╰┈➤ ❝ [ça ne fait que commencer.]

Point de vue à la troisième personne

Bonten.

Un mot que tout le monde craignait.

La pire organisation criminelle du Japon

Un gang où chaque crime était commis, traversait chaque membre.

Faisant des ravages, comme s'ils avaient vécu cette ligne, qui les représente essentiellement, ils faisaient plus que semer le chaos.

Ils étaient capables de tout, réalisant l'impossible d'un simple effleurement du doigt, tant qu'il était sous leurs ordres.

Les gangs, les crimes, les meurtres et tout ce qui vient à l'esprit, le soi-disant titre et l'image dans une société qui a une influence sur tout le monde, une seule action peut facilement inciter n'importe qui à commettre ces choses.

Néanmoins, aucun d'entre eux ne s'en souciait.

Ils se moquaient bien de la façon dont ils étaient perçus.

Ils se moquaient bien de ce que les autres pensaient d'eux.

Ils se fichaient de ce qu'ils détruisaient.

Même faire l'impossible ? Bien sûr.

Pour dire, ils sont riches, avec une variété de sources de revenus, de relations financières et économiques, et des liens avec une gamme d'entreprises, légales et illégales.

Ils sont capables de posséder des matériaux aussi luxueux, chacun des gars possédant sa propre propriété et dirigeant des domaines en toute autorité.

Comme les frères Haitani qui dirigent Roppongi, en plein contrôle.

Bien sûr, beaucoup de femmes étaient attirées par eux, en raison de leur argent et du fait qu'elles vendraient même leur vie pour se glisser sous leur pantalon et dormir à côté d'elles dans le lit.

Pourtant, ils n'ont jamais gardé aucune de ces femmes.

Ce n'est pas qu'ils ne voulaient pas faire ces choses ou qu'ils n'avaient pas le temps pour eux ; c'est juste que ça ne faisait pas partie de leur plan.

Chaque homme a ses propres tâches, chaque homme a sa propre entreprise en cours d'exécution,

Le Bonten a plusieurs bases, chacune dans une ville distincte ; ils comprenaient très bien comment les traîtres attiraient les gens partout et comment les gens pouvaient facilement révéler leurs cachettes au public, ce qui est l'une des raisons pour lesquelles ils possèdent tant de résidences et de cachettes.

Pourtant, ils savent comment gérer les traîtres.

Et à tous ceux qui s'opposent à eux.

Ils ne se soucieraient pas du nombre de cris qu'ils laissaient échapper, à quel point ces cris bruyants provenant des os se fendaient étaient assourdissants, comment ils les torturaient pendant des heures, comment ils verraient le regard pitoyable et épouvantable sur leurs visages.

Un mal sadique sans pitié, peut-être ?

« Alors, tout tourne autour de Y/n ? » Alors qu'il était assis sur l'une des chaises, Akashi demanda.

Les membres du Bonten étaient au milieu d'une réunion importante.

"Je ne sais même pas quel est le problème à ce sujet." Rindou haussa les épaules, posant son menton sur sa main et affalant son coude contre le fauteuil.

Chaque chaise a neuf hommes assis.

Mikey était assis au milieu de la table, les yeux fermés et les doigts entrelacés sur la table, levant la tête pour regarder l'homme aux cheveux roses

« Hé, Mikey ! Tu n'as pas dormi ?" Sanzu se pencha alors qu'il regardait son patron, mais il ne reçut qu'un regard de Mikey.

"Mon mauvais caractère, désolé, je vais rester silencieux." dit Sanzu en s'asseyant confortablement sur l'une des chaises.

"Merde, c'est tôt le matin pour que tu fasses du bruit." Ran bailla alors que leur patron convoquait une réunion urgente à 8 heures du matin.

"Y/n L/n... Y/n L/n..." marmonna Kakucho en fouillant dans vos dossiers, qui contenaient probablement des informations personnelles vous concernant.

"Enfin." Après les avoir trouvés parmi des centaines d'autres dossiers, il jeta ce dossier au centre de la table.

