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Chapitre 17

Des froufrous.

Des rubans.

Du tulle.

De la soie.

Des bijoux.

Et des paillettes.

Beaucoup de paillettes.

Voilà le monde dans lequel j'étais plongée depuis... longtemps. Earwen tremblait presque d'excitation, aujourd'hui était la deuxième cérémonie la plus importante possible à Olympia, qui arrivait une fois par ans.

Lors de la création d'Olympia, les piliers découvrirent bien vite qu'une fois par ans, les pégase qui vivaient ici depuis des siècles se réunissaient au sommet de la plus haute pointe d'Olympia.

Alors, une fois par ans, les jeunes arrivent également sur cette montagne pour trouver leurs compagnons à vie, suivie d'une immense fête en leur honneur. Autant dire qu'en montagne, les pégase sont indispensables, d'autant que ce sont d'exellent guerriers. Les cités perdus ignorent cette aspects des pégases, ils les vois presque comme de grosses peluches.

Ce qui signifient que lors que j'aurais un pégase à mes côtés, je serai... libre d'aller... absolument partout.

J'aurais, en plus de mes cours d'astronomie, polygotte, histoire, botanique et bien d'autre des cours de combat en tout genre, ainsi, en tant qu'apprenti ambassadrice, des sorties chez les humains. De plus, les cours d'ambassadrice sont for amusant, je me souviendrai toute ma vie des exclamations horrifiés lors que notre mentor avait évoqué les nudistes.

Je parlais comme si j'étais réellement Laurelin, or seul une dizaine de personne me connaissent réellement...

Mais, maintenant, Laurelin était une part de moi même, je ne me forçait plus à chanter, à caresser Vàna ou encore à me mordre la lèvre lorsque j'étais nerveuse ( bien que des fois je mourrais d'envie de m'arracher un cil ou deux ) .

Ça me permettait d'oublier l'autre moi, celui qui était mort sur le parquet d'Havenfield. Ce talent avait tout changé, en une nuit de récupération et beaucoup d'aide de Circë, je n'avais presque plus aucune séquelle de la flèche resté sur la pelouse d'Havenfield. Le moment le plus traumatisant fut celui où je dut manipuler mon propre sang fait de quintessence pour former une compresse.

Rien n'était pire que la sensation de mouvoir mon sang selon mes doigts. Cette compresse tenait bien au moins...

Je n'avais pas utilisés la téléportation depuis ma précédente escapade, mes talents de polygotte me permettaient d'imiter les voix à la perfection, je travaillais aussi avec Circë à un moyen de m'auto optimiser, pour ma télépathie, je n'osais pas vérifier les esprits de mes amis dans les cités perdus mais l'esprit de mon... ancien apparenté semblait bien plus prudent et je n'avais pas utilisé mon insallition depuis la fois où j'avais littéralement crevé toute les plantes d'Havenfield.

Quand à mon talent de phycienne... Et bien, je qualifierais ça de... pratique.

Bien que ma maladresse me manquait parfois, je pouvais réaliser toute prouesses gymnastiques, à toute les vitesses et toute les hauteurs imaginables, j'avais déjà cassé 3 verres et tordus 2 fourchettes sans le vouloir d'une légère pression de doigts.

Parfois, tout mon corps était parcourus de frissons et je mourrais d'envie de courir, sauter, casser, mes cheveux semblaient s'étirer de leur propre volonté... comme un accès de folie. Je me contrôlait de mon mieux, mais je sentait que ma bride n'allait pas tenir longtemps.

Rajoutez par dessus ça le fait que Keefe... bref.

- Aïe ! Earwen ton aiguille ! m'écrivais je.

- Désolé, comme ça telle, mais tu avais l'air de... Comment dire... déprimer.

Je gromellais une réponse quelquonque avant de me décider à regarder le résultat des longues heures de piqures d'Earwen.

- Oh. Je... Enfin... bredouillais-je

- Tu l'as dit... Heureusement que j'ai eut 1 heures pour m'accomoder à cette vision...

Je rougis, gêné de mon apparence.

- Trasht'ka, même les rougissements sont mignons chez toi.

Je passais d'un mouvement gracieux mes doigts dans la robe de plumes qui devait évoquer les pégases. Le haut perlée rappelait mes cheveux et brillait légèrement de quintessence, même si son décoleté me fit rougir. Elle avait noué mes cheveux en une tresse sophisticés dégageant mes veilles oreilles de 154 ans et mes talons vertigineux étaient à eux même une œuvre d'art.

Je me mis à tournais sur moi même, accentuant le volume de la robe et fessant voler les plumes et me jetais dans les bras de ma couturière dans un grand concert de tissus avec un grand sourire.

Elle me prit par les épaules avec une moue dépité :

- C'est possible d'avoir une silouhette aussi parfaite ? gromella t'elle

Je lui souris à pleine dents, heureuse de savoir que certaine chose ne changerait jamais.

Son regard s'illumina et elle finit sa tâche en s'amusant à essayer différente teintes de... d'instruments de maquillage et je mit de longue minutes à la convaincre de ne pas me mettre de bijoux, qui rajouterai une touche trop complexe en plus de la robe.

- Je n'en reviens toujours pas d'être là !

Je me retournais vers Mahal avec un grand sourire tandis qu'elle jetais ces chaussures par terre en grommelant.

