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dixieme

La porte s'ouvrit sur Gajeel, l'air grave sur le visage se dirigeant vers sa place et en s'asseyant sur son siège, il remarqua les deux sacs de sa voisine au sol, un mouchoir sur sa table, et des papiers tout autour.

Pourquoi laissait-elle ses effets si désordonnés et dans une telle saleté ?

Dans les couloirs, lorsque Juvia l'avait interpeller, il avait aperçu furtivement la bleutée bien qu'il n'avait pu l'observer plus distinctement. Néanmoins, du peu qu'il avait pu remarquer, on aurait dit qu'elle pleurait.

Les cours allaient commencer d'ici quelques minutes pourtant elle ne revenait toujours pas.

Ah... Depuis quand il s'intéressait à une élève lambda ? Il prêtait un peu trop d'attention à cette fille.

Ça devait cesser.

Gajeel se balança sur sa chaise, les bras croisés et la sonnerie le surprit ainsi. Il grommela lorsque la porte s'ouvrit sur madame Mavis. Toujours pile à l'heure celle-là, pesta-t-il.

Tout le monde salua le professeur chaleureusement et elle leur répondit gaiement.

Comme d'habitude elle observa la classe tout en se dirigeant vers les couloirs et ses yeux se bloquèrent sur la place qu'occupait Levy.

Elle n'était pourtant pas le genre d'élève qui manquait les cours. Peut-être qu'elle avait du retard.

Sa théorie tomba vite dans l'eau quand elle remarqua un sac à dos au pied de sa table qui devait sans doute appartenir à Levy.

Et pourquoi c'était aussi sale ?

— Où est Mcgarden ? demanda-t-elle.

La classe se mura dans un silence et Mavis écarquilla les yeux lorsqu'elle remarqua les grossièretés écrit sur le bureau.

— Qui a écrit ça ? demanda-t-elle.

Le son de sa voix vibra dans la pièce et les élèves devinrent encore plus silencieux qu'ils ne le pouvaient être.

— J'ai posé une question ! Qui écrit des choses pareilles sur sa camarade ?

Personne ne parlait ? Chacun se ratatinant sur son siège.

— Qui sont ceux qui était de ménage hier ? Levez vous !

Ces derniers assis au milieu de la classa se levèrent.

— Vous étiez sans doute les derniers à quitter la salle de classe. Vous n'avez rien remarqué d'étrange ?

— Non, répondit Bickslow, sèchement.

— N-non, r-rien madame, répondit les deux autres, Max et Vijeeter, la panique dans leur voix.

— Vous êtes sur ? En tant que professeur principal c'est mon rôle d'être attentif à l'adaptation des éleves dans la classe. Ce genre de chose ne peut pas rester impuni. Si vous aviez été témoin de quelque chose vous devez parlez, à moins que ce ne soit vous les responsable.

— Mais non, affirma Max, le regard fuyant.

Leurs gestes et leurs voix n'étaient vraiment pas crédible.

— Peut-être que serez plus à l'aise de parler devant vos parents ?

— Non pas les parents. C'était... C'était une idée de Bickslow, trahit Max, anxieux.

— Espèce de traite, siffla le concerné entre ses dents.

— Très bien, vous trois je vous veux dans la salle des profs après mon cours.

Mavis se dirigea vers son bureau inquiète. Où était donc Levy ? Si un surveillant la surprenait dans les couloirs en pleine heure de cours elle sera punie injustement.

— Personne ne saurait où elle aurait pu aller ?

— Sans doute à l'infirmerie.

— Elle n'avait pas l'air bien quand elle sortait de la classe.

Est-ce qu'elle devait aller vérifier ? Ces paroles l'avaient sans doute énormément blessées.

— Je reviens, déclara Mavis en sortant de la classe.

— Où est-ce qu'elle va ? s'interrogea Lucy.

— On s'en fou, tant que c'est son heure qui passe, dit Grey.

