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Promesse

░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ  Kamiyu-

░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ Avis constructifs souhaité

░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ  Shirabu Kenjiro x Reader

░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ Bad end

░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ Thème respecté

Une main tendue apparut soudainement devant elle. Sonnée comme si le monde était en train de s'effondrer autour d'elle, paralysée jusqu'au bout de ses doigts, elle ne put que relever lentement ses yeux et croiser le regard marron d'un petit garçon.

–Hey, ça va ?

Elle ne répondit pas, les mots étaient bloqués dans sa gorge. Le Soleil tapait fort aujourd'hui, on pouvait sentir l'été pointer le bout de son nez, et les rayons lui faisaient mal aux yeux, lui brûlant presque la rétine. Son ventre se tordait douloureusement dans tous les sens, et un instant passa avant qu'elle ne porte son attention vers ses genoux. La chute contre les cailloux du sentier les avait méchamment écorchés.

–Shira-kun...

Le petit garçon lui attrapa doucement la main, et tira aussi fort qu'il le pouvait pour la redresser, alors un sanglot échappa à son amie sous la douleur.

–Tu ne t'es pas trop fait mal ? s'inquiéta-t-il.

Elle avait mal aux genoux. Elle avait trébuché sur une pierre, et maintenant elle avait mal. Elle aurait dû faire plus attention, comme maman le disait. La petite fille pinça les lèvres pour ne pas pleurer.

–Mes genoux...

La vue du sang qui coulait le long de son tibia la fit paniquer, ses mains tremblaient et elle avait envie d'éclater en sanglots.

–J'ai mal...

Shirabu lui tenait toujours la main, et tout d'un coup, il s'approcha d'elle et mit ses mains de sorte à encadrer ses joues. Il la regardait d'un air sérieux.

–Ce n'est rien, tenta-t-il de la rassurer. Tu n'as pas mal.

La c/c leva ses yeux embués vers son ami d'enfance. Elle le connaissait depuis plus de six ans, ils avaient été dans la même maternité. Le garçon ne mentait jamais, alors si il disait qu'elle n'avait pas mal, pourquoi avait-elle envie de pleurer quand-même ?

Voyant ses larmes sur le point de couler, Kenjiro reprit :

–Tu n'as pas mal, je suis là.

Il prit délicatement une mèche de T/p dans ses doigts, la lissant avec minutie. Son autre main vint se poser à l'arrière du crâne de la jeune fille, et il joua légèrement avec. Le toucher était tellement apaisant qu'elle ferma les yeux. Il n'y avait plus que des petits picotements sur sa blessure, et dans ses traits se lisait un sentiment de bien-être.

–Je n'ai pas mal, répéta la jeune fille.

-Oui.

Finalement, Shirabu la prit dans ses bras. Elle était un peu surprise, et ses joues se teintèrent de rose. Elle referma l'étreinte et esquissa un petit sourire.

Le Soleil s'était enfui en à peine quelques minutes. De gros nuages prenaient d'assaut le ciel, et les premières gouttes tombèrent sur le front de la petite fille. Elle se dégagea du câlin, prit la main de Kenjiro et courut jusqu'au local du parc. En entrant, ils étaient tout trempés, et la pluie se mit à battre avec force contre les vitres.

–Ma maman devait venir nous chercher pour le goûter, fit T/p en bafouillant.

–On ne peut pas sortir...

De petits doigts attrapèrent le poignet du châtain.

–Tu crois qu'il va y avoir de l'orage..?

Elle avait peur des éclairs.

–Pour l'instant, il n'y en a pas.

En voyant la jeune fille stresser, il la reprit doucement dans ses bras, tout en lui caressant le dos. Ils observèrent les gouttes d'eau éclater contre le verre les protégeant de l'averse.

–Dit Shirabu.

-Oui ?

–Reste pour toujours avec moi.

Ce n'était pas une question, ni même un ordre. Cela donnait plus comme une promesse teintée d'espoir.

–D'accord. Je resterai avec toi pour toujours.

Elle sourit avec joie. Elle n'avait plus mal aux genoux.

–Merci.

Des minutes passèrent, la météo n'en faisait qu'à sa tête. Sa maman devait être inquiète. Mais la présence de son ami pu la réconforter.

–Moi aussi, je serai toujours avec toi.

