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trente-neuvième

Ses yeux étaient grand ouvert n'arrivant pas à fermer l'œil malgré l'heure avancé de la nuit, se ressassant en boucle les paroles de Levy.

Gajeel ne se serait pas douté qu'elle était amoureuse de quelqu'un, ça le troublait à vrai dire et savoir qu'il s'agissait sans doute de Luxus lui... Le...

— Putain, ça craint.

Pourquoi il ressentait cette irritation ? Levy n'était pas à lui et encore moins ne l'intéressait. Pour autant dire ce n'était qu'une fille pour qui il ressentait de la compassion et dont il s'était laissé impliqué dans sa vie uniquement pour la protéger.

Alors pourquoi quand il fermait les yeux il la voyait dans ses bras et ressentait la chaleur de son corps ? Pourquoi son sourire se dessinait devant lui, adorait la couleur vive de ses cheveux ? Pourquoi il était devenu dingue de son odeur aujourd'hui ? Pourquoi sa putain de beauté le fascinait plus que tout et le prenait au dépourvu à chaque fois qu'il la voyait en dehors du Lycée ?

<< Je voudrais bien qu'on soit ami. >>

Ami... C'est tout ce qu'elle voulait et c'était mieux ainsi pour eux deux.

— Mouais.

* *

La chambre était plongée dans la plus totale obscuritée, seule la lampe de chevet éclairait le corps allongé sur le lit, pris au soin depuis plusieurs heures par la petite bleutée.

Le front de son père était transpirant et elle s'arrangeait à éponger la sueur grâce à une serviette.

Ses yeux lui picotaient dû au sommeil qu'elle retardait pour veiller sur lui, malgré l'heure tardive.

Quand ce dernier reprit enfin connaissance, il essaya de se relever bien que son corps avait l'impression de peser des tonnes puis, il posa une main sur sa tête en grimaçant.

— Papa, ça va ?

— Mhm... fit-il tout simplement, un peu surpris de trouver sa fille à son réveil.

Sa vision était très trouble et ses yeux tiraient au fur et à mesure qu'il essayait d'accommoder sa vue à la lumière de la lampe de nuit.

— Ah... Il est quelle heure ? demanda-t-il, jetant un coup d'œil sur son réveil.

Ce dernier fut fort surpris en découvrant l'heure. Que faisait sa fille là ?

— Il est deux heures du matin ! Pourquoi tu es encore éveillée ?

— Tu t'es mis à transpirer et à vouloir vomir, j'ai du rester auprès de toi pour m'assurer que tu vas bien.

— J'ai comme un vide à la tête, dit-il difficilement. Qu'est-ce qui s'est passée ? voulut-il savoir, se massant la tempe.

La bleutée ravala l'acidité de sa gorge et sa poitrine lui brûlait intensément.

— Tu ne te souviens de rien, alors que je me suis inquiétée comme une folle. Je savais même pas quoi faire sur le moment. Pourquoi tu as bu de façon si incontrôlée ?

Monsieur Mcgarden fronça les sourcils aux souvenirs qui commençaient à monter et finalement, il baissa la tête. Encore une fois, il venait de décevoir sa fille.

— Pourquoi tu as fais ça ? redit-elle, presque larmoyante.

— C'est ce rêve, commença-t-il la voix basse. J'ai fais ce rêve dans lequel tu m'abandonnais en me tenant responsable de toutes tes souffrances alors quand je me suis réveillé ne te voyant nulle part dans la maison j'ai eu peur et j'ai paniqué, oubliant que tu m'avais prévenu de ta sortie. J'ai finis par craquer ne te voyant pas rentrer et j'ai bu.

Les mains de son père tremblaient et le cœur de Levy s'étreignit en le voyant si vulnérable, l'expression de son visage était affligeant.

— Papa je pourrais jamais t'abandonner, le rassura-t-elle, prenant sa main.

— J'ai tellement eu peur, tu es tout ce qui me reste de précieux, souffla-t-il, enlaçant sa fille.

