Anonyme
░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ anonyme
░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ Avis constructifs souhaité
░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ Atsumu Miya x Reader
░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ Bad end
░⃟⃛🏐➮꒰°᳝ꯥ‧ٓ Thème respecté
— Putain ! Sam, tu casses les couilles, on a perdu le groupe de ta faute !
— Ma faute ? Tu n'aurais pas fait le crâneur avec tes figures à la con pour ensuite te casser lamentablement la gueule, on aurait su de quel côté ils sont partis !
Et c'est avec ce peu de dialogue qu'une énième engueulade éclata entre mon frère jumeau et moi. Enfin, c'est pas cette altercation qui va régler notre problème. On se retrouve perdu, sur une piste de ski, à deux. Notre lycée, le lycée Inarizaki, a organisé, pour les volontaires et ceux qui rendent le plus rapidement la feuille d'inscription, une semaine dans une station de ski. Grands sportifs que nous sommes, nous avions rendu la feuille dans les premiers, mais ça n'empêche pas qu'on a quand même paumés notre groupe. Je passa une main sur mon masque teinté d'une couleur jaune, enlevant la neige qui restait après être tombé comme une merde, puis je me déchaussa du snowboard, le mettant sous mon bras droit, avant de me déplacer sur le côté de la piste, histoire de ne pas gêner les autres skieurs. 'samu fit comme moi, restant à mes côtés. On resta silencieux un moment avant de se regarder dans le blanc des yeux, à travers nos masques.
— T'es naze.
— Cherche une idée pour retrouver notre chemin au lieu de m'insulter.
— T'as pas ton tel ?
— Bah nan. Et toi ?
— Non plus, je pensais que t'avais pris le tien.
— Hier, on a dit qu'on prenait le tien, Osamu !
— Menteur. On avait dit le tien.
— Bah on demandera à Rintarou alors !
Il haussa simplement les épaules, shootant la neige de son pied en lâchant un soupir, retirant son masque, son bonnet et l'un de ses gants pour passer une main dans ses cheveux. Je me laissa tomber par terre, m'asseyant en tailleur sur la neige encore blanche dû au fait qu'on était en début de journée et qu'on est en période scolaire donc il n'y a pas énormément de monde. Je posa ma planche sur mes jambes, posant mes coudes sur cette dernière et ma tête entre mes mains gantées. On viendra sûrement nous chercher, non ?
— Eh, [T/P], c'est pas les jumeaux Miya là-bas ?
En entendant notre nom de famille, on releva la tête, remarquant un groupe de notre âge sur la piste. L'individu qui était à la tête de ce groupe fit un dérapage non loin de nous, à un endroit parfait pour ne pas nous balancer de neige et pour ne pas foncer sur nous. La personne enfonça ses bâtons dans la neige puis elle retira ses gants ainsi que son masque pour le poser sur son casque, au niveau de son front. Quand elle avait retiré ce dernier, je fus frappé par la beauté et la tendresse de son visage. Sa peau [C/P] a l'air si douce…
— Vous êtes perdus ?
— Ouaip, on sait pas dans quel direction est parti notre groupe.
Quand ses yeux [C/Y] croisèrent les miens, je sentis comme une nuée de papillons éclores dans mon ventre. Tandis que je devais être ridicule à avoir la bouche entre-ouverte, elle me souria d'un sourire radieux. J'aime la couleur de ses yeux et son sourire divin…
— Vous n'avez pas le numéro de vos camarades ?
J'allais répondre à cet ange tombé du ciel mais mon saleté de jumeau le fit à ma place.
— On n'a pas prit nos téléphones, en fait.
— Faut que l'un de vous deux est toujours un téléphone, les gars ! Pour justement ne pas avoir ce genre de problème ! Vous êtes dans la même auberge que nous, non ?
— Peut-être bien ouais. On est à l'auberge à côté du centre-ville.
— Nous aussi ! Je vais demander à mon prof si je peux vous raccompagner en bas de la piste.
Pendant qu'elle interpella son prof qui était à l'arrière de son groupe, mon frère vena fermer ma bouche.
— Je ne voudrais pas que tu gobes des mouches.
— La ferme.
Je grogna avant que [T/P], si j'avais bien compris ce qu'avait dit sa camarade, glissa avec ses skis, sur le côté, pour s'approcher de mon jumeau et moi.