Il resserra ses bras autour de T/p et lui offrit un sourire, avant de poser la tête sur son épaule. Le temps passa ainsi, et cette promesse se perdit dans les clapotis de l'eau sur le sol trempé du parc.

***

Une main tendue apparut soudainement devant elle. Sonnée comme si le monde était en train de s'effondrer autour d'elle, paralysée jusqu'au bout des ses doigts, elle ne put que relever lentement ses yeux et croiser le regard marron de son mari.

–T/p, est-ce que tu vas bien ?

Sa voix était enrouée d'inquiétude.

–Je ne me sens pas bien, répondit la c/c faiblement.

Elle était incapable d'en dire plus, il le comprit. Shirabu positionna ses mains sous ses genoux pour l'une et dans son dos pour l'autre, puis la porta jusqu'à son lit. Alors que sa femme semblait s'endormir, il appela les urgences.

***

Ces mots eurent l'effet d'une douche froide pour le quarantenaire.

–Vous pouvez répéter ? s'exclama-t-il précipitamment.

–Elle va mourir.

***

Il la fixa doucement, elle et son teint bien trop blanc, alors qu'elle était allongée sur le lit d'hôpital.

–Je suis désolée...

Sa voix était faible, si faible. Il y manquait toute la joie qu'il avait connue, et il manquait ce sourire heureux sur son visage. Il prit sa main et la serra avec force, sans pour autant lui faire mal.

–Non, c'est ma faute...

Il avait la gorge nouée et son ventre se tordait de douleur. Bien avant qu'il ne s'en rende compte, des larmes coulèrent sur ses joues.

–Je suis tellement désolée T/p...

–Shut...

Sa femme l'attira dans ses bras, comme ils avaient l'habitude de le faire depuis leur plus jeune âge. Il se laissa aller et éclata en sanglots, alors que T/p lui caressait les cheveux.

–Je ne t'en veux pas. Je suis heureuse de la vie que j'ai vécue à tes côtés. Je suis tellement chanceuse de t'avoir..

–Je t'aime tellement... Ne pars pas...

–Tu prendras soin de nos enfants, n'est-ce pas ? Tu es déjà un père génial... N'oublie pas de laisser N/g faire le métier qu'il veut, il entre bientôt au lycée...

-T/p...

Il hoqueta violemment, alors qu'il sentait la prise se desserrer dans son dos.

–Je t'aime Kenjiro...

Sa voix n'était plus qu'un murmure qui se perdait dans les cris incessants des machines affolées. Des médecins en panique entrèrent tout d'un coup et le poussèrent presque hors de la salle, alors qu'il s'étouffait avec ses propres larmes. Il retrouva ses deux enfants dans le couloir.

-Papa...

Dans leur bulle, il n'y avait plus qu'eux trois, le manque de mots pour réconforter et des pleurs.

***

Il déposa un fleur sur la pierre froide et trempée par la rosée du matin. Une larme silencieuse parmi les milliers d'autres qu'il avait laissées couler s'échappa. Il se promit que ce serait la dernière.

Une brise fraîche vint soulever ses cheveux châtains quelques secondes, tournoyant autour de lui, puis s'envola haut dans le ciel, et avec elle, le souvenir embrumé d'une promesse inachevée.

Fin.

꒰ ✨┊͙ Avis de ma part ꒱

Déjà merci d'avoir écrit sur ce petit ange sous-côté 🥺

Tu as écrit un os rempli de douceur au début et de tristesse sur la fin mais tout au long le sentiment fort de l'amour était bien présent, donc thème respecté.

Le passage entre la vie et la mort de la Reader était peut-être rapide mais au vu de la description que tu as faite ce n'est pas dérangeant. Tu m'as dit que tu n'ecrivais pas souvent des histoires tristes si tu as peur de ne pas réussir dis-toi que j'ai pleurée, donc c'est réussi.

En réalité j'aime beaucoup ce style d'écriture, la façon dont tu passes d'un moment à un autre je l'aime beaucoup.

Enfin bref je n'arrive pas à voir quelque chose à améliorer à part peut-être faire plus de description ? Et encore en soit c'est pas dérangeant, ton os comme tu l'as écrit là est très bien mais si tu as la possibilité de décrire plus tu peux le faire ^^

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