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trente-quatrième

À ce même moment, Juvia s'éloignait petit à petit de la cour, se dirigeant hors des portes du lycée. Sa vision était assez trouble à cause de ses yeux couleur océan qui commençaient tout doucement à se remplir de larmes.

Cette dernière fit une marche plus rapide en distinguant Grey à l'extérieur. Elle courut jusqu'à lui et se blottit précipitamment dans bras.

Avec un mouvement de recul et un sursaut, il se calma lorsqu'il reconnut la jeune fille.

— Je suis horrible, j'ai fais une erreur, dit-elle, fondant en larme contre lui.

Celui-ci tressaillit lorsque ses larmes le frôlèrent et il releva délicatement le visage de la belle vers lui.

Juvia qui, ne versait jamais une larme ne pouvait que l'inquiéter d'avantage.

— Qu'est-ce qui s'est passé avec Gajeel ?

— J'ai dis des choses affreuses.

— Chuut, calme toi on va causer dans un endroit tranquille.

* *

Les deux jeunes s'étaient éloignés du lycée, entrant dans le café le plus proche. Après avoir avalé le latté à la vanille que lui avait commandé Grey, Juvia expira longuement avant de le regarder dans les yeux.

— Ça va déjà ?

— Pas vraiment.

— J'imagine que ça ira plus tard. Qu'est-ce qui s'est passé pour que tu sois dans cet état ?

En crispant ses doigts entre eux, la bleue prit son courage à deux mains pour tout lui raconter et sans l'interrompre, son petit-ami l'écoutait attentivement.

— Voilà. Je suis idiote n'est-ce pas ? Je crois que j'ai juste voulu jeter ma frustration sur quelqu'un et ceci est tombé sur Gajeel vu qu'il était un peu responsable de mon différent avec Lucy. J'ai si honte de moi.

Grey analysa tout ce qu'elle venait de lui raconter et il était plus que surpris par son geste. De la part de Juvia, en plus sur Redfox.

— Et donc, tu l'as vraiment giflé ? redemanda Grey n'y croyant pas.

Cette dernière acquisça en hochant la tête puis se cacha le visage de ses mains.

— Mais ce n'est pas ça le pire, c'est ce que je lui ai dis. Je lui ai traité de monstre.

— Juvia, tu n'es sans doute pas la première personne à lui dire ça, lui rassura Grey.

— Mais ça lui a blessé.

— Je pensais que ce genre de mot ne l'atteignait pas.

— Peut-être quand ce n'est pas quelqu'un pour qui il porte de l'intérêt qui le lui dit, souffla-t-elle.

— T'es si proche de Gajeel que ça ?

— On se connait presque depuis que nous sommes petits. C'était mon seul et unique ami, tout comme moi pour lui.

— Et bien, je ne suis vraiment pas surpris qu'il n'ait jamais eu d'ami, il est si froid et... Impitoyable, dit-il, choisissant ses mots.

— Arrêtez de le juger si facilement, il n'est pas comme vous pensez et vous ne connaissez pas les circonstances qui l'ont rendu ainsi, défendit Juvia. Gajeel n'est pas si insensible, souffla-t-elle.

<< On dirait que tu ne veux pas voir la raison pour laquelle je veille sur elle, tu l'as sans doute oublié. >>

Non, elle n'avait pas oublié mais peut-être négligée ce fait.

— La preuve, il aide Levy contrairement à nous autres qui joue aux aveugles. Tu sais la raison pour laquelle Gajeel protège autant cette fille ?

— J'ai pas mon propre avis dessus, mais d'autres pensent qu'il est sans doute attiré par elle ou un truc du genre. Et maintenant que tu en parles c'est assez intriguant venant de sa part.

— C'est juste parce qu'il la comprend mieux que quiconque.

— Je n'arrive pas à saisir, Juvia.

— Il n'a pas toujours été comme il est aujourd'hui. En primaire il était beaucoup plus... tempéré je pourrais dire, mais une année ses camarades l'ont vraiment fait baver.

— Attend, si j'essaye de voir où tu veux en venir. Tu veux dire qu'il a été... harcelé ?