Sa grande main posé à l'arrière de sa tête la maintenait contre lui, puis, il l'écarta doucement.

— Désolé de t'avoir fait endurer ça, toute seule.

— J'étais plus seule, mon ami était avec moi.

— Tu as un ami ? dit-il, stupéfait.

— En fait c'est un bon camarade, je l'aide pour les cours. On s'entend bien et... Euh voilà.

— Je suis ravi d'apprendre que tu te rapproches de tes camarades.

— J'étais soulagée qu'il soit avec moi, il a attendu longtemps.

— C'est bienveillant de sa part, si tu l'invitais à la maison pour que je puisses le remercier.

— Vraiment ? Oh merci ça sera bien.

Elle qui attendait une occasion pour pouvoir l'inviter chez elle.

— N'oublie pas de l'inviter mais maintenant, essaye d'aller dormir tu as cours demain... Hum dans quelques heures.

Son père lui avait accompagné jusque dans sa chambre, alors qu'en marchant, elle sentait des picotement monter dans sa jambe. On dirait bien que le peu de soin que Gajeel avait fait ne tiendra presque plus.

Lorsque la bleutée s'allongea dans le lit aidé par son père, ce dernier remarqua enfin le bandage autour de sa cheville et tout en haut.

— Levy, qu'est-ce que tu as eu au pied ?

— Ah je... J'essayais de te conduire dans ta chambre mais...  Non papa t'en fais pas, le rassura-t-elle, le voyant très inquiet. Gajeel m'a fait un bandage et ça va mieux.

Mathias laissa tomber, il n'était de toute façon pas en état de discuter et sa fille avait besoin de se reposer. Il avait remonté les draps sur elle en lui souhaitant une bonne nuit et à peine avait-elle fermé les yeux que le sommeil avait eu raison d'elle.

Elle devait être épuisée, songea son père. Et à cause de lui, elle passera une très courte nuit.

Ce dernier entreprit de couper son alarme – elle n'avait pas besoin de se réveiller aussi tôt que d'habitude – avant de sortir la chambre.

* * * * *

Ses yeux s'ouvraient tout doucement et rencontrèrent une porte close.

Le soleil filtrait par la fenêtre et la chambre était éclairée par la lumière vive de la matinée qui fit sursauter la bleutée.

— Oh non ! s'écria-t-elle.

7h50.

Elle était en retard pour les cours.

La bleutée se releva à la hâte et descendit pécipitamment du lit en récupérant sa bequille mais, elle avait trébuché sans faire un seul pas, sa jambe subitement tremblante.

— Non...

Pas maintenant.

La bleutée s'accrocha à son lit pour pouvoir se relever. Devait-elle refaire un nouveau bandage après avoir passé des glaçons dessus ? Mais ça allait lui prendre un temps énorme ! Les cours débutaient dans dix minutes.

En voulant récupérer sa béquille,  la jeune fille avait renversé les produits déposés sur sa commode quand le bout de cette dernière frappa la caisse faite de bois.

Le bruit causé par une boite en fer qui roula le long du sol alerta son père qui occupait la chambre d'à côté, à peine réveillé.

Matthias était alors apparut à sa porte et fronça les sourcils en découvrant sa fille agenouiller face à son lit et ses effets au sol.

— Qu'est-ce qui ne va pas ?

— Oh rien j'ai trébuché parce que je suis pressée, je vais être en retard, je n'ai pas suivis mon alarme.

— Ce n'est pas que tu ne l'as pas suivis, je l'ai arrêté.

— Pourquoi ? s'étonna-t-elle. Je suis en retard maintenant.

— Tu as dormi très tard à cause de moi, alors la moindre des choses aurait été que tu fasses suffisamment d'heures de sommeil et puis ce n'est pas si terrible pour toi d'arriver en retard pour une fois. Mais si tu ne veux pas manquer d'avantage ton cours, tu ferais mieux de commencer de t'apprêter, dit-il, tout en s'avançant vers elle.