Madame Mavis entra à l'infirmerie et se dirigea vers jeune femme présente.

— Bonjour mademoiselle. En fait je cherche mon élève.

— Votre élève ?

— Ah ça a l'air bizarre mais c'est important. Elle est petite avec les cheveux bleus et utilse une béquille. Est-ce qu'elle se trouve ici ?

— Oui, un surveillant l'a amené ce matin, il trainait dans les couloirs et elle n'avait pas l'air bien.

— J'aimerais lui parler.

— J'ai dû lui donner des calmants car elle ne cessait de pleurer. Elle  est endormie.

— D'accord je lui parlerai plus tard, merci.

Mavis retourna en classe, encore plus révolté contre ses trois garçons.

Blesser intentionnellement leur camarade. Mais à quoi ils pensaient ?

* *

Tout doucement, ses paupières s'ouvrirent et la lumière de la pièce éblouit ses yeux où elle fut donc obligée de les cligner plusieurs fois pour habituer sa vue. Elle se redressa lentement et s'assit dans le lit en frottant ses yeux.

Reconnaissant qu'elle était à l'infirmierie, son cœur se serra douloureusement en se souvenant de la raison qui l'avait conduit ici.

Tous ses mots, insultes, moqueries défilèrent dans sa tête et elle mit ses deux mains sur ses oreilles comme pour ne plus les entendre.

— N-non... Ar-rê-tez...

Ses larmes auraient pu recommencer à couler si une  voix forte ne l'avait pas sortit de ce tourment.

— T'es réveillé.

Ses mains quittèrent ses oreilles et tournant son visage d'où lui était parvenu la voix, elle fut surprise en voyant qui c'était, assis sur le lit tout près du sien, les bras croisés.

— Ga... Gajeel ?

Ce dernier fronça les sourcils. C'était la première qu'il l'entendait prononcer son prénom.

Elle ne l'avait pas dit avec peur, ou intimidée comme la plupart des élèves. Juste Gajeel d'un timbre surpris.

— Pardon...

C'était bizarre de l'appeler par son prénom alors qu'ils n'étaient pas proche, non ?

— T'es attendu dans le bureau de Mavis, lui fit-il savoir.

— Madame Mavis ? À la salle des profs ?

— Où tu veux que se soit ?! rétorqua-t-il.

— Ah... Merci.

Elle n'était pas sur de se retrouver, elle n'avait pas fait attention à cette partie du lycée lors de sa visite.

— Tu voudrais bien m'accompagner ?

— ...

— Ou... Ou tout simplement m'indiquer... Je... Je pense pas me retrouver, se reprit-elle en agitant ses mains.

— Suis-moi, dit-il, se mettant debout.

Levy chercha sa béquille pour pourvoir se lever. Elle avait sûrement glisser au sol. Elle se pencha donc légèrement pour la ramasser et elle pût suivre Gajeel après s'être mise debout.

— Mais il... Il y'a pas cours ?

— C'est la pause.

— Déjà ? s'étonna-t-elle.

Elle avait dormi si longtemps ?

Si c'etait la première pause alors elle avait donc manqué deux cours. Et qui lui prêtera les notes de ces leçons ? Tout le monde la rejetait dans cette classe.

Peut-être lui, il n'était pas très indifférent et encore moins méprisant avec elle mais le problème était-elle qu'elle ne suivait jamais les cours.

Levy soupira. Elle était coincée. Comment allait-elle faire pour avoir ces cours ?

Arrivée dans les couloirs du lycée, elle avait déjà du mal à suivre Gajeel avec les nombreux élèves qui étaitent présent, de plus qu'elle avançait lentement en béquille et il ne lui facilitait pas la tâche avec ses grandes enjambées.

— S'il... S'il te plait va moins vite, dit-elle.

Il se tourna vers elle et fronça les sourcils. C'était quoi ces petites jambes ? Il n'avait pas que ça à faire. Déjà que ça le saoulait d'être allé la chercher, lui qui ne voulait plus avoir à faire à cette fille.