— Quelque chose du genre. Même s'il ne se laissait pas faire pour autant que croix-tu que ça aurait pu changer quand on s'acharnait constamment sur lui ? D'autant plus qu'il n'avait personne pour l'aider.

Grey haussa un sourcil quand tout devint plus clair dans sa tête. Il comprenait désormais pourquoi il soutenait avec autant de hargne cette fille, c'était pour lui éviter les malheurs qu'il avait lui même suivi.

— Il essayait sans doute de montrer que ça ne l'atteignait pas, mais moi je savais, ça le brisait. Je n'avais jamais vu un enfant avec une expression aussi sombre. Et puis c'était cette année que ses parents étaient en instance de divorce. Aucun des d'eux n'avaient pu remarquer à temps l'état de leur fils, prit par leur procédure de séparation. Gajeel a dû grandir par ses soins dans un sens.

— J'imagine que ça a dû être difficile.

— C'est bien vrai qu'il est agressif et violent mais c'est parce qu'il n'a pas trouver un autre moyen pour lui pour se défendre et ne plus jamais se faire marcher dessus. Et il est aussi froid et sans indulgence avec autrui parce qu'il s'est fait abuser quand il était petit, c'est une façon pour lui de se protéger. Il est devenu ce qu'il est maintenant intentionnellement parce que de cette façon personne ne pourrais plus jamais venir lui faire du mal. J'ai assisté à toutes ses transformations de lui mais je sais qui il est réellement, il n'est pas mauvais. Pour lui il n'a pas eu le choix d'être ce qu'il est maintenant.

— Tu viens de briser tous les préjugés que je pouvais avoir à son égard.

Juvia lui sourit faiblement.

— Gajeel est plus sentimental qu'on le croit, une fois qu'il accorde sa confiance. On peut bien dire de lui ce qu'on veut tant que ceux en qui il croit n'est pas de cet avis il s'en moque bien. Mais... Mais moi...

<< Ça ne fais pas non plus de toi quelqu'un de bien. >>

<< C'est vrai que tu aimes bien qu'on te traite de monstre. >>

— Je lui ai dis des sottises, des choses que je ne pensais pas réellement parce que je voulais intentionnellement le blesser.

— Juvia...

— Je comprends qu'il ait demandé à ne plus me voir.  C'était comme lui demander d'oublier ce qu'il a lui-même traversé en fermant les yeux et de laisser passer les méfaits de Lucy. C'était égoïste de ma part et non réfléchit.

— Écoute, tu n'as rien à te reprocher concernant Lucy. Tu as essayé de faire les choses bien, mais en te faisant du chantage émotionnelle, elle a réussit à te remettre en question et te retourner contre Gajeel.

— Il faut que je m'excuse. Je peux peut-être l'écrire et...

— Calme toi, c'est mieux si tu t'excuses de vive voix et le plus juste serait de laisser cette journée passer.

— Je ne sais pas s'il me pardonnera.

— C'est sur qu'il va le faire. Tu étais la première personne qui était là pour lui.

En entendant ces mots, Juvia réussit à se calmer et à esquisser un sourire rassuré.

— S'il te plaît ne racontes pas tout ce que je viens de dire. Ça concerne Gajeel et si ça se sait il me haïras plus.

— A qui veux-tu que je le dise ? Soit rassuré.

— Merci.

— Si c'est bon je vais te raccompagner chez toi.

— Les autres sont chez Erza je présume.

— Oui.

— Si je ne t'avais pas à mes côtés, je serais toute seule en ce moment.

En lui faisant un doux sourire, il lui prit la main qu'il serra fort.

— Je t'aime Juvia.

Celle-ci rougit automatiquement.

*

Bickslow était assis sur le toit de l'école en fixant son téléphone. Un rire nerveux sortit d'entre ses lèvres en réalisant que Lisanna l'avait ignoré.

— Franchement !

Pas un seul message depuis. Elle n'avait pas dû enregistrer le numéro qu'il lui avait donné.

— C'est drôle, elle croit vraiment que je vais laisser tomber si vite.

Il n'avait encore jamais ressentit un sentiment aussi intense pour une fille. Et il n'était pas du genre à abandonner aussi vite.