Il l'aida à se relever en lui tenant par les épaules mais elle s'accrocha fortement a son bras.

— Qu'est-ce qu'il y'a ? s'inquiéta-t-il.

— Je n'arrive pas à marcher.

— Ta bequille est juste là, attend je...

— Ce n'est pas ça, l'interrompit-elle, mon pied me fait mal.

— Comment ? C'est mieux d'aller voir ton médecin.

— Ce n'est pas grand chose, je n'ai qu'à faire un massage et refaire le bandage.

— C'est la quantième fois que ça se répète ? Et puis si tu as si mal au point que tu ne peux pas marcher, c'est mieux d'aller voir ce qu'il en ait.

— Mais je veux pas manquer les cours !

— Manquer une journée n'est pas si catastrophique, surtout pour toi. Tu ne peux pas me faire croire le contraire.

La bleutée avait recouché sa tête sur le lit. Son père ne pouvait pas comprendre, ce n'était pas une question de manquer les leçons mais c'était que... En fait... Elle ne verrait pas Gajeel aujourd'hui.

— Levy, il y'a encore des chances de te voir marcher, si on néglige ce problème on pourrait la perdre.

— Je sais, souffla-t-elle.

— Apprête toi, je viendrais te chercher.

Après qu'il se serrait mis sur pied étant donné qu'il ne s'était pas encore remis de sa cure d'alcool d'hier. Il lui faudra un bon café.

*

La classe était pleine, les élèves formant des groupes de causerie comme à leur habitude, sauf une personne. Sa tête était allongée sur sa table, les yeux rivés sur la place vide près de la fenêtre.

Levy n'était jamais en retard. Enfin pour la plupart du temps, il la trouvait déjà en classe à son arrivé et elle lui faisait toujours un sourire réservée et timide en lui disant bonjour. Mais aujourd'hui, à la place, il avait eu un accueil froid c'est-à-dire, il avait juste rencontré sa chaise vide.


Elle avait dû se réveiller très tard, étant donné ce qui s'était passé hier. À une heure encore, elle lui avait envoyé son dernier message et il lui avait bien recommandé de se coucher aussitôt qu'elle pourra.

Figé dans son regard, il ne remarqua pas la paire d'yeux bleus qui fixaient la place vide de Levy.

— Mirajane, qu'est-ce que tu regardes ?

— Oh non rien, répondit-elle à Lucy, dérivant son regard devant elle.

La blonde regarda dans la direction que fixait la blanche auparavant et sourit. On dirait bien que ce qu'elle lui avait dit hier commençait à faire effet. Mais dommage que Levy ne soit pas encore là.

Cette petite handicapée avait enfin décidé de ne plus venir en cours ? se moqua-t-elle. Ça sera la plus belle nouvelle qu'elle aurait reçu dans un tel cas.

Lucy se tourna en direction de Juvia pour lui adresser la parole.

— Juvia, j'ai appris que tu t'étais disputer avec Gajeel. Tu dois vraiment te sentir mal vu comment tu l'affectionnais mais tu sais, il ne mérite pas ton amitié et si tu as besoin sache que je suis là, je suis vraiment triste pour toi.

— Lucy c'est gentil j'avais peur qu'on reste en froid et ne t'en fais pas, il en a pas l'air mais c'est un bon ami, pour moi en tout cas et tu peux être rassuré, on s'est réconcilié.

— Ah... C'est vrai ? Je suis contente pour toi alors, dit-elle, sans réelle forme de joie.

Comment se fait-il qu'il se soit déjà réconcilié ?! Ça l'énervait.

La jeune héritière sortit de ses pensées par l'arrivée du professeur d'histoire.

Madame Mavis prit place sur son bureau en saluant chaleureusement ses jeunes élèves.