À l'intérieur du dossier, se trouvaient des pages de fichiers, dans lesquels vos informations étaient écrites, ainsi que des photos de vous.

Quant à Y/n... elle a attiré l'attention de tout le monde.

Pas de manière romantique, mais pas non plus dans le sens où elle était une menace pour eux.

Je veux dire qui ne le ferait pas, leur patron est soudainement allé leur ordonner d'amener une certaine personne dans leur gang ? A quoi pouvait bien leur servir cette femme au hasard ? Sera-t-il bénéfique d'une manière ou d'une autre ?

Ou plutôt un danger pour eux ?

Cela a certainement piqué leur curiosité,

Mikey a pris le dossier, l'a lu attentivement tout en fredonnant, puis l'a remis sur la table.

« Y avait-il autre chose qui devait être inclus, patron ?" demanda Kakucho.

"Non, tout est ici." Manjirô a répondu.

« Mikey, attends, laisse-moi clarifier les choses », a demandé Koko. « Pour faire court et allons droit au but... »

Tout le monde tourna la tête vers lui.

"Ne nous avez-vous pas dit que nous n'utiliserons Y/n que pour cette offre spécifique ?" Il a dit.

"Ne pense pas trop à elle." Il ajouta.

Koko était un homme doté d'un sens aigu de la compréhension ; il était le calculateur de résolution de problèmes du gang, responsable de l'argent, des statistiques et de tout le reste.

Y/n, par contre, elle est comme un problème impossible à résoudre

C'est ce que Koko la voit, ce qui l'intrigue et ne peut que susciter davantage son intérêt.

Comment cette femme est-elle entrée dans la base de Bonten comme ça ?

La première question était déjà périlleuse.

« Elle n'est qu'une partie de notre plan, n'est-ce pas ?" dit Rindou.

"Vous le mettez tous dans vos propres mots, formulés différemment." Mikey l'interrompit alors que les deux hommes levaient la tête pour regarder Mikey.

"Ne la traite pas comme ces femmes que tu as toutes utilisées dans ces boîtes de nuit que tu as visitées." Il ajouta.

"Bien sûr, nous pensons à elle dans cette perspective, mais j'aimerais en dire plus", a déclaré Manjiro. "Peu importe ce qui se passera à la fin, nous nous y tiendrons."

"Soit l'un de nous souffrira à la fin... soit Y/n."

« Comprenez-vous ce que je dis ? Toute cette misère ne peut avoir qu'un résultat concevable."

« Tu es sérieux ?! Tu vas risquer toute notre organisation pour une seule femme ?" Rindou a réagi avec une réplique complète qui était presque une objection.

"Tu sais, je ne suis pas intéressé par cette femme." Rindou a ajouté.

"Rindou." Ran a averti son jeune frère.

Rindou ne peut que soupirer et rouler des yeux.

Oui, Rindou était préoccupé par son groupe ; il s'en souciait le plus, et son allégeance était plus forte que toute autre chose ; après tout, ses pensées étaient floues, et le brusque changement de plan n'était pas clair pour lui.

Cela le rend perplexe, lui et Koko.

L'homme n'a pas non plus trouvé d'intérêt pour Y/n.

Tandis que Y/n... n'a aucune idée sur l'un ou l'autre de ces éléments.

La femme était toujours enfermée dans la pièce, captive comme si elle était une prisonnière, le silence de la pièce la rongeait presque, elle s'ennuyait à mourir, et elle se demandait si au moins quelques mises à jour arriveraient.

N'ayant aucune idée du fait que ces hommes parlaient d'elle.

"Cependant, je ne t'ai pas demandé de t'intéresser à elle ou d'avoir de l'affection pour elle." Mikey a déclaré sans ambages.

Après que la réalisation l'ait frappé, l'homme s'est enfermé.

« Puis-je vous demander pourquoi vous étiez le plus préoccupé par cela ?" Mikey a fait remarquer. « Pourquoi ? As-tu l'intention de tomber amoureux d'elle ?"

Rindou resta silencieux.

"C'est ce que je pensais." dit Mikey d'un ton autoritaire, s'éclaircissant la gorge avant de continuer ses mots.