- Tu es magnifique Sophie ! Earwen, tu... commença t'elle.

- Pas de dispute aujourd'hui ! l'interrompit je, c'est un jour de fête, non ?

Mahal gromella alors qu'un immense sourire etira les lèvres d'Earwen.

- Tu as entièrement raison Sophie ! Allez Mahal, enleve et donne moi ce manteau qui à lui même arrive à trouver un record de...

- Pas de dispute ! dis-je en interrompant Earwen.

- J'oubliais ! Mahal, enfile moi ça, s'écria Earwen en lui jetant une robe verte.

- Je peut pas rester comme...

- Non Mahal, tu enfilera à cette robe. Dépêche toi avant que je t'arrose.

Mahal fila sans demander son reste.

- Bon, voici le plan, quand tout le monde montera dans les chariots collectifs, tu sera déjà partit avec ma mère vers la montagne. Surtout, personne ne doit te voir et garde bien le voile que je t'ai donné sur ta tête, les cheveux et yeux lumineux ne sont pas très discret. Compris ?

Elle attendit que j'hoche la tête pour reprendre ces yeux émerveillés.

- Bon ! J'ai une surprise pour toi ! Ma mère a réussis à trouver... allongea t'elle pour donner du suspense.

- À trouver quoi ?

Elle poussa un cri émerveillé lorsqu'elle sortit un magnifique diadème d'une bulle d'eau.

Je le prit avec précaution, inspectant ses pierres et ses détails qui semblait presque... familier.

- Je connais ce diadème, non ? demandais je.

- Oui, car c'est le tien ! confirma t'elle.

- Mais...Earwen, le mien est celui d'ambassadrice, pas celui ci...

- Non Sophie, celui d'ambassadrice est à Laurelin, celui ci appartient bel et bien à Sophie Elisabeth Foster, fille unique des piliers fondateurs Elendil et Artanis, donc leurs digne héritière des cités déchus, secrète en l'occurence... Ça sonne bien non ?

Je souris doucement devant sa description, ce soir je ne jouait plus de rôle, je ne portait plus de masques, j'etait moi même. Une part de chacune de mes personnalités : la surdouée humaine, l'elfe perdue dans un monde nouveau, le colibri brisée et puissant à la fois, Laurelin petite elfe joyeuse, et surtout et par dessus tout, Sophie Elisabeth Foster, fille unique des piliers fondateurs Elendil et Artanis et héritière secrète des cités déchus.

( effectivement ça sonne bien )

Earwen me posa doucement le diadème sur la tête en silence, marquant la solennité de l'instant.

Mahal arriva derrière nous dans une magnifique robe verte qui lui correspondait et lui allait à merveille. 

- Sophie, tu lui ressemble tellement...

- Merci Mahal, tu es magnifique dans cette robe.

- Je ne te le fait pas dire, s'écria Earwen, elle a été créé pour être portée sur toi ! Approche toi que je te fasse une tresse ! Non ! Mahal, reviens ! Une toute simple promis ! Non je ne te couperai pas les cheveux ! Comment ça pas de bijoux ? Mais... Juste... Bon sang, vous êtes aussi borné l'une que l'autre ! 

Earwen finit par tresser simplement les cheveux de Mahal, sans bijoux et sans lui couper les cheveux, à son plus grand mécontentement.

Elle enfila elle même une ravissante robe blanche retombant gracieusement sur ces épaules dont la traine se dégradait vers le bleu. À notre plus grand entonnement, elle ne se fit qu'une simple tresse, qui, assortit à son collier, ses boucles d'oreilles et son...

- Earwen, tu as prit mon diadème d'ambassadrice ?

- Je le trouvais joli... répondit t'elle en battant innocemment des cils.

Je lui donnait mon accord en riant sous cape, bien qu'elle ne l'avait pas vraiment attendu que je le lui donne.

Une légère rafale de vent balaya notre salon de maquillage/habillage/coiffure improvisé.

- C'est ma mère, Sophie tu dois y aller maintenant, m'informa Mahal.

Je leur sourit pour les remercier de leur aide et m'en allait en utilisant mes dons de vitesse, si bien qu'elle ne me virent pas partir. 

- Bonjour tata ! fis-je en m'approchant, plus doucement cette fois, de celle qui devait m'emmener trouver un pégase, la mère de Mahal et celle qui m'avait amené dans ce lieu formidable qu'était les cités déchus. 

-Bonsoir, tu es ravissante Sophie. Prête ?

- Je suis plus que prête !

Elle siffla doucement et un magnifique pégase se posa doucement à ses coté sous mon regard qui ne pouvait qu'être admiratif, puis elle recouvrit mon visage d'un drap noir.

Durant le trajet, elle me parla de mes parents biologiques, puis des cités perdus, des amis et de la famille que j'avait abandonné mais que je sauverais, d'Olympia, des piliers, de Keefe et de bien d'autre choses. 

Un nuage surréaliste vint percer les ténèbres, un mélange de toute les couleurs et teintes possibles. 

Les pégases. 

Sophie

Mahal

Earwen

Bonjouuuur !

j'ai préférais arrêter le chapitre ici avant que ça devienne incompreéensible... J'ai plusieurs idée pour la suite mais je ne sais pas trop laquelle choisir ! 😅

Comment imaginez vous la suite ? 🤔

Plein d'amouuuuur !

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