— Hey Max, t'as ce que je t'ai demandé ?

— Oui, je t'ai envoyé un mail.

— Parfait, sourit-il satisfait. Pour une fois t'as servit à quelque chose.

— Grrr... Je t'ai toujours été utile.

— C'est ça espèce de mauviette. C'était juste une coïncidence que t'as petite sœur soit dans le même collège qu'elle mais bon ça m'a bien servit. Maintenait j'ai quelqu'un à aller voir.

— Euh... Bickslow, tu veux vraiment sortir avec elle ? demanda Vijeeter, hésitant.

— Oui et alors ?

— Je veux dire, c'est la petite sœur de Mirajane.

— Tu crois que ça va me faire reculer ?

— Tu aimes vraiment jouer avec le feu.

— Elle en a vaut la peine.

Lorsque Bickslow quitta le toit du bâtiment, les deux amis restèrent chuchoter entre eux.

— Il nous traite vraiment comme des moins que rien, soupira Max.

— Ouais mais bon en trainant avec lui on se fait pas embêter par la clique de Racer.

En déverrouillant son téléphone, Bickslow entra dans ses mails pour ouvrir celui l'intéressait le plus et il sourit en lisant ce qui y était écrit.

Toutes ses informations sur elle, c'était fascinant.

* *

Lisanna brossait tranquillement sa tête, venant de sortir quelques minutes plus tôt de la salle de bain quand on sonna à la porte.

Celle-ci déposa doucement en prenant une mine surprise. Elfman revenait déjà ? Il venait à peine de s'en aller.

La petite blanche sortit de sa chambre pour aller ouvrir et la sonnerie retentit de nouveau.

— Oui oui, j'arrive.

La jeune fille ouvrit et son expression changea en découvrant qui s'était.

— Quelle mine, t'es si surprise que ça ?

— Mais qu'est-ce que tu fais là ? s'enquit-elle.

Comment avait-il eu son adresse ?

— Étant donné que tu m'as pas contacté, je suis venu de moi-même.

— Je suis désolée je ne peux pas te recevoir.

Lisanna entreprit de fermer la porte quand Bickslow s'interposa en bloquant le poignet de la porte.

— Une minute, donne moi juste une minute, implora-t-il.

— Je ne peux pas te laisser entrer, Mira... Mira ne va pas apprécier.

— Ta sœur est absente.

— Comment tu sais ? s'étonna-t-elle.

— Je te répondrais si tu me laisses entrer.

— Je ne peux pas laisser entrer n'importe qui, expliqua-t-elle, s'apprêtant à nouveau à fermer la porte.

— Non, attend, fit-il, arrêtant cette fois-ci son poignet délicat.

— Qu'est-ce que tu veux ? demanda-t-elle alors.

— Pourquoi tu m'as pas contacté ?

— Je n'ai pas enregistrer ton numéro.

— Pourquoi ?

— Parce que je ne voulais pas te revoir.

— Vraiment ? fit-il, relevant son regard baissé jusqu'ici. T'as sœur t'as raconté quoi ?

— Rien, répondit-elle, rejetant sa face de côté.

— Une jolie fille comme toi ne devrait pas mentir.

A cela, la jeune fille rougit de honte.

— Q-Que je devrais me méfier de toi, que tu n'es pas quelqu'un de bien.

— Et tu la crois ?

— Oui.

— Tu es une bien gentille sœur.

C'est tout ce qu'il trouvait à dire ?

— Tu ne contredis pas ? Alors... C'est vrai ?

— Tu aimerais que ce soit faux ?

Sans répondre, Lisanna laissa planer un silence avant de prendre la parole.

— C'est juste ça que tu voulais savoir ?

— Pourquoi tu évites ma question ?

Cette dernière baissa d'avantage sa tête.

— Lisanna, regarde moi, murmura-t-il.

— Je... Je ne sais pas. Je ne sais pas si j'aimerais que ce soit faux ou pas.

