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03 - Un coup si beau

   03 - Un coup si beau

Anthracite.

Je ne perdis pas de temps pour m'enfoncer dans mes appartements — composés d'une chambre, salle de bain et d'un petit salon — le tout dans des proportions démesurées, presque aussi grandes que l'entièreté du cottage dans lequel j'avais passé la majeure partie de ma vie. J'enlevai mes vêtements et les pliai soigneusement avant de les ranger — je n'étais pas particulièrement pressée de me rendre dans la Salle de Conférence à nouveau pour servir de bête de foire à Lucien.

J'enfilai l'uniforme que Lucien avait ordonné qu'on me fasse. Entièrement blancs, la tunique et le pantalon auraient pu être assez simples si ce n'étaient pour les bordures et les ornements argents qui parsemaient les habits. Ça, et l'insigne d'Anthracite, élargie autant que possible au dos du haut.

Je pris le temps de rincer mon visage et de défaire la tresse que je m'étais faite pour ma mission. Démêlant mes cheveux de mes doigts, je m'emparai des deux mèches qui me barraient habituellement le visage avant de les entortiller et de les ramener à l'arrière de ma tête où je les attachai grâce à une barrette ornée de perles — un cadeau d'Addïe, le seul bijou que je possédais.

Je ne pus m'empêcher d'épier mon reflet dans le miroir alors que je m'apprêtais à partir. Il me fallut moins qu'une seconde pour détourner le regard et aller chercher les cosmétiques que je détenais dans ma salle de bain. Je rougis mes lèvres d'un rouge à lèvres rubis et noircis mes yeux d'une ligne de khôl. M'assurant de changer les traits de mon visage qui ressemblaient un peu trop à ceux de quelqu'un d'autre. M'assurant d'endurcir l'apparence de mon visage qui avait d'habitude l'air si doux, si docile.

M'assurant que si je venais à croiser mon regard dans une glace, je ne penserai pas le temps d'une seconde la voir, elle.

Je ne pouvais rien faire pour mes cheveux miels ou mes yeux dorés — pas sans avoir à demander à Lucien certaines potions magiques et surtout pas sans avoir à lui expliquer la raison de ce désir de changement.

Je dévalai les escaliers jusqu'à la Salle de Conférence avec un soupir. Étonnamment, monter et descendre les cinq étages entre ma chambre et le Hall ne figurait pas sur la liste des choses que je préférais.

Dans la salle, les alliés et compagnons d'Anthracite bavardaient toujours entre eux et les gardes, postés à tous les coins de la pièce, semblaient s'amuser autant que moi. Sur la longue table, la nourriture n'avait toujours pas été touchée.

Lucien signala à un des serveurs de se rapprocher lorsque je revins finalement à ses côtés et s'empara d'une flûte remplie d'un liquide doré pétillant avant d'en avaler une gorgée.

— Je veux t'introduire à quelque-uns de mes alliés, m'informa-t-il avant de me jeter un regard. Tu sais, si tu veux utiliser des produits cosmétiques dans un effort pour avoir l'air plus présentable, tu devrais au moins cesser de froncer tes sourcils. Ta mauvaise attitude ruine le tout.

Je dérobai une pomme rouge dans le bol de fruits posé au centre de la table, la croquant à pleines dents alors que je suivis le Prince, la mâchant durement pour éviter de lui cracher à la figure toutes les paroles acerbes qui me venaient à la bouche.

Pour Addïe, me disais-je alors que Lucien s'éternisait et continuait à me présenter à ses associés. Pour Addïe, me répétais-je encore et toujours alors que je me forçai à affronter leur regard, tournant la pomme entre mes mains, alors que j'obligeai mes yeux à étinceler, à se gorger de malice et de danger.

Je ne représentai à peine plus qu'un pion pour Lucien. J'incarnai le symbole dont il avait besoin pour instaurer peur et chaos dans Oweën, la menace de l'inconnu qui leur faisait y réfléchir deux fois avant de tenter de le détrôner.

