╰┈➤ ❝ [il a échoué dans le passé, le présent et le futur ?]

Point de vue à la troisième personne

Beaucoup de gens croient que la salle d'attente est la pièce la plus effrayante dans laquelle vous pouvez rester.

Vous vous sentirez instable, pressé, paniqué, épouvantable, terrifié, effrayé, inquiet, maussade et bien d'autres. Tout simplement parce que vous attendez un patient qui est sur le point de mourir. Ne pas savoir comment se sentir. Ne pas savoir quoi faire sauf attendre, attendre et attendre pendant que votre cœur bat de façon erratique.

C'est exactement ce qu'ils ressentent, en particulier Manjiro Sano.

Ces murs vides et blancs ne peuvent pas signifier les circonstances qui se produisent en ce moment, sans parler de ses émotions qui sont maintenant dispersées sur le sol. Le tic-tac de l'horloge ne peut pas indiquer l'heure du moment significatif attendu.

" Combien de temps cela prendra-t-il encore? " demanda Manjiro, et c'était la même question qu'il posait à plusieurs reprises... mais il ne la posait que dans sa tête.

"Aucune mise à jour des médecins pour le moment," informa Koko alors qu'il entrait dans la salle d'attente.

La poitrine de Mikey se resserrait à chaque seconde qui passait, rendant sa respiration difficile, mais il ne parlait jamais. Il se taisait seulement, gardant ses sentiments pour lui. C'est peut-être pour ça qu'il devient difficile de respirer.

Il est sur le point de s'évanouir, jusqu'à ce que les portes de la salle d'opération s'ouvrent, montrant les chirurgiens, les infirmières et les médecins.

"Comment était-ce?" Ran a été le premier à se lever des chaises et à aller chez le médecin.

"La procédure est réussie."

L'intérieur lourd et suffocant de la poitrine de Mikey commence à se calmer et il peut enfin respirer normalement. Les hommes avaient l'impression qu'un gros rocher s'était détaché de leurs épaules, et ils ne pouvaient pas le nier.

"Mais s'il vous plaît, suivez-nous si vous voulez entendre des informations vitales concernant l'état de la patiente et la procédure chirurgicale. Nous l'avons déjà transférée dans la salle de soins intensifs à partir de ce moment."

Ils ont suivi les médecins qu'ils viennent de menacer il y a quelques heures. Suivre les marches vers les escaliers et les pas peuvent être entendus fort, tous résonnant dans leurs oreilles. Est-ce simplement de l'appréhension, ou la présence à l'hôpital elle-même ?

Mikey a regardé autour de l'hôpital et il peut sentir la brûlure flamber dans sa poitrine. C'est un hôpital différent, mais c'est toujours un endroit qu'il méprise à jamais.

"Comme nous l'avons mentionné, l'opération a réussi. Sa situation n'est pas si terminale, et nous avons effectué des interventions mineures, donc elle ne restera pas longtemps dans la salle de soins intensifs", a fait remarquer le médecin en lui remettant des papiers, y compris des documents vitaux. des signes et des données complètes.

"Nous avons tout essayé, et du mieux que nous pouvions pour améliorer la situation." Une infirmière a déclaré, et le personnel a tiré les rideaux, permettant aux visiteurs et aux gardiens de voir le patient à l'intérieur, c'est-à-dire vous.

La vue de vous rencontré dans leur champ de vision.

Mikey sentit son cœur se briser et il sentit les larmes monter au bord de ses yeux.

Vous êtes inconscient, avec des tubes médicaux insérés dans différentes parties de votre corps et divers liquides circulant dans votre corps, ainsi que par la bouche et le nez. Des pansements, des bandages et une minerve couvrent les ecchymoses, les coupures et les blessures visibles.

Il y a une fenêtre en verre qui sert de séparation entre la pièce où séjourne le patient et les visiteurs. 

Le moniteur de rythme cardiaque n'arrêtait pas de sonner à côté de vous, et ils jurent que c'est mieux que le tic-tac de l'horloge de la salle d'attente.

Parce que ça indique que tu es toujours en vie.

Mikey ferma les yeux car il ne supportait pas de voir ça. Ça lui fait mal, ça leur fait mal.

Pourquoi ce spectacle est-il familier ? Pourquoi est-ce si vif ? Il a juré avoir déjà vu ça. C'est étrangement familier. Le déjà-vu est-il une coïncidence ? Tout est clair dans son esprit. Ça lui fait peur.