Celui-ci se contenta de la regarder de la tête au pied, vêtu dans son mimi short bleu laissant entrevoir la finesse de ses jambes, son pull ample qui tombait négligemment contre son épaule, ses cheveux blanc humide encadrant joliment son visage dont quelques mèches colaient sur son front ou ses joues. Ses lèvres d'une couleur pêche.

Elle sortait de la douche ? Elle était si fraiche et dégageait une odeur de fleur.

Tenté, il fit un pas à l'intérieur et avança sa main vers sa joue, remettent une mèche de cheveux à sa place.

— N'en... N'entre pas.

— T'as peur que je te fasse un truc ? Soit rassuré, souffla-t-il, caressant sa joue de ses doigts.

— Tu... Tu veux quoi d'autre ? demanda-t-elle, faisant un pas loin de lui, en rougissant légèrement.

— Je veux que tu me laisses le faire partir de ta vie, je veux...

Bickslow ferma les yeux sans terminer sa phrase. Il voulait tant de choses comme ces lèvres sèches qu'il aimerait humidifier de sa langue.

La petite fille secoua sa tête en guise de refus et celui-ci fit un pas de plus vers elle.

— Je peux savoir ce que je veux sur toi. Ça sera un jeu d'enfant pour moi, alors avoir ton numéro ce n'est rien. Mais je veux juste te laisser le choix.

— Je n'en ai pas l'impression à cet instant.

— Hum c'est vrai. Je dois te supplier alors ? Je peux le faire.

Ce dernier avait saisit sa main et il déposa un baiser à l'intérieur de sa paume toute mole.

— S'il te plait, supplia-t-il.

Ses yeux verts subjuguèrent la blanche qu'elle perdit ses moyens et rougit, d'autant plus qu'il insistait sur le baiser.

— Je... Je...

— Tu ne veux toujours pas ? chuchota-t-il, déposant cette fois-ci ses lèvres sur son poignet.

L'adolescente ferma les yeux pour retenir son soupir. C'était agréable mais elle devait cesser ça.

— Mon... Mon numéro c'est 06***

— Tu es belle, complimenta-t-il.

— M-merci. Tu ne vas pas l'enregistrer ?

— Je l'ai memorisé.

Aussi vite ?

— D-D'accord, tu peux t'en aller maintenant, dit-elle, retirant sa main prise en otage.

— Tu veux me renvoyer de cette façon ?

— Il y'a autre chose ?

— Allez, met moi une bise là, dit-il désignant sa joue.

— Non ! Pourquoi je ferais ça ?!

— Hum, je t'en ai donné deux, j'aimerais qu'on soit quitte. Alors je resterais ici jusqu'a ce que tu le feras.

— Je... Je ne t'ai pas demandé de le faire et Mira peut rentrer d'un moment à un autre, je n'aimerais pas qu'elle te trouve là.

— Alors fais-le et je m'en irais sans histoire.

— Tu te montres vraiment insistant quand tu veux quelque chose, soupira-t-elle, voyant son regard décidé.

Bickslow sourit face à l'expression hésitante de la jeune fille.

— Juste un alors, murmura-t-elle.

L'adolescente se rapprocha doucement de lui et lentement, elle avança ses lèvres de sa joue.

Ces dernières s'écrasèrent timidement sur la joue du garçon. Satisfait, il porta sa grande main sur sa nuque en empoignant ses cheveux et il inclina la tête pour capturer les lèvres tant convoitées de la blanche.

La jeune Strauss sursauta alors qu'il mouvait ses deux croissants de chairs sur celle toute rose de sa ''partenaire'' en lui prenant délicatement par la taille.

Bickslow glissa sa langue toute chaude et humide sur ses lèvres qu'elle en frisonna.

Après un court échange peu expirementé de la part de Lisanna, cette dernière finit par reprendre ses esprits et le repoussa vivement.

— Qu'est-ce qui t'as pris ? s'écria-t-elle, rouge de la tête au pied.

— Mhw... Innocente en plus. Tu ne sais vraiment pas embrasser, fit-il se léchant les lèvres.

La jeune fille rougit d'autant plus, honteuse.

— Sors... Sors d'ici.

— On vient de s'embrasser et tu me jettes de cette façon ? Hum c'est comme tu veux. N'oublie pas de regarder ta messagerie.