Je n'émergeais de mes pensées qu'aux premières notes de son rire. Il laissait sous-entendre une brutalité et une barbarie à glacer le sang. Une menace enjouée qui soufflait à chacun de mes membres que la pitié n'existait pas dans ces lieux sombres. N'importe qui se serait vu frissonner d'effroi. Mais pas moi. Je n'avais pas peur. Je n'avais plus peur depuis bien longtemps. Les seuls ressentiments que le Prince parvenait à faire ressortir en moi étaient de la colère et du dédain.

Je haïssais profondément Lucien.

Lucien leva une de ses mains, imposant le silence à ses alliés d'un coup. J'en profitai pour m'éclipser de sa compagnie, allant me poster à l'un des coins de la salle. Lucien voulait que ses compagnons se rappellent qu'il était en charge et qu'ils étaient à sa merci. Alors, lorsque je croisai leur regard, je m'efforçai de le leur remémorer.

Je consistai une menace assez forte pour dissuader la majorité des gens de prendre le risque de me mettre à dos. S'il y avait une chose sur laquelle tous s'entendaient à mon sujet, c'était qu'il valait mieux ne pas m'avoir comme ennemie. Et mes regards leur montraient que je le savais.

Il fallut un certain temps pour que tous furent assis à l'entour de la table. Lucien lui-même prit place au bout de la tablée.

Lucien débuta ensuite la réunion, demandant l'état de ses armées à ses généraux, des nouvelles des royaumes des autres continents, s'assurant que ses espions à Céladon étaient toujours en place, que le navire rempli des armes légères et forgées du meilleur acier que l'argent pouvait procurer des Déserts Sombres étaient bien arrivé du continent sud. Les minutes passèrent sans que je n'y prête attention, que je n'y montre grand intérêt.

Tout au long de la réunion, les alliés d'Anthracite semblaient se relayer pour me dévisager. Je finis par pencher mon visage de côté, laissant une de mes mèches dorées se libérer de l'emprise de ma broche et glisser le long de ma joue pour me fournir une protection temporaire contre les regards. Je détestais être observée comme si je n'étais qu'une bête de foire presque autant que je détestais Lucien. S'il y avait un autre moyen pour moi d'obtenir ma vengeance, j'aurais déjà quitté l'Empire Funeste depuis bien longtemps.

Mais joindre l'armée de Lucien m'était apparue comme l'unique solution pour atteindre le but que je visais. Et s'il fallait que j'assombrisse mon âme et ma réputation et que je serve le Prince pour parvenir à obtenir ma vengeance, pour qu'Addïe obtienne la rétribution qu'elle mérite, et bien ô Dragons que le prix était mince à payer.

L'unique personne ayant connaissance de l'étendue de mes dons était le Souverain d'Anthracite. J'étais l'arme dont il se ventait. Comme si je lui appartenais, comme si je n'étais rien d'autre qu'un objet. Un jour, lorsque la guerre aurait passé et que la victoire serait nôtre, je lui tordrai le coup et dégarnirai enfin son visage de son sourire présomptueux. Si je parvenais à survivre jusque-là.

J'étais sur le point de m'endormir debout, sombrant dans mon ennui, lorsqu'elle apparut.

Je sus qu'elle était là avant même de la voir — tout le monde le sut. La pièce entière changea: l'ambiance, déjà froide et emplie de malice, devint glaciale et mortelle et rusée. Je refusais de tourner la tête vers elle, de reconnaître sa présence. La majorité des compagnons de Lucien, tous des mâles, firent de même. Seul le Souverain d'Anthracite croisa son regard et inclina légèrement sa tête.

— Esha. Si gentil de votre part de nous honorer de votre présence.

