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Chapitre 19.

╰┈➤ ❝ [oh ? luxury ?]

Point de vue à la troisième personne

"Entres."

Koko a dit que lorsque vous êtes tous les deux entrés dans sa chambre, vous avez regardé autour de vous et avez vu que sa chambre était plus luxueuse et spacieuse que les autres, et juste plus de choses diverses.

Vous vous êtes assis tranquillement sur l'un des canapés pendant que Koko est allé dans sa cuisine et a attrapé des bières.

"Tu bois ?" Demanda-t-il tout en vérifiant attentivement la canette de bières.

"Je suppose."

"Attrapes." Dit-il nonchalamment en te lançant la bouteille de bière.

Heureusement, vous l'avez attrapé.

« Oh ? Assez surprenant. » Dit-il en mettant ses mains sur ses deux poches et sourit pendant que tu roulais des yeux.

"Ouah, d'accord ?" Vous avez roulé des yeux.

"Allez, je plaisante." Il a fait un clin d'œil en s'asseyant sur le canapé à côté de vous, il s'est penché en arrière et a mis son bras derrière sa tête, ouvrant sans effort la canette de bière et l'avalant directement.

« Au fait, ne te l'ont-ils pas déjà dit ? » a demandé Koko.

"Dire quoi?"

"Tu iras à Roppongi avec nous la semaine prochaine." Il a dit

"Oh, êtes-vous tous fatigués de moi et voulez vendre mes organes au marché noi––"

« Non, putain ? » Koko secoua la tête et rit.

"Nous allons juste faire quelque chose d'important là-bas." Il a dit.

"Alors, j'ai décidé de te gâter demain." Il ajouta alors qu'il appuyait sa tête sur sa paume, inclinant sa tête sur le côté alors qu'il regardait ta réaction.

"Que voulez-vous dire?"

"Je vais t'offrir un shopping."



C'était maintenant le matin et le jour des courses, et honnêtement, vous étiez un peu nerveux car cela fait presque des mois que vous n'êtes pas sorti.

Toi et Koko étiez dans sa Bugatti Divo, conduisant au centre commercial.

« Koko ? » Vous avez appelé pendant que Koko regardait en arrière et faisait reculer sa voiture hors du parking en douceur. Il a placé sa main derrière votre appui-tête et vous pouvez sentir son souffle chaud sur votre cou.

« Hm ? »

"Si ça ne te dérange pas que je te demande, qu'est-ce que vous faites d'habitude ?" Tu as demandé. "Autrement que de tuer des gens."

Il a ri à ta dernière phrase. "Tu nous connais déjà sacrément bien."

"Eh bien, nous ne sommes pas seulement certains types de gangs que vous verriez généralement, mais nous sommes également une entreprise commerciale en cours d'exécution, et ce qui fait de nous une organisation criminelle dangereuse, c'est que nous travaillons et faisons des choses risquées, nous avons de nombreuses sources illégales des revenus dans chaque secteur."

"Certains d'entre nous ont certaines responsabilités, comme les deux frères et Sanzu, qui s'occupe généralement de problèmes physiques, si vous voyez ce que je veux dire."

"Alors que Mikey, et surtout moi-même, gérons plus de choses commerciales, j'organise notre flux financier, j'ai toutes les racines et toutes les sources, et je reçois tous les avantages."

"Vraiment de la merde, n'est-ce pas ?" Il en riant. « Qui peut vivre sans argent, après tout ? »

"L'argent est la raison pour laquelle nous sommes tous en vie."

"Si vous ne savez pas comment vous frayer un chemin dans la vie et élaborer des stratégies, vous serez traité en fonction de votre hiérarchie et de votre statut social, ou en d'autres termes, vous serez traité comme un déchet, dans une société aussi inégale, n'est-ce pas ? "

"Parce que parfois, tout ce dont nous avons besoin, c'est d'un peu de triche."

"Jouer à l'innocent ces jours-ci, c'est comme jouer à la proie et à l'idiot."

"C'est pourquoi nous sommes connectés à tous les gangs criminels, et nous pouvons les payer pour... mettre fin à certaines personnes."

"Ça peut être n'importe qui, ça peut être n'importe quoi."

"O-Oh..." Vous déglutissez en vous déplaçant sur votre siège.

"Effrayée ?"

"Non ?" Tu as soupiré et froncé les sourcils. "Pourquoi?"

Il ne répondit pas et posa juste sa main sur ta cuisse, tu faillis tressaillir, décontenancée par le contact froid, ouais, ça seul te faisait déjà taire.

Après quelques minutes de conduite, vous êtes arrivé à destination ; tout au long du trajet, la main de Koko n'a jamais quitté votre cuisse, et vous pouviez enfin respirer en sortant de la voiture.

Tu as regardé de côté et il t'a ouvert la porte, il a tendu la main comme un gentleman et t'a aidé à porter ton sac à main.



"Ça fait un moment que je n'ai pas vu des gens."

Tu as murmuré en entrant dans le centre commercial avec Koko.