— Vous êtes prêts ?
On hocha ensemble la tête avant de se redresser. Nous remettons un de nos boots dans la fixation et laissa notre deuxième pied en dehors pour pouvoir prendre de l'élan et glisser un peu, vu qu'on était sur le côté. La [C/C] fit un petit signe à ses camarades puis nous faisa un autre signe pour nous dire de la suivre. Elle utilisa ses bâtons afin d'avoir assez d'élan puis elle était lancer sur la piste, ne cherchant même pas à faire des virages pour ralentir sa vitesse. Elle n'a pas froid aux yeux malgré le fait qu'on est sur une piste rouge. Elle semble habituée à skier. Vient-elle souvent ici ? Peut-être qu'elle skie régulièrement mais pas forcément ici ? Attendez. C'est bien la première fois que je me pose autant de questions sur une inconnue. Faut quand même dire que son côté skieuse et sa beauté m'attire d'une façon que moi-même ne connaissait pas. Ça ne m'était jamais arrivé avant. D'un côté, ça me fait peur mais dans un autre, ça m'excite à la fois. Je parle pas de façon sexuelle mais y'a cette adrénaline qui me pousse constamment vers cette fille que je connais même pas. Ou bien c'est la fatigue. Ça doit être ça. C'est définitivement ça. Dix minutes plus tard, toujours en train de glisser sur la piste, nous arrivons enfin en bas de cette dernière. Il y avait plusieurs tremplins. Osamu me jeta un regard qui voulait clairement dire : "Ne te vautre pas, face de tétard". Et le connaissant, je sais qu'il se foutra de ma gueule. Je regarda devant moi et écarquilla les yeux. La [C/C] va bien trop vite pour emprunter un tremplin ! Mon souffle se coupa littéralement quand elle fit un back flip. C'est un saut qui implique une rotation verticale vers l'arrière. Et la cerise sur le gâteau, c'est qu'elle atterrit sans peine sur ses deux skis, continuant sa route comme si de rien était. Plus balèze qu'elle, tu meurs.
Nous avons enfin terminer la piste, venant nous stopper à côté de notre guide improvisée qui était là depuis une bonne dizaine de minutes. À mes yeux, c'est comme si elle était dans son élément. N'empêche, le reflet du soleil qui tapait sur la neige servait comme un miroir, éblouissant le visage magnifique de cette fameuse [T/P]. Mon frère me sorta de mes pensées quand il prit la parole.
— Merci de nous avoir ramener ici. On te doit une fière chandelle.
— Vous n'avez qu'à me payer un chocolat chaud pour me remercier !
Ça sonnait clairement comme une blague mais si ça me permettait de la revoir, c'est pas moi qui dirait non. Avant qu'elle ne sorte un "Je plaisante !", je poussa mon jumeau, celui-ci tombant comme un gros tas sur la neige et je me mis en face de la jeune fille.
— Ça me va, je t'en paierai un. Mercredi aprem, on ne vas pas skier, t'es libre ?
— Oui mais…
— Parfait dans ce cas ! Je t'attendrais dans le hall de l'auberge !
Je ne laissa pas prendre davantage la parole, prenant la fuite en voyant le trou du cul qui me sert de frère me courir après.
Quelques jours s'étaient coulés pour arriver à mercredi, deux et demi pour être plus précis : lundi, là où [T/P] nous a aider à retrouver notre chemin, mardi et ce matin. Notre groupe a croiser quelques fois le sien et je n'ai pas pu m'empêcher de lui taper la discute pendant que nos profs respectifs se demandaient où il passerait. C'est une fille bien. Elle a un bon fond, très amicale avec les autres, une très bonne skieuse et j'en passe. Le courant passe bien. On se trouve en ce moment même dans un café du coin. J'avais pris un simple Coca Cola tandis qu'elle, elle avait prit un chocolat chaud. Une vraie montagnarde. Je profita qu'elle souffle sur sa boisson chaude pour la reluquer de nouveau : Un t-shirt gris à col roulé et une salopette de ski sombre. Ça lui allait bien. Trop bien. Elle était vraiment belle avec ses cheveux [C/C] qui brillaient au soleil, sa peau [C/P] que j'ai constamment envie de parsemer avec des baisers et ses yeux [C/Y] si intenses, si envoûtants. Je pourrais m'y noyer des heures dans son regard. Elle me sortit de mes pensées quand elle reposa la tasse sur la table en bois.