Dès qu'il sortit, elle ferma la porte avec force et elle s'adossa dessus, couvrant sa bouche de sa main, les joues en feu.

— Il est fou...

Son cœur n'arrêtait pas de battre.

* * *

Gajeel se servit un verre d'eau qu'il bu d'une traite.

<< Ça ne fais pas non plus de toi quelqu'un de bien. >>

<< C'est vrai que tu aimes bien qu'on te traite de monstre. >>

— Putain, je dois oublier ça.

Ce dernier s'assit à table en cuisine pour dîner mais regarda son plat qu'il s'était préparé vite fait sans réel appétit. L'odeur était alléchante mais rien de plus alors il reposa sa fourchette sans rien avaler.


Regardant longuement un point dans le vide, il reprit connaissance lorsque son téléphone se mit à sonner.

Qui pouvait bien l'emmerder maintenant en lui envoyant des textos ? Encore Juvia ? Elle n'avait cessé de lui envoyer des messages qu'il préférait ignorer même s'il prenait la peine de lire.

En soupirant, il saisit son téléphone. Combien de fois comptait-elle s'excuser encore ? Il ne voulait pas spécialement lui parler.

— Levy ?

C'est vrai qu'elle avait dit qu'elle allait l'écrire.

Levy
——————————

Bonsoir Gajeel.

J'espère que je ne te dérange pas. C'est que j'aimerais savoir si tu vas bien.

Salut. Non tu me déranges pas, je fais rien et je vais bien, je t'ai dis de pas t'en faire.

Oh d'accord, si ça va c'est rassurant.

Et... Euh tu fais quoi ?

Je dîne. Et toi ?

Ah d'accord moi je viens à peine de terminer, par contre ce n'est vraiment pas appétissant de dîner tout seul.

Pourquoi tu dînes seule ? Ton père n'est pas là ?

Ah non, il rentre tard du travail.

Donc t'es toute seule là ?

Oui.

Il rentre à quelle heure ?

D'habitude je suis déjà endormie donc je ne sais pas trop.

——————————

C'était vraiment prudent de laisser une jeune fille toute seule ? En plus elle était handicapée. Et si un problème surgissait ?

——————————

Hey, rassure toi que tout sois fermés et fais attention à toi.

Si un jour t'as un problème fais moi signe.

——————————

Assis à sa table de bureau, Levy se mit à rougir, touchée par son inquiétude.

Levy
——————————

Merci c'est gentil.

Demain je t'aide pour les cours ?

On n'est pas censé travailler le samedi ?

Et rappelle moi ton adresse, je viendrais te chercher dimanche.

Oui oui, je voulais juste me rassurer.

D'accord, c'est ***

——————————

Gajeel sourit légèrement, cette conversation inatttendue lui permettait d'oublier, ne serais-ce un moment.

* * * * *

Levy réajusta derrière son oreille ses mèches couleurs azurs qui débordaient et sonna à l'appartement de Gajeel.

Elle attendait patiemment qu'on daigne venir ouvrir et dans cet attente, elle se surpris à imaginer Gajeel tenant la porte tout comme la semaine dernière, torse ouvert, humide, les cheveux débordant d'eau et...

La bleutée se mordit l'intérieur de la joue, reprenant ses esprits. Ça n'arrivera pas une seconde fois c'est sur.

Elle avait honte d'avoué quelle avait plutôt apprecié la vue. Il était terriblement... Sexy et...

La porte s'ouvrit lui sortant de ses pensées cocasses, les joues teintées de rouge.

Évidemment, ce n'était pas Gajeel torse nu et encore moins lui. C'était sa mère.

— Bonjour madame, salua-t-elle poliment.

— Oh, c'est encore toi. Bonjour, euh...

— Je m'appelle Levy.

— D'accord Levy, entre.

Après avoir refermé doucement la porte, l'ex-madame Redfox s'adressa une nouvelle fois à leur invitée.

— Tu es venue pour étudier avec Gajeel cette fois-ci encore ? demanda-t-elle, un peu surprise.

— Oui. Il est là n'est-ce pas ?

— Si mais il est en train de sortir.