Si réel qu'il peut presque entendre des murmures et halluciner que votre âme est quelque part ici.

Kakucho a dû attirer l'attention de Mikey pour le ramener à la réalité.

« Allons-nous annoncer la nouvelle ? » Un médecin a dit, faisant tourner la tête vers lui.

"Arrêtez de vous gêner, docteur. Vous nous avez pratiquement raconté chaque rapport détaillé, mais vous ne pouviez pas dire l'essentiel ? Arrêtez de tourner en rond et dites-nous franchement..." L'un des hommes a dit, mais les mots qui sont sortis du médecin la bouche les gardait fermées.

"Patient 111, Mme (L/N) (Y/N)... est tombée dans le coma."

Son cœur s'est effondré... leur cœur s'est effondré. Ils le savaient, leurs attentes étaient réelles. La question avait été posée de savoir pourquoi tout semble si familier, si vivant comme s'ils avaient voyagé dans le passé.

"Callista... est tombée dans le coma."

Eh bien, l'histoire s'est vraiment répétée.

"Zane Wilbert, appelle l'hôtesse."

Eri a appelé et elle a été immédiatement sortie de l'hôpital. Elle était trop persistante, et aussi parce qu'elle détenait une haute autorité, Zane et les médecins ne pouvaient pas y faire grand-chose, alors ils ont juste fait ce que leur patron a dit, d'autant plus que ses signes vitaux se stabilisent maintenant, et les médicaments que Hanma injectait elle depuis quelques années s'était arrêtée.

"Nous sommes en haute altitude," Zane se frotta les tempes, et ils sont dans leur jet privé, "C'est pourquoi j'ai la nausée."

" J'ai hâte de voir ma fille. " pensa Eri en regardant par le hublot du jet.

« Mme Erianne Dhiore, êtes-vous prête à rencontrer M. Manjiro Sano ? »

"J'ai été prête, je l'ai toujours été."

"Bien que je ne veuille pas lui parler en tant que Manjiro Sano, je veux lui parler en tant que chef de Bonten. Je ne veux pas qu'il me parle en tant qu'Erianne Dhiore. Je veux qu'il me parle en tant que Dias' Corporation. Président, ou plutôt, en tant que belle-mère de (Y/N)."

Zane a juste regardé par la fenêtre et a pris une profonde inspiration avant de dire : "Très bien compris. Si la conversation entre vous et M. Sano dégénère en une vive dispute, je ferai de mon mieux pour l'arrêter sans utiliser d'armes.

« Tu dis ça d'une manière sarcastique, Zane ?

"Non. Pas du tout, Mme Dhiore."

"A ce sujet, j'ai reçu les résultats de l'opération de Mme (L/N) (Y/N). Elle est sortie de la salle de soins intensifs, bien qu'elle soit toujours inconsciente." informa Zane en passant les documents à Eri.

Eri lit les documents pendant que Zane continue de parler, "Ce que M. Sano ne sait pas, c'est que moi, plutôt nous, recevons les premiers actes d'état civil de Mme (L/N) (Y/N) avant eux. Dias Corporation détient un l'autorité à l'hôpital là-bas."

"Maintenant, Madame Dhiore. Veuillez signer les documents." Il ajouta.

Eri prit une profonde inspiration avant de signer, et alors qu'elle signait, une vision familière lui vint à l'esprit.

« Familier, n'est-ce pas ? » Zane soupira, "Malgré cela, le contrat (O/N) signé à Bonten a été légitimement fait par vous."

"Ça suffit. Je vais détruire cette façade," grogna Eri en refusant de signer les papiers, "Appelez un groupe de mon entourage avant d'arriver à l'hôpital."

"Ça va, madame."

Ils se rapprochent enfin de leur destination après plusieurs heures. Eri est juste en train de tapoter le bras du siège du jet avec ses longs ongles rouges. Son rouge à lèvres de velours cramoisi est toujours intact. Sur l'arête de son nez, ses lunettes noires restaient immobiles. Elle pinça les lèvres pendant que Zane parlait, et avant de regarder Zane, elle jeta encore un coup d'œil à l'extérieur d'un aéroport familier et aux documents qu'elle tenait.

« Nous sommes arrivés, madame.

