'appeler comme ça ! s'insurgea-t-il. Et depuis quand est-ce qu'il y a des conditions !?

— Depuis que je l'ai décidé. C'est ça ou rien et je repars. Décide-toi.

Le rebelle écarquilla les yeux. Il était sur le point de se braquer et de refuser en bloc, mais sa conscience lui fit signe à ce moment-là. Il ne voulait vraiment pas passer une autre nuit tout seul et il se rendait bien compte à quel point il était ridicule d'être encore embarrassé de toucher ou d'être nu en présence de Griffin après qu'ils aient couché ensemble. Il le savait bien, bien sûr qu'il le savait ! Mais c'était plus fort que lui, il n'y pouvait rien !

— C'est bon, tu as gagné..., maugréa-t-il à contrecœur.

En retour, Griffin lui offrit un sourire aussi lumineux que le soleil. Soupirant, absolument las, Kors s'appuya contre le torse musclé du sportif derrière lui, abandonnant totalement le combat. Ça ne servait à rien de lutter contre Griffin, de toute façon. Puis, il avait besoin de lui et il supposait que l'inverse était tout aussi vrai.

Le sportif bougea une de ses mains et vint appuyer sa paume contre la nuque de Kors pour lui tourner la tête et lui voler un baiser.

— Il n'y aurait aucun avantage à ce que je perde autant pour moi... que pour toi.

Le tatoué baissa les yeux. Il était énervé de rougir pour des rien.

— Quelles sont les autres conditions ?

— Ah... tu les découvriras en temps et en heure.

— Quoi ? Mais ce n'est pas juste ! Je ne peux pas accepter quelque chose que j'ignore ! s'insurgea le rebelle en s'agitant pour descendre de sur Griffin qui resserrait son emprise autour de sa taille.

— Doucement, fais attention à ma jambe, le calma le sportif.

Alerté, Kors cessa tout de suite de bouger. Néanmoins frustré que Griffin utilise son handicap à son avantage, il lui fit savoir en lui jetant un regard noir par-dessus son épaule. Habile, le sportif l'ignora et préféra changer de sujet :

— Tu sais, lundi, tu devrais m'aider à transporter mes cartables d'un cours à l'autre : ce n'est pas franchement évident de le faire avec des béquilles et je suis un peu fatigué de me coltiner la présence d'Ashley...

Kors était à deux doigts de répondre arrogamment à Griffin qu'il pouvait bien s'arranger tout seul pour transporter ses affaires quand il lui fit part d'Ashley. Cette fille... celle avec qui Griffin « sortait » avant, la capitaine de l'équipe de meneuse de claque de l'école. Le gros cliché, quoi.

— Quoi ?! Tu veux dire que depuis une semaine elle t'accompagne entre chacun de tes cours ?!

Kors ressentait quelque chose dans son bas-ventre qu'il n'avait pas ressenti auparavant. À part pour le fait qu'il la trouvait un peu conne de temps en temps, il n'avait rien contre Ashley... et pourtant, c'était comme si, soudainement, il la... détestait...

— Oui, je viens tout juste de te le dire... et depuis que j'ai mis fin à notre relation il y a quoi... trois... deux mois ? elle n'est plus la même fille, on dirait qu'elle fait tout pour me récupérer et me coller aux basques. C'est franchement insupportable !

Ce sentiment particulier qui avait submergé Kors ne fit que s'amplifier. Et il commençait tout juste à pouvoir mettre un mot dessus. Jalousie. Il croyait bien qu'il était jaloux de la cheerleader. Mais plutôt se trancher la langue et mourir que de l'avouer à Griffin, surtout à Griffin !

— Pourquoi est-ce que tu ne me l'as pas dit plus tôt ?

— Hein ?

Griffin parut franchement étonné :

— C'est que... j'étais certain que tu m'enverrais me faire foutre si je te demandais un truc pareil.

Oui et, en réalité, Griffin était loin d'avoir tort, mais la situation était différente maintenant : Kors ne voulait pas laisser Ashley approcher le sportif. C'était sûrement absolument puérile de sa part, mais c'était comme ça.

— Oui... eh bien... tu t'es trompé. C'est le genre de chose que tu devrais me dire. Dis à ta Ashley que tu as trouvé quelqu'un d'autre pour t'aider et renvoie-la !

Griffin cligna des yeux, terriblement surpris par la réaction totalement imprévisible de Kors, absolument à l'opposé de ce qu'il aurait d'abord pensé.

— Oh... oh... d'accord... Je lui dirai.

La vérité, c'était qu'il aurait pu se débrouiller avec un sac à dos, mais il préférait de loin avoir Kors avec lui.

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