Levy n'eût pas le temps d'être surprise que Gajeel apparut à  l'instant à la salle de séjour et sa mère leur laissa tous les deux.

— Levy ?

— Bonjour Gajeel.

— Salut. Je pensais t'envoyer un message de venir une heure plus tard, dit-il, se courbant vers la table basse. Ça m'a échappé.

— Tu sors ?

Gajeel prit avec lui la cage à chat à l'intérieur de laquelle se trouvait son animal entre ses mains, déposé il y'a peu au pied de la table.

— Je dois amener Lily voir un vétérinaire.

— Ton chat ? Il est malade ? s'inquiéta la bleutée.

— Sais pas trop. Il est bizarre depuis deux jours, au point de refuser sa nourriture préféré.

— Il est sans doute malade.

— Je reviens vite, attend ici, lui demanda-t-il.

— Attend, le cabinet du vétérinaire est loin ?

— Il y'en a un à une dizaine de minute d'ici.

— Alors... Je peux venir avec toi ? demanda-t-elle un peu hésitante. Enfin si ça ne te dérange pas.

— Non, vient si tu veux.

Levy hocha la tête et déposa son sac à dos sur le canapé avant de sortir en compagnie de Gajeel pour emprunter l'ascenseur et de sortir de l'immeuble.

Déjà à l'extérieur sous le soleil caché par les nuages, les deux camarades avançaient en silence.

— Comment tu as eu Lily ? Tu l'as adopté ? demanda-t-elle, brisant ce silence plutôt agréable par contre.

— Pas vraiment. Il trainait dans les rues et n'avait pas l'air d'avoir un propriétaire, alors je l'ai pris avec moi.

— Oh je vois. Tu l'as depuis combien de temps ?

— Un mois et quelques semaines.

— Alors tu aimes bien les chats ?

Levy n'obtenut pas de réponse car Gajeel s'était tendu et en regardant dans sa direction, elle vit la jeune fille d'hier, aux longs cheveux bleues océans.

Cette dernière s'approcha d'eux et s'apprêtant à leur adresser la parole, Gajeel avait juste continuer sa route en l'ignorant.

Juvia resta statufier sur place. Gajeel venait de l'ignorer mais elle se bougea, elle devait se faire pardonner, déjà qu'il ne répondait plus à ses messages la seule solution c'était d'aller lui trouver.

Elle courut jusqu'à eux et interpella son ami.

— Gajeel, s'il te plaît Gajeel attend. Gaj-

— Tu me casses les oreilles Juvia, rentre chez toi.

Celle-ci ravala difficilement sa salive par son intonation si froide.

— Je t'en prie écoute moi...

— Va retrouver Lucy et fiche moi la paix.

Le brun avait tiré la main de Levy pour s'avancer avec elle alors que cette dernière regardait tristement Juvia qui affichait une mine affreusement peinée.

— Gajeel... Ça va ?

— Vais bien.

La bleutée regarda leur deux mains enlacées. Il disait toujours qu'il allait bien.

— S'il te plait dit moi la vérité.

Celui-ci s'arrêta d'avancer puis se retourna totalement vers la jeune fille.

— Honnêtement ?

— Oui, honnêtement.

— Alors sache que j'en sais rien. Ça fait sans doute mal.

— Pourquoi tu n'écoutes pas ce qu'elle a à dire ?

— Pour son propre bien. Je préfère pas lui dire des choses plus horribles.

— Je vois mais quand tu seras calmé, tu vas l'écouter ?

— Sais pas. Peut-être.

Levy lui avait simplement sourit. Bon sang, il se sentait tellement apaiser avec elle.

Son sourire à cet instant était comme une baume.

..........

Avis ?

Hier ça faisait 2 ans jour jour que je m'étais inscrite sur ce site. Je voulais sortit le chapitre pour ce jour mais ça n'a pas été possible.

Je voulais simplement remercier ceux qui sont la depuis mes débuts et ceux qui m'encouragent à travers leurs messages, votes et commentaires à chaque fois que je sors un chapitre, ça me fait vraiment plaisir que je n'ai pas les mots pour vous remercier assez.

14 mars.

Marie

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