— Je pensais pas que tu prendrais au pied de la lettre ce que j'ai dit ! Mais je te remercie quand même, c'est cool d'être venu avec toi !
Le "avec toi" flatte mon ego. Je me sens grave comme un gentleman, un gars bien. Je regarda ses deux petites mains autour de l'objet. J'avais envie de les prendre dans les miennes. Je lui offra un petit sourire en coin, ma joue posée dans la paume de ma main, mon coude sur la table et l'autre bras est simplement reposer sur la table.
— Je suis content d'être là aussi, en ta compagnie.
— Dis Atsumu, tu as déjà fais de la patinoire ?
J'aurais jamais dû répondre. À la rigueur dire un oui mais vite fait ou un "J'aime pas la patinoire" mais certainement pas un non. Et c'est ce que j'ai fais, comme un con. Je me retrouvais alors, devant l'entrée de la glace artificielle, chaussé de patins. Putain. Je sens le ridicule à plein nez. Je regarda ma compagne qui avait déjà fait deux tours terrains, les mains dans le dos avant de s'arrêter devant moi, suite à une pirouette sur elle-même.
— Tu as peur ?
— De me péter le coccyx, ouais.
— Donne moi tes mains !
Elle me tenda ses fines mains, dénudées d'un quelconque gant. Je les saisi délicatement et, après un petit moment de réflexion, je posa un pied sur la glace puis l'autre. Mes jambes tremblaient. Je suis pas à l'aise, j'ai l'impression que je vais tomber à tout moment. J'aime pas ça. Je vais être ridicule à côté des mômes qui patinent comme bien mieux que moi.
— T'as pas à te sentir nul, il faut bien une première fois à tout !
Je suppose qu'elle a raison. Je la laissa me guider sur ces plaques de verglas. Après quelques minutes, après avoir était assez habitué, j'avais pris de l'assurance et j'avais lâcher ses douces mains. Franchement, c'était l'éclate. J'ai été ébloui quand elle sourit jusqu'aux oreilles. Elle est ressemble à une vraie déesse quand elle sourit. On a également eu un fou rire incontrôlable quand Osamu et Rintarou nous avaient rejoint. Ils se sont ramassés la gueule, c'était beau à voir. On avait arrêter de patiner sans pour autant sortir. On était au calme, on écoutait les matins des autres personnes glisser sur les plaques artificielles, la musique qu'ils avaient lancer dans le centre-ville. On regardait d'ailleurs cette dernière, qui avait été illuminé par les lampadaires dès les premiers de rayons de soleil partient. Ni elle, ni moi voulaient partir, ça se sentait. On était trop bien, dans notre moment à nous. Moment éphémère. Je crois que c'est moi qui est mis un terme à ce blanc loin d'être pesant. Je m'étais pencher vers elle pour capturer ses lèvres qui me faisaient de l'œil depuis le début de la journée. Et le bonheur, c'est qu'elle m'a pas repousser. Elle a même poser sa petite main sur ma joue. C'était court mais c'était assez. On avait pas besoin de plus. Ce qui est pénible avec ces semaines comme ça, que ce soit des vacances ou scolaires comme là, maintenant, c'est qu'on peut pas se permettre de tomber amoureux. Et moi, j'ai plonger en plein de dedans dès que j'ai croiser son regard sur cette piste rouge.
Le jeudi, on était de nouveau sur les pistes pendant la journée et on a encore croiser le groupe de [T/P], à plusieurs reprises. J'ai pas pu résister et je l'ai embrasser, devant ses camarades. J'étais content qu'elle me laisse faire, qu'elle y réponde. Si certains étaient surpris, d'autres n'étaient pas une once étonnée, comme mon frère par exemple. Il me connaît trop bien, ça fait flipper parfois. Notre semaine classe de neige prenait fin samedi après-midi tandis que pour ma belle [C/C], elle partait le même jour que moi mais le matin. On avait donc seulement vendredi pour se connaître encore un peu plus, échanger nos numéros de téléphone, chose que je souhaite fortement. Et, tout comme sortie scolaire à la neige, y'avait une boum le vendredi soir. J'avais tellement hâte d'y être, de pouvoir danser avec [T/P]. Sauf que je me retrouve avec la crève. De ce fait, je suis cloué au loin avec le nez enrhumé, la gorge en feu et j'étais complètement patraque. Bordel. J'ai dormi toute la journée. Quand je me suis réveillé, Osamu, avec qui je partage évidemment ma chambre, était en train de se changer pour aller à cette mini-soirée. Je me suis rendormi quand il a quitter la chambre. J'ai horreur de la grippe. C'est à peine si je me reconnais. Je suis pâle comme un linge et mes yeux sont injectés de sang comme si j'avais chialer.