Eri ne perdit pas de temps à se lever et à marcher jusqu'au pont à réaction, son manteau marron glissant sur ses épaules alors qu'elle se déplaçait, ses gardes du corps, ses serviteurs et son personnel portant volontiers les bagages derrière elle. Elle enleva ses lunettes de soleil et se tint à l'escalier, le vent soufflant sur ses cheveux alors qu'elle regardait le paysage, "Oh si ce n'est pas ma patrie."

"Manjiro Sano, je te reverrai enfin après des années. Comment est le jeu auquel nous avons tous joué pendant tant d'années ?"

"Bienvenue, Madame Dhiore."

Les employés de l'hôpital ont accueilli l'éminent PDG de Dias Corporation, connu pour ses activités dans ce type de secteurs.

"(L/N) (O/N), patient 111."

"Veuillez procéder de cette façon." Ils guidaient leur passage dans les couloirs.

Eri a gardé une expression droite tout en marchant droit, ses talons claquant et son sac à main de créateur serré. Néanmoins, lorsqu'elle s'approche de votre chambre d'hôpital, elle ne peut ignorer les battements forts et rapides dans sa poitrine.

Les années ont passé, mais elle ne t'a même pas vu grandir après des mois d'études universitaires. Elle avait hâte de voir quelle serait sa première vision de toi.

Alors qu'elle montait l'ascenseur et montait à un autre niveau, où se trouve votre chambre d'hôpital, Zane a suivi Eri par derrière alors qu'il l'informait de certaines choses.

"Attention, il y a aussi un groupe de l'entourage de Bonten," Zane s'éclaircit la gorge, "Nous devons faire profil bas."

"Je n'ai pas besoin de faire profil bas. Ils savent que je viens, alors à quoi ça sert que j'aie peur ?" Eri se moqua.

« Je le saurai dès que je lui ferai face… » Et là, Eri ouvrit enfin la porte.

Debout à la porte, ils tournèrent tous leur tête et leur attention vers Eri.

"Manjirô Sano."

Mikey regarda lentement en arrière tandis que ses mains étaient dans ses poches. Il inclina la tête, plissant les yeux du visage familier alors qu'il faisait face à Eri.

"Ça fait longtemps," dit Eri avec un sourire narquois, "Comment va le jeu?"

Leur cœur faillit lâcher la femme familière devant eux, mais ils gardèrent leurs réactions neutres.

Ils savaient que le moment était venu. Le temps où tout se terminera à son retour. Y compris la fin du contrat que (O/N) a signé il y a des années.

C'est son retour. 

Mikey a gardé un visage imperturbable, insouciant et stoïque. Il n'a pas parlé et est retourné vous faire face allongé inconscient sur le lit d'hôpital.

Les yeux d'Eri ont été attirés par votre corps inconscient sur le lit des soins intensifs, et elle s'est approchée de la vitre qui sépare le couloir de la salle des soins intensifs, où le patient est maintenant confiné puisque les visites sont strictement interdites.

Les mains tendres d'Eri caressaient le verre froid alors qu'elle te regardait à travers. Son cœur gonflait tellement qu'il en faisait mal, votre état, les tubes collés dans votre corps, l'oxygène et les machines qui ne font que vous maintenir en vie. Ça fait mal pour une belle-mère de voir sa belle-fille souffrir. Elle ne veut pas voir ça, et elle ne veut pas que tu traverses ce qu'elle a vécu.

"Oh mon... qu'est-ce qu'ils ont fait ?" dit Eri d'une voix cassante alors que des larmes coulaient au coin de ses yeux.

Eri se força à rire alors qu'elle faisait face aux hommes, « Que s'est-il passé… pendant tant d'années ?

Mikey bougea ses pieds alors qu'il était sur le point de sortir jusqu'à ce qu'Eri parle.

« N'as-tu pas d'appréhension, Sano ?

"Non." Mikey a dit sans ambages, puis a continué à marcher.

"Toujours franc jusqu'à présent, M. Sano ?" Eri poussa un profond soupir en passant devant les hommes et s'assit à la chaise en plaçant son sac de créateur sur la table d'appoint avec un cliquetis.

"Bonten et Dias Corporation ont été d'excellents partenaires depuis le début. Nous avons déjà payé la dette, alors qu'est-ce que c'est que cette attitude sévère ? Je suis juste ici pour une conversation, une conversation informelle, pour tout clarifier depuis le début. commençant jusqu'à ce jour." Eri s'est expliqué de façon explicite.