Arrivée à son niveau, Levy s'adressa à lui.

— Merci de m'accompagner.

— C'est pas comme si j'avais le choix, Mavis m'a convoqué et elle m'a demandé de venir avec toi par la même occasion.

— Ah...

C'est vrai qu'elle avait trouvé ça bizarre de le trouver à l'infirmerie à attendre qu'elle se réveille.

Dans le silence le plus total entre eux, ils arrivèrent à la salle des professeurs qui, était sectionnée en plusieurs petits bureau occupée par certains enseignants, une imprimante ainsi qu'une photocopieuse à proximité et, des cassiers le long d'un mur tout au fond.

Son regard détailla la salle alors qu'elle cherchait madame Mavis des yeux et quand son voisin se mit à avancer, elle le suivit à l'aveuglette sans réfléchir.


La bleutée remarqua en premier lieu les trois garçons d'hier. Elle aurait bien aimé ne pas les voirs.

— Madame vous m'avez appelé ? interrompit Levy.

— Oui, approche toi. Tu vas bien ?

— Oui ça va. Pourquoi je suis ici ? J'ai fais quelque chose de mal ?

— Bien sur que non tu n'as rien fais. Si je t'ai fais venir c'est par rapport à ce qui s'est passé ce matin.

Les mains de la jeune fille se mit à trembler à ce souvenir.

— Ce genre de chose ne peut pas rester impuni. Est-ce que c'est la première fois que ça arrive ?

— Oui...

— Je vois, souffla-t-elle.

L'enseignante se tourna vers les responsables de l'incident.

— Si ça avait été répété ça aurait été du harcèlement mais dans ce cas c'est de l'incitation à la discrimination. Vos comportements sont irresponsables je suis dans l'obligation de convoquer vos parents.

— Non, punissez nous à la place mais ne convoquer pas les parents, supplia Max.

— Oui n'importe quelle punition on peut le faire, appuya Vijeeter.

— Je n'en ai pas encore fini avec vous. Dégradation du matériel de classe en écrivant sur le table banc de votre camarade, je vais vous envoyer chez le proviseur.

— Mais...

— Maintenant présentez vos excuses à Mcgarden.

— Ah, soupira Bickslow, irrité.

Ils vont s'excuser ? se demanda Levy.

— Écoute, tu nous excuses hein ?

— Oui, oui si t'es gentille alors excuses nous et convint la prof. C'était juste une petite blague de rien du tout.

Une blague ?

Pour eux c'était juste une blague ?

Se rendait-il compte du mal qu'elle avait ressenti ?

— Je devrais vous excuser ?

Gajeel haussa les sourcils. Son ton était devenu froid d'un coup.

— Vous n'êtes même pas sincère, dit-elle, fixant furtivement Bickslow qui n'avait même pas fait semblant de s'excuser.

Mavis claqua dans ses mains pour attirer leur attention.

— Vous trois retourner en classe pour le moment.

Les trois garçons s'en allèrent en grommelant laissant avec leur professeur d'histoire Levy et Gajeel.

— Tu es sur que tu vas bien ? Je comprend si tu te sens blesser, dit Mavis à la jeune élève.

— Ça va mieux. Merci madame.

— Je t'en prie, en tant que principal de la classe c'est mon rôle. Ah et ne t'en fais pas j'ai demandé qu'on te change de table et je me charge de justifier tes absence en cours ce matin.

Levy hocha la tête très reconnaissante.

— Tu peux y aller maintenant, je me charge du reste.

La bleutée se retourna lentement pour s'en aller et Mavis s'adressa à l'élève restant.

— Gajeel assied toi.

Ce dernier s'exécuta et prit place sur le seul siège de libre près de son bureau.

— Pourquoi je suis là ? demanda-t-il.

— Les professeurs se plaignent.