On m'avait averti qu'un prof passerait me voir pour donner des médicaments. Je me suis réveillé en entendant la porte grincer. J'ouvris lentement les yeux, tournant la tête pour voir quel prof s'était. Je souria comme un idiot en voyant que c'était pas un instituteur mais [T/P]. Elle me rendait mon sourire mais je la connaissais un peu pour me rendre compte que ça allait pas. Elle se dandinait sur place, s'amusait avec ses mains comme si c'était la chose la plus intéressante du monde et elle fuyait mon regard.
— Je vais pas te bouffer, viens t'asseoir.
Un faible sourire orna ses lèvres, amusée, et elle vena s'asseoir sur la chaise à côté de mon lit. Je ferma les yeux quand elle posa sa main sur mon front. Elle est gelée.
— Tu es brûlant. Tu as pris tes médocs ?
— Pas encore, j'attendais qu'une belle infirmière s'en charge.
Elle eut un sourire plus prononcé mais il partit aussi vite qu'il était venu, me regardant sérieusement. Et ce regard me dit rien qui vaille, ça me sert les tripes. Je veux pas qu'elle ouvre la bouche, de ce qu'elle va me dire mais je veux également savoir ce qui ne vas pas.
— J'ai fais quelque chose qui t'a déplu ?
— Tu es cloîtrer dans ton lit depuis hier soir, comment aurais-tu pu faire quelque chose ?
— Je sais pas… C'est juste que tu tires une drôle de tête.
Un ange passe. Il s'écoula quelques secondes avant qu'elle soupire, chose qui augmenta mon angoisse.
— Toi et moi, ça va pas être possible.
Je viens de littéralement me prendre un coup de poignard dans le cœur. C'est horrible cette sensation de rejet envers la personne qu'on aime. Enfin, est-ce que je l'aime vraiment ? Oui. [T/P] a été un coup de foudre et mon attirance romantique primaire est monter en flèches quand j'ai poser mes yeux sur elle. Où avais-je merder pour qu'elle ne veuille plus de moi ? On s'était pas mis officiellement en couple mais on s'embrassait, c'est pas rien quand même. Je pensais qu'elle et moi, c'était plus qu'un amour de vacances, qu'on irait plus loin, qu'on s'échangerait des messages tous les jours. Je me pris un violent uppercut quand elle reprit la parole.
— Je t'aime Atsumu, vraiment. Ce qu'on a vécu cette semaine, c'était certes court mais c'était puissant. J'ai jamais ressenti ça pour qui que ce soit et je compte pas l'oublier. Tu es la personne que je peux qualifier de premier amour. Cependant, j'arriverai pas à vivre avec une relation à distance. Tu veux être joueur pro de volley, c'est ça ? C'est ce que j'ai compris vu la façon que tes yeux pétillés quand tu parlais de ce sport. Je veux être moniteur de ski, moi. Je serai donc constamment à une station montagnarde. Que ce soit maintenant ou plus tard, aucun de nous deux serait prêt à faire des heures de routes tout les jours pour se voir. Tu comprend ? Je veux que tu sois heureux, Atsumu. Parce que tu es quelqu'un qui le mérite, qui mérite de connaître la joie et le bonheur, de connaître de grandes victoires. Je ne doute pas que tu trouvera rapidement quelqu'un d'autre. Tu as plein d'atout et tu as toutes les cartes en main pour charmer une fille, ou même un gars. Je ne t'oublierai pas, on n'oublie jamais son premier amour.
Alors là. J'étais sur le cul. J'étais censer répondre quoi ? Avec quels arguments je pouvais lui dire qu'elle avait tort sur la toute la ligne ? Elle était dans le vrai. Je serais incapable de faire de trajets pour venir la voir en montagne. Nos métiers étaient bien trop différents, bien trop loin. Je la regarda, la bouche entre-ouverte, comme quand je l'ai vu la première fois. Je pris une grande respiration et lâcha, la gorge nouée.