"Je suis surpris que tu sois encore en vie," commenta Rindou.

"Pourquoi, tu n'es pas content que je sois en vie ? Ou peut-être te sens-tu menacé ?"

"N'agissez pas comme si votre entreprise n'avait pas de dette à l'époque." a rétorqué Rindou.

"Excusez mes mots, mais c'est déjà payé. Ne continuez pas à utiliser cela comme une défense, alors sur quoi vous bavardez ?" Eri croisa les bras.

"Je parle de la façon dont Hanma t'a fait hospitaliser, mais c'est nous qui en sommes responsables et il a pris ça comme une chance de profiter de Bonten et aussi la raison pour laquelle (Y/N) est tombé dans le coma—"

« Je sais, » les yeux d'Eri se rétrécirent, « Je sais putain.

Mikey en a eu assez de cette conversation et est sorti du couloir.

"Est-ce que tu vas facilement ternir ma présence, Manjiro ? L'homme en qui j'avais confiance pour ma fille (L/N) (Y/N) ?"

Mikey n'a ni regardé en arrière ni écouté.

"Tu vois, je crois qu'elle a toujours la volonté de vivre," marmonna Eri, et sa voix était teintée de tristesse. "Mais pensez-vous que la seconde connaissance interdite sera le coût ?"

Manjiro s'est arrêté net et il s'est retourné.

« Savoir interdit ?

"Maintenant, choisissez," dit Eri.

"Cette chose que nous appelons la connaissance interdite nous a aveuglés pendant tant d'années, et Draken o—" ajouta-t-elle.

"Il est mort." Mikey coupe franchement.

"Votre ton sonne comme si vous n'aviez aucun remords," Eri s'éclaircit la gorge, "Oh et aussi, je sais."

« Avez-vous des regrets ? Elle ajouta, et Mikey ne répondit pas, lui lançant seulement un regard mortel.

"Je vais te demander une chose. Si Draken est toujours en vie, que vas-tu faire ou dire ?" a demandé Éri.

"Je ne veux pas retourner dans ce bureau de notre cabinet, donc si vous pouvez m'excuser, je n'ai pas le temps de répondre à votre question absurde", a déclaré Mikey, puis s'est retourné une fois de plus.

"Arrêtez de changer de sujet, revenez ici avant que je ne reprenne (O/N)", a déclaré Eri.

"Cela a une corrélation avec ça," marmonna Mikey, "Arrête de nous jouer avec tes jeux d'esprit."

"Oh mon Dieu, ma chére (Y/N) a joué votre jeu, plutôt forcé, alors qu'est-ce qui ne va pas si vous jouez tous au mien ?" Eri haussa un sourcil.

"Ah," Mikey laissa échapper un petit rire, "Mais cela n'était-il pas écrit dans le contrat que vous avez légitimement conclu et (O / N) signé. Qu'est-ce que c'était? Est-ce jouer à ce jeu comme un jeu d'échecs? Où il y a pas de règles, seulement des objectifs ? C'est ça, Eri ? »

"Je vois, c'est pourquoi le destin est devenu drastique. Vous avez mal perçu le jeu tout ce temps." Eri a répondu

"Souviens-toi de ceci, Eri. Tu fais aussi partie de ces gens qui ont commencé ce chaos, ce jeu, et c'est à cause de ton égoïsme et de tes dettes, qui t'ont amené à conclure le contrat." Mikey a continué à parler.

« Un contrat que (O/N) a signé, tu te souviens, Erianne ? »

"Est-ce que tu nous entends? Est-ce que tu entends comment nous sommes capables de tout, combien de puissance nous avons?"

C'est vrai, tout ce qu'ils disaient était vrai, tout l'était, et vous détestez qu'ils soient tous vrais.

"Alors que vous n'avez rien."

Une simple personne qui n'a rien d'autre qu'un destin contrôlé, plutôt.

Tes lèvres tremblaient de terreur, et tu mendiais déjà pour la vie de quelqu'un.

« Maintenant, dis-nous, accepteras-tu l'offre ? En échange de la vie de ta belle-mère ?

"La seule chose qu'elle avait en tête, c'était toi pendant qu'elle signait le contrat."

"Je vais accepter l'offre..."