Tu as tenu son bras, te tenant près de lui puisque tu étais mal à l'aise et nerveux avec les gens dans le centre commercial, il t'a regardé et a souri, adorant la façon dont tu tenais son bras comme si ta vie en dépendait.

En regardant autour de vous, vous avez soupiré, vous sentant un peu mélancolique à quel point ils changeaient facilement votre point de vue sur le monde extérieur, c'était comme si vous étiez enfermé dans leur manoir, comment vous étiez dehors en ce moment mais votre liberté était proche mais si loin.

Ce qui n'est qu'une seule course, vous pouvez vous échapper, mais c'était impossible.

Vous étiez déjà conscient du pouvoir qu'ils détiennent.

Ils peuvent vous suivre en une seconde.

"Nous y sommes." Dit-il alors que tu revenais à la réalité.

"Achetez tout ce que vous voulez à l'intérieur, j'attendrai ici dehors." Il a dit.

« Attends, mais… » Tu as été interrompue alors qu'il attrapait ta main et plaçait quelque chose sur ta paume.

Sa carte noire.

Vous écarquillez les yeux en le regardant, mais un sourire enjoué et des yeux étaient collés sur son visage avant même que vous ne puissiez dire quoi que ce soit.

« Laisse-moi te gâter, d'accord ? »

"Achetez tout ce que vous voulez là-bas, je vous ai réservé tous les magasins ici."

"Profitez."



Les employés vous saluaient lorsque vous entriez dans les magasins.

Vos sacs de courses étaient presque remplis après quelques minutes de shopping, et vous ne vous attendiez pas à ce que les employés vous aident et portent vos sacs de courses, et chaque fois que vous achèterez quelque chose, ils vous suivraient partout comme s'ils étaient vos chiens.

"Euh, désolé, mais je peux aller les porter moi-même, vous avez des problèmes là-bas." Vous vous êtes gratté l'arrière de la tête et vous avez vu comment ils avaient du mal à porter les sacs lourds, mais ils ne vous ont fait qu'un doux sourire et un pouce levé.

"Oh, s'il vous plaît, non, c'est notre travail et M. Hajime Kokonoi nous l'a dit."

"D'accord." Vous ne pouvez pas vous empêcher de soupirer et de secouer la tête.

Vous avez vérifié et vu toutes les robes en édition limitée, une variété de robes luxueuses alignées, des vêtements empilés, des chaussures, des sacs et tout.

"Excusez-moi, madame, M. Kokonoi nous a demandé de vous montrer nos robes rares et nouvellement arrivés." Un employé a dit. "Suivez-moi s'il te plait."

Vous l'avez suivie dans un grand dressing rempli de vêtements plus accrocheurs, de types de vêtements rares d'autres pays et même de tenues portées par des mannequins célèbres.

« Oh, et au fait, M. Kokonoi nous a demandé de les installer. » L'employé vous a donné une boîte rose enveloppée d'un ruban blanc à paillettes.

Vous avez attrapé la boîte en l'ouvrant et vos yeux s'écarquillèrent en voyant les vêtements à l'intérieur.

C'étaient des tongs, de la lingerie, des robes audacieuses, et plus encore.

"U-Um." Vous refermez rapidement la boîte, tandis que les yeux de l'employé s'écarquillent et que la mâchoire reste également ouverte.

"Koko, espèce d'enfoiré sournois."   Pensais-tu en serrant les dents d'embarras.

L'employée s'éclaircit la gorge. « Veuillez m'excuser, amusez-vous ici madame, je vous laisse ici et je serai juste dehors, vous pouvez mettre ces vêtements dans notre cabine d'essayage, merci et profitez-en ! » Elle sourit doucement et s'inclina

Lorsque vous êtes entré dans la cabine d'essayage, vous avez fait face au grand miroir corporel sur le mur et avez retiré votre robe, vous avez baissé les yeux et avez vu la boîte qui était remplie de ces vêtements.

Tu soupiras en attrapant une des lingeries, elle était rose tendre avec des lacets blancs sur les bords et un petit ruban noir à chaque coin.

Vous l'avez porté et avez attrapé une autre robe assortie aux sous-vêtements, et vous avez choisi cette robe moulante, mais vous ne pouvez pas atteindre la fermeture éclair à l'arrière.

« Bonjour ? Excusez-moi ? Pouvez-vous m'aider ? » Vous avez appelé l'employée et pensiez qu'elle était juste à l'extérieur.

Vous êtes retourné à l'intérieur de la cabine d'essayage en entendant la porte s'ouvrir et vous avez donc pensé qu'il s'agissait de l'employé.

« Pouvez-vous m'aider avec la fermeture éclair ? » Tu as demandé en sentant une main la refermer, tu étais sur le point de la remercier jusqu'à ce que tu entendes une voix différente.

« Alors, ça te plait ? »

Tes yeux s'écarquillèrent et tu tressaillis en entendant la voix familière, tu regardas le miroir et tu le vis.

"Koko ?!"

 
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