Elle aimait bien leur principale tout comme cette dernière était chaleureuse avec eux, surtout avec ceux qui participaient activement en classe. Mais le problème était que... En fait elle avait l'impression qu'elle préférait Levy à elle comme la plupart des autres professeurs. Ils étaient tous en admiration devant son intelligente pourtant avant c'était elle qu'on admirait. Cette fille lui faisait de l'ombre !

— Levy est-elle absente ? s'enquit la professeur.

Et nous revoilà ! ralâ la blonde, levant les yeux au ciel. Qu'elle plaie cette handicapée, elle savait vraiment attirée l'attention sur elle. C'était sur qu'elle avait fait exprès de ne pas encore être présente juste pour que les professeurs la demande.

— Elle doit avoir marre, lança un éleve dans la classe.

Les autres se mirent à rire et la blonde sourit. Gajeel comptait-il encore se mettre à la défendre activement comme d'habitude ? Cet idiot...

En tournant son regard vers lui, elle remarqua qu'il était complètement tourné vers la fenêtre. A quoi il pensait ?

* *

Les deux premiers cours étaient passés, la sonnerie de la première pause retentit mais toujours pas de trace de Levy.

Lui qui avait longuement hésité à l'écrite pensant qu'elle avait simplement eu du retard à cause des événements d'hier mais il ferrait mieux de savoir si tout allait bien pour elle.

Après avoir envoyé son message, une silhouette se dessina à la fenêtre et il dériva son regard dessus.

Luxus se tenait là, les sourcils froncés et l'air pas très content.

Super. Il n'avait vraiment pas envie de le voir aujourd'hui.

— T'ignore encore mes messages.

— Quoi ?

— J'ai quelque chose pour toi.

Gajeel regarda longuement le blond avant de déclarer,

— J'en veux pas.

— Tu sais même pas ce que c'est.

— Pas besoin de le dire.

— Trainer avec cette Levy te rend dusciplinaire ou quoi ? En passant elle est où ?  demanda-t-il, parcourant la classe des yeux.

Levy ? Il avait déjà retenu son prénom ?

— C'est sur qu'elle aurait été heureuse de te voir, marmona-t-il.

— Me dit pas qu'elle a craqué sur moi ? Haha, quelle histoire, encore une. Je sais que je suis irrésistible.

L'expression de Gajeel devint sombre. Qu'il aurait aimé avoir ses écouteurs à l'instant, il se serait défoncé les oreilles avec sa musique pour ne plus écouter Luxus se la péter.

En voyant l'état trouble de Gajeel, Luxus sourit. On dirait que ça ne lui plaisait pas du tout sa petite plaisanterie. Il ne l'avait pas contredit, au contraire, il l'avait dévisagé comme s'il lui en voulait de cela.

Pourtant, cette fille n'était pas attirer par lui enfin, il savait remarquer ce genre de truc et hier elle ne l'avait même pas calculer, c'est-à-dire qu'elle n'avait eu d'yeux que pour cet idiot et si seulement il avait vu comment elle avait réagit quand il avait dit qu'elle était ''belle'' il  ne penserait pas pareil.

D'où il sortait cette sottise ? Si elle était intéressée par quelqu'un ce n'était sûrement pas par lui.

— Si c'est vrai j'espère bien la croiser.

— Dégage, grinça-t-il.

Luxus partit en riant. C'était si facile de le titiller.

Gajeel laissa tomber sa tête à table, c'était mieux s'il s'endormait mais avant tout, il guetta son portable.

Elle n'avait toujours pas répondu.

*

Levy était allongée depuis une heure de temps sur un lit de l'hôpital, son père à ses côtés. Ce dernier avait pris une permission à son lieu de service, ce qui avait évidemment pris du temps pour qu'on le lui accorde avant qu'ils ne se mettent en route pour l'hôpital.

Déjà qu'avant de quitter la maison son père lui avait fait manger un petit déjeuner copieux puis refais son bandage, ça les avait encore plus retardé.