Et là, des larmes ont coulé sur tes joues, sentant un gros rocher sur ta poitrine.

"Seulement pour ma belle-mère et mes parents."

"Pendant qu'elle signait le contrat, elle ne pensait qu'à toi, sa belle-mère."

"Donnez-lui le contrat." Mikey commandait leurs ouvriers.

"Oui Monsieur."

Pendant que vous étiez assis, vous vous sentiez moite et incapable de bouger, vous vous sentiez coupable mais l'indignation montait dans votre poitrine.

"-Mais tu as dû faire semblant d'être pauvre et faire croire à (O/N) que tout son travail acharné à l'école après avoir obtenu son diplôme était inutile."

"Pourtant je ne l'ai pas nié, j'étais prêt à en subir les conséquences à l'époque. J'étais sur le point de mourir dans ce maudit hôpital alors que tu avais la chance de tout réparer pendant des années, pourtant tu n'as rien amélioré." Elle coupe.

"Ne me culpabilise pas."

"Et ne m'allumez pas avec vos changements de sujets."

Manjiro et Eri ont simplement échangé des regards plissés, comme si leurs esprits pouvaient être lus l'un par l'autre. Eri a simplement fouillé dans son sac et en a extrait un document familier qui ressemblait à un certificat.

"Le repentir sera toujours et pour toujours à la fin, tu sais?" Éri soupira.

Les sourcils de Mikey se froncèrent devant le format familier du papier qu'Eri tenait.

"A partir de maintenant, (Y/N) coupera les ponts avec vous tous", a annoncé Eri en signant le contrat que vous avez signé il y a des années.

"Qu'est-ce que tu viens de dire putain ?" Mikey s'approcha d'elle alors que sa poitrine se soulevait.

Eri tenait fermement le contrat entre ses mains, "Vous insistiez pour que je fasse et possède ce contrat, n'est-ce pas? Donc, c'est juste que je puisse faire ce que je veux en vertu de celui-ci."

« Qui a dit que tu avais le droit de faire ça ? Juste à cause de ce satané contrat ? Ran se leva de la chaise en métal dans le couloir sur laquelle il était resté silencieux jusqu'à présent.

"Moi, j'ai le droit." Eri lui a fait face, et elle a déchiré le contrat devant lui.

Leurs yeux s'écarquillèrent alors que le papier crucial qui avait tout déclenché avait été déchiré, déchiré en morceaux et détruit en une seconde seulement, mais une scintille partielle, ils pensaient que c'était bien mérité, du moins pour eux.

"Vous avez tous connu toutes les connaissances interdites, ça suffit. En fin de compte, les (L/N) ont pris le dessus." Eri monta d'un ton.

"Je prends ma fille maintenant. Soit je vous verrai au tribunal, soit ce sera la dernière fois que je vous verrai tous. Au revoir."

"Eri-" Mikey a appelé, mais Zane Wilbert est entré dans le couloir et a pointé une arme sur les hommes alors qu'il tirait Eri à côté de lui, la protégeant.

Mikey a également sorti son arme et l'a pointée sur eux. Ils recoururent à nouveau à la violence.

"Faisons un marché, encore une fois," Mikey tenait fermement l'arme, "Posez votre putain d'arme."

"Tout est juste et carré, d'accord," dit Eri à voix basse, en faisant un signe de tête à Zane, "Sortez. Je peux gérer ça."

Zane hocha la tête avec hésitation, "Oui, madame", puis s'en alla.

"Alors, c'est quoi ton affaire ?" Eri a affronté Mikey.

Mikey prit une profonde inspiration, mais sans réfléchir à sa déclaration : "Si (Y/N) récupère réellement et reste en vie, c'est sa décision si elle veut toujours nous voir—"

« Et si elle ne le fait pas ?

Mikey a retenu son souffle de la question qui le frappera en réalité. Il ne peut rien faire, et dans cette circonstance, tout est possible, alors pourquoi ne pas accepter la possibilité ? Il va se préparer maintenant, au moins, ça lui ferait moins mal si son anticipation indésirable devenait réelle.

"C'est à vous, Mme Dhiore Eri," répond finalement Mikey, "Mais si vous me le demandiez, je préférerais la garder loin de moi parce que je ne peux jamais l'imaginer allongée dans un cercueil, toute sans vie. Je préfère ne voir aucune lumière plutôt que d'avoir cette vision."