"Laissez juste le temps décider de notre destin." Mike a ajouté.

"Parce qu'à la fin, nous n'aurons que deux choix."

"Et cela dépendra de notre voyage."

"Notre voyage qui ne fait que commencer."

En effet, le jeu ne fait que commencer.

Oui, cela pourrait arriver; tous les plans n'ont pas fonctionné et des opportunités se sont présentées. Même la plus petite possibilité pourrait valoir la peine de parier et de risquer la vie d'une personne.

"A moins que les choses ne se passent différemment."

Le silence tomba sur la pièce alors que tout le monde craignait ce qui allait se passer ensuite et se demandait comment l'un des événements pouvait se produire.

Ils ont exprimé leur inquiétude d'échouer un plan, et pas seulement parce que leur plan avait été ruiné.

Cela peut aussi être parce que leur fierté et leur ego ont été écrasés, comment quelque chose a lamentablement échoué dans lequel ils ont été creusés, totalement dédiés à la tâche qu'ils accomplissaient. Avec quelle facilité leurs efforts et leur temps pourraient être gaspillés.

"Disposez."

Tout le monde s'est levé dès que Mikey l'a annoncé, mettant l'endroit à l'aise.

Les déclarations de Rindou il y a quelque temps... ont laissé Mikey dans le doute.

Manjiro sentit une atmosphère glaciale, aigre, amère et froide, et ces pensées le ramenèrent instantanément à son passé.

Tout le monde est parti sauf Mikey, qui est toujours assis sur sa chaise.

Mais, juste au moment où Ran était sur le point de quitter la pièce, Mikey a appelé son nom, le faisant s'arrêter net. Mikey s'est alors levé et s'est dirigé vers Ran.

"Ran, je te laisse Y/n pour l'instant."

Mikey a ensuite quitté la pièce, fermant les portes derrière lui, laissant l'homme seul dans la pièce, confus.

Mais ce qu'ils ne savaient pas, un homme aux cheveux roses se tenait derrière la porte, écoutant accidentellement leur conversation.

Sanzu marchait dans les couloirs, s'arrêtant dans son élan, il a décidé de te rendre visite un moment.

Saisissant la poignée de la porte, il posa d'abord son oreille sur la porte.

Silence.

Vous ne parliez pas, ne sanglotiez pas ou ne gémissiez pas comme vous l'aviez fait ces derniers jours.

Tu as été enfermé dans ta chambre pendant des jours.

Mais vous étiez toujours nourri quotidiennement ; les repas étaient copieux et luxueux, les vêtements que vous avez reçus étaient confortables et suffisants, et les articles qu'ils fournissaient étaient également suffisants.

Ils vous ont donné pratiquement tout, à l'exception d'une chose cependant.

Tournant la poignée de la porte, son esprit fut soudainement rempli d'incertitude.

"Ran, je te laisse Y/n pour l'instant."

Des pensées traversent comme, que verra-t-il derrière la porte ? Te verra-t-il allongé sur le lit ? Assis au coin ? Dormir paisiblement ?

Ou, dans le pire des cas, être témoin d'une pièce vide.

Sanzu méprisait l'idée de s'échapper.

Il s'est éloigné en refusant d'ouvrir la porte, vous laissant seul un instant.

"Je vais te donner du temps, Y/n."

« Après tout, Ran s'occupera de toi, n'est-ce pas ?

"Dieu, comme je déteste partager." Il roula des yeux.

La jalousie tue, dit-on.

"Néanmoins, il reste encore du temps, ainsi que plus d'itinéraires et de portes qui s'ouvriront à l'avenir."

Il s'éloigna ensuite, une lueur dans les yeux montrant à quel point il appréciait la façon dont tout se déroulait comme prévu, comment tout commençait à se mettre en place comme des dominos.

"J'ai encore plus de temps pour te détruire, Y/n."

En marchant dans les couloirs, un sourire malicieux se forma sur son visage.

« Le jeu ne fait que commencer, n'est-ce pas ?

--------------------

Au fait, qui est votre perso préféré du Bonten ?

Perso Sanzu >>>>>>