— Quoi ? J'ai rien fais.

— Justement. Au moins si tu ne participes pas en cours prend la peine de suivre, d'écouter, de t'y intéresser. Tu ne fais que dormir.

— C'est pas ma faute si j'y comprend rien.

— Tu veux encore reprendre une année de plus ?

Gajeel resta silencieux.

— Je ne pense pas que tu sois sot. Juste que tu ne te donnes pas du mal.

La jeune enseignante prit une feuille et un stylo.

— Je prend au séreux mon rôle de professeur principal. Alors sache que je suis là pour une quelconque aide. Hum voyons voir...

Gajeel soupira, cet échange allait être chiant.

— Je vais te donner quelques conseils pour que tu sois plus concentré, c'est les premières évaluations dans quelques jours.

* *

Gajeel sortit enfin de la salle des professeurs. Ça avait été long, la pause était déjà terminée.

Il avança dans les couloirs vides les mains dans les poches et presque arrivé devant sa salle de classe, il remarqua Levy adosser contre le mur.

Pourquoi elle n'était pas en classe ?

La jeune fille leva les yeux quand elle sentit la présence de quelqu'un.

Le regard perplexe de son voisin lui fit baisser le regard. Il se demandait sûrement pourquoi elle n'était pas en classe.

Elle n'était pas le genre d'élève à trainer dans les couloirs aux heures de cours ou en s'en faire virer. C'est juste qu'elle n'avait pas eu le courage d'entrer après qu'elle ai quitté la salle des professeurs.

Elle avait traîné un peu dans le lycée jusqu'à la fin de la pause avant de revenir et elle c'était bloquée là.

— Tu fous quoi là ? Y'a cours, dit-il.

Ça ne lui plaisait pas non plus d'être ici mais à cause de l'humiliation qu'elle avait subit ce matin, elle avait deux fois du mal à se présenter devant ses camarades.

Gajeel toqua à la porte et Levy se mit derrière lui. S'ils entraient à deux toute l'attention ne sera pas porter uniquement sur elle non ?

Elle se sentit un peu mal de se servir de lui.

Le professeur leur demanda d'entrer bien qu'un peu irrité d'être dérangé.

Gajeel expliqua qu'ils avaient été convoqué à la salle de professeur et heureusement que Mavis lui avait laissé fourni un mot.

— C'est bon allez vous assoir.

Levy s'empressa d'y aller, alors que tous les regards étaient fixé vers eux.

La jeune fille s'assit, et bien évidemment, sa table avait été changé. Ce qui la soulagea. Elle n'aurait pas aimé lire ces trucs toute la journée.

Gajeel fouilla son sac et il regarda troublé les cours qu'il avait copié ce matin. Il ne savait même pas ce qu'il lui avait prit de faire ça mais bon, vu qu'elle était là autant les lui donner avant qu'il ne se rétracte.

Celui-ci tendit son bras tenant le cahier de note vers Levy.

— Tient, dit-il assez fort pour qu'elle l'entende.

Celle-ci regarda perplexement ce que lui donnait son voisin après que son attention ait été attiré vers lui.

— C'est quoi ? demanda-t-elle d'une petite voix.

— Prend les c'est tout, dit-il, un peu énervé.

Pourquoi il s'énervait ?

Levy prit finalement le cahier pour le feuilleter et la surprise prit possession d'elle. On aurait dit des notes de cours, celui d'histoire et de science qu'elle avait manqué ce matin.

Il avait prit les notes pour elle ? Pourquoi ?

Ça la fit rougir.

— M-merci.

Le concerné ne répondit pas. Lui-même ne savait même pas ce qui lui avait prit. En fait si, ce qu'elle avait subit ce matin lui rappelait un vieux souvenir de primaire et puis il savait bien que personne dans cette classe ne lui aurait prêter ses notes.

Levy garda précieusement dans son sac le cahier que son voisin lui avait donné et sortit ses effets. Elle devait suivre le cours qui passait.