Eri hocha lentement la tête, et il le regarda attentivement avant de regarder le contrat, "Je vois, donc c'est réglé—"

"Et si elle ne se rétablit pas, sa santé se détériore et—" Mikey avala une boule dans sa gorge, "Et vraiment décédé, j'accepterai n'importe quelle conséquence."

"Je vois, Sano. Après tout, tu étais avec elle dans le passé, et dans le présent... pourtant, à cette époque, tu n'as pas réussi à protéger ma fille. Comment puis-je te confier l'avenir de (Y/N) même à ce moment là?"

Les mots d'Eri étaient comme des couteaux lancés dans la poitrine de Mikey, mais tout est vrai.

"Préparez votre stratagème criminel pour un moment, Sano", a déclaré Eri, "Parce que votre affaire peut mener à... quelque chose de plus grave si le tribunal la pousse plus loin, et si (Y/N) meurt, vous paierez— "

"Je suis prêt à accepter n'importe quoi." Manjiro coupe.

« Même si c'est une peine de mort ?

Mikey n'a pas hésité à hocher la tête, "Oui."

"Patron." Ses hommes ont attiré son attention, furieux et déconcertés par sa décision indécise.

"Quoi?!" Soudainement, Sanzu fit irruption dans la pièce, et tout le monde regarda la porte, "Qu'est-ce qui se passe ?!"

Les yeux de Sanzu rencontrèrent Eri, puis il regarda le paysage et le chaos qui se produisait à l'intérieur de la pièce, il se sentait confus, perplexe, effrayé et sombre. Il le sait, il savait que le moment était venu où il était temps de lâcher prise.

Tout cela est arrivé juste à cause d'un contrat, n'est-ce pas?

Sanzu sent son cœur s'effondrer lentement et il peut sentir un creux au fond de son estomac. Il savait que le moment viendrait, mais jamais au cours de ces années, il n'y avait pensé. C'était trop douloureux pour lui d'y penser, c'est pourquoi au cours de ces années, il s'est délibérément distrait, mais le jour est venu et il a besoin de se réveiller de la réalité.

Néanmoins, tout cela est dû à un contrat qui est maintenant entre les mains d'Eri.

"Quoi? Un péché pour un péché." Éri a parlé.

C'était comme l'accord qu'ils avaient il y a des années.

"Mais s'il vous plaît, laissez-moi voir (O/N) à un moment donné. Je veux toujours la voir." Mikey a dit dans un murmure, et c'est à peine audible.

"D'accord, mais si seulement (O/N) peut encore dire votre nom."

"Que voulez-vous dire?"

Eri a juste ri, "C'est drôle comme tu es si naïf alors que tu as déjà vécu ça dans le passé."

Les yeux de Manjiro s'écarquillèrent et son cœur se serra. Il le sait, il se souvient de tout.

"Vous savez quoi?" Eri soupira, alors qu'elle attrapait le sac et le mettait autour de son bras, puis s'éloigna, "Je vais partir maintenant. Au revoir. Jusqu'à ce que nous revoyions et que nous voyions quel sera votre destin. vous, Bonten.

"Zane," Eri appela son secrétaire, puis fit de nouveau face aux hommes de Bonten avant de quitter la chambre d'hôpital.

 
La salle était pleine de rage et de tension. L'ambiance est palpable. Tu es allongé sur le lit, sans vie, tombé dans le coma et qui sait quand vas-tu te réveiller. Même vous-même ne savez pas, tous entraînés dans ce jeu qu'ils appellent, ramenés dans le passé, votre propre passé dans lequel vous n'avez aucune idée, les souvenirs oubliés, et vous n'êtes pas conscient de tout cela.

"Je ne veux entendre qu'une seule nouvelle quand je reviendrai dans cet hôpital, sinon vous connaissez votre sort", a déclaré Eri en gardant les reçus, les papiers, les documents et le contrat dans son sac. Elle tourna les talons pour s'éloigner, mais regarda à nouveau les hommes pour laisser tomber ses mots.

"'Votre fille, (L/N) (Y/N) est vivante'. C'est tout ce que je veux entendre." 

Remarques:

A/N : préparez-vous...

Ps ; Avec ça, je suis au même niveau que l'auteur :) alors il ne reste plus qu'a attendre qu'elle publie pour un nouveau chapitre XD