Quand le docteur entra dans la pièce lumineuse, la bleutée se redressa dans le matelas. Ce dernier s'adossa sur son bureau et lu l'analyse de radio qu'il avait en main.


— Et bien mademoiselle Mcgarden vous avec une entorse.

La bleutée se rapetissa sur le siège se sentant en faute.

— C'est grave ? demanda monsieur Mcgarden.

—  Pas en tant que tel, il est plus adéquat qu'elle utilise ses deux béquilles, au moins pour quelques temps, pour limiter les pressions et faciliter le rétablissement, confia le médecin à son père.

Utiliser ses deux béquilles ? paniqua-t-elle.

— Mais je ne peux pas !

— Qu'est-ce que tu racontes ? s'enquit son père, dérouté.

— Je ne veux pas utiliser mes deux béquilles.

— Ce n'est que pour un temps.

— Mais c'est encombrant ! Et je suis ridicule avec.... Ils... Ils vont encore plus se moquer de moi...

Mathias soupira.

— Tu crois vraiment que c'est le moment de faire attention à ce que tes camarades disent de toi ?

— C'est pas toi qui vit ça tous les jours, les voirs rirent de moi à chaque fois que je suis dans les parages.

— On ne peut pas tous le temps faire attention à ce qu'on pense de nous, c'est un poison qui empêche de vivre comme tu le souhaites. Tu n'es pas responsable de ton état.

— Tu crois que je ne le sais pas ?! Même si on ne le veut pas on finit toujours par être affecté par les paroles venimeuse des autres. Je n'en peux plus de vivre ça chaque jour.

— Levy écoute...

— Non, tout ça c'est de ta faute ! s'écria-t-elle, repoussant sa main. Si je ne t'avais pas trouvé ivre je ne me serais pas fait aussi mal en essayant de te conduire dans ta chambre. Je ne vais pas porter de deuxième béquille, conclut-elle, descendant du lit en tirant sa béquille tout près.

— Levy !

Cette dernière sortit de la pièce en boitant, sur les yeux attristé de son père qui passa une main maladroite sur son visage, trahissant une expression douloureuse.

<< Tout ça c'est de ta faute ! >>

Il savait bien qu'un jour ça allait arriver, ça n'avait été qu'une question de temps.

— Désolé, s'excusa-t-il auprès du docteur.

— Vous devriez parler plus calmement. C'est une entorse légère mais si on la néglige ça pourrait s'aggraver.

— Ah, soupira-t-il. C'est normal qu'elle repousse l'idée avec ce qu'elle vit à l'école.

Monsieur Mcgarden regarda la porte que venait de franchir Levy.

Cette dernière s'était arrêtée sur un banc dans les couloirs ne pouvant plus faire un pas de plus.

Ses larmes avaient coulés lentement de ses yeux sachant qu'elle n'avait pas le choix de recommencer à utiliser ses béquilles mais à cause des regards des autres, elle avait préféré en utiliser une seule jusqu'ici, bien que c'était aussi pour un meilleur confort et puis son médecin lui avait dit qu'elle ne risquait rien tant quel limitait les pressions sur son pied mais elle avait fait le contraire tous ses derniers temps. Sa jambe s'était donc fragilée.

En fouillant dans sa petite sacoche qu'elle avait sur elle depuis tout ce temps pour retirer un mouchoir, à la place, elle fit sortir son téléphone et regarda les notifications.

— J'ai un message de Gajeel, souffla-t-elle, essuyant ses yeux pour se mettre à lire.

Gajeel ♡
——————————

T'as décider de secher ? Pourquoi t'es pas en cours ?

Tout va bien ?

——————————

Les deux messages avait été envoyé avec l'écart d'une trentaine de minute. Il s'était sûrement inquiétés vu qu'elle n'avait pas répondu.

La jeune fille posa le téléphone contre sa poitrine. Elle avait envie de le voir et de plonger un nouvelle fois dans ses bras. Ça avait été si rassurant hier, blottit contre lui.

..........

Avis ?

12 avril.

Marie

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