Mathématique.

— Ah, soupira-t-elle.

C'était vraiment pas un cours auquelle elle aurait voulu assister dans son état encore bouleversé.

— Que l'un de vous passe faire l'exercice de la page soixante-et-un, dit le professeur.

La jeune fille ouvrit le livre à la page indiqué et elle remarqua donc que c'était l'exercice sur lequel au précédent cours il avait demandé de travailler.

Bien évidemment il avait expliqué brièvement le concept et après avoir passé une longue heure dessus elle avait finalement assimilé.

La bleutée voulut lever la main mais elle se désista. Elle allait encore se faire traiter de prétentieuse, pleins d'autres trucs blessant et elle ne voulait vraiment plus en subir aujourd'hui. Cependant, aucun élève ne se proposa.

Attend. Personne n'avait travaillé sur l'exercice ? Pourtant le professeur l'avait demandé.

Ça voulait dire qu'elle était la seule à avoir la réponse ? – Son cœur se mit à battre fort – Est-ce qu'elle devait répondre ?

Non. Elle ne voulait plus se faire insulter.

La classe était bien silencieuse ce qui irrita monsieur Bluenote Stinger qui informa donc de faire passer l'exercice en interroga dans ce cas.

Tout le monde ou presque se mit à regarder Levy.

Ils attendaient d'elle une réponse ? C'étaient les premiers à se moquer d'elle à la première occasion et ils voulaient qu'elle les sauve la mise ? Malgré qu'elle n'était pas du genre rancunière mais elle ne les fera pas cette faveur.

— On dirait bien que votre camarade ne vous sauvera pas cette fois, dit le professeur, moqueur.

Cette situation l'amusait ? C'était bien son genre de vouloir coller un zéro à tout le monde.

Fais chier ! Lui qui c'était décidé à  suivre le cours après que les mots de Mavis lui étaient montés à la tête, voilà qu'il allait se prendre une interro et un zéro de surcroît.

Lui aussi se mit à regarder Levy. Elle n'avait vraiment pas la réponse ?Elle n'était pas du genre intello ou je sais pas quoi ?

— Hey Levy.

Cette dernière fut un peu surprise que son voisin l'appelle. C'était la première fois.

— O-oui ?

— T'aurais pas la réponse là ? J'ai vraiment pas envie de chopper un zéro.

— Je... Euh...

Elle pouvait bien répondre pour lui non ? Il avait prit la peine de lui passer les notes des cours qu'elle avait manqué ce matin.

Levy leva donc la main.

— Monsieur je veux bien faire l'exercice.

Le professeur parut déçut. Sérieusement il voulait filer un zéro à tout le monde ?

Le silence se rompit et entre eux, les élèves se mirent à chahuter.

– J'ai flippé grave. Elle pouvait pas le dire plutôt ?!

Elle voulait jouer les héroïnes, tu veux quoi ? rit un autre.

– Je vous disais bien qu'elle était prétentieuse.

C'était quoi ça ? Elle venait de leur sauver la mise et ils trouvaient un moyen de l'insulter ?

Gajeel regarda Levy, elle n'avait pas l'air bien et serrait fermement ses mains contre sa poitrine, les yeux fermés.

C'était pour ça qu'elle ne voulait pas répondre ?

Tout d'un coup il se sentit peiné pour elle ce qui était un record, lui qui ne se souciait que de lui-même – aussi connaissait bien trop ce sentiment d'être méprisé par ses camarades – Peut-être qu'il n'aurait pas dû lui demander ça.

— Ne répond pas si tu veux pas, dit-il finalement.

— Non ça va.

Après avoir prit une grande inspiration, Levy récupéra sa béquille et alla résoudre l'exercice au tableau.

La voir dans cette situation lui rappelait des souvenirs qu'il aurait bien voulu oublier.

..........

Avis ?

06 août

Marie

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