Il n'y avait aucune moquerie dans le ton que Lucien employa. Jamais n'oserait-il manquer de respect à quelqu'un d'aussi puissant, à quelqu'un qui pourrait donner fin à sa vie dans l'espace d'une seconde. La femme — si la créature pouvait être qualifiée de tel — passa devant moi, entrant dans mon champ de vision. Je retins mon souffle. L'apparence d'Esha, au premier regard, ne sortait pas de l'ordinaire. Elle était petite, svelte et ses traits semblaient enfantins. Pourtant, il n'y avait rien d'innocent dans le sourire qui tordait sa bouche, dans la cruauté qui dansait dans ses yeux mauves, dans l'aura lugubre qui l'entourait. Esha était ancienne — elle avait vécu siècles après siècles, avait connu la naissance de royaumes et leur fin, avait été là bien avant qu'Oweën ne se fasse appeler Oweën, il y avait des millénaires de cela.

— Ai-je raison d'assumer que la raison de votre présence à notre charmante petite réunion est reliée à une avancée dans votre tâche ?

Esha était une sorcière, une des dernières héritières du Clan Sybella, des enchanteresses réputées pour avoir touché à la magie noire il y avait des millénaires de cela, pour l'avoir amadouée et pour en avoir payé le prix. Elle n'avait de loyauté qu'envers elle-même. Il s'agissait d'un honneur qu'elle accepte de s'associer à un empire. Et Lucien faisait de son mieux pour le lui démontrer.

Il n'y avait que deux femmes présentes dans les rangs de Lucien — Esha et moi. C'était d'elle dont je m'étais inspirée, après qui je m'étais modelée dans les jours qui avaient suivi mon arrivée à Anthracite. Esha terrifiait. Il y avait quelque chose en elle, dissimulé sous ses traits enfantins, qui inspirait la peur et la soumission. Quelque chose en rapport avec l'allure prédatrice qui envahissait chacun de ses mouvements, quelque chose lié à l'éclat qui ravivait la couleur mauve de ses yeux. Quelque chose dans l'aura sombre l'entourant qui pétrifiait sur place et ravivait chaque instincts de survie morts en moi.

— Dans quelques lunes, je pourrais ouvrir un nouveau portail, répondit Esha d'une voix qui était enfantine et ancienne à la fois.

Je me redressai doucement. Quoi qu'elle préparait, je n'en étais pas au courant. À l'instar des autres alliés de Lucien, je devinais, alors que tous se raidirent dans leur siège et se penchèrent imperceptiblement vers Esha qui avait désormais rejoint Lucien au fond de la salle. Le sourire que le Souverain lui offrit en réponse brûlait d'une telle joie qu'il en devenait terrifiant.

— Ravi de l'entendre, chantonna-il avant de se retourner vers le reste de ses compagnons. Il y a quelques mois, j'ai demandé à notre chère Esha de travailler sur l'ouverture d'un autre portail, dissimulé des yeux de Céladon. Pas un second portail vers les Terres Humaines — quel usage pourrions-nous bien faire d'humains ?

Quelques ricanements résonnèrent. Je fis de mon mieux pour ravaler mon indignation.

— Pas un portail pour les Terres Humaines, donc, reprit Lucien, mais un portail vers l'endroit où les Sorcières du Clan Sybella ont puisé leur magie noire il y a des milliers d'années.

Un silence de plomb s'instaura dans la Salle de Conférence.

— Il est connu qu'une sorte de magie noire est possédée par la lignée d'Esha. Ce qui est moins connu, cependant, est que son origine n'est pas de notre monde. Esha, si vous pourriez nous accorder l'honneur de continuer — je ne voudrais pas raconter certains détails faussement.

L'Immortelle n'avait pas du tout l'air inclinée à raconter sa version du récit. J'avais entendu parlé vaguement de la Malédiction des Enchanteresses du Clan Sybella, mais leur histoire avait apparemment été conservée dans le secret depuis la nuit des temps.