— Je comprend. Moi aussi je t'aime, [T/P] et je pense que tu as raison. En fait, je le pense pas, tu as complètement raison. Ça fait juste mal d'entendre cette vérité. Tu es aussi mon premier amour, je t'oublierai pas, jamais.
Mes paroles faisaient tâche à côté des siens qui étaient vraiment émouvant. Elle ne voulait pas trop tarder dans la chambre, avant qu'elle regrette son choix. Mon côté d'égoïste aurait voulu qu'elle le regrette mais elle est partie à la vitesse de la lumière après qu'on se soit étreint une dernière fois. On s'est pas embrasser parce qu'on savait que ni l'un ni l'autre aurait pu se détacher après. Je me suis mis à pleurer. Je me suis d'abord dit que c'était à cause de la maladie, je me suis voilé la face. Mais j'ai assumer, c'était en fait ce vide que la [C/C] avait laisser en moi. J'ai calmer mes larmes au bout d'une dizaine de minutes quand le prof est rentré pour donner mes médicaments. Ils avaient un goût amer.
Je me suis réveillé tôt, le lendemain matin. On était plus ensemble mais je voulais la voir, ne serait-ce que pour une dernière fois. Malgré le fait que je sois encore un peu sonné par la grippe, j'ai réussi à me lever et à m'habiller. Je m'apprêta à sortir sur le balcon, voyant d'ici son bus où le conducteur fermait les soutes. J'ai hésiter à me défilait, ayant trop peur de me mettre à pleurer devant elle mais en sentant un plaid se posait sur mes épaules, je repris confiance en moi.
— Merci, Sam.
— Dépêche toi d'aller sur le balcon avant que tu ne puisses plus la voir.
J'hocha la tête et sortit sur le balcon. Le vent froid fouetta mes joues brûlantes. Je m'approcha un peu plus de la rambarde, posant ma main sur cette dernière et l'autre tenait le plaid pour pas qu'il s'envole. Elle était là, juste en bas, entourée de ses camarades, prête à partir. Elle ne me voyait pas, elle devait la tête. Pour qu'elle le fasse, je l'appela, criant presque son prénom.
— [T/P] !
Elle s'est retourner et à lever le regard dans ma direction. Elle a sourit. Toujours ce même sourire angélique quand elle nous a aider à trouver notre chemin, à moi et mon frère. On se regarda longuement, comme si on avait une discussion visuelle. Elle avait apporter son poing à ses lèvres, les posant sur la base de son annuaire gauche et tendit sa main fermée dans ma direction. Elle n'a pas choisi au hasard le doigt qu'elle a embrasser. Venant de sa part, c'était une sorte de promesse, un truc pour me dire que j'aurais toujours une place dans son cœur. Ce petit geste donna du baume à mon cœur et ne pus m'empêcher de faire pareil, la fixant dans les yeux. Elle souria, faiblement mais c'était sincère. J'ai pu apercevoir ses yeux larmoyants avant que son prof ne l'appelle pour entrer dans le bus. Notre amour était similaire à une étoile filante. Un événement assez rare qui dure peu longtemps mais qui est merveilleux à la fois. C'était notre histoire, à nous deux.
꒰ ✨┊͙ Avis de ma part ꒱
Ton os est touchant ! Parler d'un amour véritable au travers d'un coup de foudre n'est pas forcément chose facile et pourtant tu as réussi ! Bon bien entendu sur la fin ça devient un amour impossible mais toujours un bel amour.
J'aime énormément les trois dernières phrases avec la comparaison entre leur amour et une étoile filante. C'est vraiment beau et ça donne une image à leur histoire, je trouve ça vraiment beau.
Je pense que ton petit bémol se trouve dans la relecture :3 il faudrait que tu relises un peu ton écrit à l'avenir histoire de corriger les petites fautes d'inattention de la première fois. Il y a des endroits où il manque des mots mais on les devine plus ou moins uwu. Il y aussi quelques fautes d'orthographes, si ça devient dérangeant pour les autres tu peux essayer de voir pour trouver quelqu'un qui pourrait te corriger derrière ? Mais si ça ne dérange pas alors continue ainsi ^^
Ton os est dans le thème uwu
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