— L'Histoire des Enchanteresses relate que, longtemps avant ma propre naissance, les frontières entre les mondes se sont estompées et que les Immortels pouvaient traverser différents univers. Certaines de mes ancêtres ont alors édifié un portail vers un monde fait de noirceur et il y ont rencontré des Oth'gakd, des êtres sans forme physique qui n'étaient qu'un amas de fumée noire et qui pouvaient s'emparer du corps d'autrui pour prendre vie. Des démons. En échange de les avoir libérés, de leur avoir montré un monde de lumière où ils pourraient semer le chaos, les Rois offrirent à notre clan une part de leur pouvoir. En constatant l'ampleur de la magie noire qui lui avait été offerte et les ravages qu'elle pouvait créer, la Grande Envouteuse en Chef Sybella voulut garder tout ce pouvoir pour elle. Pour ce faire, elle extermina les démons, les renvoyant d'où ils venaient, croyant qu'ainsi elle pourrait garder ce qui lui avait été donné à jamais. Seulement, le dernier Roi Oth'gakd, avant d'être renvoyé à jamais dans son univers, transforma son cadeau en une damnation sous sa fureur. Il s'agit là du commencement de notre malédiction.

Tout le monde dans la salle était figé, pendu aux lèvres d'Esha, comme ensorcelé par ses paroles. Il fallut que Lucien se remette à parler pour briser la sorte de transe dans laquelle nous étions tous.

— Merci, Esha, pour cette charmante histoire. Alors, comme je le disais, j'ai demandé à Esha de rouvrir le portail. Et, comme vous, mes chers compagnons, l'avez entendu, notre sorcière a réussi. Imaginez un peu. Une armée de démons qui ne ressentent ni la peur ni la douleur. Des êtres faits de noirceur qui ont seulement besoin d'une enveloppe corporelle, morte ou vivante, pour exister dans notre univers. En rouvrant un portail, nous leur offrirons ce qu'ils avaient désiré il y a toutes ces années : un monde de lumière et de vie qu'ils pourront corrompre à leur guise. En échange, ils nous fourniront les soldats dont nous avons besoin pour posséder Oweën — et les cinq autres continents. Pourquoi se limiter à un empire lorsque notre puissance dépassera celle de tous les autres Immortels réunis ? Le monde entier sera à nous, mes chers, à nous.

L'expression avide de carnage qu'abordaient à la fois Lucien et Esha fut vite imitée par les alliés assis autour de la table et les gardes.

— Nous attaquerons finalement Céladon quand le portail sera édifié, reprit le Prince. Nous commencerons par instaurer la peur dans le coeur des citoyens du Roi en pillant et ravageant quelques villages. Des attaques de notre chère Häxa.

Lucien me jeta un regard à la dérobée — nous savions tous deux que je ne participerais aucunement aux attaques. Le Prince enverrait quelques soldats de sa garde personnelle s'occuper du carnage et partir des rumeurs me situant comme l'auteure de ces atrocités. J'avais imposé des limites à ce que j'accepterais de faire. Tuer des innocents figurait sur la liste des choses que je ne m'abaisserais pas à faire. Mais ses alliés ne le savaient pas. Les alliés de Lucien s'inclinaient devant son empire et son trône, inconscients qu'ils avaient été tissés par mensonges et manipulations. Obédience, brutalité et implacabilité. C'étaient les mots, les valeurs que sa Cour possédaient et appliquaient.

Le regard que Lucien me lança détenait aussi une part d'avertissement. De rappel. Le Prince ne se souvenait que trop bien de la fois où j'avais saboté un de ses plans moins d'un mois après mon arrivée à Anthracite. Il prévoyait alors attaquer un village pauvre près de la frontière et faire des survivants des esclaves dans son Palais. Le village en question n'était composé que d'innocents, et Lucien le savait. Il ne désirait que frapper le Roi là où il était le plus faible.

Je n'avais pas pu endurer l'idée, n'avais pas pu m'endormir pendant plusieurs nuits jusqu'à que je ne me décide à faire quelque chose avant que ma conscience ne me détruise. Le Roi de Céladon avait envoyé un de ses citoyens se faire passer pour un novice voulant joindre l'Armée de Lucien. Tout le monde savait qu'il n'était pas qui il prétendait être, et la plupart se jouait de lui en lui fournissant des informations fausses, l'utilisant pour semer chaos et confusion dans la Terre des Dragons. Lucien m'avait lui-même confirmé la veille qu'il s'agissait bien d'un espion.

Après avoir passé une énième nuit blanche, j'étais parvenue à prendre une décision. Aux premières lueurs de l'aube, j'avais traqué l'Infiltrateur — Irvin, si je me rappelais bien — et l'avais informé des plans de Lucien et du fait que son identité avait été compromise depuis son arrivée. Il m'avait fallu moins d'une heure pour le convaincre et l'aider à s'évader.

Lorsque Lucien avait appris que j'étais la raison de son évasion, il s'était moqué de mon empathie et avait laissé tomber l'affaire en me fournissant un avertissement. Cependant, lorsque son assault avait échoué, Lucien avait reconstitué le casse-tête et avait compris que je n'avais libéré l'Infiltrateur uniquement dans le but qu'il puisse empêcher l'attaque de se produire... Je pouvais encore ressentir les échos de la douleur que m'avaient provoqué les coups que le Prince m'avait infligés ce jour-là.

Mais Lucien n'avait pas à s'en faire. Je m'en fichais désormais — je n'étais pas comme avant, pas après avoir passé des mois dans les Catacombes, pas après avoir vu de mes propres yeux les cruautés d'Oweën, pas après en avoir infligé une partie moi-même. Ils pourraient tous crever et je m'en ficherais. Tant que ce n'était pas de ma main, leur sort ne m'importait pas.

Une part de moi me détestait pour cette insensibilité, cette indifférence. Une autre part de moi espérait qu'ils souffriraient tous.

— Nous distrairons le Roi et sa Cour en envoyant notre armée de démons aux quatre coins de l'empire, jusqu'à ce que les forces de Céladon soient dispersées à travers tout le royaume. Ensuite, continua Lucien avant de s'interrompre, prenant le temps d'épier chaque être présent autour de la table, lorsque le chaos et le désordre règneront, lorsque les forces du Roi seront trop préoccupées à tenter de trouver un moyen de contrer nos chers démons, lorsque même les plus loyaux alliés de la Terre des Dragons capituleront et se replieront, nous nous en prendrons au Château — nous l'infiltrerons grâce aux passages secrets, et détruirons le palais de l'intérieur.

Quelque chose enfoui profondément en moi, dissimulé dans l'endroit où j'avais délaissé le moindre instinct de survie que je possédais, frémit et me cria de m'enfuir devant la lueur qui abrita les yeux du Prince.

— Et je tuerais enfin le Roi de mes propres mains, dévoila Lucien, alors qu'un sourire fauve s'étirait sur ses lèvres.

Non.

Non, non et non.

J'avais été claire lorsque j'avais accepté de devenir l'alliée de Lucien. Le Roi de Céladon, celui qui m'avait causé tant de souffrances, celui qui m'avait dérobé de quatre vies, était mien. J'avais été catégorique sur ce point-là. C'était l'unique condition, le seul prix que j'avais requis de Lucien en échange de mes services. Le cou de Lucien ne m'avait jamais paru aussi attirant qu'il ne l'était à ce moment là; l'envie ardente de refermer mes doigts dessus et de le serrer me rongeait. Je ne le laisserais pas faire.

Je ne le laisserais pas me dérober de ce qui m'appartenait.

Bonjour ! Comment allez-vous ?

Petit dilemme: j'ai de la difficulté à me décider si je devrais classer l'histoire dans la catégorie mature ou non... (j'y parle du fait qu'Häxa veule tuer quelqu'un, mais je ne prévois pas écrire de scènes gores et remplies de détails sanguinaires) 

Qu'en pensez-vous ?

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